Sylvie Lapointe

Manquement en déontologie : Sylvie Lapointe comparaîtra le 25 octobre

La mairesse de Cookshire-Eaton, Sylvie Lapointe, mentionne avoir commis les gestes qu’on lui reproche en toute bonne foi.

La mairesse de Cookshire-Eaton, Sylvie Lapointe, s’apprête à se présenter devant la Commission municipale du Québec (CMQ) du 25 au 28 octobre pour faire face à un manquement de règles en déontologie qui serait survenu à au moins 21 reprises entre le printemps 2019 et avril dernier. Sans prétendre qu’il y a eu faute, Mme Lapointe mentionne avoir agi en toute bonne foi.
Des 21 manquements retenus par la CMQ, 17 seraient reliés pour des conflits d’intérêts au moment où Mme Lapointe occupait le poste de directrice générale du Manoir de L’EAU VIVE concernant des décisions ou des discussions entourant le projet d’agrandissement de l’établissement pour personnes aînées. On lui reproche également d’avoir utilisé les ressources de la Ville à quatre reprises au bénéfice du Manoir de L’EAU VIVE.
« On travaille avec notre cœur, notre énergie, nos trippes, j’ai rien à me reprocher », d’exclamer Mme Lapointe. Pour les rencontres reprochées, la mairesse mentionne y avoir assisté en précisant n’avoir jamais participé à une prise de décision et s’être retirée par la suite. Quant aux services sollicités par des employés de la ville, elle mentionne avoir commis cet impair de bonne foi. « On essayait de rentrer un four de 600 livres. J’ai demandé l’aide au voisin d’en face et on n’était pas capable. Quand j’ai vu les employés municipaux, je leur ai demandé de nous aider. Pour moi, c’est de l’entraide », précise la mairesse.
En pleine campagne électorale, Mme Lapointe est bien consciente que la situation risque de lui porter préjudice. « Oui, probablement ça va nuire, mais j’ai confiance aux gens qui vont voter pour le mieux. Je pense que pendant quatre ans, j’ai fait mes preuves avec beaucoup de projets qui ont été mis à terme. »

Tâches-extérieur.

10 tâches à réaliser à l’extérieur avant l’hiver

Au Québec, l’hiver a deux visages : celui des jolis flocons et des activités en famille, et celui des violentes tempêtes qui mettent nos nerfs et nos maisons à rude épreuve ! Cet automne, assurez-vous de préparer l’extérieur de votre demeure et votre terrain contre les caprices de dame Nature.

  1. Nettoyez les gouttières : brindilles, feuilles mortes et compagnie peuvent obstruer vos gouttières et empêcher l’écoulement de l’eau. Veillez à bien les vider pour éviter les mauvaises surprises.
  2. Inspectez et réparez la toiture : y a-t-il des bardeaux fendus, manquants ou retroussés ? Présence de mousse végétale ou de parasites ? Absence de gravier dans certaines zones ou déchirures dans la membrane (s’il s’agit d’un toit plat) ? Si oui, voyez-y !
  3. Ramonez la cheminée : des dépôts accumulés sur les parois internes peuvent s’enflammer. Un ramonage en profondeur est de mise pour prévenir un incendie !
  4. Colmatez les fissures des murs et des fondations : vous avez tout à gagner à réparer sans tarder les craquelures dans les fondations et les murs pour protéger votre maison et éviter de coûteuses réparations !
  5. Fermez la piscine : vidanger une partie de l’eau, nettoyer le filtreur, installer une toile… faites le nécessaire pour que votre piscine résiste à l’hiver !
  6. Dégagez les margelles : pour éviter les débordements et d’autres problèmes, retirez les débris et assurez-vous que le drain est fonctionnel.
  7. Installez des grilles sur les évents : si ce n’est déjà fait, posez des grillages robustes sur vos évents. Ainsi, votre demeure ne deviendra pas un abri pour de petites bestioles à la recherche de chaleur.
  8. Protégez les arbustes : enveloppez vos précieux végétaux dans une toile de protection (ex. : en jute ou en géotextile).
  9. Taillez ou élaguez les arbres et les haies : des branches lourdes menacent de tomber sur votre toit ? La haie atteint des sommets vertigineux ? C’est le moment de leur offrir une bonne coupe !
  10. Rangez les meubles et accessoires de jardin : brouette, chaises en rotin, arrosoirs, barbecue… mettez tout cela à l’abri des intempéries !
    Pour des résultats à la hauteur, faites confiance aux professionnels (couvreurs, ramoneurs, élagueurs, etc.) de votre région.
Accueillir-lhiver

L’hiver approche : votre maison est-elle prête à l’accueillir ?

