Moulinage 3A

Moulinage 3A : Des travailleurs étrangers à la rescousse

Malgré le fait d’être éloignés de leur famille, les travailleurs étrangers Abderrahne Ouahmane, Zouhair Alipane, Samir Okba, en compagnie de leur superviseur Gino Chouinard, sont heureux de travailler au Québec.

La pénurie de main-d’œuvre se fait sentir dans tous les domaines économiques au Québec et l’entreprise de Cookshire-Eaton, Moulinage 3A, ne fait pas exception. Ayant de la difficulté à recruter dans la province pour ses quarts de soir et de nuit, l’entreprise basée sur la rue Principale Est s’est tournée vers l’Afrique du Nord, plus précisément au Maroc, pour combler les postes vacants.
Cette problématique ne date pas d’hier puisque la compagnie avait aussi fait appel à six travailleurs marocains, il y a quelques années. « C’est très difficile de trouver des travailleurs d’ici, qui veulent venir faire les quarts de soirs et de nuits. À l’étranger, cette main-d’œuvre est disponible et disposée à travailler pour nous », d’exprimer Isabelle Primeau, responsable des ressources humaines et de la STT (Syndicat des travailleurs en télécommunications) chez Moulinage 3A.
Prochainement, l’entreprise prévoit accueillir encore huit travailleurs étrangers qui viendront renforcer leur équipe et permettre une production continue. Deux arriveront dès ce mois-ci alors que les six autres viendront en 2023. Moulinage 3A prend en charge les nouveaux arrivants et les aident dès leur arrivée au pays. « On les aide pour l’intégration. On les a aidés à se loger, on les a aidés avec tout le processus de création d’un compte bancaire et on les a accompagnés pour aller se chercher des vêtements plus adaptés aux hivers québécois », d’exprimer Mme Primeau.
Question logement, l’entreprise avait à cœur d’aider les nouveaux travailleurs, mais elle n’a pas été en mesure de dénicher des logements adéquats et abordables. Elle a donc dû trouver une autre alternative. « On a tout simplement aménagé un logement directement dans l’usine. Tous les travailleurs vivant à cet endroit sont logés gratuitement », de dire Isabelle Primeau.
Côté rentabilité, il serait tout à fait normal de penser qu’il est moins rentable pour une entreprise d’engager outre-mer plutôt que de faire travailler des gens localement. Mais ce n’est pas le cas selon la responsable des ressources humaines. « Oui, effectivement, ça peut sembler plus cher de prime abord, mais finalement, c’est plus rentable pour la compagnie de faire venir des travailleurs étrangers parce que si on se fiait uniquement à la main-d’œuvre québécoise, plusieurs de nos quarts de travail ne seraient pas comblés et ça représenterait une perte en bénéfice plus grand que le coût attaché à tout ça. » En plus, les travailleurs étrangers signent des contrats de travail qui les lient à l’entreprise pour une période déterminée. « Finalement, notre main-d’œuvre est plus stable de cette façon et ce sont d’excellents travailleurs », de conclure Isabelle Primeau.
Les six premiers travailleurs sont présentement en pleines démarches pour obtenir la résidence canadienne permanente et selon Moulinage 3A, les huit prochains arrivants aimeraient aussi obtenir la résidence et peut-être un jour, la citoyenneté.
Le journal a rencontré trois des six travailleurs œuvrant au sein de l’entreprise de Cookshire-Eaton, établis au Québec depuis 2020. Le choix de la province francophone s’est imposé de lui-même puisqu’au Maroc, le français est une des langues les plus répandues. L’accès au travail est plus facile ici que dans leur pays d’origine. « Le Québec était un choix intéressant puisque la première langue est le français et trouver un travail est plus facile ici qu’au Maroc », de nous dire Abderrahne Ouahmane. Depuis leur arrivée, beaucoup de choses ont évolué. Ils ne vivent plus dans l’appartement mis à leur disposition par Moulinage 3A et sont maintenant locataires à part entière. « Notre adaptation s’est très bien passée, la compagnie nous a vraiment aidés au niveau de l’intégration, autant travail que dans les autres sphères de la vie », d’exprimer Samir Okba. « L’accueil a été vraiment bien. L’entreprise a été là pour nous, ainsi que les employés avec lesquels nous travaillons. La partie la moins évidente, c’est d’être loin de nos amis et familles. Mais en arrivant ici, on s’est découvert une autre forme de famille », d’expliquer Zouhair Alipane. La seule chose qu’ils déplorent est la lourdeur et le prix exorbitant pour l’obtention de la résidence permanente canadienne.

