Année record pour le CLD en termes de dossiers traités

Le président du CLD et préfet, Robert Roy, est fier de la dernière année, malgré le contexte difficile de la pandémie.

Pour plusieurs, l’année 2020 a été marquée par de grands bouleversements, de nombreux changements et beaucoup d’incertitude. Pour sa part, l’équipe du Centre local de développement (CLD) du Haut-Saint-François semble avoir livré la marchandise du côté des services aux entreprises en apportant une aide financière dans 39 dossiers, pour des investissements totalisant 2,75 M$, permettant de créer ou maintenir 215 emplois.
Il s’agit d’une année record, en termes de dossiers, d’émettre le préfet de la MRC et président de l’organisme, Robert Roy, lors de la deuxième assemblée générale virtuelle à laquelle participaient plus d’une trentaine de personnes.

Plusieurs dossiers, explique M. Roy, étaient reliés aux différents fonds d’urgence mis en place en raison de la COVID-19. Cette aide s’est avérée essentielle pour plusieurs entreprises, ajoute-t-il. Le CLD est également intervenu en apportant une aide technique dans 92 dossiers d’entreprises. Ces projets d’affaires se sont déployés dans 10 des 14 municipalités du territoire.

En termes d’investissement, c’est La Patrie qui arrive en tête de liste avec deux dossiers pour un total de 774 000 $ contribuant à créer ou maintenir 23 emplois, suivie de Cookshire-Eaton avec 8 pour 645 000 $ pour la création ou le maintien de 71 emplois et East Angus avec 10 dossiers pour un investissement global de 557 404 $ touchant la création ou le maintien de 61 emplois. Ascot Corner a vu la réalisation de 5 dossiers pour un investissement total de 401 108 $ permettant la création ou le maintien de 22 emplois tandis que Chartierville bénéficiait de l’aide du CLD dans 3 dossiers pour 121 000 $ avec 11 emplois touchés. La municipalité de Dudswell a obtenu de l’appui dans deux dossiers pour 90 000 $ tandis que Westbury recevait de l’aide dans 3 dossiers pour 85 000 $ touchant 17 emplois. La municipalité de Weedon obtenait de l’aide dans 4 dossiers pour 57 400 $ affectant 5 emplois tandis que Bury bénéficiait de l’appui de l’organisme de développement dans 1 dossier pour 7 500 $ permettant la création ou le maintien de 2 emplois. La participation financière du CLD pour toutes ces réalisations s’élève à 680 360 $. Chaque dollar investi par l’organisme contribue à un effet de levier suscitant 3,04 $ des entreprises.
PALÉE
Quant aux projets collectifs inscrits à l’intérieur du Plan d’action local pour l’économie et l’emploi (PALÉE), les projets de Valoris et du vol commercial à l’aéroport de Sherbrooke ont mobilisé beaucoup d’énergie et s’inscrivent dans une bonne progression, d’indiquer M. Roy. Au chapitre touristique, il ajoute que « le circuit des sheds panoramiques a été lancé l’été dernier et s’annonce déjà comme un produit d’appel touristique majeur pour notre MRC. Du côté du parc régional du Marécage-des-Scots, 2020 a aussi été une année record au niveau de l’achalandage; différentes promotions auront contribué à attirer de nombreux visiteurs et faire connaître la partie est de notre MRC. Et le projet de prolongement de la piste vers Lingwick avance bien, grâce entre autres à la grande collaboration de la compagnie Domtar. » M. Roy note la progression de nombreux dossiers communs avec la MRC, notamment la campagne de rétention et d’attraction Ose le Haut, de même que la bonification de la structure d’accueil des nouveaux arrivants avec une nouvelle agente d’accueil et d’intégration.
Promoteurs
Comme à chaque assemblée générale annuelle, l’organisme a profité de l’occasion pour inviter trois promoteurs à présenter leur projet dans lequel le CLD a joué un rôle. Vincent Grégoire, propriétaire du Café resto Le Grégoire, à Cookshire-Eaton, a parlé du développement de son entreprise dans un contexte où la situation n’était pas facile pour le secteur de la restauration. Stéphane Tanguay, directeur général de Nature Cantons de l’Est, organisme de conservation et gestionnaire du parc écoforestier de Johnville, a parlé du projet de construction d’un pavillon d’accueil. Hugo Brunelle, président et directeur général de Palettes Perron, a parlé du projet d’aménagement de l’entreprise sur un nouveau site à Cookshire-Eaton après que cette dernière, qui était située à Sawyerville, ait été la proie des flammes en 2019.

Le président mentionne que 2020 a été témoin de plusieurs exemples de résilience, de débrouillardise et de solidarité. Il invite les municipalités et gens d’affaires à ne pas hésiter à faire appel au CLD.

Carolyne Boutin, directrice générale de La Méridienne, et Annie Pilon, directrice adjointe

Aide pour les femmes victimes de violence conjugale : Des centaines de milliers de dollars prévus

Carolyne Boutin, directrice générale de La Méridienne, et Annie Pilon, directrice adjointe, s’assurent d’offrir un maximum de support et de sécurité aux femmes et leurs enfants qui fréquentent la maison d’hébergement.

Les gouvernements fédéral et provincial s’unissent et investissent des centaines de milliers de dollars pour soutenir les organismes venant en aide aux femmes victimes de violence conjugale. Annoncées dans leurs budgets respectifs, ces subventions ravissent les responsables des maisons d’hébergement et autres organismes d’aide.

Le budget fédéral 2021 propose d’investir 601,3 M$ afin de faire progresser le plan d’action national pour mettre fin à la violence fondée sur le genre. De ce montant, 200 M$ seront versés sur deux ans pour permettre d’améliorer les refuges, centres d’aide et autres organismes de soutien auprès des femmes victimes de violence. La somme de 400 M$ financera d’autres initiatives telles que l’augmentation des ressources aux lignes d’assistance en cas de crise face à la hausse de volumes d’appels reçue. « Nous sommes très heureuses de voir que la problématique de la violence fondée sur le sexe est au cœur du budget fédéral 2021. Ce sont des investissements que nous réclamions depuis longtemps. Pour soutenir et accompagner adéquatement toutes ces femmes, il faut des réponses plurielles à la violence et des actions concertées. En ce sens, ce budget fédéral représente un très bon premier pas », exprime Mathilde Trou, coresponsable des dossiers politiques au Regroupement des maisons pour femmes victimes de violence conjugale. Les députées des circonscriptions de Compton-Stanstead, Marie-Claude Bibeau, de Brome-Missisquoi, Lyne Bessette, et de Sherbrooke, Élisabeth Brière, ont annoncé cet investissement lors d’une rencontre virtuelle avec les organismes dédiés aux femmes. « Pour que la violence faite aux femmes cesse, tout le monde doit ouvrir les yeux, les oreilles et la bouche. Il faut s’en parler, s’entraider et c’est pourquoi il était important pour moi d’avoir cette autre discussion avec ces femmes incroyables qui œuvrent tous les jours auprès des victimes et des survivantes de violence conjugale et sexuelle. Je tiens à ce que les fonds fédéraux soient dirigés là où ils auront le plus d’impacts positifs et durables », déclarait Mme Bibeau. Depuis un an, le gouvernement du Canada a transféré plus de 17 M$ au gouvernement provincial pour soutenir plus de 200 organismes et refuges venant en aide aux femmes victimes de violence conjugale, mentionnait le communiqué de presse.

