Centenaire de leglise east angus

100 ans de construction de l’église Saint-Louis-de-France à East Angus : Une programmation étoffée pour souligner le centenaire

Nous apercevons à l’avant de gauche à droite le président d’honneur Rémi L. Petit, Carole Blais, présidente du comité organisateur, Lyne Boulanger, mairesse de East Angus et Gray Forster, maire du Canton de Westbury. Dans le même ordre à l’arrière, Alexandre Fonda, représentant de la députée de Compton-Standstead, Marie-Claude Bibeau, François Jacques, député de Mégantic, Michel Bédard, directeur général Emballages Hood, Robert G. Roy, préfet de la MRC, et Dany Boily, présidente de la Caisse Desjardins du Haut-Saint-François.

Reconnue comme étant un véritable bijou patrimonial, l’église Saint-Louis-de-France à East Angus est centenaire. Érigé en 1923, ce lieu de culte a aujourd’hui 100 ans bien sonnés. Les paroissiens n’ont pas l’intention de passer ce fait d’armes sous silence. Le comité organisateur, composé de différentes sphères de la communauté, a concocté une série de neuf activités qui se dérouleront tout au long de l’année.
La première activité se déroulera le 12 mars et mettra en vedette l’organiste, Pierre Grandmaison, compositeur et titulaire des orgues de la basilique Notre-Dame de Montréal. L’animation sera assumée par l’abbé Donald Thompson. Parmi les autres activités, figure le Symposium des arts le 15 et 16 avril. Le spectacle avec l’organiste Raphaël Ashby, titulaire des orgues de l’église du Très-Saint-Nom-de-Jésus de Montréal et originaire d’East Angus, se tiendra le 23 avril et sera animé par l’abbé Donald Thompson. Le 24 juin ne passera pas inaperçu puisqu’on y célébrera une messe québécoise suivie d’un concert présenté sur le parvis. Le dimanche 2 juillet se déroulera une messe solennelle présidée par Mgr Luc Cyr, archevêque de Sherbrooke. Les 9 et 10 septembre seront marqués par la participation aux Journées du patrimoine religieux alors que le 30 septembre et 1er octobre marqueront l’implication aux Journées de la culture à laquelle s’ajoutera une exposition de photos. Cette activité sera bonifiée par la présentation du spectacle musical de Jean-Guy Piché. Enfin, les 14 et 15 octobre marqueront la participation à la Balade des clochers par une visite guidée et d’un mini concert d’orgue par Dominic Alexandre, organiste titulaire de la paroisse.
C’est à l’occasion d’une conférence de presse tenue à l’église, que les membres du comité organisateur, le président d’honneur Rémi L. Petit et les principaux commanditaires que l’on a procédé au lancement de la programmation marquant le centenaire de construction du bâtiment.
« La région du Haut-Saint-François dispose d’un bâtiment patrimonial d’exception sur son territoire. Que ce soit par son architecture gothique, l’orgue puissant de facture Casavant Frères, les vitraux uniques ou les pièces d’orfèvrerie qu’on y retrouve, cette église mérite d’être connue et valorisée », de mentionner M. Petit. Le comité organisateur souligne de façon particulière le centenaire de l’église en ayant disposé diverses banderoles à saveur historique mettant en évidence la construction de l’église, le curé Jean Arsène Rodrique Plamondon et autres. Le bâtiment, œuvre de l’architecte Louis-Napoléon Audet, a été érigé en 1923 au coût de 364 298 $. Sa valeur actuelle est estimée entre 35 M$ et 40 M$.
Carole Blais, présidente du comité organisateur, mentionne que le choix de M. Petit comme président d’honneur était tout à fait naturel. « Il a participé aux travaux de rénovation, il connaît notre église par cœur. Il est là pour faire connaître notre église », précise-t-elle. M. Petit avoue avoir été surpris d’être sollicité d’autant plus qu’il n’est pas d’East Angus. « J’ai accepté parce que je travaille dans l’église pour la restauration depuis 2004. Ça fait partie de ma carrière, de ma vie d’architecte. Tout le travail qu’on a mis ici. Je sais que ça vaut la peine de le préserver, de le faire connaître. Je trouvais ça amusant d’être invité à donner du temps pour ça. C’est un plaisir de fonctionner avec le comité du centenaire. » Le président d’honneur joue un rôle actif au sein du comité. Il ajoute que son rôle consiste à « faire aimer et connaître le patrimoine. On est capable d’en parler, de le faire aimer plus. Les gens vont être capables de se l’approprier et vont le conserver plus longtemps. » Pour M. Petit, « développer le patrimoine en architecture, c’est aussi développer la connaissance et la connexion avec ce patrimoine-là. »
Mentionnons que les festivités sont possibles grâce à la générosité de plusieurs commanditaires. Plus de 45 000 $ sont amassés jusqu’à présent et permettent d’offrir une programmation variée. Mentionnons que certaines activités comme les concerts d’orgue nécessiteront l’achat de billets. Les personnes désireuses d’en savoir davantage peuvent consulter le site www.eastangus.ca.