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Nouveau montant ponctuel pour le coût de la vie : Revenu Québec amorcera sous peu les premiers versements

Revenu Québec amorcera d’ici le début du mois de décembre la distribution des montants ponctuels versés par le gouvernement provincial pour aider les Québécois et Québécoises à faire face à un taux d’inflation plus élevé que prévu. Il finalise actuellement les derniers préparatifs visant à verser les sommes prévues. Tel qu’annoncé précédemment, Revenu Québec débutera les versements de l’aide financière à plus de 6,5 millions de contribuables, et ce dès décembre. Les personnes qui ont un revenu net de 50 000 $ ou moins recevront une aide ponctuelle de 600 $, tandis que celles dont le revenu net se situe entre 50 000 $ et 100 000 $ auront droit à un montant minimal de 400 $. Les personnes dont le revenu net varie entre 100 000 $ et 104 000 $ recevront un montant moindre, établi en fonction de leur revenu. Ce nouveau montant ponctuel non imposable sera basé selon le revenu de l’année 2021 et Revenu Québec le versera automatiquement par dépôt direct ou par chèque aux personnes qui auront transmis leur déclaration de revenus de 2021. Les citoyens et citoyennes n’ont pas à faire de démarche pour obtenir l’aide financière. Les contribuables qui n’ont pas encore produit leur déclaration de revenus de 2021 ont jusqu’au 30 juin 2023 pour le faire et ainsi profiter de cette nouvelle mesure. Les personnes qui bénéficiaient de l’aide financière de dernier recours au 31 décembre 2021 et qui bénéficient du versement automatique de la composante relative à la TVQ du crédit d’impôt pour solidarité n’ont pas à produire de déclaration de revenus pour être admissibles à cette mesure. Toutes les informations sont disponibles sur notre site Internet. Les personnes concernées peuvent aussi avoir accès à toutes leurs informations, par exemple la date de leur versement, dans leur espace personnalisé Mon Dossier.
Attention aux messages frauduleux !
Revenu Québec invite par ailleurs les citoyens et citoyennes à la prudence. Des textos et des courriels frauduleux circulent actuellement, faisant miroiter la possibilité d’obtenir un versement de 400 $ à 600 $. En aucun temps, Revenu Québec n’offre des remboursements ou des versements de cette façon. Ces messages constituent des tentatives de fraude, et Revenu Québec appelle à la vigilance, car la protection et la sécurité de l’information sont une priorité. Au cours des prochaines semaines, Revenu Québec procédera à une campagne de sensibilisation pour rappeler à la population qu’elle doit redoubler de vigilance face à ce genre de stratagème. Il est possible d’en apprendre plus sur nos façons de communiquer avec nos clientèles en consultant notre site Internet.

Arbre Ascot Corner

École de La Source-Vive d’Ascot Corner : Une autocueillette en compagnie du père Noël

Plusieurs familles ont participé à la traditionnelle autocueillette de sapins de Noël au profit de la Fondation des jeunes de La Source-Vive d’Ascot Corner. Comme chaque année, l’activité prend un air de fête avec la participation du service des loisirs de la municipalité. Divers jeux et animateurs étaient sur place sans oublier la présence du père Noël. Le vieux bonhomme a profité de l’occasion pour discuter cadeaux avec les enfants en plus de leur remettre une friandise, histoire de patienter jusqu’à la grande nuit. Quant à l’autocueillette, les familles ont encore appuyé la Fondation. Plus d’une centaine ont choisi le sapin qui égayera la maison tout au long de la période des Fêtes. Éric Turcotte d’Ascot Corner était sur place avec sa conjointe et leurs deux enfants pour choisir l’arbre idéal. « Nous, on est à Ascot Corner depuis 10 ans. Les enfants vont à l’école au village et pour nous, c’est une façon d’encourager l’école, c’est le fun. » C’est le petit Élie qui a choisi le sapin de la famille. Isabo Royer, présidente de la Fondation, est satisfaite de la participation qui permet d’amasser quelque 1 500 $ et remercie la collaboration du Jardin des îles. Les profits serviront à défrayer les coûts de diverses activités tout au long de l’année scolaire. Par ailleurs, on a complété la préparation de 1 200 coffrets de fromage qui seront tous vendus. Cette initiative permet de dégager des profits de 15 000 $ qui serviront, entre autres, à l’aménagement de la future cour d’école.

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Problèmes du prix du millénaire ; Kilroy prétend avoir résolu P = NP