Avec la saison froide qui approche à grands pas, vous devez vous assurer de préparer adéquatement votre propriété pour y faire face ! Voici donc un rappel des principales tâches à inscrire et à cocher sur votre liste cet automne.
Entretenir le système de chauffage : peu importe votre système et vos appareils de chauffage (ex. : plinthes électriques, foyer aux granules, fournaise), il est essentiel de veiller à les inspecter, à les nettoyer et à les entretenir, idéalement en faisant appel à un professionnel.
Assurer l’étanchéité des portes et des fenêtres : enlevez les moustiquaires de vos fenêtres et vérifiez si vos cadrages laissent passer de l’air. Si oui, calfeutrez-les à l’aide d’un produit adéquat ou recouvrez-les d’une pellicule de plastique. Voyez également si les coupe-froid de vos portes sont en bon état; remplacez-les au besoin.
Nettoyer et ranger les climatiseurs : retirez vos climatiseurs portatifs des fenêtres, nettoyez leur filtre et entreposez-les dans un endroit à l’abri de la saleté et des intempéries.
Dépoussiérer les conduits d’aération : ôtez les grilles des conduits d’air et passez l’aspirateur pour éliminer un maximum de débris accumulés.

Vérifier les détecteurs de fumée et de monoxyde de carbone : que vous chauffiez votre propriété au bois ou non, il est essentiel d’avoir des détecteurs en quantité suffisante et en bonne condition (remplacez les piles au besoin). Profitez également de l’occasion pour examiner vos extincteurs portatifs.
En réalisant ces quelques tâches, non seulement vous réduirez les pertes de chaleur, mais vous respirerez un air plus sain !

DG de la COOP de La Patrie

Coop La Patrie : Un nouveau DG en poste

David Martins, nouveau DG de la Coop La Patrie.

La Coop La Patrie a maintenant un nouveau DG. Originaire de France, David Martins jouit d’une vaste expérience dans le secteur du commerce de détail. Il la mettra à profit avec l’appui du CA et la collaboration des employés. M. Martins saura mener la barque vers l’atteinte des objectifs établis. Le directeur général aura notamment le mandat de rehausser l’offre de services tout en optimisant l’ensemble des activités. Il souhaite valoriser le travail d’équipe. Sa famille et lui ont emménagé dans la région à la mi-septembre. Conscient du défi à relever, M. Martins se réjouit de s’installer au Québec, un rêve qu’ensemble ils caressaient depuis des années, confiait-il.

Foret hantée

Forêt hantée à East Angus : Remplacée par autre chose

Une activité surprise s’ajoutera au sentier des citrouilles.

Les adeptes de la Forêt hantée de Freddy Angus devront patienter une autre année avant de déambuler dans la forêt peu recommandable en période d’Halloween. En raison des mesures sanitaires qui auraient été pratiquement impossibles à respecter, la municipalité a convenu d’annuler l’événement et le remplacer par un autre qui se déroulera le 31 octobre de 15 h à 19 h, sur le site du bureau de poste à East Angus.
David Fournier, directeur général de la municipalité, mentionne que l’événement de la Forêt hantée s’étale sur une durée de 2 h 30 et attire en moyenne entre 1 500 et 2 000 visiteurs. « On se disait que c’était impossible de faire respecter les consignes sanitaires. C’est vraiment dans cette optique-là que le conseil a décidé de reporter ça en 2022. » Il aurait été difficile de gérer cette affluence dans une si courte période, d’expliquer M. Fournier.
L’année dernière, l’activité avait été remplacée par le sentier de citrouilles aménagé sur le terrain du bureau de poste. Il en sera de même cette année. Le sentier des citrouilles sera réalisé avec la participation de l’école du Parchemin. Les enfants auront la chance d’obtenir des friandises au cours de cette activité organisée en collaboration avec la Maison des jeunes Actimaje, des bénévoles et la Ville de East Angus. M. Fournier précise qu’une activité surprise sera dévoilée ultérieurement par le biais des réseaux sociaux et du site internet de la municipalité.
Le directeur général ajoute que la municipalité s’implique déjà à l’activité Halloween en remettant quelques 500 citrouilles aux élèves des deux pavillons de l’école du Parchemin pour permettre aux élèves de décorer. Certaines d’entre elles se retrouveront à l’intérieur du sentier des citrouilles.

Chantale Ouellet

Passerelle Chantal-Ouellet pour l’ancienne mairesse de Scotstown

Chantal Ouellet, ancienne mairesse de Scotstown, devant la passerelle et le panneau nominatif érigé en son nom pour tout le travail réalisé lors de ses nombreux mandats.