Lors de la présentation de son budget 2021, le gouvernement provincial proposait 22 M$ sur cinq ans, explique Annie Pilon, directrice adjointe de la maison d’hébergement pour femmes victimes de violence conjugale, La Méridienne, à Weedon. Selon elle, ce montant correspondait à environ 10 % de leur demande de base pour améliorer les services des maisons. Après avoir reçu les désaccords des différents organismes, le gouvernement a rencontré la Fédération et le Regroupement des maisons pour femmes victimes de violence conjugale pour réévaluer les besoins. Il en a été conclu qu’un financement additionnel de 92 M$ sur cinq ans sera versé pour les maisons d’aide et d’hébergement de première étape. « Les sommes que nous annonçons s’ajoutent aux investissements sans précédent de notre gouvernement pour lutter contre la violence conjugale. Cette annonce est possible grâce à l’excellente collaboration que nous avons développée avec les maisons d’aide et d’hébergement. Nous partageons la même volonté de sécuriser les femmes pour éviter que leur quotidien et celui de leurs enfants soient bouleversés par la violence », exprime Isabelle Charest, ministre déléguée à l’Éducation et ministre responsable de la Condition féminine. Mme Pilon affirme que cette décision a été bien reçue de la part du Regroupement. Elle y voit une belle ouverture à la réalité des maisons d’hébergement. À La Méridienne, ces subventions permettront d’augmenter leur capacité officielle d’hébergement. « Le problème de certaines maisons dans toutes les régions du Québec, présentement, on est pleine tout le temps », mentionne la directrice adjointe. La maison de Weedon compte officiellement 10 places pour femmes et enfants, mais pourrait en accueillir 12, ce qu’elles font la plupart du temps tout en étant subventionnées que pour 10. En somme, le gouvernement provincial prévoit un investissement de près de 223 M$ sur cinq ans pour mieux protéger les femmes. Les différentes mesures prioritaires viennent bonifier celles qui sont déjà en place et seront déployées partout au Québec, y compris auprès des Premières Nations et des Inuits.

Depuis le début de l’année 2021, une dizaine de féminicides ont eu lieu au Québec et avec la pandémie, les organismes notent une hausse inquiétante de cas de violence conjugale. Les gouvernements ont mis en place diverses campagnes de sensibilisation et les maisons d’hébergement sentent qu’elles sont écoutées. « Les cas de violence conjugale se multiplient et les dix féminicides que compte le Québec cette année dépassent l’entendement. Il faut que ça cesse. Aujourd’hui, nous annonçons notre plan pour faire face à l’urgence : une série de mesures qui reflètent les multiples facettes de la lutte contre la violence dont sont victimes les femmes et les enfants. Mes collègues et moi sommes déterminées, avec la mobilisation de tous nos citoyens, à enrayer le fléau de la violence par la sensibilisation, l’action et la dénonciation. Restons attentifs aux signaux, sauvons les femmes », lance Geneviève Guilbault, vice-première ministre, ministre de la Sécurité publique et ministre responsable de la région de la Capitale-Nationale. De son côté, Mme Pilon note une différence par une hausse des demandes d’aide téléphonique directe. Selon elle, des proches des victimes, les pères, sœurs, tantes, cousines, appellent et cherchent à savoir comment s’y prendre pour aider. « Je pense qu’il y a une réceptivité du message qui a fait qu’ils vont vouloir comprendre et s’informer plus rapidement », mentionne-t-elle. Le gouvernement ne prévoit pas en rester là puisque Isabelle Lecours, députée de Lotbinière-Frontenac et adjointe parlementaire de la ministre de la Sécurité publique, gardera contact avec les maisons d’hébergement afin d’assurer un suivi. « C’est de façon proactive que je compte participer à l’effort collectif pour endiguer la violence faite aux femmes. Je me sens privilégiée d’avoir eu le mandat d’établir une relation étroite avec les maisons d’aide et d’hébergement d’urgence du Québec et les principaux intervenants du milieu. Il faut que les choses changent. Je suis solidaire des femmes et je souhaite qu’elles trouvent plus aisément, par l’annonce que nous faisons, le chemin et les moyens de s’en sortir », exprime-t-elle.

En plus d’agrandir la capacité d’accueil de la maison avec ces subventions, les responsables de La Méridienne aimeraient embaucher plus d’intervenantes pour doubler les quarts de soir ainsi qu’améliorer l’accessibilité aux femmes immigrantes, notamment avec un service de traduction.

Pour toutes demandes d’aide, l’organisme SOS violence conjugale est disponible 24 heures sur 24, 7 jours sur 7, au 1 800 363-9010 pour un service gratuit et confidentiel.

Un marché d’alimentation offrant des produits locaux verra le jour sur un terrain de la route 112 à Weedon

Nouveau marché d’alimentation à Weedon : Des produits locaux mis de l’avant

Un marché d’alimentation offrant des produits locaux verra le jour sur un terrain de la route 112 à Weedon.

Un nouveau marché d’alimentation offrant des produits locaux verra le jour à Weedon. C’est ce que prévoient Jean-Pierre Patry et ses associés, Pier-Marc Patry et Myrianne Lessard, propriétaires de la Ferme Patry. Situé sur la route 112, le projet en est qu’à ses débuts et devrait voir le jour d’ici deux ans.

Les entrepreneurs souhaitent ouvrir un commerce alimentaire qui proposera les viandes de la ferme familiale, mais également divers produits locaux. « Nous avons l’intention de faire des produits maison, comme des pâtés, des tartes, des pâtisseries et aussi faire la vente de produits de producteurs locaux, comme des fruits et légumes », explique Jean-Pierre Patry. Ce dernier a convenu une entente avec la municipalité pour acheter un terrain leur appartenant. Selon une résolution passée à la dernière réunion du conseil, le terrain convoité leur est donc réservé pour une période de deux ans.

Selon Jean-Pierre Patry, un tel commerce devenait un besoin dans la région puisque les gens recherchent de plus en plus les produits locaux, mais n’iront pas faire des détours dans les rangs pour visiter les fermes. « On est spécialisé dans les animaux reproducteurs, mais on a un marché pour la viande aussi et on avait beaucoup de demandes pour la vente au détail, ce qu’on ne faisait pas, qu’on n’avait pas le temps de faire sur la ferme », mentionne-t-il. L’emplacement sur la route 112 était parfait selon lui en raison des riverains saisonniers, soit la clientèle visée.

La Ferme Patry est une entreprise familiale depuis plus de 50 ans. Spécialisée dans l’élevage de Charolais, les propriétaires se consacrent principalement à la reproduction, mais vendent également la viande en quartier.

Le mur de briques présentant les noms des donateurs est affiché au Centre communautaire de Weedon

Coopérative d’Habitation du Ruisseau Weedon : Bientôt le début de la construction

Le mur de briques présentant les noms des donateurs est affiché au Centre communautaire de Weedon.

La Coopérative d’habitation du Ruisseau Weedon prévoit débuter la construction cette année. L’immeuble, qui sera situé face à la Coopérative d’habitation du Moulin des cèdres, sur la 5e avenue, proposera 26 unités de logement prêtes à l’habitation dès le début de l’année 2022.