École de La Patrie

Entrepreneuriat à l’école Notre-Dame-de-Lorette : Gère ta salade

Les élèves de 5e année posant fièrement avec la première récolte de l’année, accompagnés de leur enseignante, Mychèle Morin, et du directeur général chez Moisson HSF, Carl Lajeunesse.

Les élèves de 5e année de la classe de Mychèle Morin à l’école Notre-Dame-de-Lorette de La Patrie ont entrepris de cultiver divers légumes biologiques à l’aide d’un jardin hydroponique intérieur. Ces jeunes entrepreneurs motivés ont décidé d’offrir en don leur première récolte à Moisson Haut-Saint-François qui les remettra aux usagers de l’organisme.
« Je trouve ça super de voir de jeunes élèves avoir autant d’enthousiasme dans un projet comme celui-ci. Leur don fait chaud au cœur, surtout qu’à l’organisme, il est assez difficile d’avoir et d’offrir des légumes », d’exprimer Carl Lajeunesse, directeur général chez Moisson Haut-Saint-François.
Les agriculteurs en herbe étaient très fiers du résultat de la récolte et heureux de choisir un organisme aidant les gens dans le besoin.
Ce sont neuf élèves qui ont pris en charge l’entièreté du projet, de la mise en terre des graines jusqu’à la récolte, passant par le contrôle du PH dans l’eau et la qualité des nutriments absorbés par les plantes. L’hydroponie permet la culture de plantes sans terre. Ce système est très efficace puisque les racines reçoivent une alimentation optimale, et n’ont pas besoin de se développer à la recherche d’eau, donc plus de plantes dans moins d’espace. De plus, en hydroponie, plusieurs économies sont possibles puisque l’eau avec les nutriments est réutilisée.
Les sept semaines destinées à la production de la première récolte ont été chamboulées par quelques petits pépins, mais les élèves ont été en mesure de relever les défis et trouver des solutions à leur problème en équipe, souligne l’enseignante Mychèle Morin.
Cette école fait partie du programme Santé globale et les saines habitudes de vie sont une priorité pour l’établissement, les enseignants et les jeunes le fréquentant. Derrière ce projet se cache aussi un désir de promouvoir l’achat local. Consommer localement permet de produire moins de déchets et tous les légumes provenant de l’école Notre-Dame-de-Lorette n’ont été soumis à aucun produit nuisible pour la santé.

Entente aeroport Bénin

De l’Afrique de l’Ouest à Cookshire-Eaton : Formation en aviation pour des étudiants béninois

Robert G. Roy, préfet de la MRC du Haut-Saint-François, et Jean-Claude Félix do Rego, ambassadeur plénipotentiaire et extraordinaire de la République du Bénin et représentant permanent auprès de l’Organisation de l’aviation civile internationale, signent la déclaration d’intention.