Un spectaculaire hommage a été rendu le 2 octobre dernier à Chantal Ouellet pour l’ensemble de son œuvre tant dans la municipalité de Scotstown, que dans la MRC du Haut-Saint-François, et dont le rayonnement, par son exemple, déborde sur les rives de la politique provinciale. Le conseil municipal a baptisé en son honneur, la passerelle du parc Walter-MacKenzie, Passerelle Chantal-Ouellet. Celle-ci chevauche la rivière au Saumon et donne accès au parc national du Mont-Mégantic, secteur Franceville. Nombreux sont les randonneurs et les cyclistes qui visitent ce secteur qui comprend le Marécage des Scots. Arrivée en 1976, elle devient en 1978, un « modèle de détermination [qui] a brisé le plafond de verre en devenant la première femme à remporter la mairie. Elle aura démontré qu’il est possible pour une femme de “prendre sa place” en politique municipale », insiste sur le sujet, le communiqué de presse. Impliquée dans beaucoup de dossiers locaux et régionaux, on lui doit le développement de nombreuses infrastructures, dont tout ce qui concerne celles de l’Observatoire du Mont-Mégantic, des parcs, secteurs Notre-Dame-des-Bois et Franceville, du Massif Mégantic, du parc Walter-MacKenzie, de la réserve écologique Samuel-Brisson, etc. Sa détermination a contribué au « Ceilidh (bal traditionnel écossais) pour rassembler anglophones et francophones dans le cadre du 125e anniversaire de la ville », y était-il aussi mentionné. Elle a reçu plusieurs récompenses, dont les prix Elsie-Gibbons, Ann MacLean et le Mérite estrien. « Le fait que ça [Passerelle Chantal-Ouellet] vienne de mes pairs et des concitoyens, c’est tellement le fun pour moi, ça couronne des années d’efforts, de travail sans découragement, ça prend des années à faire du développement », déclare Mme Ouellet. Et elle ajoute : « Je suis touchée et heureuse que Scotstown ait pensé de m’offrir cette récompense pour le travail autour du mont Mégantic. »

Exposition de photos à East Angus

5e édition de l’exposition de photos à East Angus

Nathalie Laplante, photographe-exposante et organisatrice de la 5e édition de l’exposition de photos dans l’optique des Journées de la culture, recevait les invités passionnés de clichés qui souhaitaient découvrir ou redécouvrir les talents d’artistes du Haut-Saint-François. Lors de notre passage, la mairesse, Lyne Boulanger, et le préfet, Robert Roy, discutaient avec les chasseurs d’images animaliers, portraitistes, sportifs et de composition. Gaston Tardif, premier photographe professionnel de la ville, était présent à titre posthume. Alain Coulombe, bien connu en région, s’est fait un devoir d’exposer quelques œuvres de son mentor. Participaient aussi à la Journée : Nathalie Laplante, Martin St-Laurent, Thérèse Roy, Claude Roussel, de Sherbrooke, Guy St-Onge, Hope Laplante-St-Laurent et Bianka Moore. On retrouve dans l’ordre, Nathalie Laplante, Martin St-Laurent, Thérèse Roy, Alain Coulombe, Guy St-Onge et Bianka Moore.

Journées de la culture à Chartierville

Les Journées de la culture : Diverses activités sur le territoire

Les visiteurs ont apprécié l’originalité et la beauté du sentier Les balais de sorcières à Chartierville.

