Coop des Ruisseaux

Coopérative d’habitation du Ruisseau Weedon : Du rêve à la réalité

Nous apercevons de gauche à droite Jean-Denis Roy, vice-président et Luc Ouellet, président de la Coopérative d’habitation du Ruisseau Weedon, Marie-Lise Bernier-Fillion, comité de sélection, Nicole Bolduc, comité de construction, et Lucienne Gravel, responsable du financement populaire.

Les citoyens du grand Weedon et des environs ont fait un pas de plus vers la construction de la Coopérative d’habitation du Ruisseau Weedon. Citoyens et dignitaires étaient réunis, la semaine dernière, au 225 de la 5e Avenue à Weedon, pour la pelletée de terre officielle marquant le début des travaux évalués à près de 7 M$.
Situé juste devant la Coopérative Moulin des Cèdres, le bâtiment offrira 26 unités dont deux studios, 18 logements 3 ½ et six 4 ½ pour les personnes âgées de 75 ans et plus ou 60 ans et plus avec légère perte d’autonomie. Si tout va comme prévu, estime Luc Ouellet, président de la Coopérative d’habitation du Ruisseau Weedon, les résidents pourraient prendre possession de leur logement au début d’août 2022.
Mobilisation
Le projet amorcé en novembre 2017 par un groupe de femmes composé de Lucienne Gravel, Marie-Lise Bernier-Fillion, Nicole Bolduc et un groupe d’amis démontre une détermination à toute épreuve. « Elles ont eu l’idée de construire un édifice pour personnes âgées, car les gens du village étaient obligés d’aller à l’extérieur pour se trouver un logement. Au cours du projet, se sont greffées d’autres personnes avec le même enthousiasme », d’exprimer M. Ouellet.
Femme de toutes les causes, Mme Gravel a pris la responsabilité, avec succès, de mener à bien la campagne de financement populaire fixée à 225 000 $. Avec son bâton du pèlerin, elle a littéralement frappé à toutes les portes des commerces et places d’affaires du grand Weedon. D’ailleurs, elle a profité du point de presse pour souligner la générosité de quelques donateurs. La municipalité de Weedon arrive en tête de liste, avec le don du terrain, le raccordement des infrastructures et un congé de taxes pendant cinq ans. Le maire, Eugène Gagné, estime que la participation financière de la municipalité s’élève à plus de 650 000 $ en y incluant la contribution de 10 % du supplément du revenu assumé par cette dernière. « Nous sommes allés au bout de ce qu’on pouvait faire. On a fait tout ce qu’on pouvait parce que ça nous tient à cœur, on veut que les aînés restent à Weedon. »
Mme Gravel a souligné la contribution de la Caisse Desjardins du Haut-Saint-François à la hauteur de 40 000 $, des Ambulances Weedon pour leur don de 20 000 $, le Club Lions Weedon qui regroupe 14 membres et Club Lions International pour leur don respectif de 10 000 $, Ameublement BrandSource Sévigny, Déco-Surface pour un montant de 5 100 $ incluant un bon d’achat de 2 500 $ pour des meubles et un crédit de 100 $ pour chaque résident de la coopérative. Weedon Auto fait partie des donateurs avec 5 000 $, le Marché Tradition Weedon avec un montant similaire. Mme Gravel a également souligné l’originalité des restaurateurs du Restaurant des Cantons et Le Moulin pour leur contribution qui a permis d’amasser respectivement 6 300 $ et 4 130 $. Bois Weedon a aussi fait sa part avec un montant de 2 000 $. La responsable du comité a enregistré un succès avec le mur de briques. La vente de 1 174 briques a permis d’amasser plus de 62 000 $. Satisfaite du succès obtenu, Mme Gravel ne dit pas encore mission accomplie. « Je leur ai dit que je garde une porte ouverte jusqu’à l’inauguration. Tout à coup qui arriverait une personne dans deux ou trois semaines qui dise : je voulais donner, j’ai oublié. Je veux m’ouvrir une porte comme ça jusqu’à l’inauguration. À l’inauguration, je lâche », laisse-t-elle tomber.
Outre la générosité du milieu, les deux paliers de gouvernements ont également contribué à la réalisation du projet par une aide financière substantielle de 4,8 M$. De ce montant, la députée de Compton-Stanstead et ministre de l’Agriculture et de l’Agroalimentaire, Marie-Claude Bibeau, a annoncé au nom du ministre fédéral du logement de l’époque, Ahmed Hussen, 2,3 M$ provenant de l’initiative pour la création rapide de logements de la Société canadienne d’hypothèques et de logement (SCHL). Le député de Mégantic, François Jacques, adjoint parlementaire de la ministre des Affaires municipales et de l’Habitation, a rappelé la participation de son gouvernement dans le cadre du programme subvention Accès-Logis Québec de la Société d’habitation du Québec (SHQ). M. Jacques souligne que les futurs locataires de 20 des 26 logements bénéficieront du programme supplément au loyer de la Société d’habitation du Québec « ce qui leur permettra de payer un loyer équivalent à 25 % de leur revenu. » M. Jacques rappelle que sa première rencontre à titre de député de Mégantic a été avec le comité de citoyens. « Il ne faut jamais perdre de vue que se loger est un besoin essentiel et qui peut devenir une très grande source de préoccupation, voire même de stress et de détresse. Votre (comité) dévouement fera donc une très grande différence dans la vie des futurs résidents et de leurs proches. Grâce à ces logements, nos aînés pourront continuer à demeurer ici dans la communauté. »
« La pénurie de logements, c’est une réalité partout au Québec, dans les villes, mais aussi dans les régions. Avoir accès à des logements en région, c’est essentiel à la vitalité de nos communautés. » Mme Bibeau ajoute que pour réaliser ce genre de projet, il faut de la collaboration « et à Weedon, le leadership et la détermination d’un groupe de citoyens ont permis de mobiliser le milieu et de convaincre les investisseurs. »
Pour le président de la coopérative, la pelletée de terre officielle représente la certitude que le projet va se réaliser. « On a la parole du gouvernement fédéral et provincial que ça se fait. Tous les contrats avec l’entrepreneur général (Tijaro) sont signés. Pour nous, ça représente vraiment l’aboutissement de quatre années de travail ».
Mentionnons qu’en tenant compte des subventions au logement, le coût mensuel des unités de logement comprenant électricité, chauffage est de 439,55 $ pour un studio, 562,80 $ pour un 3 ½ et 678,50 $ pour un 4 ½. Cela ne comprend pas les coûts de nourriture et autres services.

coop Weedon

Coopérative d’habitation du Ruisseau Weedon : Plus de 40 personnes à la rencontre d’information

Plus d’une quarantaine de personnes participaient à la récente rencontre d’information.