Un jeune homme du Haut-Saint-François préférant garder l’anonymat, mais dont son pseudonyme est Kilroy, prétend avoir résolu un des problèmes du prix du millénaire P = NP. En attendant de pouvoir publier dans une revue spécialisée et d’obtenir une reconnaissance, il soumet sa démarche sur un site Web accessible à qui veut bien la vérifier. Un résultat positif pourrait rapporter au prétendant la rondelette somme de 1 M$.
Les problèmes du prix du millénaire sont un ensemble de sept défis mathématiques réputés insurmontables, posés par l’Institut de mathématiques Clay qui remonte en 2000. La résolution de chacun des problèmes est dotée d’un prix d’un million de dollars américains offert par l’institut. Au moment d’écrire ces lignes, six des sept problèmes demeuraient toujours non résolus.
Chacun des défis consiste soit démontrer, soin infirmer, une hypothèse ou une conjecture qui n’a été ni confirmée ni rejetée faute d’une démonstration mathématique suffisamment rigoureuse, soit définir et expliciter l’ensemble des solutions de certaines équations. L’institut est d’avis que chacune de ces solutions permettra de consolider les bases théoriques dans certains domaines des mathématiques fondamentales et constituera un important tremplin qui servira à approfondir les connaissances associées.
Parmi les règles, l’institut précise que si la solution proposée par publication pour résoudre l’un de ces problèmes est largement acceptée par la communauté des mathématiciens au bout de deux ans, alors elle remettra un million de dollars américains à la personne ou au groupe qui l’aura formulée.
Jusqu’à présent, un seul des sept problèmes proposés a été résolu et il s’agit de la conjecture de Poincaré, démontrée par Grigori Perelman. Les autres problèmes encore officiellement non résolus sont l’hypothèse de Riemann, le problème ouvert P = NP, dont Kilroy prétend avoir trouvé la solution, la conjecture de Hodge, la conjecture de Birch et Swinnerton-Dyer, les équations de Navier-Stokes et celles de Yang-Mills.
Faute de n’avoir obtenu aucune publication dans les revues spécialisées, Kilroy se tourne vers le journal en rendant disponible sa résolution du problème P = NP. Il est donc possible à quiconque de consulter sa démarche en visitant le site www.theoriedutout.wixsite.com/kilroy. « Ce que j’aimerais surtout, c’est que les mathématiciens puissent valider ma découverte pour que le monde puisse s’en servir, que je ne sois pas le seul à connaître ces éléments basic là. Il faut utiliser la formule. » Kilroy prétend avoir résolu plusieurs problèmes avec la formule de SCI qu’il a mise au point et qui regroupe toutes les autres mathématiques en une seule. Il mentionne que ces solutions risquent de changer énormément de choses au niveau mathématiques. Tout ce qui se retrouve sur le site, de préciser le chercheur, est gratuit et libre de droits. « Celui qui a la connaissance a le devoir de la partager gratuitement », lance-t-il.
Ce jeune chercheur a déjà publié un livre qui se retrouve sur le site Internet et porte sur les nodes et les modules des mathématiques de SCI. Il travaille présentement sur le volume II en plus de fignoler quelques inventions dont il rendra publiques éventuellement.

Caserne de pompier

Service de protection contre les incendies de l’agglomération Cookshire-Eaton : Inauguration de la caserne no 2 à Sawyerville

La coupe du ruban faite par le maire de Cookshire-Eaton, Mario Gendron, entouré du directeur adjoint et chef préventionniste, Sylvain Dussault, du directeur du SPCI, Éric Cloutier et Marcel Charpentier, chef aux opérations.

Le Service de protection contre les incendies (SPCI) de l’agglomération Cookshire-Eaton a inauguré la caserne no 2, située à Sawyerville. Le service compte maintenant trois postes d’incendie plus spacieux et plus fonctionnels : Cookshire-Eaton, Sawyerville et Johnville.
La caserne originale de Sawyerville fut construite en 1954 et rapidement, elle devient désuète pour plusieurs raisons, dont la dimension de l’immeuble entre autres. L’ancien garage municipal aura aussi servi de caserne temporaire pour une période de presque 10 ans, mais lui aussi étant trop petit, il était donc très difficile d’entreposer l’équipement et d’assurer la maintenance des véhicules. Dès 2011, le conseil municipal commence à discuter de la construction d’un bâtiment. Les travaux se sont amorcés à l’automne 2021 et ont nécessité un investissement de 1,25 M$.
La réalisation de ce projet, vieux de vingt ans, aura pris presque deux ans à être mise à terme. Cela est attribuable aux différents aléas liés à la pandémie comme la rareté et le coût des matériaux de construction, par exemple, d’exprimer Éric Cloutier, directeur du Service de protection contre les incendies. Le maire de Cookshire-Eaton, Mario Gendron, est, quant à lui, très heureux du travail finalisé. « Je suis particulièrement heureux et fier de voir tout le travail qui a été effectué pour mettre à niveau les casernes de pompiers sur notre territoire. Aujourd’hui, nous lançons officiellement les opérations de la caserne no 2 de Sawyerville. Pour les citoyens de Cookshire-Eaton et de Newport, nous avons aujourd’hui la preuve que l’union fait la force » conclut, M. Gendron.
L’agglomération de Cookshire-Eaton regroupe la municipalité du même nom ainsi que celle de Newport. Près d’une cinquantaine d’officiers, de pompiers et de pompières s’occupent de couvrir un territoire avoisinant 567 km2 ou 6 042 citoyens résidents. Ce qui fait près de 11 habitants par kilomètre carré. Environ 400 opérations ont lieu par année, d’exprimer Marcel Charpentier, chef aux opérations des trois casernes. Outre l’extinction des incendies, le SPCI agit aussi comme premier répondant pour les accidents de la route et les sauvetages en zone plus difficile d’accès. « Vraiment tout ce qui rentre dans la catégorie appel d’urgence, il y en a plus d’un par jour », conclut-il. De ces 50 combattants des incendies, 17 sont stationnés à Cookshire-Eaton, 18 à Johnville et 13 à Sawyerville. Les différents véhicules du SPCI Cookshire-Eaton sont répartis à travers les trois casernes et comprend 2 camions-citernes, 3 pompes-incendies, 3 camions unités d’urgence, 1 bateau de secours et 1 véhicule tout-terrain pour tous les cas dits « hors route ». La municipalité de Cookshire-Eaton possède également un centre de formation tout près de l’aéroport de Sherbrooke qui est utilisé par une grande partie des municipalités de l’Estrie, mais aussi par l’armée canadienne, la GRC et la Sûreté du Québec, d’expliquer le directeur du SPCI, M. Cloutier.
Selon Éric Cloutier, la construction d’une caserne comportant quatre portes était devenue nécessaire. Avec la croissance des effectifs, l’achat de nouveaux équipements et la grande superficie à couvrir, la mise à niveau des casernes de l’agglomération Cookshire-Eaton allait de soi. La toute nouvelle caserne est aussi munie d’une salle de formation.