Le conseil d’administration promeut actuellement sa campagne de financement du printemps. Celle-ci défraiera les coûts liés à l’achat d’équipements que les subventions ne couvrent pas, telles que la construction de la remise et la marquise à l’entrée principale. Selon Lucienne Gravel, responsable du financement populaire de la Coopérative, tout se déroule bien jusqu’à maintenant. Le conseil s’était fixé un objectif de 225 000 $. Avec la pandémie, les activités de financement prévues n’ont pu avoir lieu et les membres ont dû faire preuve de créativité. « J’ai suggéré, pourquoi on ne vendrait pas des briques honorifiques à 50 $ ? On va se faire un mur de briques à l’intérieur du Centre communautaire », explique Mme Gravel. Ainsi, toutes les personnes faisant don de plus de 50 $ auront leur nom affiché sur le mur. Selon la responsable du financement, cette méthode fonctionne bien et plus de 400 briques ont été vendues.

Au cours des derniers mois, les plans de la coopérative ont été modifiés. La salle commune et la salle polyvalente ont été agrandies par l’arrière de l’édifice pour être conformes aux normes de la Société d’Habitation du Québec (SHQ). Grâce au don d’un terrain, d’une valeur de 50 000 $, de la part de la municipalité de Weedon, la Coopérative a maintenant une adresse officielle, soit le 225, 5e Avenue, Weedon.

Le projet de la Coopérative d’habitation du Ruisseau Weedon, c’est 26 unités de logement dédiées aux personnes de 75 ans et plus, ou moins si en légère perte d’autonomie. Les résidents pourront bénéficier d’un service de deux repas par jour. C’est en voyant la demande grandissante pour les logements à prix abordables pour les aînés que l’organisme à but non lucratif a mis en place ce projet. Les gens à faible revenu auront la possibilité d’avoir un logement subventionné puisqu’une partie des unités pourrait leur être réservée. Les premiers locataires devraient pouvoir emménager au début de l’année 2022.

Les personnes désirant faire un don peuvent adresser un chèque à l’ordre de La Coopérative d’habitation du Ruisseau Weedon et l’acheminer à Linda Bouchard au 112, chemin Rousseau, Weedon, J0B 3J0. Pour plus d’informations, visitez le ruisseauweedon.ca.

Le Centre culturel de Weedon

Centre culturel de Weedon : Un rajeunissement virtuel et physique

Le Centre culturel de Weedon fait une cure de rajeunissement virtuelle et physique.

Le Centre culturel de Weedon a profité de la pandémie pour faire une cure de rajeunissement, tant virtuelle que physique. Une billetterie en ligne, un nouveau site web et une revitalisation de la salle de spectacle aideront à augmenter et rajeunir la clientèle, souhaite Guillaume Daoust, directeur général.

Ayant débuté l’année 2020 de façon incertaine, les responsables ont décidé de revitaliser le centre. Depuis septembre dernier, une billetterie en ligne est disponible. Celle-ci devrait permettre à plus de citoyens de se procurer des billets, estime M. Daoust, étant donné les horaires d’ouverture de la salle en semaine qui ne conviennent pas à tous. De plus, un tout nouveau site internet sera dévoilé au début de l’automne. La présente saison terminée, les travaux à l’intérieur de la salle devraient commencer sous peu. « On va enlever le bar de la salle, donc on va avoir plus de sièges disponibles pour la vente de billets », explique le directeur général. Se déroulant au cours de l’été, les travaux seront terminés pour l’automne.
Toujours avec l’intention de moderniser les installations, des bandes-annonces seront présentées avant chaque spectacle. L’organisme a mis en place un projecteur et un écran qui défileront des projections cinématographiques afin d’annoncer les prochains spectacles et montrer des photos et vidéos des artistes. Selon M. Daoust, ces nouveautés permettront de créer une unité au niveau de la promotion virtuelle puisque les mêmes images seront partagées sur le site web et les réseaux sociaux.
Les responsables souhaitent également créer des partenariats avec les commerçants locaux et des donateurs afin d’être en mesure de recruter plus de spectacles et de personnalités connues. Ces associations permettront donc de bonifier le budget. « Avec les réseaux sociaux, la plateforme en ligne et la promotion un peu différente qu’on va travailler, c’est sûr qu’on s’attend à rejoindre plus de gens et que la retombée de ça, ce soit que peut-être qu’il y ait une clientèle un peu plus diversifiée qui vient au Centre culturel », exprime le directeur général. La nouvelle programmation, qui comptera près de 25 spectacles, devrait être présentée en juin.

Nouveau développement domiciliaire à Weedon

Nouveau développement domiciliaire à Weedon : Garder la municipalité vivante

Nicolas Blouin, inspecteur municipal et à l’environnement, croit que ce projet domiciliaire permettra de garder les jeunes en région.

La municipalité de Weedon met de l’avant son projet domiciliaire sur le chemin Ferry. Sur près d’une dizaine de terrains disponibles, pas moins de la moitié sont vendus et la phase deux est prévue pour bientôt. Plusieurs familles s’y installeront, ce qui permettra de garder la municipalité vivante, estime le maire, Eugène Gagné.

La phase un, sur le chemin Ferry, comprend neuf terrains d’une superficie entre deux et quatre acres. Ceux-ci ne sont pas desservis par la municipalité. « Quand tu veux t’en venir en région, tu ne veux pas avoir un terrain de 100 x 100. Tu veux avoir de l’espace, pis ici, ils en ont de l’espace. On a même fait une dérogation et ils vont pouvoir garder des chevaux », exprime M. Gagné. Sous l’administration de l’ex-maire, cette parcelle de terre était prévue pour un écoquartier. Toutefois, selon Nicolas Blouin, inspecteur municipal et à l’environnement, ce projet s’avérait plus difficile à vendre en région. « On s’était donné deux ans pour essayer de vendre entre sept et neuf terrains, mais d’en vendre cinq en un mois et demi, c’était au-delà de nos espérances », exprime M. Blouin. Selon lui, cette initiative permet de faire une rétention des citoyens. Sur les cinq nouveaux propriétaires, trois sont de jeunes couples. « Cet aspect-là aussi est positif, ça permet de garder nos jeunes en région », ajoute-t-il.

Ce projet apportera plusieurs avantages à la municipalité. Pour le maire, ce n’est pas juste l’ajout de taxes qui le réjouit, ces nouveaux résidents vont faire rouler les commerces locaux. « Ça va garder la municipalité vivante, c’est un peu ça le but », exprime-t-il. L’incitatif principal pour les personnes intéressées est le prix. Les terrains sont mis en vente à 1,30 $ par m2, ce qui revient entre 12 000 $ et 20 000 $. Avec la hausse du télétravail depuis plus d’un an, M. Blouin croit que ça incite davantage les gens à s’installer en milieu rural. L’objectif de M. Gagné est d’en faire un quartier familial afin de rajeunir la population.

Avec la hausse des ventes immobilières que le Québec connait depuis quelque temps, l’inspecteur municipal est agréablement surpris de l’augmentation des constructions à Weedon. « Au niveau des permis, normalement on donne entre cinq et huit nouvelles constructions annuellement. Là, je suis rendu à 12 ou 13 déjà », exprime-t-il. Ce nombre ne risque que de croître puisque la phase deux du projet domiciliaire devrait se concrétiser rapidement selon le maire. « On est capable de faire un dos-à-dos avec le cadastre actuel pour faire un lotissement similaire de l’autre côté », explique M. Blouin. Cette nouvelle phase ajouterait entre huit et dix terrains. Avec ce développement domiciliaire, M. Gagné ne voit que du positif, tant pour la municipalité que pour les commerces locaux.