Différents secteurs du Haut-Saint-François, Chartierville, Dudswell et East Angus ont vibré au rythme de la culture dans le cadre de la récente fin de semaine qui y était dédiée. Les Journées de la culture, à Dudswell et son agglomération Bishopton, ont généré beaucoup d’activités. À l’église Saint-Clément, entre autres, l’AFÉAS de l’endroit avait monté une exposition de photos et de peintures, réalisation de quelques-unes de leurs 22 membres. Arlette Langlois et Chantal Fortier présentaient leurs toiles. Denis Braun s’est joint à elles. La photographe Domenika Guzzo, présidente de l’organisme, y avait accroché les siennes. Mme Guzzo expliquait que leur association s’intéressait au travail invisible, aux soins à apporter aux personnes âgées. L’équité salariale retenait aussi leur attention.
Envolée de colombes
Pour souligner ces journées dont le thème se déclinait sous la formule Voyager dans le temps, Yourly Gagnon, responsable, a procédé à une envolée de colombes provenant de l’éleveur Réjean Cloutier de la ferme CloDel. Marjolaine Larocque, conseillère et secrétaire-trésorière de l’AFÉAS, justifiait le choix de cette activité par la symbolique de l’oiseau. Elle rappelait que cette tourterelle blanche avait été utilisée dans l’arche de Noé pour signaler la présence de la terre ferme. Chez les Grecs de l’Antiquité, elle avait sa place auprès de Zeus et Aphrodite. Ces volatiles grégaires forment un couple fidèle, proche de sa progéniture qui retrouve toujours son nid. Ils symbolisent la paix et la réconciliation. Pour les Autochtones, ils servaient à transmettre un message d’amour à l’élu. e.
Tour de chant
La voix douce de Madeleine Royer et son charisme ont su rendre à merveille les poèmes et les chansons francophones d’auteurs français et québécois. Gilbert Langelier, Félix Leclerc, Gilles Vigneault, Claude Léveillée, Georges Dor, Jean-Pierre Ferland et Pierre Calvé, pour ne nommer que ceux-là, ont trouvé en elle une interprète de grand talent. Accompagnée au clavier par Réjean Leblanc, elle a rappelé à plusieurs de bons moments de leur jeunesse. Chansons engagées, thèmes plus poétiques, mélodies plus légères ont été chaudement applaudis.
Des réguines et des fantômes 
Les enquêtes sur le Chemin des Cantons ont ressuscité des étapes importantes, tragiques, comiques, illégales même, dans la vie des habitants du XVIIIe et XIXe siècle. Ils y ont ancré leur destinée et celle de leurs enfants, petits-enfants, arrière-petits-enfants, jusqu’à une 9e et une 10e génération, le long de cette route touristique. Magistralement interprétée par Sophie Toutant-Paradis, Rose-Anne Girard et Alexandre Leclerc, la pièce a réveillé des fantômes qui y ont élu domicile. Servant de prétexte à rappeler des anecdotes du passé et à réintroduire dans la souvenance populaire les outils et les éphémérides d’autrefois, les comédiens ont joué les temps de jadis naguère.
Collection Louis-Émile- Beauregard
Pendant ce temps, dans l’église Saint-Clément, les visiteurs pouvaient admirer les miniatures représentant de l’outillage et des véhicules utilisés pour le travail. «Gossés» avec passion par Louis-Émile Beauregard quand il était maître de poste, ces chefs-d’œuvre contribuent à rappeler combien ingénieux étaient les ancêtres.
La municipalité de Dudswell aménage un parc pour évoquer l’importance d’Éva Tanguay, originaire du village. Vedette de cabaret, son art a franchi les deux frontières.
Chartierville
Du côté de Chartierville, le sentier Les balais de sorcières revenait pour une deuxième édition consécutive. Son concepteur et artiste, Claude Sévigny, a aménagé, dans son boisé privé, un sentier d’un demi-kilomètre des plus originaux, où on y retrouvait de quoi faire écarquiller les yeux des visiteurs et simuler leurs sens.
Outre les œuvres de M. Sévigny, on y retrouvait également des sculptures de trois autres artistes soit Angèle Rivest, Oscar Bajofer et Francine Mercier. À cela s’ajoutaient des écrits de Jerry Espada, accrochés par des cordes sous les arbres. Le parcours était jonché d’une cinquantaine de balais de sorcière et de masques peints par les jeunes participants à la récente journée d’astronomie.
Bien qu’il aurait souhaité davantage de visiteurs, M. Sévigny est tout de même satisfait, mentionnant au passage que le sentier est en développement. D’autres facettes artistiques pourraient s’ajouter au fil des années. Il songe, entre autres, à construire un gazebo pour y abriter des musiciens qui pourraient faire une prestation musicale. M. Sévigny souhaite travailler à consolider le circuit et à en faire un attrait touristique au cours de la période estivale.

Balade des clochers

Balade des clochers : Un arrêt à La Patrie

L’église Saint-Pierre à La Patrie mérite un arrêt.

La Balade des clochers sera de retour pour une 3e édition. L’événement touristique de l’archidiocèse de Sherbrooke se déroulera le 16 et 17 octobre. L’activité permettra à quatre églises de mettre en valeur leurs richesses, dont l’église Saint-Pierre à La Patrie.
Sans la ténacité des paroissiens, l’église érigée entre 1907 et 1908 ne serait peut-être plus accessible aujourd’hui. En 2018, des problèmes à la structure ont forcé la fermeture du bâtiment. Les paroissiens ont dû consacrer une année entière aux travaux de réfection nécessaires à la survie de leur église. C’est dans un esprit de collaboration que les portes ont été rouvertes en février 2019.
L’intérieur propose une véritable leçon de catéchisme, où plusieurs symboles y évoquent la foi catholique. Au plafond, on remarque, entre autres, l’Agneau de Dieu, des tablettes des Dix commandements et le Sacré-Cœur. Le nombre et le positionnement des colonnes ont aussi leur signification.
Dans le chœur, le majestueux maître-autel dévoile dignement ses dorures. Sur celui-ci, on peut y voir les emblèmes du Vatican qui rendent hommage à saint Pierre ainsi que la mère pélican. Cet animal, qui se saigne pour nourrir ses petits, est le symbole du sacrifice du corps et du sang de Jésus pour sauver l’humanité. Les bancs, la chaire, les autels latéraux ainsi que les nombreuses boiseries reflètent l’importance de l’industrie forestière de la région. Malgré les changements entrepris par le Vatican dans les années 1960, l’église conserve son aspect traditionnel. La balustrade, qui sépare le chœur de la nef, est encore en place tandis que la chaire, où le curé prononçait ses sermons, trône toujours.
Les autres églises sont Saint-Denis-de-Brompton, Sainte-Agnès à Lac-Mégantic et le Sanctuaire de Beauvoir à Sherbrooke.