Au courant du mois dernier, une déclaration d’intention de collaborer a été signée à l’Hôtel de Ville de Cookshire-Eaton impliquant les représentants du Bénin, le Centre local de développement (CLD) du Haut-Saint-François, en collaboration avec la Corporation de développement de l’aéroport de Sherbrooke (CDAS) et la Ville de Cookshire-Eaton. L’objectif est de permettre la formation de pilotes et d’employés du milieu de l’aviation béninois dans les installations de l’aéroport de Sherbrooke, situé sur le territoire de Cookshire-Eaton.
Robert Roy, préfet du Haut-Saint-François, se dit fier que la MRC et ses différents acteurs désirent contribuer à la diversification des services et au rayonnement de l’aéroport de Sherbrooke. « Oui, cette annonce a et aura un impact sur notre MRC, c’est inévitable, mais je pense qu’il faut plutôt regarder au niveau régional. Cette entente démontre qu’on est capable de développer notre aéroport. Il faut juste penser différemment. Cette entente est le début d’une collaboration internationale avec le Bénin », conclut-il.
Ce projet pourrait ne pas être le seul partenariat avec ce pays d’Afrique de l’Ouest. « Plusieurs échanges ont lieu entre les deux pays et on se demande quelle sorte de projet pourrait être profitable pour les deux parties. Le Bénin est notamment un pays où on retrouve beaucoup d’agriculture, tout comme la MRC du HSF. Je pense que cette entente concernant l’aéroport n’est que le début », d’affirmer M. Roy.
Les préparatifs pour accueillir une première cohorte d’étudiants sont déjà en branle sur le site de l’aéroport. Le propriétaire d’Altitude Centre de l’aviation indique que déjà, plusieurs acquisitions ont été faites et que d’autres le seront prochainement. L’école comptera notamment trois nouveaux aéronefs ainsi qu’un simulateur de vol dernier cri. « Le centre est heureux d’annoncer cette signature avec le Bénin pour la formation de pilotes et de salariés du milieu de l’aviation. Notre entreprise est fière de contribuer à la formation de futurs pilotes, mais aussi de faire rayonner notre région », d’exprimer Alexis Etienne.
La mise en place de cette formation se fera de façon progressive, mais les principaux intervenants évaluent qu’il serait possible d’accueillir, annuellement, près de 300 élèves béninois et que les premiers pourraient arriver dès le mois de septembre.
Ce projet, initié par le CLD, déboulera sur des retombées tant économiques que culturelles et profitera inévitablement à la région de l’Estrie et à la MRC du Haut-Saint-François. « Les retombées seront sans doute majeures. Ces étudiants ne viendront pas seulement pour étudier, ils vont aussi vivre et dépenser ici tout au long de leur formation. Altitude Centre de l’aviation s’occupera principalement de la formation des pilotes et des métiers associés à l’intérieur de l’avion, comme agent de bord par exemple », de mentionner Chantal Ramsay, conseillère aux entreprises au CLD du Haut-Saint-François.
Pour ce qui est d’autre formation, comme en mécanique de l’aviation, cette dernière pense qu’il serait profitable d’utiliser les services que nous possédons déjà, tels que le Cégep de Sherbrooke, la polyvalente d’East Angus ou encore les centres de formation professionnelle.
Le consul Jean-Claude Félix do Rego, ambassadeur plénipotentiaire et extraordinaire de la République du Bénin, est satisfait de l’entente et remercie tous les intervenants qui travaillent à la réalisation du projet.

resolution bury

Resserrer l’encadrement des matières résiduelles fertilisantes : Bury adopte la résolution à l’unanimité

« À Bury, on demande un moratoire jusqu’à ce qu’une réglementation soit émise.» — Denis Savage, maire de Bury