La Coopérative d’habitation du Ruisseau Weedon passera de projet à réalité. C’est vraisemblablement vers août prochain que les occupants pourront s’installer dans une des 26 unités de logement disponibles. Le projet suscite un vif intérêt auprès de la population puisqu’ils étaient plus d’une quarantaine de personnes réunies récemment au Centre communautaire pour une rencontre d’information pour les futurs membres.
Anne-Marie Nadeau, conseillère à la vie associative et à la formation, ainsi que Marc-André Mailhot, chargé de projet, ont présenté les grandes lignes d’une coopérative pour personnes aînées. On y a abordé différents thèmes comme la participation à la vie coopérative, le contrat de membre, le financement et coûts, présentation des plans du bâtiment et les entrevues de sélection.
Mme Nadeau a survolé différents aspects au cours de la rencontre de plus d’une heure et demie que ce soit le contrat de membre, les formes d’implication, les conditions d’admission et autres. M. Mailhot a enchaîné en abordant des sujets comme les subventions au logement, le prix des loyers et l’avancement des travaux avec les principales étapes à venir.
Deux aspects ont retenu l’attention des gens soit les repas et la forme d’implication au sein de la coopérative. Colette Lamy, directrice générale de l’Aide à domicile du Haut-Saint-François, mentionne que l’organisme veillera à la préparation des repas et de l’entretien ménager. Les résidents seront tenus de prendre le dîner et le souper. Il en coûtera 190 $ mensuellement par personne pour couvrir l’achat des denrées. Un montant additionnel servira à défrayer les coûts de préparation des repas. Le montant sera variable, d’expliquer Mme Lamy. Il sera établi selon le revenu de chaque résident, ce qui expliquerait un écart variant de 75 $ à 300 $ par personne par mois.
Certaines personnes s’interrogent sur le type d’implication qu’elles devront faire. Mme Nadeau s’est faite rassurante en précisant que cela se fera en respect des capacités de chacun et s’étalera sur une période de sept heures par mois. Les personnes pourront s’impliquer selon leur centre d’intérêt que ce soit au sein du conseil d’administration ou des divers comités comme gestion de la sécurité, entretien, loisirs et entraide, service alimentaire, gestion de l’immeuble et de l’extérieur ou encore celui de sélection des membres.
Le couple Lisette Longpré et Richard Dubois demeure depuis 2 ½ ans à la Coopérative Moulin des Cèdres, située juste devant le futur bâtiment. Ces personnes habitent au deuxième étage qui ne comprend pas d’ascenseur, ils se disent vieillissants et aimeraient déménager dans le nouvel immeuble qui aura cette commodité. Le couple qui demeurait à Saint-Gérard désire rester à Weedon. « On aime beaucoup l’ambiance du village. » Le couple ne semble pas inquiet de la sélection : « non, ça ne nous inquiète pas. » M. Robert Phaneuf accompagnait sa belle-mère, Noëlla Tanguay, de Weedon, pour obtenir les informations. Satisfait de la rencontre, M. Phaneuf avait bien l’intention de remplir le formulaire d’inscription pour sa belle-mère.
Luc Ouellet, président de la Coopérative d’habitation du Ruisseau Weedon, mentionnait au moment de la rencontre d’information que le nombre de demandes correspondait au nombre de logements disponibles, mais avouait souhaiter davantage de demandes. M. Ouellet n’entrevoit pas de problème avec la sélection. Le comité responsable se reposera sur un questionnaire élaboré par le comité de sélection avec la collaboration du Groupe de ressources techniques (GRT) Entraide Habitat Estrie qui reposera sur une série de points. La priorité, précise le président, sera accordée aux gens du grand Weedon, c’est-à-dire Saint-Gérard, Fontainebleau, Dudswell, Lingwick et l’arrondissement Weedon.
Rappelons que parmi les conditions d’admission, il faut être âgé de 75 ans ou plus ou être à mobilité réduite et avoir 60 ans et plus. Les personnes désireuses de s’inscrire aux entrevues de sélection peuvent le faire dès maintenant par le formulaire d’application par courriel au mlfillion@bell.net ou par téléphone au 819 877-2028 ou 819 877-2971. Les personnes ont jusqu’au mois de janvier pour s’inscrire. Les entrevues sont prévues pour février prochain.

Jour du Souvenir francais

Jour du Souvenir : Différentes cérémonies dans le HSF

Nous apercevons, à l’avant, des croix déposées par les élèves de l’école primaire de Sawyerville.

Près de 150 citoyens assistaient à la cérémonie du jour du Souvenir qui se déroulait au cénotaphe de Sawyerville, le 11 novembre dernier. Les élèves de l’école primaire de Sawyerville étaient également sur place pour assister aux commémorations et y déposer des croix en l’honneur des soldats.
Dans le Haut-Saint-François, plusieurs municipalités rendaient hommage aux vétérans avec différentes cérémonies. S’y prenant à l’avance, les municipalités de Scotstown et de Bury ont honoré les anciens combattants le 6 novembre. Une couronne a été déposée au cénotaphe de Bury pour les 100 000 enfants britanniques «d’orphelinat». Outre Sawyerville, le 11 novembre se tenaient les cérémonies à l’arrondissement de Cookshire, Newport et Saint-Isidore-de-Clifton. Weedon rendait hommage à ses vétérans le 13 et East Angus le 14 novembre.

Jour du Souvenir anglais

Remembrance Day : Various Ceremonies in the HSF

A number of citizens came together with members of the Canadian Legion.

Nearly 150 citizens attended the Remembrance Day ceremony held at the Sawyerville Cenotaph on November 11. Students from Sawyerville Elementary School were also on hand to attend the commemorations and lay crosses in honour of the soldiers.
In the Haut-Saint-François, different municipalities paid homage to veterans in various ceremonies. The municipalities of Scotstown and Bury did so in advance, on November 6. A wreath was laid at the Cenotaph in Bury for the 100,000 British Home Children. In addition to Sawyerville, November 11th ceremonies were carried out in the borough of Cookshire, in Newport and in Saint-Isidore-de-Clifton. Weedon paid homage to its veterans on November 13, and East Angus on November 14.

Micro pulperie

Micropulperie à l’école du Parchemin : Favoriser l’autonomie

Les petits lutins de la classe de M. Alexandre à l’école du Parchemin à East Angus mettent la main à la pâte à la micropulperie.

Encore une fois cette année, les élèves de 6e année de la classe d’Alexandre Dumas, à l’école du Parchemin à East Angus, mettent littéralement la main à la pâte. La production de cartes de Noël en papier recyclé de la micropulperie va bon train et l’enseignant prévoit la fabrication de 2500 à 3000 cartes d’ici Noël. Cette expérience permet notamment aux jeunes de développer leur autonomie.
M. Dumas note que pour ce groupe, la grande force qui ressort est justement leur autonomie. Les jeunes savent ce qu’ils ont à faire et se débrouillent. « Il faut se dépêcher à finir tout notre travail pour faire la micropulperie et pour ne pas être en retard », explique Laurianne Vachon, élève de 6e année. L’enseignant est agréablement surpris de voir à quel point les jeunes sont calmes, à leurs affaires et qu’ils ont un bon esprit d’équipe. « Je n’ai pas besoin de rien leur demander, tout se fait hyper bien », exprime-t-il. Ainsi, il peut même en profiter pour créer les cartes avec les enfants.
Avec le retour des activités, auparavant restreintes en raison de la pandémie, les jeunes des autres groupes peuvent revenir dans l’atelier pour créer avec les plus grands. Florence St-Pierre, élève de 6e année, le dit fièrement que l’une de ses tâches est d’aller chercher les groupes dans les autres classes et de les amener à l’atelier. « Les jeunes aiment ça s’occuper des plus petits. Ils aiment ça être les grands qui montrent, qui modélisent et qui enseignent aussi aux autres. C’est comme une fierté », explique M. Dumas. Une nouveauté cette année est l’intégration des jeunes provenant des classes particulières. Ceux-ci participent aux divers projets de M. Dumas. Selon lui, cette nouveauté amène plus de sociabilité chez les enfants.
Comme leurs prédécesseurs, les finissants espéraient fort être dans la classe de M. Alexandre. C’est pour eux une expérience qu’ils ne voulaient pas rater. Chacun a un rôle dans le groupe. « J’ai deux rôles, je suis contrôleur de qualité, donc je regarde si les cartes sont bien faites et je suis secrétaire, donc je prépare les commandes et je fais la prise de commandes », explique fièrement William Crête-Sallenbach. Pour lui, le travail d’équipe est ce qu’il apprécie le plus dans ce groupe.
Les cartes sont vendues à diverses personnes de la communauté et les profits servent habituellement à payer le voyage de fin d’année des finissants. Toutefois, en raison de la pandémie, ce voyage est sur la glace pour l’instant. « Ces sommes-là reviennent pour des projets scolaires, du matériel », explique l’enseignant. Il tient à préciser que la micropulperie n’est pas organisée dans un but lucratif, mais les profits permettent tout de même de bonifier les activités scolaires et de fournir du matériel à l’école.