Nos forêts, indissociables de notre futur !

Nos forêts, indissociables de notre futur !

Chaque année en mai, le Mois de l’arbre et des forêts constitue une occasion de rappeler l’importance du rôle qu’occupent les arbres dans notre quotidien, mais aussi comment ils influencent notre avenir. Cette ressource renouvelable a, entre autres, des avantages économiques et écologiques pour le Québec.

Un moteur économique
Couvrant plus de la moitié de la province, les forêts québécoises génèrent des dizaines de milliers d’emplois variés, tant dans le domaine de la foresterie que dans d’autres, comme le tourisme. Bien que localisées à des emplacements précis, elles profitent tant aux villes qui les bordent qu’à celles des grands centres urbains, où la majorité des transformations de deuxième et de troisième niveau (poutres d’ingénierie, moulures, clôtures, lattes de plancher, etc.) ont lieu.

Des puits de carbone
Tout au long de leur vie, les arbres emmagasinent de grandes quantités de carbone au moyen de la photosynthèse, tout en relâchant de l’oxygène dans l’air. Ce carbone, qui sert à la fabrication de leur bois, n’est pas libéré dans l’air durant la transformation du bois, mais seulement lors de sa décomposition. Ainsi, un produit du bois qui est durable ou recyclé contribue à conserver cette quantité de carbone plus longtemps et à éviter son rejet, fort polluant, dans l’atmosphère.

Recherchez les activités proposées par les organismes, les écoles et les municipalités de votre région pour manifester votre attachement envers cette ressource essentielle au Québec de demain !

Production agricole et bon voisinage

Production agricole et bon voisinage

En ce début de saison de plus grande activité en milieu agricole, la Fédération de l’UPA-Estrie souhaite rappeler certains volets de la production de nourriture afin de favoriser le bon voisinage.
S’installer dans un milieu rural comporte de nombreux avantages, notamment la tranquillité, le grand air, l’espace, les beaux paysages, les moments de détente, etc. Cependant, il faut savoir composer avec les contraintes, les engagements et les réalités d’un espace dédié avant tout au travail des productrices et des producteurs agricoles.

« On comprend les citoyens de se questionner sur l’épandage. Avec son odeur, il est difficile de l’oublier. Par contre, le lisier et le fumier servent à fournir les nutriments utiles à la croissance des végétaux, autant des grains que des légumes, qu’ils soient destinés à l’humain ou au bétail. Le fumier et le lisier sont des engrais naturels produits à proximité. Même nos champs mangent local ! La bonne odeur du foin frais coupé vient compenser », explique François Bourassa, producteur laitier et acéricole de Valcourt et président de la Fédération de l’UPA-Estrie.

Les techniques d’épandage se sont beaucoup améliorées avec les années autant d’un point de vue environnemental que des odeurs. La réglementation oblige notamment les producteurs à épandre dans une fenêtre plus étroite qu’il y a 20 ans (du 1er avril au 1er octobre).
« N’hésitez pas à communiquer avec vos voisins pour leur faire part de vos préoccupations. Les gens du milieu agricole ont cela en commun. Ils sont passionnés et toujours prêts à expliquer pourquoi ils font telle chose ou utilisent tel produit. Si vous prévoyez un rassemblement important (lorsque ce sera permis), n’hésitez pas à en faire part aux producteurs et productrices du coin. Ceux-ci feront un effort pour vous accommoder, par exemple, en choisissant une bonne journée pour diminuer les impacts de l’odeur, du bruit ou de la poussière » explique Michel Brien, producteur laitier et de foin de commerce à Racine et vice-président de la Fédération de l’UPA-Estrie.

Toutefois, rappelons que c’est Dame Nature qui a le dernier mot ! Si de la pluie, du verglas, des grands froids, des sécheresses s’annoncent, il se pourrait que certaines activités ne puissent attendre et que des travaux soient effectués pendant la nuit; engendrant leur lot de lumière ou de bruits désagréables ! Dans ce cas, il vaut mieux faire preuve de patience, de compréhension et de reconnaissance envers celles et ceux qui participent collectivement à nourrir la population d’ici et d’ailleurs.

Partage de la route
La cohabitation est aussi de mise sur la route. Les tracteurs roulent lentement. Néanmoins, les dépasser n’importe comment est très dangereux ! Les productrices et les producteurs invitent les autres usagers de la route à faire preuve de patience et à profiter du paysage en attendant le bon moment pour dépasser un véhicule de ferme de façon sécuritaire.
Enfin, la Fédération de l’UPA-Estrie désire profiter de l’occasion pour saluer les initiatives de la Ville de Sherbrooke et des MRC de l’Estrie qui agissent pour favoriser la saine cohabitation en milieu agricole. Apprendre à mieux se connaître, favorise la compréhension des uns et des autres. Dans la foulée, espérons que ces efforts communs de communications contribuent aussi à diminuer la quantité de visites non autorisées dans les champs et les boisés, qui ont un impact négatif sur les cultures (VTT, motoneiges, randonneurs, chasseurs, etc.).

À propos de la Fédération de l’UPA-Estrie
La Fédération de l’UPA-Estrie regroupe et représente les 4 757 producteurs agricoles propriétaires des 2 697 fermes sur le territoire des sept MRC de l’Estrie. La Fédération de l’UPA-Estrie contribue à l’amélioration continue et durable de la qualité de vie de tous les producteurs agricoles et forestiers de l’Estrie, en agissant afin de promouvoir, défendre et développer leurs intérêts professionnels, économiques et sociaux. L’UPA est une organisation syndicale professionnelle, qui fonde sa raison d’être et son action sur les valeurs de respect de la personne, de solidarité, d’action collective, de justice sociale, d’équité et de démocratie. www.estrie.upa.qc.ca

Centre de pédiatrie sociale, Rémi Robert

Centre de pédiatrie sociale : Aider les familles vulnérables

Rémi Robert

Aider les familles en situation de grande vulnérabilité, tant au niveau médical, psychosocial que juridique. C’est l’objectif que s’est donné Rémi Robert en préparant l’ouverture de la clinique de pédiatrie sociale qui sera située à Ascot Corner. Basé sur le modèle du docteur Gilles Julien, le centre desservira la MRC du Haut-Saint-François dès la fin de l’année 2021.