Hotel de ville de Bury

Nouvel hôtel de ville à Bury

On retrouve dans l’ordre habituel, Walter Dougherty, maire, Daniel Lamoureux, directeur général de la Caisse Desjardins du Haut-Saint-François, Yves Veilleux, administrateur, et Rémi Vachon, président du conseil d’administration de l’institution financière.

Les citoyens de Bury profitent depuis juillet dernier d’un nouveau bureau municipal, l’Édifice Desjardins, où le travail s’exécute dans un meilleur climat. Une vingtaine de personnes de tous horizons ont pu visiter les lieux. Yves Veilleux, administrateur de la Caisse du Haut-Saint-François, s’est adressé à eux pour en souligner l’inauguration.
« À la suite de la fermeture du centre de service en janvier dernier, la Caisse Desjardins du Haut-Saint-François a pris la décision d’offrir son bâtiment et ses installations à la municipalité de Bury », confiait-il. Walter Dougherty, maire, a souligné la facilité avec laquelle s’est effectué le transfert de propriété.
Il s’est empressé de remercier officiellement les représentants de l’institution. Reconnaissant l’importance du don, il a souligné que le travail des employés s’en trouverait amélioré parce que chacun y utilise un endroit plus adéquat pour œuvrer aux bonnes destinées du village de quelque 3 000 habitants. Pour Louise Brière, DG, la municipalité va y gagner du temps en regroupant au même endroit tous les documents. La mise à jour et l’achat de plusieurs équipements techniques accélèreront le traitement des informations.
M. Dougherty a rappelé aux invités que gérer une localité s’avère de plus en plus complexe. Il racontait qu’anciennement, un maire pouvait en peu de temps proposer des solutions pour tout faire fonctionner correctement. Aujourd’hui, il faut une solide équipe de travailleurs et un conseil compétent pour y arriver.
Le fait de regrouper les services dans l’Édifice Desjardins, situé au 528, rue Main, dégage des espaces supplémentaires dans l’ancien hôtel de ville pour agrandir la bibliothèque et créer d’autres lieux où la culture, l’art et des activités collectives pourront se réaliser dans un meilleur contexte, reconnaît le maire.

Inspectez-votre-véhicule

4 composantes de votre véhicule à faire inspecter en prévision de l’hiver

L’hiver en fera assurément voir de toutes les couleurs à votre voiture. Pour que celle-ci soit prête à affronter le froid et les intempéries et qu’elle ne vous laisse donc pas tomber au pire moment !, quelques vérifications, dont les quatre suivantes, s’imposent l’automne venu.

  1. Les pneus
    Non seulement vos pneus doivent être en bon état afin d’assurer votre sécurité, mais ils doivent être correctement gonflés, sans quoi l’adhérence de votre véhicule en souffrira de même que votre portefeuille et l’environnement, puisqu’une pression inadéquate augmente la consommation d’essence.
  2. Les phares
    Pour maximiser la visibilité au cours d’une tempête ou lorsque les conditions routières sont particulièrement salissantes, par exemple, il est bien sûr essentiel de mi­ser sur des essuie-glaces conçus pour l’hiver. Or, il est tout aussi primordial de pouvoir compter sur des phares pleinement efficaces. Vérifiez les vôtres et faites-les polir au besoin.
  3. Le filtre de l’habitacle
    En hiver, avec les taux d’humidité qui varient rapidement à l’intérieur du véhicule, la qualité de l’air que vous y respirez dépend en grande partie de cette pièce fort utile. Comme tous les filtres, celui-ci finit par s’encrasser et doit ainsi être remplacé environ tous les deux ans.
  4. La batterie
    Rien de plus frustrant qu’une auto qui refuse de démarrer par un glacial matin pressé ! Pour éviter les surprises désagréables, faites donc contrôler votre batterie par un expert avant l’arrivée des grands froids.
    Bougies, suspension, freins, courroies, niveau des divers liquides, thermostat, moteur… pour une inspection préhivernale complète, prenez rendez-vous avec un professionnel de votre région !
Remisage-hivernal

Remisage hivernal : 4 erreurs à ne pas commettre

Vous possédez une voiture de collection ou peu adaptée aux conditions hivernales et souhaitez la remiser pour la saison froide ? Voici quelques-unes des erreurs à éviter au moment de procéder à cette tâche :