Polyvalente Louis-St-Laurent, bal de finissant

Les élèves de retour en classe : Des mesures additionnelles sont mises en place

Les élèves de la Cité-école Louis-Saint-Laurent sont de retour en classe, mais avec des mesures additionnelles pour éviter que la situation se répète.

Depuis la semaine dernière, les élèves de la Cité-école Louis-Saint-Laurent à East Angus sont de retour en classe après une période de confinement liée à une éclosion de Covid-19. Des mesures additionnelles seront mises en place pour éviter que la situation se répète, mais Martial Gaudreau, directeur du Centre de services scolaire (CSS) des Hauts-Cantons, rappelle l’importance de la vaccination.
Secondaire
Alors que les écoles secondaires du Québec ont reçu le feu vert du gouvernement pour retirer le masque en classe depuis plus d’une semaine, à la polyvalente d’East Angus, les jeunes devront garder leur couvre-visage pour quelques jours encore. Pour contrer l’agrégat que vit présentement la MRC du Haut-Saint-François, M. Gaudreau insiste sur l’importance de la vaccination chez les jeunes de 12 à 17 ans. « Dans les écoles où il y a un plus haut taux de vaccination, on n’a pas vécu ce genre de situation là, même s’il y a eu des cas isolés », exprime le directeur, faisant référence au confinement des élèves. Selon la santé publique, qui se fie sur les codes postaux, le taux de vaccination des jeunes serait d’environ 75 % dans le Haut-Saint-François. Toutefois, M. Gaudreau estime que selon les données récoltées à l’école, le taux tournerait autour de 55 %. « C’est quand même bien en deçà de la moyenne québécoise qui est au-dessus de 85 % », exprime-t-il, ajoutant qu’il espère que les gens vont apprendre de cette situation. Outre le maintien du port du masque en classe, le CSS des Hauts-Cantons a mis en place différentes mesures pour limiter la propagation. Ainsi, les rassemblements non essentiels sont évités, donc les activités parascolaires sont temporairement suspendues. De plus, les rencontres de parents pour la première communication devront se faire à distance pour éviter des rassemblements non nécessaires.
Primaire
Au niveau primaire, trois écoles de la MRC ont été plus affectées, soit St-Camille, à Cookshire-Eaton, Notre-Dame-de-Lorette, à La Patrie et du Parchemin, à East Angus. Au total, un peu plus d’une dizaine de classes ont dû être fermées en raison d’éclosions. Pour cette raison, des mesures additionnelles ont été prises dans toutes les écoles primaires du HSF. Le concept de bulles classes est de retour afin de limiter les contacts entre les groupes. M. Gaudreau précise que les contacts inter-groupes ne sont pas interdits, mais que pour éviter de nouvelles éclosions, ils doivent être réduits. Tout comme pour l’école secondaire, les rencontres de parents pour la première communication devront se faire à distance.
Vaccination
Alors que les études sur la vaccination des 5 à 12 ans se poursuivent, le CSS des Hauts-Cantons est en attente. « On est déjà prêts pour le jour où Santé Canada donnera son autorisation », explique M. Gaudreau. Selon lui, les mesures sont prévues et les documents prêts. Il n’attend que le « go » de la santé publique.

Han Logement

Pour les personnes vivant avec un handicap physique ou intellectuel : Han-Logement investit 3,6 M$ et lève deux bâtiments

Nous apercevons au moment Le premier bâtiment de Han-Logement est déjà au maximum de sa capacité. Le second devrait accueillir ses résidents en mars 2022.

L’organisme sans but lucratif, Han-Logement, dont sa mission est de construire des logements adaptés à coût abordable, pour les personnes aux prises avec un handicap physique ou une déficience intellectuelle, a récemment fait d’une pierre deux coups à East Angus. La direction a procédé à la pelletée de terre marquant la construction du premier bâtiment tout en soulignant l’érection d’un deuxième. L’investissement global s’élève à 3,6 M$.
Emballée par les conditions et l’implication du milieu, la direction de Han-Logement a entamé la phase II aussitôt la première complétée. « Je l’ai dit à mon conseil d’administration, je l’ai dit à mes employés, ça n’a jamais été aussi bien qu’à East Angus. Là, je parle de toutes les étapes du projet, trouver le donateur, trouver le terrain avec madame la mairesse, le type de terrain, le permis avec les gens de la ville, le directeur général qui s’est mêlé du dossier, au début, on n’a jamais vu ça. Vous êtes une ville modèle. Je remercie tout le monde » d’exprimer Paul Champagne, directeur général de Han-Logement, devant une poignée de dignitaires et invités pour l’occasion.
Les deux bâtiments se retrouvent sur le terrain de l’ancien stationnement des employés de Cascades sur la rue Warner à East Angus. Le premier d’une capacité de huit logements est déjà occupé au maximum de sa capacité. Le second devrait être complété au cours de mars 2022. Il comprendra six logements de 3 pièces ½ et deux de 4 ½. « Le logement est comme une petite maison, 100 % adaptée, c’est plus grand qu’un logement normal », d’exprimer M. Champagne. Le financement des bâtiments se fait habituellement avec l’institution financière et la contribution d’un donateur par logement. Dans le cas présent, les généreux donateurs sont les propriétaires des Pharmacies Proxim à East Angus et Cookshire-Eaton, Daniel Desruisseaux, Nathalie Chouinard, Gérard Laliberté et Pauline Beaudry. Ces derniers ont effectué un don couvrant les 16 logements compris dans les deux bâtiments.
Pour M. Desruisseaux, porte-parole du groupe, la mission de l’organisme cadrait exactement avec leur vision de redonner à la communauté. « Ça fait 32 ans qu’on est là, moi, Nathalie, Gérard. Pauline est arrivée un peu plus tard dans la région. On essaie de s’impliquer du mieux qu’on peut et on essaie surtout de redonner à la communauté le plus de choses possible parce que les gens sont vraiment fidèles à nos pharmacies, on a une belle relation avec eux autres. Ça fait longtemps qu’on réfléchissait à ça, il y avait toutes sortes de projets possibles, mais on n’avait pas encore trouvé quelque chose qui offrirait un projet avec une pérennité sur plusieurs années. » M. Desruisseaux mentionne avoir assisté à l’inauguration d’un Han-Logement à Sherbrooke, sur l’invitation de la mairesse de East Angus, Lyne Boulanger. « Cela répondait à tous les critères qu’on s’était donné. Ça correspondait exactement à ce qu’on voulait redonner à la communauté. » M. Desruisseaux n’a pas voulu dévoiler l’ampleur de la donation. Il s’est limité à dire « le montant n’est pas si important. Ce qui est important, c’est le plaisir de le faire pour la communauté. »
Parmi les donateurs, la Caisse Desjardins du Haut-Saint-François y est allée d’une contribution de 50 000 $ provenant du fonds de développement d’aide du milieu. Rémi Vachon, président du conseil d’administration de l’institution financière, mentionne que « Desjardins a toujours contribué au développement des collectivités. C’est grâce au fonds de développement d’aide du milieu qu’on s’engage dans des projets structurants, mais surtout en complémentarité avec ce que le donateur, le milieu a déjà fait. »
La mairesse de East Angus, Lyne Boulanger, ajoute que « c’est un projet qui nous tenait vraiment à cœur. On est vraiment fier d’accueillir la famille de Han-Logement à East Angus. L’objectif est de permettre aux personnes vivant avec un handicap d’avoir une vie meilleure dans notre communauté. » Mentionnons que la municipalité s’était portée acquéreur du terrain, propriété de Cascades, pour le remettre gracieusement à Han-Logement.
Robert Roy, préfet de la MRC du Haut-Saint-François, souligne l’apport de Han-Logement de contribuer à faire en sorte que les résidents « seront bien logés, autonomes et vont se sentir citoyens à part entière. »

12 jours d'actions

12 jours d’action contre les violences faites aux femmes : Parlons-en !