Un centre de pédiatrie sociale vise à soigner, accompagner et outiller l’enfant en situation de vulnérabilité, en prévenant et en contrant l’impact des stress toxiques sur sa santé globale, par le biais d’une approche collaborative et engagée. Le siège social sera situé dans les locaux de la clinique Pluriel santé sur la route 112 à Ascot Corner, mais un volet mobile permettra de rejoindre toutes les familles à travers le Haut-Saint-François. « On va aussi exploiter le créneau de la pédiatrie scolaire. Là ça rejoint tout le volet mobile. Nos pédiatres vont se rendre dans les écoles étant donné que, dans le Haut-Saint-François, il y a des familles qui n’ont aucun moyen de locomotion », explique M. Robert. Selon lui, la structure qui existe présentement dans les écoles ne comble pas tous les besoins et ne répond pas à toutes les demandes. En desservant cette clientèle, il espère complémenter les services. Plusieurs spécialistes travailleront de pair tels que des psychiatres, techniciens en éducation spécialisée, techniciens en éducation à l’enfance, travailleurs sociaux, orthopédagogues, psychoéducateurs et avocats. De plus, une entente avec le GMF du Haut-Saint-François est conclue et des médecins seront disponibles.
L’approche de la pédiatrie sociale en communauté a été créée par le pédiatre Gilles Julien dans les années 1990. Celui-ci a collaboré avec plusieurs partenaires des milieux de la santé et des services sociaux, scolaires et communautaires. La Fondation du Dr Julien codifie les pratiques et les diffuse à travers de la formation professionnelle continue, universitaire et communautaire. Il y a présentement plus d’une quarantaine de centres de pédiatrie sociale au Québec, mais selon M. Robert, celui d’Ascot Corner sera unique en son genre dans la province. « Nous, on va se caractériser par la créativité, c’est-à-dire qu’on va mettre en place la philosophie pour enfant. On va développer le sens de l’initiative, la réflexion pour permettre aux enfants d’éviter la répétition des patterns, de prendre conscience et de développer une réflexion très tôt », explique-t-il. L’accompagnement des jeunes mères et des femmes plus vulnérables est également au cœur du projet grâce à un volet périnatalité. « On va être en amont, au début de la vie de l’enfant », exprime l’instigateur du projet.
Détenant un doctorat en philosophie pratique (spécialisation éducation) et responsable de la formation continue au Séminaire de Sherbrooke, M. Robert trouve important le volet éducation de la Fondation du Dr Julien.

« On va aller chercher au Cégep, les jeunes qui font ou qui préparent leur stage. On va vouloir les accueillir avec nous, leur montrer c’est quoi la réalité de la pédiatrie sociale dans la communauté », explique-t-il.
Pour venir au bout de son projet, M. Robert prévoit faire appel à des donateurs, mais également demander des financements au gouvernement fédéral. Il veut également recruter des bénévoles et créer un partenariat avec le Centre de services scolaire des Hauts-Cantons. En aidant les enfants dès leur plus jeune âge, M. Robert croit que ceux-ci vont se développer plus sainement, plus adéquatement. « En toute humilité, et dans un travail collectif, un travail d’équipe, on veut améliorer la qualité de vie de la communauté », exprime-t-il.

Colloque sur la diversité sexuelle et de genre en ruralité

Colloque sur la diversité sexuelle et de genre en ruralité : Un intérêt qui dépasse nos frontières régionales

Jinny Mailhot, directrice de la CDC.

L’intérêt pour la 2e édition du colloque sur la diversité sexuelle et de genre en ruralité a outrepassé les frontières du Haut-Saint-François. Ils étaient plus de 45 participants de différentes régions du Québec, Sherbrooke, Bas-Saint-Laurent, Lanaudière, les Laurentides et autres à participer à la rencontre virtuelle.

L’événement était organisé par la Corporation de développement communautaire (CDC) du Haut-Saint-François avec la collaboration de cinq étudiants de la Faculté de médecine de l’Université de Sherbrooke.
Une brochette de conférenciers ont pris la parole dans le but d’informer, de sensibiliser et donner des trucs pour démystifier, aider et outiller l’ensemble des participants sur la diversité sexuelle et de genre.
Séré Beauchesne-Lévesque, conférencier, intervenant et auteur, a fondé le Groupe d’action trans de l’Université de Sherbrooke en 2016, ce qui a amené à la création de l’organisme TransEstrie en 2020. Coordonnateur de l’organisme et intervenant au programme Pose ta question ! d’AlterHéros, iel se concentre également sur le développement de services pour les personnes trans et non binaires en dehors des grands centres urbains. L’invité a profité du temps qui lui était accordé pour décortiquer chacune des lettres de l’acronyme 2SLGBTQIANBP. Séré Beauchesne-Lévesque mentionne que « la diversité a toujours été là, ce n’est pas nouveau, sauf qu’elle a été réglementée. » Selon iel, le genre ne se limite pas à homme ou femme, il y en aurait au moins 47. Enseignante au Cégep de Sherbrooke et militante pour les droits des personnes des minorités sexuelles et de genre et impliquée au sein du comité confédéral LGBT+ de la CSN, Dominique Dubuc siège également à la Table nationale de lutte contre l’homophobie et la transphobie des réseaux de l’éducation. Elle est aussi formatrice pour la Coalition des familles LGBTQ+. Mme Dubuc a présenté aux participants divers outils disponibles sur le site web de la CFLGBT+ pour créer des pratiques et des environnements plus inclusifs des familles, des jeunes et des personnes LGBTQ+. Elle en a présenté plusieurs pour le personnel administratif, enseignant, de soutien et tous professionnels ou toutes professionnelles intervenants de loin ou de près auprès des familles des jeunes LGBT+. La conférencière a mis de l’avant des mises en situation afin de présenter les outils pouvant venir en aide et elle a expliqué comment se les procurer. Elle ajoute que de la formation est disponible pour outiller les organismes à accueillir les personnes LGBTQ+.

Jorge Flores-Aranda, professeur à l’école de travail social de l’Université du Québec à Montréal et professeur associé au département des sciences de la santé communautaire de l’Université de Sherbrooke et chercheur régulier à l’Institut universitaire sur les dépendances, au regroupement Recherche et intervention sur les substances psychoactives Québec (RISQ) et au Centre de recherche Charles-Le Moyne sur les innovations en santé, a traité de comment intervenir auprès des personnes de la diversité sexuelle et de genre. Il souligne qu’en raison, entre autres, de la discrimination et de la stigmatisation dont elles sont l’objet, certaines des personnes de la communauté LGBTQ+ sont confrontées à des problématiques sociales diverses comme la consommation de substances psychoactives, de troubles de santé mentale, suicide et bien d’autres. Une compréhension globale de la situation des personnes de la diversité sexuelle et de genre, explique-t-il, exige de tenir compte des différents facteurs d’oppression auxquelles elles sont confrontées et la nécessité de développer des interventions adaptées pour contrer ceux-ci. Les interventions anti-oppressives visant des changements à la base des structures d’oppression sont prometteuses quant à sa capacité de transformer les pratiques et les relations sociales qui influencent la santé des personnes de la diversité sexuelle et de genre, précise-t-il.

Outre les conférenciers, trois personnes ont présenté leur organisme et les services offerts, dont Rebecca Janson, directrice générale du GRIS Estrie, voué à la défense de droit des personnes de la communauté LGBTQ+. Noé Larose, coordonnataire de l’intervention à TransEstrie, explique comment l’organisme peut soutenir les communautés trans et non binaires de l’Estrie tout en assurant que leurs services soient adaptés à leur réalité. Vee Langlois s’active pour la communauté LGBTQ+ de notre territoire, a décrit le Centre de femmes du Haut-Saint-François La Passerelle. Iel indique que le centre accueille les femmes cis et trans, les personnes non binaires, Queer et en questionnement sur leur identitaire de genre. Julie Blackburn travaille et milite au sein de la communauté LGBTQ. Elle a collaboré à la mise sur pied de différents services et organismes en plus d’œuvrer à la mise sur pied du Magazine Sapho afin de lutter contre la lesbophobie et la biphobie et la mise en place d’un centre de femmes dans la région de Portneuf. Depuis son arrivée en Estrie, elle collabore avec l’équipe bénévole de Fierté Sherbrooke Pride à la consolidation de l’organisme.