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Partenariat de 5 municipalités pour le ramassage des ordures

Les municipalités de Scotstown, Hampden, La Patrie, Lingwick et Chartierville se sont regroupées pour faire l’achat d’un nouveau camion qui aura pour fonction le ramassage des matières résiduelles.
L’objectif derrière cette initiative est de regrouper certains services afin d’en donner un meilleur aux citoyens, avec un coût qui reste raisonnable, d’exprimer le maire de Scotstown, Marc-Olivier Désilets.
L’alarme a sonné lorsque la municipalité s’est rendu compte que le prestataire du service actuel mettait l’ensemble des matières résiduelles aux déchets. Du côté de Scotstown, celle-ci avait mis en place de grosses mesures pour s’assurer que les industriels recyclent aussi. Pourtant, lorsqu’ils ont réalisé que la compagnie responsable de la gestion des matières résiduelles finissait par tout mettre dans le même bac, il semblait normal pour M. Désilets et les maires des quatre autres municipalités de trouver des solutions. « Au prix qu’est la tonne et question environnementale, ça n’a juste pas de bon sens. Il fallait trouver une solution alternative à ce problème », d’expliquer le maire de Scotstown.
Le contrat actuel coûtait aux municipalités près de 272 000 $ par année pour que la compagnie s’occupe du ramassage des matières résiduelles. Le coût d’enfouissement n’est pas inclus dans le montant. Suite à plusieurs discussions et après avoir étudié les chiffres, les cinq maires ont convenu qu’il était possible de s’autogérer. Le coût du camion s’élève environ à 405 000 $, montant qui sera divisé entre les cinq municipalités. De plus, une subvention gouvernementale viendrait alléger la facture totale. « C’est un avantage pour nos municipalités puisque la durée de vie d’un camion comme on en a fait l’acquisition peut s’étendre sur 15 ans. Le coût du projet devrait se rentabiliser assez rapidement », d’exprimer Marc-Olivier Désilets.
Le contrat de la compagnie responsable présentement se termine le 1er janvier 2023. La location d’un autre camion à déchets permettra de continuer le service en attendant la livraison du véhicule, acheté par les municipalités, qui devrait entrer en fonction en septembre 2023. « Le projet de regroupement pour ce type de service là est très, très viable », de conclure M. Désilets.

Cellulaire

Bell étend son réseau cellulaire à Scotstown

La construction d’une tour permettant de desservir la couverture cellulaire est en cours.

Les travaux de construction d’une tour cellulaire dans la municipalité de Scotstown sont commencés. Du béton a été coulé et la structure d’acier a commencé à être assemblée. Cette tour devrait couvrir 12 km2 avec l’entièreté de Scotstown ainsi qu’une grande partie d’Hampden.
La couverture cellulaire se rendra jusqu’au parc de Franceville et même vers Lingwick.
L’entente avec Bell a été signée pour 40 ans et le coût d’un tel projet s’élèverait approximativement à 1,2 M$, pris en charge exclusivement par la compagnie de télécommunication. La municipalité n’aura aucuns frais à débourser dans ce dossier.
Outre une meilleure accessibilité à Internet et à un réseau cellulaire, cette nouvelle couverture permettra aussi d’agir comme rétenteur de la population locale et jouera un rôle dans l’arrivée potentielle de nouveaux résidants. « Ce projet permet d’avoir une force supplémentaire, tout ce qui est en télécommunication comme relier le service d’incendie et le service de police. De cette façon-là, on s’assure qu’il y ait moins de points morts », d’exprimer Marc-Olivier Désilets, maire de Scotstown.

actualite

Profitez des Fêtes pour faire une pause !

La période des Fêtes signifie bien souvent que vous serez occupé à recevoir des proches et à être invité chez d’autres. Et pour bon nombre de travailleurs, elle constitue également l’un des moments de l’année où ils ont droit à plusieurs jours de congé. Si tel est votre cas, pourquoi ne pas en profiter pour vous accorder une pause bien méritée ?
Gardez des journées pour vous
Bien que vous ayez plusieurs évènements disséminés tout au long de la période des Fêtes, pensez à conserver quel­ques journées de calme. Au programme ? Prendre soin de vous et décrocher du quotidien mouvementé. Ainsi, donnez-vous la permission de refuser des invitations parce que vous avez déjà rendez-vous avec vous-même et vos enfants, le cas échéant.
Prévoyez des activités
Faire une pause ne signifie pas de ne rien faire du tout, mais plutôt de vous concentrer sur les choses qui vous plaisent, vous amusent ou vous détendent. Listez quel­ques options d’activités que vous aimeriez réaliser si vous en avez l’occasion en tenant compte de différents scénarios de la météo. Notez des idées pour l’extérieur (patin, ski, glissade, etc.) et pour l’intérieur (film, journée pyjama, lecture, etc.).
Les pauses sont essentielles pour prendre soin de votre santé physique et mentale. Bon temps des Fêtes !

Dejeuner ainées

Table de concertation des personnes aînées du Haut-Saint-François : Un déjeuner instructif

Une quarantaine de personnes assistait à la conférence donnée par la firme de Cookshire-Eaton.