Le Centre des femmes du Haut-Saint-François, La Passerelle, participe au mouvement 12 jours d’action contre les violences faites aux femmes dont la thématique est Parlons-en!

Du 25 novembre au 6 décembre, le Centre des Femmes du Haut-Saint-François, La Passerelle, participera au mouvement 12 jours d’action contre les violences faites aux femmes dont la thématique de 2021 est Parlons-en ! Des ateliers de sensibilisation ainsi qu’une vigile en l’honneur des 14 femmes assassinées à l’école Polytechnique de Montréal en 1989 seront organisés.
Avec la thématique Parlons-en !, l’objectif est de sensibiliser les gens à dénoncer les situations de violence. Une activité est organisée le 2 décembre par les responsables de La Passerelle où le documentaire T’as juste à porter plainte sera présenté, suivi d’une discussion de groupe. « T’as juste à porter plainte, les gens pensent que c’est super facile, mais il y a tout le processus émotionnel, tous les enjeux que ça apporte », exprime Angelica, intervenante à La Passerelle.
Le 6 décembre en soirée, une vigile sera organisée en mémoire des 14 jeunes femmes qui ont été assassinées à la Polytechnique de Montréal en 1989. Cette activité mixte se déroulera à l’extérieur devant le centre des femmes à Cookshire. Les membres y feront notamment la lecture d’une lettre ouverte concernant les féminicides de 2021 et l’impact de la pandémie sur la violence conjugale. Y seront également nommés des souhaits et des suggestions de ce que le gouvernement pourrait faire face à cette problématique.
« La hausse du féminicide nous paralyse de plus en plus et on en fait des cauchemars, on ne fonctionne plus, l’anxiété et la peur nous gagnent. On perd nos enfants, on perd notre vie, on perd tout. Est-ce un virus que le gouvernement n’est pas capable de traiter et dont le système de santé et le système de justice n’ont pas les compétences d’agir face à la situation ? », exprime Gisèle, membre du comité d’organisation. Avec les 12 jours d’action, le message principal qu’elle veut faire passer est le désir que les instances judiciaires criminalisent les actes de violence. Elle souhaite que les victimes puissent retrouver une sécurité lorsqu’elles sont en public et au privé. Que les gens réagissent lorsqu’ils sont témoins. « De ne pas avoir peur, s’il se passe quelque chose dans le voisinage, de prendre le téléphone et d’appeler pour venir en aide », ajoute-t-elle.
Selon Gisèle, ce ne sont pas les victimes qui devraient quitter le domicile, mais plutôt l’agresseur. « Au lieu que ce soit les femmes et les victimes qui vont en centre d’hébergement, pourquoi pas les agresseurs à réguler leur comportement ? », explique Angelica. Elle croit qu’un programme devrait être mis en place pour aider les agresseurs au lieu que ce soit toujours les victimes qui doivent recommencer à zéro.
Rappelons que c’est le 17 décembre 1999 que l’ONU proclamait le 25 novembre Journée internationale pour l’élimination de la violence à l’égard des femmes. Cette date est celle à laquelle les sœurs Mirabal, trois militantes politiques dominicaines, ont été brutalement assassinées en 1960. Au Québec, les 12 jours d’action se terminent le 6 décembre en commémoration à l’attentat de la Polytechnique en 1989 où 14 femmes ont été brutalement assassinées parce qu’elles étaient des femmes. Le mouvement est alors l’occasion de demander des engagements concrets de la part des gouvernements afin d’éliminer les violences systémiques.
Au moment d’écrire ces lignes, une vingtaine de féminicides ont eu lieu au Québec depuis le début de l’année 2021, dont 17 dans un contexte de violence conjugale. Pour les membres du centre, ce chiffre est inacceptable et les instances gouvernementales se doivent de réagir.
Les informations concernant les ateliers de La Passerelle ainsi que la vigile du 6 décembre se retrouvent sur la page Facebook Centre des Femmes du HSF, La Passerelle.

CDC HSF

La CDC du HSF reçoit de la visite

Nous retrouvons les participants de la grande région de l’Estrie devant la Vieille Gare à East Angus, chef-lieu de la CDC du Haut-Saint-François. Crédit photo, CDC du Haut-Saint-François.

La Corporation de développement communautaire (CDC) du Haut-Saint-François a récemment été l’hôte des représentants des autres CDC du grand Estrie, dans le cadre de la rencontre de la Table nationale des CDC, qui ont fort apprécié leur passage sur le territoire.
Toutes les CDC étaient regroupées par région pour l’occasion, d’expliquer Jinny Mailhot, directrice générale de la CDC du Haut-Saint-François. Au total, ils étaient 9 CDC de l’ensemble de l’Estrie englobant diverses régions comme Granby, Haute-Yamaska, Brome-Missisquoi, Magog, Lac-Mégantic, Coaticook et autres. Tous les directeurs et directrices générales de l’Estrie avec des agents de développement participaient aux deux jours de rencontre qui se sont faits dans le respect des règles sanitaires, assure Mme Mailhot.
L’équipe locale a profité de l’occasion pour faire découvrir aux visiteurs le charme du territoire que ce soit par des repas provenant de La Cantine à Ascot Corner, Le Grégoire à Cookshire-Eaton ainsi que le Resto bar Rive Sud et La Halte de la Gitane à East Angus. Les visiteurs ont également eu le plaisir de découvrir le charme du Square Victoria pour y passer une nuit confortable. À cela, les visiteurs ont eu l’occasion de se désaltérer avec les produits de la microbrasserie 11 Comtés de Cookshire-Eaton. Les deux jours de rencontre étaient assez intenses côté travail, d’exprimer Mme Mailhot, les participants ont donc profité de la finesse du territoire sur place à travers les pauses. Mme Mailhot ajoute que les visiteurs étaient enchantés de leur escapade de deux jours et une nuitée dans le Haut-Saint-François. « Plusieurs veulent revenir. On peut arriver à bien accueillir les événements dans le Haut-Saint-François. Souvent, on dit on n’a pas les plus gros hôtels, on n’a pas le Time, mais en réalité quand on regarde comme il faut, on peut quand même créer des événements où on peut tout de même avoir de l’hébergement. Ça se fait bien même si on n’a pas les plus gros hôtels, les plus grosses salles de conférence, on est quand même capable d’être des bons hôtes pour des événements professionnels. »
Les directions des CDC ont profité des deux jours de discussions pour aborder divers aspects comme la négociation concernant le plan d’action gouvernemental en matière d’action communautaire (PAGAC) et la mesure 11 du plan de lutte à la pauvreté et l’exclusion sociale du gouvernement du Québec. Cet aspect touche notamment les projets locaux de lutte à la pauvreté et l’exclusion. Les effets de cette mesure permettent de supporter financièrement une partie du continuum de service sur le territoire ainsi que le travail de proximité et soutenir divers organismes du milieu. Mentionnons que la Table nationale des CDC regroupe 67 CDC au Québec englobant pas moins de 250 000 organismes communautaires et entreprises d’économie sociale.

Sur les traces d’Archie Annance : Une première édition prometteuse

L’équipe de chocs de la Contrée du Massif Mégantic, Claude Sévigny, Line Chabot et Chantal Ladouceur. Absente sur la photo, France Dumont.