Jinny Mailhot, directrice de la CDC, est surprise et satisfaite de la participation virtuelle des gens. Elle rappelle que l’objectif était de visibiliser la communauté LGBTQ dans le Haut-Saint-François et de s’assurer de transmettre de l’information aux intervenants œuvrant auprès de la communauté. « Dans ce sens-là, on a atteint notre objectif. On est allé même au-delà parce qu’il y avait des gens de l’extérieur. » Mme Mailhot parle déjà d’une troisième édition qu’elle souhaiterait dans deux ans. « La formule est gagnante, ça se passe bien », complète-t-elle.

Rachel Garber

HAND-TO-HAND!

How are we surviving the pandemic? By now, we’ve each discovered our own coping strategies. In our house, one of these is Star Trek. Most evenings, we’ll be sitting together, absorbing and critiquing two episodes of the various series.

We’re never so attentive as when they are about pandemics in farflung sectors of the universe. The noble fight against the evil virus inevitably involves urgently developing a vaccine. The episode ends in a blaze of glory, humanoids saved once again.

The story assumes the whole population is eager to get the shot in the arm. I guess the writers couldn’t imagine vaccine hesitancy.
“If you think of this as a war,” said Michael Carney of the U.S. Chamber of Commerce, “we’re about to enter the hand-to-hand combat phase.” And it’s risky, said the New York Times article which quoted him. “If it takes too long to reach ‘herd immunity,’ the point at which the spread of the virus slows, worrisome new variants could emerge that evade the vaccine.”
Here, Star Trek gives us another useful metaphor: the Borg. One of their unique strengths is their ability to quickly mutate. “Resistance is futile.”
And so it is with the coronavirus. Give the virus enough time in enough lungs, infecting cells and hijacking them to make new viruses, it will make little copying errors, or mutations. Eventually, a set of inherited distinctive mutations is shared by a group of coronaviruses, and we have a variant.
By not getting enough people vaccinated quickly enough, and by not preventing its spread, we give the virus the opportunity it needs to develop a new set of weapons against us.

Let’s be clear: The war is against the virus, not other people. But I’ve not yet seen a dystopian movie that imagined the war could be lost by people refusing the remedy. Except, now, in real life. Those refusing measures to prevent continued infections are, in fact, fighting on the side of Covid-19. Imagine that!

GARDENING TIPS
Learn about Pollinator-friendly Gardening from master farmer/gardener Mary Ellen Kirby of the Bergerie Heritage Hill Farm in Martinville. It’s a Zoom presentation on Thursday, May 13, at 7 to 8:30 p.m. Townshippers’ Association offers this free of charge; just register in advance by contacting Vanessa at va@townshippers.org.
STRESS-BUSTERS
The last of the “Building Your Mental Wealth” workshops from Townshippers’ Association are via Zoom, on the next three Fridays.
May 14, from 12 to 1 p.m., learn how reflexology can reduce stress and anxiety with Carol Faguy, certified training reflexologist.
May 21, from 12 to 1 p.m., nutritionist Cora Loomis will give an introduction to intuitive eating, which means learning how to trust and respect your body and its natural weight.
May 28, from 7 to 8 p.m.: an inspirational, interactive wrap-up activity.
To register, for information, or for help mastering Zoom, email Michelle at ml@townshippers.org.
BURNOUT TO BALANCE
Regulating stress can take you from burnout to balance, and that is the topic of a workshop on Wednesday, May 19, from 10 to 11:30 a.m. via Zoom, led by Amanda Rocheleau, a social worker and compassion fatigue specialist. She will “explore the impact of chronic stress in our lives and introduce fundamental daily practices that we can all do to help process our stress in order to prevent burnout.”
To register, for information, or for help mastering Zoom, email Vanessa at va@townshippers.org. This workshop is offered by Mental Health Estrie in collaboration with Townshippers’ Association.
TRANSLATION NEEDED?
Community groups can benefit from Townshippers’ Association’s offer of translation for key documents or research, through two programs, Enhancing Regional Community Capacity and Eastern Townships Partners for Health and Social Services. Info: townshippers.org/translation-requests/.
LITERACY HELP?
Need support to connect with services online? Literacy Quebec volunteers offer help to English speakers age 16 or older who need information and support for tasks that require digital literacy skills and/or reading or writing. Info: Literacy Helpline, 1-888-521-8181 or literacyquebec.org/helpline.
LANGUAGE LEARNING?
Want to improve your French, or English, for that matter? Meet Mauril, a new free platform to learn English and French through a wide range of stimulating and entertaining content from CBC/Radio-Canada. The approach is developed by teaching and linguistic experts and is based on official Canadian Language Benchmarks. Info: mauril.ca.
HEALTH LINK
Camille, Diane, Jenny and Michelle of the Health Link Committee have distributed care packages to seniors on special occasions during the pandemic. The bags are replete with information about services and (mostly healthy) goodies. “We would like to thank you all for your kind words and messages of thanks,” they say. “We wish you all a wonderful summer… and look forward to re-connecting with you in the fall! In the meantime, we are always available to help you or connect you to services you might need.” Info: Diane Grenier, 819-560-8540 x 9.
CHURCHES
United. Home worship services are available Fridays after 2 p.m. at Sawyerville United Church (box on top of freezer), or at Trinity United Church (plastic bag at basement door). To receive services by mail or email, or for pastoral care, contact Rev Tami Spires at 819-452-3685 or spiresta@hotmail.com. Facebook info: United Eaton Valley Pastoral Charge.
Baptist. In-person Sunday services for 25 or fewer persons with Covid-19 protocols in place (wash hands at the entrance, stay 2 metres apart, use assigned seating, wear masks, do not shake hands, and leave via the exit door). The service in French is at 9 a.m., and in English at 11 a.m. Persons with flu symptoms are asked not to attend services. The pastor’s message is also available on YouTube: For the link, contact Pastor Michel Houle: 819-239-8818.
Anglican. Bishop Bruce Myers continues to offer Home Prayers at 10:30 a.m. Sundays on Facebook, and at quebec.anglican.ca (Worship Videos). Info: 819-887-6802, or quebec.anglican.ca.
Do you have news to share? Call 819-300-2374 or email rawrites@gmail.com by May 17 for publication May 26, and by May 31 for June 9.

Terreau ou terre à jardin ?

Terreau ou terre à jardin ?

Si vous voulez que vos plantes s’épa­nouis­sent, vous devez utiliser le bon type de terre. Voici un aperçu de ce qui différencie le terreau et la terre à jardin.
Terreau
Le terreau renferme un mélange de ma­tiè­res organiques et de minéraux qui ai­dent les plan­tes à pousser dans des contenants. La mousse, le compost et d’autres matières nourrissent les plan­tes, tandis que des minéraux (perlite, ver­miculite, etc.) facilitent le drainage et empêchent le sol de se compacter. Stérile, le terreau protège en ou­tre vos végétaux des champignons et des autres agents pathogènes.
Terre à jardin
La terre à jardin est une terre ordinaire en­richie de compost ou d’autres matières organiques. Elle est utilisée pour garantir que le sol des jardins et des plates-bandes surélevées contient suffisamment de nutriments. Exempte d’additifs tels que la perlite, la terre à jardin n’assure pas un drainage suffisant pour les plantes en pot. Toutefois, en retenant l’humidité, elle contribue à empêcher les plates-bandes de se dessécher. Elle est également plus abordable que les mélanges pour pots.
Si vous n’êtes pas certain du type de terre qu’il vous faut, demandez conseil à un expert d’un marché agricole, d’une pépinière ou d’un centre de jardin de votre région.