La Table de concertation des personnes aînées du Haut-Saint-François (HSF) a récemment organisé un déjeuner-causerie, avec pour invités, le notaire Patrick Guilbeault et Julie Roberge de la firme Grondin Guilbeault Fontaine notaires SA. Une quarantaine de citoyens du HSF, principalement de La Patrie, se sont présentés au Resto-Bar La Patrie afin d’en apprendre plus sur les différentes formes de testaments, les procurations générales et les mandats de protections.
L’objectif derrière cette rencontre était tout d’abord d’offrir une séance d’information permettant aux invités d’en apprendre plus sur les sujets évoqués et d’exposer leurs interrogations aux spécialistes, s’ils le désiraient. Sujets qui avaient trouvé une certaine préoccupation chez les membres et qui désiraient en apprendre davantage. Cette rencontre permettait également aux aînés participants de sortir de la maison et de socialiser. « Ce genre d’activité est vraiment intéressante puisqu’elle permet à nos membres de sortir de chez eux, venir prendre un petit déjeuner, socialiser entre eux autour de sujets qui les intéressent et sur lesquels, ils se posent des questions », d’exprimer Kenneth Cameron, président du conseil d’administration de la Table de concertation des personnes aînées du HSF.
L’organisme prévoit présenter plusieurs activités dans d’autres municipalités du Haut-Saint-François au cours de l’année 2023. Plus tôt cette année, La Table de concertation des personnes aînées du HSF avait organisé la tenue du spectacle Passée Date ? à Dudswell.

Fete enfants La Patrie

Une fête pour les enfants de La Patrie

Plus de 25 jeunes, tous du service de garde de l’école primaire Notre-Dame-de-Lorette de La Patrie, participaient récemment à un après-midi d’activités organisé par la Municipalité de La Patrie. Dessins, jeux en plus d’avoir de l’espace pour courir dans le centre communautaire, et ce, au rythme musical du duo Camil Jetté et Mathieu Poulin, faisaient le bonheur des jeunes. En fin de journée, les participants ce sont rendus à l’extérieur pour un envoi de bulles de savon « qui va rejoindre tous les enfants de la terre à l’occasion de la Journée mondiale de l’enfance pour un monde meilleur », d’exprimer la conseillère municipale, Chantal Lacoursière, responsable de l’activité. Cette dernière mentionne que l’initiative s’inscrit dans la démarche que la municipalité a entreprise pour devenir Municipalité amie des enfants. D’ailleurs, la candidature est déjà déposée auprès d’Espace MUNI et est en attente de l’accréditation. Mme Lacoursière mentionne que la volonté est « d’inclure les enfants dans la municipalité, d’essayer de voir à leur niveau en tant qu’enfant comment ils voient ça leur village, ce qu’ils aimeraient que ce soit. On a donc décidé de travailler là-dessus. » La conseillère admet qu’il s’agit d’un projet qui lui tient à cœur. Rappelons que l’école Notre-Dame-de-Lorette est reconnue école Santé globale. Les jeunes participants se sont amusés tout au long de l’après-midi.

PDZA

Plan de développement de la zone agricole (PDZA) : Rencontre pour définir les orientations

Une vingtaine de personnes participait à l’entretien de la mise à jour du PDZA dans le HSF.

Maires, conseillers municipaux et acteurs du milieu agricole et forestier se sont réunis lors d’une réunion du comité consultatif élargie pour valider et préciser l’orientation voulue afin d’atteindre les objectifs dans le cadre du nouveau PDZA du HSF. De cette rencontre, trois différents axes de développement ont été discutés et mis de l’avant.
Le premier axe, Agir ensemble, se décline par un meilleur accès à la terre pour la relève, par l’adaptation aux changements climatiques et à l’agroenvironnement, à l’innovation et à la création de valeur ajoutée, à la législation, la réglementation et à un meilleur accès aux différents leviers financiers et finalement par des moyens de diversification et de dynamisation du territoire.
Le second point, Communiquer et animer le territoire, s’assurera d’établir des contacts plus fréquents avec les acteurs principaux de l’agriculture et de la foresterie, de s’impliquer dans le milieu et d’assurer une présence sur le terrain lors de dossiers plus tendus et de rassembler et favoriser la création de liens entre les différents partenaires agricoles et forestiers.
Le troisième axe, Mener et gouverner, repose sur une forme de leadership collaboratif dans les dossiers forestiers et agricoles du territoire en plus de mettre en place une gouvernance partagée, en créant des groupes, qui s’occuperont de régler des dossiers spécifiques.
Une ultime rencontre est prévue, après la période des fêtes, afin de permettre aux producteurs et à leurs représentants de proposer des pistes d’actions concrètes à mettre en place afin d’atteindre les objectifs identifiés pour les cinq prochaines années (2023-2028).
Robert G. Roy, préfet de la MRC du HSF, à souligner l’importance de travailler ensemble et de prendre les mesures appropriées pour mettre en œuvre ce PDZA mis à jour. Il a tenu à rappeler : « Le rôle des élus dans chacune de nos municipalités est crucial. Ils sont notre lien avec notre population et nos producteurs agricoles et forestiers, ils sont nos yeux et nos oreilles sur le terrain. »

Bénévoles Bury

Bury rend hommage à ses bénévoles

La municipalité de Bury a récemment procédé à une soirée reconnaissance pour rendre hommage à ses bénévoles qui contribuent à améliorer la qualité de vie au sein de la communauté. Ils étaient une cinquantaine de personnes à participer à la soirée, partager un goûter et savourer des boissons. Le maire, Denis Savage, et la conseillère, Vanessa Chapman, ont profité de l’occasion pour remettre un cadre de remerciement à tous les responsables de 19 organisme

Alexandra

Chambre de commerce du HSF : Alexandra Jacquet, nouvelle directrice générale

Alexandra Jacquet, nouvelle directrice générale de la Chambre de commerce du Haut-Saint-François.