Le bilan positif de la première édition du parcours touristique Sur les traces d’Archie Annance, organisé par le comité touristique de la Contrée du Massif Mégantic, incite les organisateurs à répéter l’expérience l’an prochain.
L’équipe de chocs du comité touristique de la Contrée du Massif Mégantic a présenté à Isabelle Couture, de la SADC du HSF, et aux représentants des sept municipalités entourant le mont Mégantic, le bilan de Sur les traces d’Archie Annance, cet Abénakis au filon d’or. La rencontre s’est tenue à La Patrie. Lancée le 11 juin dernier, l’activité a duré jusqu’à l’Action de grâce.
Au moyen d’un communiqué de presse très structuré, remis lors de cette assemblée, les bénévoles démontraient ainsi leur « volonté et leurs efforts pour stimuler le développement de leur région ». Le regroupement des deux MRC qui se sont investies dans ce projet va augmenter l’impact touristique et servir à revitaliser le territoire, avançait un des participants à la rencontre.
Fiers de l’inscription de 111 visiteurs qui se proposaient de suivre les traces d’Annance  en auto sur quelque 135 km, Chantal Ladouceur, Line Chabot, France Dumont et Claude Sévigny ont tiré des conclusions concrètes de l’évènement. Lors de l’analyse rétrospective, ils ont prévu d’améliorer certains points pour rendre l’activité plus visible et plus attrayante.
Les responsables s’entendaient pour dire que l’aide apportée par les municipalités et les bénévoles a favorisé l’efficacité de la tournée. Ce bilan positif incitera les élus à perpétuer le projet, a-t-il été avancé. Quoi qu’il en soit, le circuit a généré quelque 12 000 $ auxquels sont soustraites des dépenses de 3 500 $.
« Dans la contrée, on voulait une activité satisfaisante et qui pouvait contourner les restrictions de la COVID », indiquait Mme Ladouceur, un peu avant la présentation. Les trousses vendues permettaient aux visiteurs et aux résidents des municipalités avoisinantes de se déplacer à leur rythme entre Val-Racine, Milan, Scotstown, Hampden, La Patrie, Chartierville et Notre-Dame-des-Bois pour récolter les indices décimés le long du tracé.
Dans chaque village, les organisateurs avaient installé des œuvres éphémères pour offrir un point de vue sur la richesse culturelle, historique et géophysique de la région. Ils ont accroché des «cadres point de vue» là où les touristes pouvaient se photographier devant un paysage représentatif de ce lieu. Fabriqués dans Hampden, ils étaient originaux ces cadres qui ont servi à immortaliser bien des clichés souvenirs. L’équipe de chocs, comme s’est plu à la baptiser le maire de Val-Racine, Pierre Brosseau, proposera d’en développer le concept dans l’optique d’une réédition.
Le comité touristique de la Contrée du Massif Mégantic veut aller de l’avant. « Il est nécessaire de poursuivre les efforts que nous avons tous investis en temps et en argent », annonçaient les intervenants. Tourisme Cantons-de-l’Est suggère même de l’améliorer en y ajoutant une chasse au trésor sur les traces d’Archie pour les démarquer d’activités du genre.
Les organisateurs ont avancé, entre autres, l’idée de créer des cartes personnalisées artistiques pour chaque municipalité et une semblable pour le circuit. La réalisation d’une vidéo de 10 minutes et l’écriture de la biographie d’Archie seraient souhaitées. L’installation d’autres «cadres point de vue», l’ajout du profil de l’Autochtone dessiné par Angèle Rivest dans chaque village et bien des initiatives imaginatives viendraient aussi bonifier l’offre touristique.
Les gagnants du tirage parmi les participants de l’activité Sur les traces d’Archie Annance  sont : 1er prix d’une valeur de 269 $, une nuitée en chalet au Domaine des Montagnais à Val-Racine a été gagnée par Marisa Côté, de Milan. Le deuxième d’une valeur de 204 $ pour une nuitée au Domaine La Giroux-ette, est allé à Caroline Tessier de La Patrie. Le troisième qui représente deux nuitées au Camping de la Rivière étoilée va à Ginette Turcotte. À tous ces prix s’ajoute une entrée familiale à l’ASTROLab et au parc du Mont-Mégantic. Angèle Rivest a gagné la guitare offerte par Guitabec.
Les membres du comité ont tenu à remercier chaleureusement les nombreux commanditaires qui ont permis au projet d’éclore.

parlement etudiant

Cité-école Louis-Saint-Laurent : Assermentation du parlement étudiant

Nous apercevons les membres du parlement de la Cité-école en présence de divers intervenants, dont le député de Mégantic, François Jacques, à l’extrême droite.

Les 13 élèves membres du parlement de la Cité-école Louis-Saint-Laurent ont prêté serment lors d’une rencontre à laquelle participait le député de Mégantic, François Jacques.
C’est dans une ambiance détendue et d’échanges autour d’un repas que c’est déroulé l’activité. Avant de répondre aux questions des jeunes parlementaires, le député s’est informé sur le fonctionnement du parlement et du rôle que chacun doit y jouer.
M. Jacques a présenté un bref survol du travail et de l’horaire d’un député qui se résume à lever tôt et coucher tard. Outre le travail de député, M. Jacques cumule d’autres fonctions comme celui d’adjoint parlementaire. Il a présenté un volet de son implication parlementaire lorsqu’il est à l’Assemblée nationale et celui de circonscription lorsqu’il est présent à son bureau de comté. Cette facette implique le député dans une multitude de rencontres avec divers intervenants et organismes du comté sans oublier le travail de dossiers. Il mentionne que son rôle de député est « de faire le pont entre la circonscription de Mégantic, les citoyens, les organismes, les entreprises à l’Assemblée nationale de la meilleure façon possible. D’écouter les besoins, rendre les services disponibles adéquatement à tout le comté. »
Tommy Poulin, directeur de la Cité-école Louis-Saint-Laurent a profité de l’occasion pour réitérer sa fierté envers les jeunes, dont ceux du parlement qui veulent s’engager et changer des choses pour aider son prochain. « En étant membre du parlement, vous êtes la voix de ces élèves-là, vous les représentez, vous voulez améliorer le milieu de vie de l’école, c’est très louable, c’est une belle valeur. »
Assermentation
Les membres du parlement ont simultanément porté serment, de façon solennelle en se levant, s’engageant dans leurs nouvelles fonctions de parlementaires. Des 13 élèves, 10 sont des nouveaux venus. Chacun manifeste l’intention de s’impliquer dans son ministère respectif que ce soit l’environnement et la solidarité, le sport, les activités culturelles, santé et bien être et autres. Victoria Lamontagne, première ministre et étudiante au 4e secondaire, précise « mon objectif est de faire en sorte que les élèves soient bien dans leur école et apporter le plus de choses possible pour que les jeunes soient enjoués de venir à l’école. » Victoria entame sa troisième année au sein du parlement. Au terme de la rencontre, et à la lumière des informations transmises par le député, aucun membre du parlement étudiant ne manifestait l’intention de faire une carrière politique.

Dessert de Noel

Faites un cadeau à votre communauté grâce à l’achat local !

Le temps des Fêtes est l’une des périodes de l’année où les dépenses des consommateurs sont plus élevées en raison de l’achat de présents, de vêtements chics ou de denrées alimentaires pour recevoir les invités. Mais saviez-vous qu’en optant pour l’achat local ce Noël, vous feriez aussi un précieux cadeau à votre communauté ? Voici pourquoi !
Un petit geste au grand impact
En plus d’encourager les commerçants de votre secteur, l’achat local se répercute positivement de plusieurs autres façons. Il peut contribuer à l’ensemble de l’économie d’ici en aidant à préserver une importante quantité d’emplois, de la première étape de la chaîne de production de vos produits à la vente de ceux-ci. Acheter localement pourrait d’ailleurs être comparé à une forme d’investissement auprès des entreprises de la région, puisque cela permet à ces dernières de rendre accessible une grande variété de produits et de services.
De plus, une entreprise qui bénéficie d’un meilleur revenu grâce aux transactions effectuées par les citoyens de la région contribue à augmenter les revenus d’impôts des gouvernements. Cet argent peut ensuite être réinvesti dans des services qui profitent à toute la communauté !
Vous avez l’environnement à cœur ? L’achat local entraîne une production réduite de gaz à effet de serre en raison du transport nécessaire pour acheminer les marchandises aux commerces situés près de chez vous.
Une foule de possibilités
L’achat local ne se limite pas aux produits que vous pouvez déposer dans un panier, mais également à de nombreux services. Pensez à toutes les entreprises de l’industrie événementielle ou culturelle, comme les musées, les salles de spectacles, les galeries d’art, les attractions touristiques, et plus encore. Optez, par exemple, pour un forfait qui gâtera toute la famille ou offrez une expérience en cadeau. Celle-ci permettra peut-être à un proche de découvrir un nouvel endroit et pourrait lui donner envie d’y retourner par la suite.
Des occasions avantageuses
Pendant la période des Fêtes, il n’est pas rare de voir certaines villes ou certains commerces mettre en place des initiatives pour encourager l’achat local. Il peut s’agir de répertoires en ligne qui listent toutes les entreprises des environs et vous aident à trouver le ou les produits et services qui vous font envie. Parfois, des boutiques vous proposent d’acheter une carte-cadeau à offrir et vous donneront par la même occasion un rabais, un crédit ou une autre carte à utiliser vous-même lors d’une prochaine visite.
L’achat local, voilà assurément le plus beau cadeau de Noël à (s’) offrir cette année !