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Comment protéger vos plantes pendant une vague de chaleur ?

Une canicule peut faire des ravages dans vo­tre jardin. Voici quelques conseils pour protéger vos plantes pendant une vague de chaleur.
Ajoutez du paillis
Les températures élevées peuvent déshydrater votre jardin. Une bonne couche de paillis est donc de mise pour réduire l’évaporation. Op­tez pour une substance de couleur claire (ex. : rognures de gazon sèches), qui réfléchira la lumière du soleil et contribuera à préserver la fraîcheur du sol.
Arrosez tôt
En arrosant vos plantes tôt le matin, vous leur donnerez plus de temps pour absorber l’eau avant qu’elle ne s’évapore. Les racines peu profondes seront ainsi protégées contre la dé­shydratation, et les risques de stress ther­mi­que, autrement dit, de « coups de soleil » pour vos végétaux, diminueront.
Fournissez de l’ombre
Installez une toile d’ombrage (vous en trouverez de dif­féren­tes tailles dans votre centre de jardin local) pour protéger vos plantes du soleil pendant les périodes de chaleur extrême. Veillez ce­pendant à ne pas les enfermer, car cela piégerait la chaleur et nuirait à la circulation de l’air.
Enfin, n’oubliez pas de vous protéger vous-même (crème solaire et chapeau à large bord sont requis pour jardiner) et d’éviter les travaux extérieurs exténuants pendant les vagues de chaleur.

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Entente de vitalisation : Près de 300 000 $ pour la MRC du HSF

La MRC du Haut-Saint-François recevra une somme de 295 943 $ pour des ententes de vitalisation pour l’année 2021-2022. C’est le député de Mégantic, François Jacques, adjoint parlementaire de la ministre des Affaires municipales et de l’Habitation, Andrée Laforest, qui en a fait l’annonce au nom de sa collègue. Cette somme s’inscrit dans le cadre du volet Soutien à la vitalisation et à la coopération intermunicipale du Fonds régions et ruralité (FRR).

Le gouvernement provincial versera la somme globale de 1 204 849 $ pour les MRC du HSF et des Sources. Les ententes de vitalisation encouragent la mobilisation des élus et des administrations municipales en vue de donner un nouvel essor à leur territoire. Les MRC pourront ainsi bonifier les services et les équipements pour la population. De plus, des projets de développement économique, social, culturel ou touristique correspondant aux priorités déterminées par les acteurs locaux seront soutenus pour améliorer le milieu de vie. « Les ententes annoncées démontrent une fois de plus à quel point notre gouvernement a le souci de collaborer avec les MRC dans le développement de nos régions. Les actions qui seront mises de l’avant grâce aux ententes de vitalisation permettront de bonifier la vie municipale et les services sur le territoire de la MRC du Haut-Saint-François. Au final, c’est toute la population du Haut-Saint-François qui profitera de l’aide financière accordée », exprime M. Jacques.

Ces ententes s’échelonnent jusqu’en 2025 et s’adressent aux MRC où les défis de vitalisation sont plus grands. « Pour notre gouvernement, il est essentiel de soutenir les régions du Québec afin qu’elles donnent vie à des initiatives de vitalisation. Les MRC connaissent bien les réalités de leur territoire et c’est pourquoi nous soutenons leurs efforts visant à améliorer leur milieu de vie. Il était primordial pour moi que nous puissions appuyer nos régions et le Fonds régions et ruralité est un exemple concret des actions que notre gouvernement pose pour y arriver », explique Mme Laforest.

Chaque année, une somme de 25 M$ est versée aux ententes de vitalisation au Québec et ce, jusqu’en 2025.

Quand la culpabilité vous fait souffrir

Comment arrêter de culpabiliser sans arrêt ?

« C’est ma faute » ; « Je ne suis pas à la hauteur » ; « J’aurais dû me taire »… votre petite voix intérieure vous accuse constamment de tout et de rien ? Chose certaine, culpabiliser de manière disproportionnée est nuisible à la santé mentale. Voici quelques astuces pour mieux comprendre et gérer ce sentiment.

Se poser les bonnes questions
Lorsqu’une personne se sent coupable, c’est notamment parce qu’elle croit qu’elle a fait du mal à quelqu’un (ex. : ne pas avoir appelé sa grand-mère assez souvent) ou qu’elle a posé un geste contraire à ses valeurs (ex. : gaspiller de la nourriture).

Quand la culpabilité vous fait souffrir, une intro­spection s’impose. Il vous faut entre autres vous demander si l’émotion que vous ressentez est légitime (inutile de vous sentir coupable d’un évènement ou de la réaction d’un proche sur lequel vous n’aviez aucun pouvoir) et procéder à une autoévaluation.

Demandez-vous par exemple si vos attentes envers vous-même ne sont pas trop élevées. Et si vous culpabilisez excessivement, au point de vous détester, posez-vous la question : « Serais-je aussi sévère envers mon meilleur ami ? » Faire preuve de bienveillance et d’indulgence envers soi-même, ça s’apprend ! Vous avez commis une erreur ? Se flageller et ruminer est inutile : faites plutôt en sorte de la réparer pour pouvoir tourner la page sur cet épisode.

En somme, il est impossible de tout contrôler, mais on peut trouver des stratégies efficaces pour mieux gérer ce désagréable sentiment de culpabilité. Pour obtenir de l’aide personnalisée, n’hésitez pas à consulter un professionnel de la santé mentale.

Défi Ose entreprendre HSF

23e édition du défi OSEntreprendre : Des entreprises du Haut se démarquent

Récompensées dans le cadre de la 23e édition du défi OSEntreprendre, deux jeunes entreprises de la MRC du Haut-Saint-François, Les Urnes et la Ferme d’ORée se démarquent en remportant la finale régionale. L’initiative vise à faire rayonner des entrepreneurs inspirants qui sont passés à l’action.
En raison de la pandémie et des règles sanitaires, la cérémonie a eu lieu en plein air, à la gare de Sherbrooke, en présence des lauréats et de quelques partenaires. Pour l’occasion, 16 prix ont été remis aux entreprises s’étant démarquées par la qualité de leur projet, leur créativité et leurs valeurs, explique Isabelle Lodge, responsable régionale. Des bourses totalisant près de 25 000 $ ont été décernées à ces nouveaux entrepreneurs.

Gagnante de la catégorie Exploitation, transformation, productions, l’entreprise Les Urnes, située à Bury, est spécialisée dans la création d’urnes funéraires uniques et de grande qualité. Chaque pièce en bois est fabriquée à la main dans le respect de sa vocation. « Nous croyons très fort en notre projet et de réaliser que d’autres y croient aussi, c’est une belle tape dans le dos. Nous sommes amoureux de notre petit coin de pays et de pouvoir y rayonner nous fait chaud au cœur », expriment Émilie Dostie et Julien Dubé, propriétaires. De son côté, la Ferme d’ORée, située à Newport, a remporté le Volet Réussite Inc. L’entreprise produit et vend du bœuf nourri à l’herbe, de l’agneau, des œufs, du porc de pâturage, du miel non pasteurisé et des paniers de légumes certifiés biologiques directement aux consommateurs et aux bouchers spécialisés. En remportant la finale régionale, la ferme de Newport s’est mérité une bourse de 7500 $ qui permettra aux propriétaires d’installer une autre chambre froide et d’embaucher un troisième employé. « Et nous n’oublierons pas nos employés qui sont en grande partie responsables pour la réussite », expriment Gert Janssens et Sarah Hui, propriétaires de l’entreprise.
Le défi OSEntreprendre présente également un volet scolaire qui a pour but de faire rayonner des étudiants inspirants qui sont passés à l’action. Le projet Les produits des FabriCOEURs, de l’école du Parchemin à East Angus, a remporté la catégorie primaire 1er cycle se méritant ainsi une bourse de 500 $. Pour Stephen Cabana, le directeur du Service de développement économique de la MRC de Memphrémagog, le défi OSEntreprendre est le tremplin par excellence pour mettre en lumière ce qui se fait de beau dans la région. Les remises de prix ont eu lieu directement dans les établissements scolaires en respectant les bulles classes. Au total, 10 prix ont été remis, soit des bourses totalisant près de 5 000 $.