Alexandra Jacquet est la nouvelle directrice générale de la Chambre de commerce du Haut-Saint-François. Elle succède donc à Anabel Laurie.
Diplômée en Sciences politiques, Mme Jacquet a travaillé quatre ans en politique fédérale au sein de divers bureaux de députés fédéraux québécois dont notamment celui de la députée de Compton-Stanstead, Marie-Claude Bibeau. Cette femme qui recherchait de nouveaux défis est comblée par ceux qu’elle aura à relever au sein de la Chambre de commerce.
« J’avais rencontré Anabel un peu plus tôt cet automne et on avait parlé de son rôle en tant que directrice et je trouvais que ça avait l’air super intéressant et super le fun. Je me suis dit pourquoi pas. » Mme Jacquet dit avoir hâte de découvrir « le dynamisme entrepreneurial de la région, découvrir les petites entreprises, les petits commerces, je pense que je ne vais pas être déçue du tout. » Celle qui se définit comme une personne autonome, curieuse et travaillante entamera ses nouvelles fonctions de directrice générale de la Chambre de commerce du Haut-Saint-François au début de janvier prochain

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Chambre de commerce du HSF : Un 5 à 7 de découvertes

Plusieurs commerçants et gens d’affaires ont profité du 5 à 7 de Noël de la Chambre de commerce du Haut-Saint-François pour discuter et échanger dans une ambiance festive et détendue. En plus de découvrir les charmes du Brasseur Fou de Sawyerville, à Cookshire-Eaton, endroit où se déroulait la rencontre, les participants ont eu le plaisir d’échanger avec la nouvelle directrice générale de l’organisme, Alexandra Jacquet.

noel East Angus

Fête de Noël à East Angus

Les jeunes familles d’East Angus et même les plus grands ont profité de l’invitation de la municipalité pour participer à la fête de Noël, qui se déroulait en marge de la présentation du concert de Noël par le Grand Orchestre de Thetford, à l’église Saint-Louis-de-France. L’événement se voulait une activité préliminaire marquant le centenaire du bâtiment patrimonial. Les jeunes se sont follement amusés, sautant dans les jeux gonflables, s’assoyant sur les genoux du père Noël en plus de recevoir des présents. Ce volet a été rendu possible grâce à la collaboration du Club Lions, de la Maison des jeunes Actimaje ainsi que la municipalité de East Angus. Cette dernière a également invité les jeunes familles à demeurer sur place pour assister gratuitement au spectacle du Grand Orchestre de Thetford. L’ensemble musical a offert une magnifique prestation combinant une partie du répertoire du regretté artiste Michel Louvain et des hymnes de Noël. Plus d’une centaine de personnes assistaient à la représentation.

Marché St-Isidore

Marché de Noël des Trois-Cantons : Une 2e année remplie de succès

L’heure du conte raconté par Sylvain Dodier a été fort appréciée des enfants.

Pour une 2e année consécutive, les membres de l’OPP (organisme de participation des parents) de l’école primaire des Trois-Cantons de Saint-Isidore-de-Clifton ainsi que les élèves proposaient une vente d’arbres et de couronnes de Noël ainsi qu’un marché, où étudiants, exposants et artisans offraient leurs créations et produits.
L’artiste Sylvain Dodier y était pour faire la lecture d’un conte de Noël juste avant l’arrivée de l’homme arborant la barbe blanche et venant du pôle Nord. Le marché de Noël était aménagé à l’intérieur de l’école et une dizaine d’artisans et élèves présentaient l’objet de leur création. Les jeunes de 4e, 5e et 6e année avaient créé cartes de Noël, décorations, sacs pour cadeaux et des bougies entre autres et vendaient le travail de leur labeur. Un encan silencieux avait aussi lieu et permettait aux visiteurs de remporter plusieurs prix intéressants, tel qu’une loge pour deux soirs pour le club de hockey Phoenix, une admission de trois jours à l’Académie Bauer d’Alexandre Landry, des chèques cadeaux et plusieurs autres items.
Forts du succès de l’année dernière, une quarantaine d’arbres ainsi qu’une trentaine de couronnes avaient été vendus en prévente avant même que débute la journée. Les profits amassés lors de cette activité serviront principalement à l’élaboration de deux projets bien distincts, soit l’amélioration des infrastructures extérieures et un projet «terrain de soccer», en plus d’aider à la réalisation d’activités scolaires pour tous les élèves de l’école. Mentionnons que l’initiative a été rendue possible grâce à la collaboration de nombreux commanditaires.