CLD HSF

AmbassadeuRHSF du CLD : Enjeux de gestion en ressources humaines

Caroline Dufour et Marie-Josée Rodrigue, conseillères en ressources humaines, vont scruter à la loupe les réponses des entrepreneurs pour leur préparer des moyens de profiter de cette ressource souvent gérée de façon intuitive.

Une deuxième phase du projet-pilote AmbassadeuRHSF a récemment été lancée par le CLD du Haut-Saint-François. Lors de celle-ci, les entrepreneurs de la MRC sont invités à remplir un court questionnaire sur Internet. Le but en est de « favoriser la création d’environnements propices à une saine gestion des ressources humaines (RH) dans nos PME », écrit Bernard Ricard, directeur adjoint du CLD.
Ce sondage, supervisé par Mmes Caroline Dufour et Marie-Josée Rodrigue, conseillères en RH, veut en évaluer les besoins chez celles et ceux qui ont des commerces ou qui offrent des services, et aux manufactures, de la petite à la plus grande. On peut se faire aider en téléphonant au 819 560-8400. La date limite pour répondre au questionnaire mis en ligne à l’adresse https://bit.ly/sondageCLD était le 21 novembre dernier. Toutefois, Mme Rodrigue insiste sur le fait de continuer à le remplir. « Nous les recenserons tous. Ils serviront à une deuxième analyse pour documenter davantage afin de poursuivre nos recherches », expliquait-elle. Ces données s’ajouteront aux précédentes. Le panier de solutions destinées aux entreprises n’en sera que plus complet.
« Nous prônons le rôle primordial d’une gestion optimisée des ressources humaines dans le développement de nos PME », ajoutait M. Ricard. Les propriétaires d’entreprises en tout genre sont des spécialistes dans leur domaine. Cependant, glissait-il, ils règlent les rapports avec leurs employés ou leur clientèle d’une manière intuitive. Souhaitant qu’AmbassadeuRHSF les aide à améliorer leur compétitivité, il veut que le travail des chargées de projet devienne une « ressource qui descend dans l’entreprise pour régler des choses de façon ponctuelle. »
Les deux conseillères en RH ont été embauchées au titre de consultantes pour analyser leurs réponses. Le CLD les a engagées parce que leurs conseillers et leurs agentes actuels sont surtout des spécialistes en gestion, administration et finances. L’aspect RH leur manque. « On a constaté que dans l’urgence, c’était ce volet-là qui était le plus important », qu’il indiquait.
La première phase du projet consistait, rappelait Mme Dufour à « faire naître, bâtir, définir, se donner un cadre pour définir la planification des actions à réaliser pour un rendement plus efficace. » Il s’agissait d’un coup d’envoi pour informer les entreprises de ce qui s’en venait. Par le biais de ce projet-pilote, elles souhaitent ajouter des outils dans leur coffre pour y améliorer l’aspect humain afin d’en augmenter les retombées économiques.
La deuxième phase du projet-pilote AmbassadeuRHSF commence, indique Bernard Ricard. Les deux responsables ont mis en ligne, à l’adresse fournie plus haut, un questionnaire pour que toutes et tous y fassent part de leurs besoins pour interagir avec leurs employés. Elles les analyseront pour en extraire les données. Le portrait qu’elles en dessineront sera plus pointu si la majorité d’entre eux y répondent.
Dans la perspective d’une synergie entre les propriétaires et les spécialistes du CLD, ces dames veulent dresser un bilan de ces enjeux chez les petits, moyens et grands employeurs de la région. Elles souhaitent réaliser, dans une optique de brassage synaptique, une vision d’ensemble qui brosserait un tableau des forces et des faiblesses en RH tant dans les entreprises que pour toute la MRC.
À partir de ce cliché, tous seront à même de cibler des sujets précis et des actions concrètes. L’interrogation septième du questionnaire, entre autres, permettrait d’éclairer les décideurs et les entrepreneurs en vue de solutions pertinentes à mettre en place.
Les questions que contient le sondage visent à en extraire des problématiques que vit la majorité de celles et ceux qui produisent ou offrent des services. Elles sont orientées de façon à en savoir plus sur les difficultés de recrutement, de rétention des employés et leur intégration. D’autres portent aussi sur les aspects de santé et sécurité au travail. Le but est de chercher des indicateurs pour en analyser la rentabilité afin de proposer un accompagnement sur mesure aux clients. Ce service est tout à fait gratuit.
Avec le diagnostic, Caroline et Marie-Josée vont pouvoir choisir ce qu’elles vont mettre dans le coffre à outils d’une entreprise. Cette dissection va aider le propriétaire à prendre des décisions éclairées pour améliorer sa situation. Pour l’ensemble de la MRC, les balises chiffrées vont souligner les écarts entre l’avant et l’après des applications pratiques qui en découleront. Des interventions précises seront suggérées. Elles ne veulent pas effectuer le travail à leur place, elles tentent de chercher les indicateurs qui vont faire voir la rentabilité du travail.
L’aspect «synergie» entre le personnel du CLD et elles mène aussi à un transfert de compétences pour les sensibiliser à l’importance des RH. Elles souhaitent plutôt développer chez eux une expertise supplémentaire et suffisante dans ce domaine. « On va essayer d’être des bons coachs pour eux », avance Mme Rodrigue. « Cette synergie entre les intervenants, ça va créer de bons résultats », espèrent ces deux conseillères.

Marché Noel Ascot Corner 2021

Marché de Noël à Ascot Corner : Une 10e édition tant attendue

La 10e édition du marché de Noël d’Ascot Corner marquait le début des marchés de Noël du Haut-Saint-François.

Après un an d’absence, le comité organisateur du marché de Noël d’Ascot Corner a enfin pu présenter sa 10e édition. Un total de 25 artisans et producteurs exposaient au Centre Paul-Lessard pour le bonheur des citoyens qui pouvaient commencer leur magasinage des fêtes.
Se déroulant sur deux étages, les exposants provenaient principalement du Haut-Saint-François et des environs. « On aurait eu plus de gens, mais on a limité dans les quantités », explique Suzanne Hardy, membre du comité organisateur. Cette décision s’est prise dans le but de faciliter la distanciation sociale tant pour les exposants que pour les visiteurs.
Un panier cadeau de produits locaux offerts par des commanditaires était tiré. Les profits des billets seront remis au comité pour l’organisation de futurs événements.