Pour la SADC du HSF, qui était responsable de la finale locale, ce défi est un partenariat gagnant entre les milieux de l’éducation et des affaires. L’organisme est également responsable du volet entreprise de la MRC depuis cinq ans. Lors de cette finale, la Maison de répit Le Vire-Vent S.E.N.C, de Weedon, et Les Urnes s’étaient démarquées, remportant respectivement des bourses de 1000 $ et 500 $. « C’est un coup de pouce qui nous aide à nous propulser vers l’avant et à mieux répondre aux besoins de notre clientèle. Avec la situation actuelle, tout le monde est appelé à relever des défis et à voir les choses sous un angle nouveau. On continue à innover et développer des alternatives pour que les personnes handicapées et leurs proches puissent prendre une bouffée d’air », exprime Guylaine Morin, responsable de la maison de répit. Un troisième prix avait également été offert par le jury à Médiation Haut-Saint-François qui s’est mérité une bourse de 300 $.

OSEntreprendre est un mouvement québécois qui fait rayonner les initiatives entrepreneuriales des milliers de participants annuellement. Pour sa mise en œuvre, plus de 350 responsables se mobilisent dans les 17 régions du Québec afin de mettre en lumière les projets issus de leur milieu.

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Motivation scolaire : Alloprof lance des outils techno stimulants pour les élèves et leurs parents

Alloprof mise sur la motivation en lançant de nouveaux outils pédagogiques, notamment une minuterie pour les devoirs, le jeu Potager en péril ainsi que le jeu de chimie Réaction solitaire. Chacun vise à soutenir l’apprentissage des élèves du primaire et du secondaire ainsi qu’à faciliter la vie des parents. L’organisme propose aussi de nouvelles ressources couvrant les programmes d’éducation financière et de monde contemporain de 5e secondaire.

« Les nouveautés que nous annonçons aujourd’hui s’inscrivent particulièrement bien avec l’arrivée du temps doux et le contexte actuel, qui découragent parfois les élèves à faire leurs devoirs et à réaliser pleinement des apprentissages clés », explique Marc-Antoine Tanguay, porte-parole et directeur de la stratégie d’Alloprof, en précisant que des outils pour aider à la préparation des examens seront également lancés à la mi-mai.

Une minuterie motivante pour les élèves du primaire

Conçue pour plaire aux enfants et faciliter la vie des parents, la Minuterie motivante [alloprof.qc.ca/fr/eleves/bv/jeux/minuterie-motivante] a pour but de transformer la période de devoirs et leçons en compte à rebours exaltant. Personnalisable, l’application disponible sur le site d’Alloprof et dans les boutiques d’applications permet de diviser le temps de travail par matière en fonction des attentes de l’enseignant, de la routine familiale et des besoins de l’enfant. Ce dernier peut choisir le thème de sa session d’étude, comme une fusée qui décolle ou un bateau qui navigue, ainsi que les récompenses (incluant des jeux et des vidéos proposant de courts exercices physiques amusants) liées à l’accomplissement de chaque tâche. « L’outil encourage le développement d’habiletés qui soutiennent le travail scolaire : prendre conscience du temps qui passe, estimer la durée d’une tâche, organiser son travail, anticiper la tâche suivante, retrouver son calme ou se sentir fier de la tâche réalisée. La Minuterie répond à un besoin manifesté par de nombreuses familles qui font appel à Alloprof », résume M. Tanguay.

Potager en péril : jouer pour réviser ses classes de mots au primaire
Potager en péril [alloprof.qc.ca/fr/eleves/bv/jeux/potager-en-peril] est un jeu pour aider les élèves de 4e, 5e et 6e année à réviser les classes de mots (appelées natures des mots en grammaire traditionnelle). Le joueur incarne une petite carotte qui entreprend une quête pour sauver son potager en mettant la main sur des noms, des déterminants, des verbes, etc. Plus elle a de succès, plus elle obtient de costumes amusants et peut combattre des monstres. « Les réactions des élèves qui l’ont essayé sont tellement positives qu’on pense que ce jeu sera l’un des plus populaires jamais lancés par Alloprof, comme Fin Lapin », se réjouit le porte-parole.

Réaction solitaire : coup de pouce pour un apprentissage essentiel en 4e secondaire
Alloprof lance également un nouvel outil pour les ados. Réaction solitaire [alloprof.qc.ca/fr/eleves/bv/jeux/reaction-solitaire] est un jeu de survie pour réviser le balancement d’équations chimiques, une notion clé de 4e secondaire en sciences et technologies qui fait l’objet de beaucoup de demandes chez Alloprof. Prisonnier sur une ile déserte dangereuse, le joueur doit résoudre des énigmes à l’aide du balancement des équations chimiques pour récolter les objets qui lui permettront de s’évader.

Plus de ressources pour les 5e secondaire : éducation financière et monde contemporain

Pour appuyer les élèves de 5e secondaire, l’organisme a également mis en ligne une centaine de fiches pédagogiques qui couvrent la totalité des programmes d’éducation financière et de monde contemporain. Pour présenter ces enjeux complexes, les fiches regorgent d’explications, d’exemples, de définitions simples, de cartes géographiques faites sur mesure, de tableaux, de schémas, etc.

Encore plus de soutien à venir
Rappelons qu’en janvier, Alloprof a annoncé une augmentation de son offre pour soutenir les élèves grâce à un investissement du ministère de l’Éducation. Depuis, l’organisme est ouvert les dimanches, a doublé son nombre d’enseignants et a lancé une Zone d’entraide et un service de clavardage. Des mini-récupérations (appelées MiniRécups) seront lancées à la mi-mai pour aider les élèves du secondaire à consolider les apprentissages prioritaires en vue des examens de fin d’année.

À propos d’Alloprof

Alloprof engage les élèves du Québec et leurs parents dans la réussite éducative en leur offrant gratuitement des services de soutien scolaire professionnels et stimulants. Cette année, l’organisme aura aidé plus de 700 000 élèves et parents. L’organisme est soutenu par de nombreux et généreux partenaires, dont le gouvernement du Québec, Rio Tinto, la Fondation familiale Trottier, la Fondation Desjardins, la Fondation de la famille Pathy, la Fondation Énergie Valero, la Banque Nationale, RBC Banque Royale, la Caisse de dépôt et placement du Québec, la Fondation Préfontaine-Hushion, Rogers, SNC-Lavalin, Télé-Québec, Hydro-Québec et Ubisoft.

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