La municipalité de Bury a adopté à l’unanimité, lors du conseil municipal qui s’est tenu en février dernier, une résolution visant à resserrer l’encadrement des matières résiduelles fertilisantes (MRF) et stoppant l’épandage de celles-ci sur les terres agricoles du Québec.
La municipalité demande au gouvernement d’appliquer le principe de précaution dans la gestion des MRF, par le biais d’un moratoire, le temps qu’un débat public ait lieu et que soit adopté un cadre réglementaire strict. Cette demande est émise afin d’éviter que soient étendues dans l’environnement des concentrations trop élevées de contaminants émergents de type médicaments, hormones, plastiques et PFAS.
« C’est important pour nous, puisque ces produits-là sont traités ici, chez Englobe, locataire sur la propriété de Valoris. On trouvait ça important de prendre connaissance de ce qu’il en était et à la suite du reportage de Radio-Canada, Bury s’est en quelque sorte retrouvé étiqueté. Nous, on demande un moratoire jusqu’à tant qu’une réglementation soit émise » d’exprimer Denis Savage, maire de Bury.
Rappelons que les PFAS sont des substances perfluoroalkyliques et polyfluoroalkyliques dont les molécules, plutôt que de se dégrader, ont plutôt tendance à s’accumuler dans les sols et l’environnement. Ces derniers sont associés, selon l’Institut national de santé publique du Québec (INSPQ), à des problèmes liés à la reproduction, au développement, au système endocrinien (ensemble de glandes et de cellules qui fabriquent des hormones et qui les libèrent dans le sang), au foie, aux reins et au système immunitaire.
« On ne peut pas empêcher ces produits-là, on en produit nous aussi au Québec, mais avoir une législation qui nous permet de savoir à quoi s’en tenir est le minimum. De plus, on a un souci pour la population. Tout ce dossier de MRF et de PFAS n’est pas clair, il manque clairement d’information sur le sujet. Pour nous, il était important de se positionner comme municipalité et de démontrer que nous ne sommes pas d’accord avec ça et qu’on veut obtenir une réglementation concernant les matières résiduelles fertilisantes », d’expliquer M. Savage.
Outre le désir de voir des réglementations voir le jour, Bury désirait aussi avoir l’appui des autres municipalités, ce qui a été fait lors du dernier conseil des maires qui ont voté la résolution à l’unanimité.
« Nous à la MRC, ça allait de soi. Ce qu’on se dit, c’est qu’on a nos propres matières à traiter ici. Je pense qu’on n’a pas besoin d’avoir des MRF qui viennent des États-Unis. Commençons par gérer les nôtres. On sait que les deux paliers de gouvernement se penchent déjà là-dessus. Nous, on voulait donner un signal clair à Bury. Au niveau de la MRC, on les appuie », d’exprimer Robert Roy, préfet du HSF.
Personne ne parle d’interdire ce genre de produit. Le préfet mentionne que cette résolution est surtout là pour qu’il y ait création de normes, de balises et de réglementations entourant les matières résiduelles fertilisantes.

Opinion du lecteur

Des fleurs pour Westbury

Bravo au conseil municipal de Westbury qui n’a pas hésité à emboîter le pas de la municipalité de Cleveland, en demandant au gouvernement du Québec d’imposer un moratoire sur l’épandage de matières résiduelles fertilisantes contenant de la biomasse avec des SPFA ou PFAS en anglais. Ces derniers sont des substances perfluoroalkyliques et polyfluoroalkyliques dont les molécules, plutôt que de se dégrader, s’accumulent dans l’environnement (contaminant éternel).
De plus, La Tribune du 16 février 2023 nous apprend que la MRC du Val-Saint-François vient de joindre le mouvement. En espérant que d’autres municipalités et MRC (incluant la nôtre) mettront elles aussi de la pression afin qu’on arrête ces épandages tant que nous n’aurons pas la certitude qu’il n’y a aucun danger pour l’environnement (nappe phréatique), notre santé et, par ricochet, la vitalité de nos milieux ruraux.
Quant à notre députée/ministre Marie-Claude Bibeau, suite à sa réponse aux journalistes de Radio-Canada sur l’importation de biosolides provenant des États-Unis, oui, je comprends qu’elle ne contrôle pas les frontières et ce qui y transige. Toutefois, à titre de ministre de l’agriculture fédérale, elle a le devoir de la protéger contre toute pratique qui peut lui être nuisible. Jusqu’à preuve du contraire, l’épandage de produits contenant des SPFA/PFAS est nuisible et, dans le doute, la seule option qui s’impose est un moratoire Pan canadien sur l’épandage de ces produits.
Considérant qu’une bonne partie des biosolides importés aboutissent directement dans son comté à Bury, je la trouve très frileuse à s’exprimer et prendre position. Maintenant, reste à savoir si elle aura la colonne pour imposer un moratoire et ainsi nous protéger contre cet autre fléau qui menace notre environnement et notre santé. Et ce, tant et aussi longtemps que des scientifiques (indépendants) ne pourront nous certifier qu’ils ne représentent plus aucun danger.