ACTU-Rachel

CRAZY IN MAPLE LEAF

“You are something, perhaps crazy!”
That’s the email my older and wiser sister wrote to me when she heard I was the new editor of The Townships Sun. Yep, at a time I should be fading into the sunset, here I am facing a new challenge that, for once, is not health-related.
I’m enjoying it, although not rejoicing in the circumstance that opened up this opportunity for me – the untimely passing of past-editor Barbara Heath, whom many of you knew, or knew of.
With almost 50 years under its belt, The Townships Sun is a little community magazine in English about “Townships life and culture, past, present and future.” Remembrances are the most natural place to start when thinking of the English-speaking community, but I’m trying to encourage more content – articles, stories, poetry, photos, artwork – about the present and future of our community.
Now I have trekked through the editorial work of the first two issues. The first one was delayed by a paper shortage, but is now in the hands of subscribers and on the shelves, including a new shelf at the Cookshire IGA. This issue has the dual themes of “Truth and Reconciliation” in the Townships and the new surge of Townships book writing, publishing and reading – both present and future.
The December-January issue will feature a sampling of visual artists – so many in the Townships, with such varied approaches! – including two in the Haut-Saint-François. Accompanying their work are short stories and other local and inspirational offerings on other topics.
What’s so much fun? Being in contact with such creative people. Learning even more about the fabulous community in which we live. Thinking more deeply about the time in which we live, the past that led us here, and where we are heading.
How has the pandemic changed us? Who are the great photographers among us? What are the concerns of the next generation? What do you know about any “disappeared” hamlets near you? (Maple Leaf, for example)? And so much more!
If you can contribute to this discussion, I’d be very interested in hearing from you at editor@TownshipsSun.ca.
ESCAPING BOMBING IN SCOTLAND
First published in Scotland and just now released in Canada is a memoir named Marjorie’s Journey: On A Mission Of Her Own. It tells the story of a young Scottish woman who, to escape the bombing during World War II, led a group of 10 children on a daring journey by ship from Scotland to South Africa, where she set up a home for them.
The Quebec connection is the author of this little book, Ailie Cleghorn, a retired professor at Concordia University. Her mother was a close cousin of Marjorie Marnoch, and they grew up together in Ailie’s grandparents’ home in Aberdeen. Cleghorn tells Marjorie’s story, chronicling extensive research and interviews with the children that took her on an international mission of her own.
And the Townships connection is obvious, for those of us with roots in Scotland! To hear a short interview with the author, visit scotlandstreetpress.com/journal.
RESOLVING CONFLICTS IN RELATIONSHIPS
From Mental Health Estrie is a workshop via Zoom, free and in English, on Wednesday, November 24, from 6:30 to 8:30 p.m.: Melanie Hughes will present “Conflict Resolution for Interpersonal Relationships.” To register, visit Mental Health Estrie’s Facebook page, email outreach@mentalhealthestrie.com, or call 819-565-2388.
CHRISTMAS MARKET IN COOKSHIRE
This extravaganza of crafts has some 20 exhibitors showing off and selling all kinds of treats, edible or not. The Market is on Sunday, November 28, from 10 a.m. to 4 p.m., at Victoria Hall, 125 Principale West, Cookshire.
OSCAR AND WALTER IN LAC MÉGANTIC
The exhibit by Tony De Melo has been extended to December 6: Trials and Tribulations: Oscar and Walter, an Encounter shows a series of paintings using actual texts from Oscar Wilde’s trials, on which he enlarged and superimposed details from Walter Crane’s engravings and drawings. You can see this thought-provoking exhibit at the Galérie Métissage, 6361 rue Salaberry, Lac Mégantic, Thursday to Sunday from 10 a.m. to 5 p.m.
SMALL ART IN COOKSHIRE
A massive group show of small format artworks by beloved artists from our region – that’s what the Cookshire-Eaton Art Gallery is offering in the period leading up to Christmas. The exhibit of “gift-sized” works opens on December 11. Heads up: One of the artists is Denis Palmer. Look for more details in the next Rachel Writes.
STUFF WANTED IN CANTERBURY
Thinking ahead they are, those people at the Canterbury Centre. “We are beginning to collect items for our Marché aux Puces (Flea Market) at the Canterbury Centre: antiques, collectibles, household wares, small tables and chairs in good condition, architectural items, stained glass, old photos, prints, and paintings. We do not take large appliances, furniture, electronics or clothes. Call 819-872-3400 and Tony will get back to you,” writes Ed Pederson of the Bury Historical & Heritage Society. The Marché aux puces is planned for July 2022.
CHURCHES
United. In-person Sunday services are bi-weekly. The November 21th service is at home; November 28th services are in person at Trinity United, 9:30 a.m., and Sawyerville United, 11 a.m. Info: 819-452-3685; spiresta@hotmail.com; or United Eaton Valley Pastoral Charge (Facebook).
Baptist. In-person Sunday services are with Covid-19 protocols in place (distancing; masks can be removed when sitting down; wear masks when singing, etc.). The service is in French at 9 a.m., and in English at 11 a.m. Persons with flu symptoms are asked not to attend services. The pastor’s message is also available on YouTube: For the link, contact Pastor Michel Houle at 819-239-8818.
Anglican. Bishop Bruce Myers continues to offer Home Prayers at 4 p.m., Sundays, on Facebook, and at quebec.anglican.ca (Worship Videos). Info: 819-887-6802, or quebec.anglican.ca.
Do you have news to share? Call 819-640-1340 or email rawrites@gmail.com by November 29 for publication December 8, or by December 13 for January 5.

actualite

Méfaits à East Angus : La SQ surveille de près

La Sûreté du Québec de concert avec la Ville de East Angus avise les citoyens d’une recrudescence de méfaits depuis le début de l’été, soit des graffitis ainsi que de dommages à la propriété. À cet effet, les policiers et les employés de la municipalité travaillent de concert dans le cadre d’une enquête en cours afin d’enrayer cette vague et de limiter les coûts liés à la restauration.
Dans un communiqué de presse émis par la Sûreté du Québec, région de l’Estrie et du Centre-du-Québec, on rappelle que toute personne qui détruit ou détériore un bien s’expose à une accusation criminelle de méfait. De plus, plusieurs articles du règlement municipal encadrent l’utilisation des lieux publics afin d’assurer la quiétude des citoyens. Il est précisé que les policiers appliqueront ces règlements, notamment concernant les heures d’utilisation de lieux, ainsi qu’en ce qui a trait à tout acte de détérioration des biens de propriété publique. Les contrevenants s’exposent à des amendes de 100 $ par infraction.
Pour signaler un délit ou toute activité suspecte, les citoyens peuvent composer le 310-4141,*4141 ou le 9-1-1 s’il s’agit d’une situation urgente. Il est également possible de joindre un policier de manière confidentielle, en tout temps, pour donner toute information sur des activités illégales ou des délits commis, via la Centrale d’information criminelle, au 1 800-659-4264.

Attaché politique

Député François Jacques : Nouvel attaché politique au bureau de Cookshire-Eaton

Le député de Mégantic et adjoint parlementaire de la ministre des Affaires municipales et de l’Habitation (volet Affaires municipales), François Jacques, souligne l’embauche de Sylvain Mc Sween au poste d’attaché politique au bureau de circonscription de Cookshire-Eaton. Le nouveau membre de l’équipe sera responsable des dossiers concernant la MRC du Haut-Saint-François pour le bureau situé au 25, rue Principale Ouest à Cookshire-Eaton. Il est possible de le joindre au 819 875-5410. « Je suis très heureux d’accueillir M. Mc Sween dans notre équipe. Sa vaste expérience nous permettra de poursuivre le développement de notre circonscription, toujours en étant à l’écoute des besoins de la communauté », d’exprimer le député. M. Mc Sween compte à son actif plus de 20 ans d’expérience notamment en gestion, en organisation d’événements et en administration, principalement axées sur l’écoute et en lien avec les services aux membres et à la clientèle. Nous apercevons François Jacques, député de Mégantic, en compagnie de M. Sylvain Mc Sween.