  1. Choisir un emplacement inadéquat : si vous voulez retrouver votre véhicule en bon état au printemps et le conserver longtemps !, vous ne pouvez pas l’entreposer n’importe où. En effet, un sol en terre ou un terrain gazonné, par exemple, entraîneront énormément d’humidité, laquelle est très néfaste pour votre précieuse voiture. L’idéal est de stationner celle-ci dans un endroit sec, tempéré et bien ventilé, comme un garage.
  2. Laisser le réservoir d’essence vide : pour éviter la formation de condensation, et donc, l’apparition de rouille, veillez à ce que le réservoir de carburant soit plein au moins aux trois quarts lors du remisage. De plus, pensez à y ajouter un stabilisateur d’essence pour faciliter le démarrage au retour des beaux jours.
  3. Négliger le lavage : un bon nettoyage en profondeur, y compris sous le véhicule, est indispensable pour déloger la poussière et les saletés favorisant la corrosion. N’oubliez toutefois pas de bien assécher le tout, sans quoi l’humidité s’installera. Faites également le ménage de l’habitacle pour prévenir les mauvaises odeurs.
  4. Omettre d’aviser la SAAQ et votre assureur : si vous n’officialisez pas le remisage auprès de la Société d’assurance automobile du Québec, vous paierez inutilement votre certificat d’immatriculation pour les mois durant lesquels vous ne vous servez pas de votre voiture. De même, votre prime d’assurance devrait normalement être revue à la baisse si vous ne roulez pas… à condition que vous pensiez à en informer vo­tre assureur !
Déneigement-101

Automobile : Déneigement efficace 101

Le déneigement complet de votre véhicule est essentiel pour bien voir la route, ses usagers et les divers obstacles qui s’y trouvent. Il permet en outre d’éviter que des plaques de neige ou de glace s’envolent soudainement et soient projetées dans le pare-brise du conducteur derrière vous, par exemple. Si vous n’avez pas la chance de pouvoir vous stationner dans un abri, voici quelques conseils pour vous faciliter la vie !
Outils adéquats
Un balai à neige digne de ce nom est essentiel pour ne pas enrager après chaque tempête. Ainsi, non seulement celui-ci doit être robuste, mais il doit convenir aux dimensions de votre véhicule et à votre grandeur ! Par exemple, un modèle télescopique est tout sauf un luxe si vous conduisez une fourgonnette ou que vous êtes plutôt de petite taille. Portez également attention à la largeur de la brosse si vous possédez une voiture imposante.
Par ailleurs, munissez-vous d’un grattoir offrant une bonne prise en main ainsi que d’une pelle, surtout si vous vous garez en bordure de rue. Pensez aussi à remplir votre réservoir d’un liquide lave-glace conçu pour les températures extrêmes, lequel préviendra la formation de gi­vre dans votre pare-brise pendant vos déplacements.
Technique idéale
Avant de démarrer pour activer le système de dégivrage, dégagez le tuyau d’échappement pour empêcher l’accumulation de monoxyde de carbone dans l’habitacle. Procédez ensuite de haut en bas, soit en commençant par le toit pour finir par les côtés. Ne négligez aucun détail : tout, du pare-brise à la plaque d’immatriculation, en passant par les phares et les rétroviseurs latéraux, doit être déneigé.
En cas de gel dans les vitres, recourez au grattoir, mais n’utilisez jamais celui-ci sur la carrosserie, sans quoi vous pourriez abîmer la peinture. Enfin, pensez à libérer vos pneus de la neige durcie, le cas échéant, afin que celle-ci ne nuise pas à la mobilité des roues. Songez en outre que la friction pourrait entraîner l’usure prématurée de vos pneus.
Un conseil en terminant : dame Nature étant imprévisi­ble, mieux vaut vous laisser une certaine marge de manœuvre dans votre routine matinale pour avoir le temps de déneiger votre véhicule sans sauter d’étapes. Après tout, votre sécurité et celle des autres en dépendent !

Préparez-votre-voiture-pour-lhiver

7 conseils pour préparer sa voiture pour l’hiver

Pour affronter les rigueurs de nos hivers sur la route, mieux vaut être bien préparé. Voici donc quelques conseils pour que votre véhicule soit fin prêt :

  1. Recouvrez les éclats de peinture, même les plus petits, pour prévenir la corrosion. Procurez-vous la peinture de la couleur correspondant à votre véhicule auprès de votre mécanicien ou de votre concessionnaire.
  2. Vérifiez que votre trousse d’urgence est complète (pelle, câbles de démarrage, eau, fusées éclairantes, allumettes, plaques d’adhérence, lampe de poche, tuque et mitaines, couverture de secours, trousse de premiers soins, etc.) afin de parer à toute éventualité. Psitt ! Gardez l’antigel de serrure sur vous, et non dans l’auto !
  3. Faites contrôler votre véhicule (bougies, freins, niveau des différents liquides, chauffe-moteur, etc.) par un professionnel. Vous pourrez ainsi rouler en toute sécurité et l’esprit en paix !
  4. Inspectez votre pare-brise afin de repérer (et de faire réparer, le cas échéant) les éclats dans la vitre, lesquels pourraient se fissurer durant l’hiver en raison du contraste entre les températures à l’extérieur et à l’intérieur de la voiture, notamment.
  5. Installez vos tapis de caoutchouc, non seulement pour protéger ceux en tissu, mais également pour limiter le taux d’humidité dans l’habitacle, lequel « explose » si les tapis en tissu sont imbibés d’eau lorsque la neige fond. Résultat ? De la buée se forme sur les vitres intérieures. Pensez d’ailleurs à bien secouer vos bottes avant de monter à bord.
  6. Prenez rendez-vous, si ce n’est déjà fait, pour un traitement antirouille de qualité qui protégera vo­tre vé­hicule de la corrosion. C’est tout particulièrement important si vous vous stationnez dans un garage chauffé.
  7. Lubrifiez les joints d’étanchéité en caoutchouc des portières à l’aide d’un aérosol de silicone. Cela empêchera les portes de coller lors des grands froids. Du coup, celles-ci s’ouvriront plus facilement, et les joints resteront en bon état plus longtemps.
ACTU-Rachel