Denis Veilleux, Westbury

actualite

Le CIUSSS de l’Estrie-CHUS recherche des parents adoptifs

Le CIUSSS de l’Estrie-CHUS recherchait au moment des entrevues avec les parents adoptifs une trentaine de familles pour s’inscrire comme famille adoptive au programme de type banque mixte.
Les personnes désireuses d’adopter doivent passer par un processus de famille d’accueil de type banque mixte, explique Sylvie Raymond, travailleuse sociale au service d’adoption de la Direction de la protection de la jeunesse en Estrie. Pour ce faire, plusieurs critères sont exigés comme le fait d’être en bonne santé, d’avoir une vie personnelle stable depuis deux ans, avoir une bonne santé physique et psychologique, ne pas avoir d’antécédents criminels, être résident permanent ou avoir la citoyenneté canadienne et avoir un revenu au-dessus du seuil de la pauvreté.
La première étape, celle de la famille d’accueil permet de cheminer avec l’enfant jusqu’à l’adoption, explique Mme Raymond. Elle souligne qu’il existe une possibilité que l’enfant retourne à sa famille initiale, mais que les « possibilités sont très faibles. » Plus de 90 % des enfants demeureraient avec sa nouvelle famille jusqu’au moment d’adoption, précise la travailleuse sociale. Il existe le type famille d’accueil, mais aussi famille d’accueil dans le but d’être adopté, ce qu’on appelle banque mixte. « Nous, ce qu’on recherche, c’est des parents, des personnes seules, des couples, des personnes de même sexe, des personnes stables qui sont financièrement au-dessus du seuil de la pauvreté. »
« Ce qui est merveilleux de ce programme, pour les enfants, le jour un, ils arrivent à une place et ils vont être adoptés par les gens-là au lieu de dire là ils font un petit peu de famille d’accueil et ils changent de famille d’accueil parce que le projet n’est pas clair. Les familles d’accueil traditionnelles accueillent les enfants pour une période. Quand tu arrives dans une famille d’accueil de type banque mixte, tu arrives dans ta famille. Là, ils peuvent créer des liens, c’est qu’ils n’ont pas à faire plusieurs familles d’accueil. »
Mme Raymond mentionne que « les enfants de la DPJ ont un bagage, un vécu. C’est un enfant, qui des fois, a un niveau de besoins un petit peu plus élevé ou différent d’un enfant biologique. » Plusieurs étapes sont nécessaires avant d’obtenir l’accréditation pour être disponible à recevoir un enfant. La travailleuse sociale souligne que le processus se fait assez rapidement, soit quelques mois.
Pour obtenir davantage d’information, il est possible de consulter le site Web, d’appeler au Centre jeunesse au 819 822-2782 poste 52424 ou sans frais 1 800 463-5769 au même poste ou encore assister à une des rencontres d’information.

Rachel Garber

SPRING?