actualite

Le retour des activités de Noël

À l’approche des fêtes de fin d’année, plusieurs municipalités de la MRC du Haut-Saint-François préparent diverses activités pour les citoyens. Des fêtes pour les enfants, des marchés de Noël, toutes les occasions sont bonnes pour agrémenter cette période.
Ascot Corner
Après une année de pandémie, la Fête de Noël à Ascot Corner est de retour. La traditionnelle vente de sapin, organisée par les parents de l’école primaire Source-Vive, aura lieu simultanément avec l’activité de la municipalité. Le 4 décembre de 10 h à 12 h, au 6056, chemin Roberge à Ascot Corner, diverses activités seront organisées telles qu’une chasse au trésor à travers les sapins, une cabine de photos loufoques de Noël, la visite d’un invité spécial ainsi qu’une distribution de friandises. La vente de sapin débutera également à 10 h, mais se poursuivra jusqu’en après-midi. Les informations détaillées concernant les règles sanitaires seront publiées sur la page Facebook Loisirs Ascot Corner.
Dans l’impossibilité de préparer un carnaval d’hiver, le comité organisateur se réinvente et met en place un défi de châteaux de neige. Les citoyens sont invités à construire une structure de neige sur la façade de leur terrain afin d’égayer leur quartier. L’inscription doit se faire via courriel au loisirs.ascotcorner@hsfqc.ca. Les critères pour le défi sont l’originalité, la structure doit être en neige, mais les accessoires de décorations sont permis. Les participants doivent résider à Ascot Corner et donner un nom à leur œuvre. La date limite pour participer est le 7 février 2022. Tous les détails seront sur la page Facebook Loisirs Ascot Corner.
Bury 
Le 11 décembre, de 11 h à 18 h, se tiendra la Fête de Noël dans le village de Bury. En collaboration avec l’Association Athlétique de Bury, la municipalité invite les citoyens à se procurer des ornements et décorer l’arbre de Noël au profit de Moisson Haut-Saint-François. Diverses activités sont prévues et les pompiers seront sur place pour le bonheur des petits et des grands. De plus, les citoyens pourront rencontrer plusieurs artisans locaux au marché de Noël. L’activité se déroulera au 569, rue Main à Bury, face à l’ancien bureau municipal.
Chartierville
Tenant compte de la situation actuelle, les membres du comité organisateur de la Fête de Noël de Chartierville jouent de prudence et reprennent la formule de l’année dernière, soit une distribution de cadeaux à domicile avec nul autre que le père Noël et ses lutins. Des cadeaux seront distribués à tous les enfants, ainsi que de petites douceurs pour la famille. Cette journée magique se déroulera le 19 décembre. La municipalité de Chartierville contribue à l’achat de cadeaux avec la participation de la Caisse Desjardins du Haut-Saint-François, la Coop La Patrie, les Chevaliers de Colomb de La Patrie ainsi que la Friperie La Patrie. Chartierville en est à sa 64e édition de la Fête de Noël. « Il est possible de suivre l’évolution de l’événement en consultant la page Facebook Comité du père Noël de Chartierville. L’édition 2021 devrait reprendre l’idée des vidéos à voir dans les prochaines semaines », d’exprimer Josée Stringneur, membre du comité organisateur. Au moment d’écrire ces lignes, les responsables comptaient 22 enfants de 0 à 12 ans répartis dans 15 familles de la municipalité.
East Angus 
La municipalité de East Angus organise une Fête de Noël le 4 décembre prochain de 13 h à 16 h, au débarcadère de la polyvalente. De plus, les citoyens pourront profiter de deux marchés de Noël. Celui de la Fondation Marc Rousseau aura lieu le 26 novembre de 16 h à 20 h et les 27 et 28 novembre de 10 h à 16 h au parc Nicol situé au 186, rue Saint-François. Il y aura également le marché de Noël des Gitanes les 11 et 12 décembre au 218, rue Saint-Jean Ouest. Ces marchés seront l’occasion idéale de finaliser les emplettes de Noël.
La Patrie 
Dans le but de rendre les rues plus féériques durant la période des fêtes de fin d’année, la municipalité de La Patrie organise un concours de décoration. Les citoyens désirant participer doivent remplir un coupon de participation et déposer leur candidature au plus tard le 15 décembre au bureau municipal ou dans la boîte en acier inoxydable à l’extérieur au 18, rue Chartier. Il est également possible de l’envoyer par courriel à dga.lapatrie@hsfqc.ca. Des photos des décorations seront prises par un photographe à compter du 16 décembre. Au total, trois gagnants seront choisis par la population par le biais du Jaseur du mois de février. Les prix sont un chèque cadeau du Resto-Bar La Patrie, un de l’Association coopérative de La Patrie et un panier cadeau de producteurs locaux.
Un marché de Noël est également prévu le 11 décembre à la salle municipale de 10 h à 16 h. Les détails se retrouvent sur le site Internet de la municipalité.
Scotstown-Hampden
Le comité des Loisirs de Scotstown-Hampden organise une distribution de cadeaux pour les enfants sages de leurs municipalités. Jusqu’au 4 décembre, les parents sont invités à écrire à l’organisme, qui pour l’occasion prendra des allures d’atelier du père Noël, pour donner les informations de l’enfant afin que celui-ci reçoive un cadeau. La livraison des colis se fera le samedi 18 décembre par le père Noël en personne !

operation-nez-rouge

Opération Nez rouge : Pas de service pour notre MRC

Opération Nez rouge Haut-Saint-François confirme ne pas tenir son service de raccompagnement en 2021. Prise de concert avec la santé publique, cette décision est due aux conditions actuelles liées à la pandémie.
L’organisme à but non lucratif offrant des raccompagnements durant la période des Fêtes de fin d’année souhaite mettre la sécurité de ses bénévoles et de ses clients en priorité. Pour cette raison, les responsables tiennent à respecter les différentes normes sanitaires. « L’Opération Nez rouge Haut-Saint-François partage cette préoccupation et c’est pour cette raison que dans les conditions actuelles, en tenant compte de notre réalité locale, la décision de ne pas tenir la campagne de raccompagnement 2021 a été prise », explique Linda Champagne, adjointe administration et finances pour l’organisme. Ainsi, Opération Nez rouge Haut-Saint-François estime qu’en raison du contexte actuel, il n’est pas possible d’assurer sereinement et efficacement la logistique nécessaire au service de raccompagnement.
Les services d’Opération Nez rouge se tiendront tout de même dans différentes municipalités du Québec. Pour plus d’informations, visitez le operationnezrouge.com.

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Les Shark’s renouent avec la victoire

Les Shark’s d’East Angus ont stoppé leur série de défaites en disposant des Nordik Blades de Val-des-Sources par la marque de 6 à 1 samedi dernier, à l’aréna Robert-Fournier d’East Angus, devant une faible assistance.
L’entraîneur, Jean-François Houde, était fier de ses joueurs au terme de la rencontre. Faut dire que l’équipe a été cherchée du renfort au cours des derniers jours, avec quatre nouveaux joueurs. L’entraîneur-chef et directeur général a également ajouté du poids à sa formation.
« Les joueurs se sont responsabilisés. Ils ont joué pendant 60 minutes. Les gars continuent à travailler fort », d’exprimer le pilote avec une fierté évidente. D’ailleurs, le nombre de 57 lancers sur le gardien adverse témoigne de la volonté des joueurs à arracher la victoire.
L’entraîneur-chef souhaite que cette victoire soit la première d’une série. Il est d’autant plus confiant que le prochain match, ce vendredi, sera contre la même formation. « Je crois qu’on va partir sur une lancée.  On est très proche d’être une équipe dangereuse. » M. Houde demeure confiant que sa formation arrivera à se hisser une place dans les séries d’après saison. « L’objectif est d’arriver dans les séries et faire le plus de dommage possible », complète-t-il.

actualite

Erratum

Deux malheureuses erreurs se sont glissées dans l’article sur les Journées de la culture à Dudswell et qui portait l’intertitre «Tour de chant». Il aurait fallu lire Gilbert Langevin au lieu de Langelier. Réjean Yacola, et non Leblanc, accompagnait Mme Royer. Toutes nos excuses !

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