WOOLLY BEAR

You know the banded woolly bear caterpillar, don’t you? The one that is covered with short, stiff hair bristles, bands of black bordering a swathe of brown. The one that is said to forecast the severity of the coming winter.
The one that is in charge of the weather station at the airport in Westbury, you say?
Something I did not know was that the banded woolly bear caterpillar is the larval form of the Isabella tiger moth, a beautiful winged creature wearing yellowish-orange and cream-coloured wings spotted with black. The caterpillars hatch in summer and overwinter under bark or inside cavities of rocks or logs. In the spring, they spin fuzzy cocoons and transform inside them into moths.
I found this information at almanac.com, the Old Farmer’s Almanac online. The almanac also says not to worry if you find an all-black woolly caterpillar; it does not mean winter will be endless! All-black or all-white woolly caterpillars are different species, and do not predict the weather.
And yes, a scientist has inquired into whether woolly bear caterpillars really forecast winter weather. That’s how this all started, the idea that the wider the black bands, the more severe winter will be.
In the fall of 1948, Dr. C.H. Curran, curator of insects at the American Museum of Natural History in New York City, travelled north, collected scads of caterpillars, determined the average size of their brown bands, and on that basis, forecast the winter weather for the New York Herald Tribune. Over the next eight years, he and his friends, the Original Society of the Friends of the Woolly Bear, had lots of fun predicting mild winters. But their sample size was small; they didn’t really have evidence of a link between winter weather and the width of the brown band.
Thirty years later, the idea took force, with Woolly Bear Festivals in October in North Carolina, Ohio and probably elsewhere. Sort of like Groundhog Day. All in good fun.
But read on. Mike Peters, an entomologist at the University of Massachusetts says there could indeed be a link between winter severity and the brown band of a woolly bear caterpillar. “There’s evidence,” Peters told the Almanac, “that the number of brown hairs has to do with the age of the caterpillar – in other words, how late it got going in the spring. The [band] does say something about a heavy winter or an early spring. The only thing is… it’s telling you about the previous winter.”
Hmm. The thought occurred to me – could we learn something from the woolly bear? Perhaps that correlation (less brown and severe winter) is not necessarily cause and effect? Or that the effect and cause might be reversed – that harsh winter causes caterpillars to hatch late, and sport more black?
Isn’t science fascinating?
BEING AN ALLY ON PRONOUNS DAY
“Being an Ally: Standing with your LGBTQ2S+ Loved Ones. That’s the topic of an online talk by Dr. Nate Fuks of the Department of Psychology at McGill University, on Wednesday, October 20, at 6:30 p.m. The presentation is hosted by Mental Health Estrie (MHE). It is online, in English, and open to all at no charge.
Emily McBurney of MHE writes, “We invite you to join us on International Pronouns Day (October 20) to further the conversation and increase understanding of the current issues of concern to the LGBTQ2S+ community.” To register, contact Emily at outreach@mentalhealthestrie.com or 819-565-2388. She will send you the zoom link.
Ok, here are some clarifications. “International Pronouns Day seeks to make respecting, sharing, and educating about personal pronouns commonplace. Referring to people by the pronouns they determine for themselves is basic to human dignity. Being referred to by the wrong pronouns particularly affects transgender and gender nonconforming people. Together, we can transform society to celebrate people’s multiple, intersecting identities.”
You can find that explanation at pronounsday.org. The annual Pronouns Day began in 2018, and is the third Wednesday of October.
Now then, what does LGBTQ2S+ stand for? Lesbian-Gay-Bisexual-Transgender-Queer or Questioning-Two-Spirited. The plus-sign signifies a number of other identities; check ok2bme.ca for more information.
COOKSHIRE ART EXHIBIT ENDS SOON
The Cookshire-Eaton Art Gallery exhibition of landscape paintings inspired by the Haut-Saint-François, Le Haut en tableaux by Ginette Djinn Bertrand, Diane Dugal, and John Ward, continues on Sundays only, from 12 to 4 p.m., until November 7, at Victoria Hall, 125 Principale West, Cookshire.
UPDATE ON PLASTIC PASSPORTS
Diane Grenier of the Centre d’action bénévole du Haut-Saint-François tells us the CAB is no longer making plasticized vaccination passport cards. The Quebec government now wants people to contact them directly at 1-877-644-4545 to obtain a wallet-sized card. “The government gave us permission at the start to do this,” she explained. “But they started having problems along the way, so they shut it down and made one direct line for all.” She opined that they should automatically send a card to people after their second vaccination, and I do agree with her.
CHURCHES
United. In-person Sunday services are every two weeks: at-home service on October 17; in-person service at Trinity United, 10 a.m. on October 24; at-home service on October 31. Info: 819-452-3685; spiresta@hotmail.com; or United Eaton Valley Pastoral Charge (Facebook).
Baptist. In-person Sunday services are with Covid-19 protocols in place (distancing; masks can be removed when sitting down; wear masks when singing, etc.). The service is in French at 9 a.m., and in English at 11 a.m. Persons with flu symptoms are asked not to attend services. The pastor’s message is also available on YouTube: For the link, contact Pastor Michel Houle at 819-239-8818.
Anglican. Bishop Bruce Myers continues to offer Home Prayers at 4 p.m., Sundays, on Facebook, and at quebec.anglican.ca (Worship Videos). Info: 819-887-6802, or quebec.anglican.ca.
Do you have news to share? Call 819-300-2374 or email rawrites@gmail.com by October 18 for publication October 27 or by November 1 for November 10.