Sure sign of spring? Snow fleas.
They’ve been spotted in Milby, Sharon Moore tells me.
Have you seen any? They’re dark blue. Tiny things, one or two millimetres long. No wings. They have six feet with tiny claws, and two antennae. They jump around on top of the snow on warmish days, sometimes in clusters near a tree or rocks, up to 100,000 of them in a square meter. When it gets cold again, they go back under the snow.
That’s according to Marjolaine Giroux, an entomological-information person at the Montreal Insectarium. Despite her credentials, the little critters are neither fleas nor insects. They are springtails, little arthropods in the species Hypogastrura nivicola, with segmented bodies and jointed legs.
They don’t bite.
And they are marvellous. They enrich the soil. They also have antifreeze proteins in their blood, which researchers at Queen’s University have synthesized. They hope to use it to transplant organs at lower temperatures, thus keeping them viable longer. They also think they can use the snow fleas’ antifreeze to produce better ice cream.
Now that would be a marvel!
ST. PAT’S IRISH FESTIVAL
The Irish Embassy in Ottawa celebrates the Irish diaspora with an exhibition of panels coming to the county just northwest of us, Richmond. The St. Patrick’s Day Parade is on Sunday, March 19, at 2 p.m., but a series of activities extend throughout the month, starting Saturday, March 4th. That’s when the exhibition is open 1 to 4 p.m. at the Richmond County Historical Society Museum, 1161 Route 243, Melbourne. Admission is free.
The panels highlight the history and contributions of 20 Irish immigrants to Canada. From 2 to 4 p.m., violinist Isabelle Gosselin will play traditional Irish music while visitors peruse the exhibit. That same day, a woodworking demonstration is at 1 p.m. in the St. Andrews Hall, and a corned beef supper at 6 p.m. at the Grand Central Hotel.
Over the following weeks will be concerts, a St. Pat’s Party, a Celtic Celebration with Solstice, a St. Patrick’s Day Mass, an art show, an outdoor bandstand show, and more. The activities culminate on Sunday, March 26, with another showing of the Irish diaspora exhibition from 12 to 3 p.m. and music by Isabelle Gosselin from 1 to 3 p.m. For details about the Richmond Irish Heritage Festival, visit richmondstpats.org. It is organized by the Richmond St. Patrick’s Society.
BILINGUAL TAX SERVICE
A free bilingual income tax assistance program in Sawyerville permits trained volunteers to prepare both Canada and Quebec returns for persons with limited income. Here’s who is eligible: (1) a single person with a maximum annual revenue of $35,000; (2) a couple with a maximum revenue of $45,000, plus $2,500 for each dependant; or (3) a single parent with a child with a maximum revenue of $45,000 plus $2,500 for each additional dependant. Income from interest should not exceed $1,000. Persons with income from self-employment, bankruptcy, or deceased persons are not eligible.
You will need: (1) any papers you received from the Canada Revenue Agency and Revenu Québec in the past months, and your last Notices of Assessment; (2) your T4 and Relevé slips from your employer, or any other forms you received regarding income or tuition; (3) the RL-31 form from your landlord, if you are a renter. House owners will need their property tax number, which is on the municipal property tax bill. Bring receipts for any payments you made for pills, dentist visits, glasses, or other health expenses.
Persons above age 70 should inquire about a refundable tax credit for expenses incurred to continue living independently. Bring your home maintenance expenses, including purchasing, leasing or installing eligible equipment or fixtures, or staying in a functional rehabilitation transition unit. This year the credit is up to $2,000, depending on your total income.
When? Wednesday afternoons, March 8 and 29, from 1 to 4 p.m., and March 15 and 22, from 1 to 6 p.m. Where? At the Catholic church in Sawyerville, Église Notre-Dame-du-Rosaire, 4 Randboro Road. Use the back door to enter the basement. If you need any information, call Danielle at 819-889-2614.
ESTATE PLANNING
“Estate Planning: What you need to know in advance” is the topic of a free online webinar offered by Seniors Action Quebec on Tuesday, March 14, at 10 a.m. to noon. The registration deadline is March 7.
The session will include three topics. First, planning ahead: How to prepare your finances and plan your taxes so as to reduce the tax burden on your estate. Second, having a will, and reviewing it: The different kinds of wills, what documentation you need to put together in advance to help with the liquidation of your estate, and what information to share – or not – with your heirs. And finally, the role of the liquidator: The duties and obligations, and how to carry out a will search.
The presenters are Maitres Linda Hammerschmid and Samy Staltari, and Financial Advisor Danny Sirgnano. To register, send your contact information to Ruth Pelletier at ruthkathleenpelletier@gmail.com by March 7. For more information, visit www.seniorsactionquebec.ca.
WRITE HERE, RIGHT NOW!
For information about the free online workshops in March with Bishop’s University Lifelong Learning Academy (BULLA), email bulla@ubishops.ca.
CHURCHES
United. Beginning March 5, Sunday services are at 9:30 a.m. at the Trinity United Church in Cookshire, and at 11 a.m., at the Sawyerville United Church. Info: 819-889-2838. For pastoral care, call Rev. Spires at 819-452-3685.
Baptist. In-person Sunday services are in French at 9 a.m. and in English at 11 a.m. All services are at the Sawyerville Baptist Church, 33 rue de Cookshire. For information, please contact Pastor Michel Houle at 819-889-2819.
Anglican. No Anglican services are planned in Cookshire until the spring of 2023. For the schedule of services at the St. George’s Anglican Church, 84 Queen St., Lennoxville, visit deaneryofstfrancis.com and click on the “Calendar” link. Info: 819-887-6802, or quebec.anglican.ca.
Do you have news to share? Call 819-640-1340 or email rawrites@gmail.com by March 6 for publication March 15.