Guignolée Weedon

Guignolée des médias récolte 3 777 $

Léa Gosselin et Nathalie Martin de (Moisson Haut-Saint-François.

Une vingtaine de bénévoles se relayant tout au long de l’avant-midi du 1er décembre, à l’angle de la route 112 et de la rue Saint-Janvier à Weedon, ont intercepté la circulation pour amasser des dons dans le cadre de la guignolée des médias. L’activité organisée par le Centre d’action bénévole (CAB) du Haut-Saint-François, Moisson Haut-Saint-François et les Chevaliers de Colomb de Weedon vient mettre un peu de baume pour les personnes démunies.
Tous les dons amassés seront redistribués dans les organismes de la région pour aider les gens dans le besoin. Une partie sera remise pour les paniers de Noël et le reste sera réparti au cours de l’année. France Lebrun, directrice générale du CAB, tient à remercier les commanditaires qui rendent cette activité possible, soit les pompiers volontaires et la municipalité de Weedon permettant d’assurer la sécurité des bénévoles. Elle remercie également les commerçants du coin qui autorisent l’utilisation des stationnements.

Dudswell

Une Boîte à cadeaux qui répond aux attentes

La popularité de la Boîte à cadeaux de Dudswell ne se dément pas. Encore cette année, plusieurs centaines de personnes ont déambulé à l’intérieur de l’église Saint-Clément du secteur Bishopton pour faire de belles découvertes.
Pas moins de 26 artisans provenant du Haut-Saint-François et de l’extérieur de la région ont présenté leurs différents produits. Mais il n’y avait pas que des exposants, un volet culturel était bien présent que ce soit Célia Gaudreau, qui faisait la lecture de l’un de ses livres de poésie pour enfant, la chorale Dudilid’Ham, le globeconteur, Ronald Larocque avec son spectacle Ti-Jean les longues oreilles et le dragon à sept têtes. Les enfants ont également eu le loisir de faire valoir leur talent en participant à l’atelier de décorations de Noël. Les visiteurs ont eu l’opportunité de se dégourdir les jambes au rythme de trois percussionnistes tandis que les tout-petits avaient la chance de voir le marionnettiste Salem Hammad avec son spectacle, La marche de Gustave. Alain Bourgeois, agent de développement, ajoutait que les intervenants avaient développé l’aspect extérieur en installant un foyer, des chaufferettes, un chapiteau et de la musique pour créer une ambiance conviviale. Il y en avait pour tous les goûts et les visiteurs étaient satisfaits de leur passage à Dudswell.

Journée astronomie

Journée astronomie de Chartierville : Belle participation

Près d’une soixantaine de personnes se sont donné rendez-vous sur le site de la côte magnétique à Chartierville pour participer à la 4e édition de la Journée astronomie. Plusieurs activités étaient au programme tout au long de la journée. Les jeunes se sont amusés sous le chapiteau avec un petit atelier de peinture et un lancement d’avions en styromousse, en bois ou en plastique était prévu à l’horaire. L’activité fut clôturée par une nouveauté : une envolée de lanternes chinoises. Au sommet de la côte des lignes, près de la croix, une cinquantaine de lanternes étaient prêtes à s’envoler dans le ciel de Chartierville. Claude Sévigny, conseiller municipal et organisateur de l’évènement, est très heureux de la participation des gens et particulièrement à cette nouveauté qui en a ravi plusieurs. « Chaque nouvelle année, on essaie de faire quelque chose de bien. On essaie d’organiser quelque chose qui va attirer les gens à venir nous voir. Cette envolée de lanternes était spectaculaire et on aimerait réitérer l’an prochain. »

Éducation aux adultes

Centre d’éducation aux adultes : Le nouveau service (FAD)

Nathalie Roy, directrice au Centre d’éducation aux adultes, et Safran Bizier, enseignante, ont confiance que la nouvelle offre de service FAD obtiendra du succès auprès des utilisateurs.