Pneus d'hiver

Comment choisir ses pneus d’hiver ?

Vous avez besoin de nouveaux pneus d’hiver ? Outre leur dimension, qui doit être adaptée à votre véhicule, les pneus qui vous conviennent dépendent surtout de vos déplacements.
En effet, les pneus à neige sont généralement idéaux pour ceux qui circulent sur des routes où les accumulations de précipitations sont fréquentes et importantes, puisqu’ils offrent une bonne traction dans la neige et évacuent efficacement la gadoue. Pour leur part, les pneus conçus pour la glace sont tout indiqués si vous conduisez abondamment, et notamment sur l’autoroute, où l’asphalte gelé et le verglas sont des conditions courantes.
Vous devez souvent emprunter des chemins secondaires moins bien déneigés, dont certains s’avèrent parfois assez dangereux en hiver ? Vous pourriez envisager l’achat de pneus cloutés. Sachez toutefois que ceux-ci offrent un roulement plutôt bruyant.
Rapport qualité-prix
Le prix donne généralement une bonne indication de la qualité des pneus, laquelle est essentielle pour assurer votre sécurité sur la route. Si vous souhaitez les conserver quelques années, il est donc pertinent de mettre le juste prix pour compter sur un modèle non seulement fiable selon vos besoins, mais aussi durable pensez à surveiller les soldes pour obtenir le meilleur rapport qualité-prix !
Pour dénicher les pneus qu’il vous faut, demandez conseil à un expert de votre région : celui-ci saura répondre à toutes vos questions et vous proposer des produits qui conviennent parfaitement à vos besoins.

Arme à feu

Chasse : 5 critères à considérer pour choisir son arme à feu

Vous souhaitez acquérir votre première arme à feu pour la chasse ou diversifier votre équipement ? Évidemment, pour faire le bon choix, vous devez d’abord définir vos besoins, notamment le type de gibier que vous désirez récolter. Cela fait, gardez en tête ces quelques critères :
Le matériau : règle générale, les armes en bois sont prisées par les chasseurs de gros gibier en raison du contrôle et du confort qu’elles procurent, tandis que les matériaux synthétiques, qui sont durables et se nettoient facilement, font le bonheur des amateurs de sauvagine postés en bordure des cours d’eau, par exemple.
Le poids : selon votre endurance, vous préférerez sans doute une arme légère si vous devez effectuer de longues randonnées en forêt.
La longueur : encore une fois, une arme plus courte peut s’avérer pratique pour marcher. Toutefois, un canon plus long (ex. : 76 cm) est à privilégier pour les tirs à bonne distance.
Le type d’arme et le mécanisme : un fusil semi-automatique est idéal pour la sauvagine, puisqu’il permet de tirer rapidement les trois coups autorisés. Le mécanisme à pompe est quant à lui polyvalent et peut constituer un choix intéressant si vous souhaitez explorer plusieurs avenues.
Le calibre : celui-ci dépend de vos préférences (niveau sonore, disponibilité des munitions, etc.) ainsi que du type de chasse et de gibier. Par exemple, les tirs de longue portée exigent un calibre puissant, mais le chevreuil ne requiert pas un calibre magnum.
Pour prendre une décision éclairée, consultez les conseillers de votre boutique de chasse : ils sauront vous recommander un fusil ou une carabine qui correspond à vos activités, à votre gabarit et à votre expérience, entre autres.

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