Le Centre d’éducation aux adultes du service scolaire des Haut-Cantons à East Angus offre de la formation à distance. Implanté l’année dernière, le service a été peaufiné et est en mesure de répondre adéquatement à la clientèle.
« On a toujours offert de la formation à distance, mais ce n’était pas structuré nos affaires. Donc, l’année passée, on a retravaillé notre formule et maintenant on a une plateforme Moodle », d’exprimer Safran Bizier, enseignante d’anglais et sexualité. « Cette année, ajoute-t-elle, on a bonifié nos choses, on a continué à la retravailler et là on la déploie à plus grande échelle. » Sur la plateforme, on retrouve des explications, des exercices, des vidéos explicatifs, voir comment utiliser la plateforme et les travaux qui sont à faire. Il est possible d’y déposer les devoirs. Les enseignants ont également du temps disponible pour répondre aux élèves. Les étudiants peuvent donc communiquer avec eux soit sur la plateforme Team ou par téléphone, par courriel ou Messenger.
« L’année dernière, c’était une année de rodage, on l’a bonifié. Cette année, c’est vraiment au point » , d’insister Mme Bizier. Nathalie Roy, directrice du Centre d’éducation aux adultes, ajoute qu’il s’agit d’une plateforme en ligne, mais ce n’est pas de la formation synchrone. Les gens, explique-t-elle, ne sont pas devant leur ordinateur à suivre le cours. La formation aux adultes, ça reste de la formation individualisée. Les gens peuvent la suivre à leur rythme et selon leur disponibilité. « Donc, si une personne travaille, elle peut le faire le soir. Nous, on peut se donner de petits moments de rencontre idéalement une fois par semaine. Ça peut être jusqu’à 15 minutes, quelques échanges de courriel. Ils nous envoient leurs travaux, on les corrige, on fait une rétroaction. Ils n’ont pas besoin de beaucoup de temps avec l’enseignant », d’exprimer Mme Bizier.
L’objectif, précise Mme Roy, « est d’aller chercher plus d’élèves et de répondre aux besoins variés de la clientèle qui ne trouve pas toujours le temps de venir à l’école, particulièrement ceux qui travaillent, des personnes qui ont des enfants à la maison, certaines personnes malades, des personnes qui ne peuvent se déplacer en présentiel. Ça démocratise l’accès à l’éducation. » L’année dernière, la FAD a enregistré 31 inscriptions. En novembre dernier, on en était à 15, mais les intervenantes étaient confiantes que ce nombre allait augmenter au cours des prochaines semaines. L’inscription à l’éducation aux adultes se fait de façon continue et à sortie variable. Les gens peuvent s’inscrire en tout temps, particulièrement pour la formation à distance. Les utilisateurs du service au régulier cherchent à compléter leur formation scolaire que ce soit du 3e au 5e secondaire afin d’obtenir éventuellement un diplôme d’études professionnelles (DEP) ou un diplôme d’études secondaires (DES). Il est possible de poursuivre le cheminement scolaire en présentiel, en classe, ou à distance. Bien que les usagers de la FAD peuvent faire leur cheminement à distance, ils devront néanmoins faire leurs examens en présentiel.
Pour s’inscrire à la FAD, il suffit de joindre le Centre d’éducation aux adultes en composant le 819 832-3637 poste 1100. On vous donnera un rendez-vous avec la conseillère en orientation qui déterminera avec la personne le profil de formation et les besoins pour atteindre les objectifs. Le service s’adresse aux personnes de 16 ans et plus avant le 30 juin de l’année en cours.
Le centre de formation aux adultes compte pas moins de 600 élèves répartis dans les trois centres, soit Coaticook, Mégantic et East Angus. La formation, dite régulière, n’est qu’une facette des services offerts. On offre également des formations pour les élèves en déficience ou handicapés, les élèves avec le spectre de l’autisme, d’autres éprouvant des problèmes de santé mentale et des gens sur des plateaux de travail en insertion socioprofessionnelle.

Concert de Noel

Cookshire-Eaton : Le traditionnel concert de Noël pour réchauffer les cœurs

Catherine St-Arnaud, Pierre Heault, Marilène Provencher-Leduc et Julien LeBlanc.

La Galerie d’art Cookshire-Eaton, avec la collaboration de la Municipalité de Cookshire-Eaton, du Cœur villageois et la Maison de la culture John-Henry-Pope, présentera le traditionnel concert classique de Noël, à l’église Saint-Camille de la municipalité le 10 décembre à compter de 19 h 30.
Le spectacle annuel sert pour une bonne cause. Les recettes serviront à défrayer une partie des activités culturelles des écoles du territoire. Les amateurs de musique classique et ceux désireux de découvrir cette facette seront servis à souhait avec quatre artistes de haut niveau soit Marilène Provencher-Leduc à la flûte traversière, Julien LeBlanc au piano ainsi que les chanteurs Catherine St-Arnaud (soprano) et Pierre Heault (ténor).
Mme Provencher-Leduc est titulaire d’un doctorat en interprétation de l’Université de Montréal et est également diplômée du Conservatoire de musique de Montréal en plus d’être lauréate de plusieurs concours canadiens. Elle est actuellement professeure de flûte à l’Université de Sherbrooke. Élève à la Royal Academy of Music de Londres, à la Glenn Gould School de Toronto et à l’Université de Montréal, Julien LeBlanc est lauréat de plusieurs concours canadiens. Il s’est démarqué sur diverses scènes au Canada. La soprano Catherine St-Arnaud a remporté plusieurs prix internationaux et nationaux, tels que le Premier prix du célèbre Prix d’Europe dans la catégorie chant en plus d’être lauréate du concours de l’Orchestre symphonique de Montréal Manuvie et du Concours du Festival international de Lamèque. Elle a également été finaliste du prestigieux Metropolitan Opera New England National Council Auditions, en plus d’être nommée Jeune Ambassadeur Lyrique par le Théâtre Lyrichorégra L20 où elle a remporté plusieurs prix. Diplômé du premier cycle en chant au Conservatoire de musique de Montréal auprès de la soprano Aline Kutan, Pierre Heault poursuit son apprentissage en étant inscrit à la maîtrise en chant à l’Université de Montréal pour y étudier auprès du ténor Richard Margison. Il compte déjà plusieurs rôles à son actif.
Programmation
Les amateurs de musique classique auront droit à un répertoire varié. Le programme de la soirée comprend 17 pièces. Il débutera avec Adeste Fideles – arrangements Frédéric Chiasson et se terminera avec le traditionnel Minuit, Chrétiens – Adolphe Adam. Même si la contribution est volontaire pour assister au spectacle, les responsables comptent sur la générosité des gens.

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