Adoption

L’adoption mixte à la DPJ : Une expérience non sans risques, mais enrichissante pour les familles

Les parents s’amusent avec les enfants.

Adopter des enfants de la DPJ comporte son lot de risques et d’inquiétudes, mais en bout de course, les parents rencontrés par le journal régional Le Haut-Saint-François, qui en ont fait l’expérience, disent que le jeu en vaut la chandelle et ils sont visiblement fiers de leur famille.
Pour Marie-Pierre Tardif d’Ascot Corner, le désir d’être maman et avoir sa famille était plus fort que tout. Elle a adopté quatre enfants sur une période de 15 ans, soit un de l’adoption internationale, âgé aujourd’hui de 16 ans et trois 8, 4, 2 ans, issus du programme de banque mixte de la DPJ. Célibataire, Mme Tardif utilise le terme soloparentale pour se définir « parce que c’est moi qui décide, c’est un choix de vie que j’ai fait. J’ai décidé d’avoir des enfants toute seule. Pour moi, la chose la plus importante dans ma vie, c’était d’avoir des enfants avant même d’avoir un conjoint. » Cette maman a rencontré une personne qui est devenue une amie et qui avait adopté trois enfants à la DPJ. « Elle a fait tomber tous mes préjugés. »
Mme Tardif a fait une première demande auprès de la DPJ et obtenu la garde d’un enfant d’à peine 40 heures après sa naissance. Elle l’a gardé pendant 9 mois avant qu’il lui soit retiré pour retourner dans sa famille biologique. « Ç’a été l’exception, il n’y a pas beaucoup d’enfants de la DPJ qui repartent. » À sa deuxième tentative, Mme Tardif a eu Henri pendant 9 mois. Il lui a été retiré, puis revenu pour de bon, cinq mois plus tard. « Quand ils m’ont appelé le 20 avril 2015 pour me dire que Henri revenait, je pense que ç’a été le plus beau jour de ma vie. » Bien que l’inquiétude soit toujours présente, au cours du processus, les deux autres adoptions se sont bien déroulées. À 45 ans, la maman a décidé qu’elle avait suffisamment d’énergie pour adopter son quatrième enfant. Pour elle, une véritable famille, c’est quatre enfants. Pour se faire « faut avoir un bon entourage. Faut avoir un entourage qui croit dans le projet ou du moins qui nous écoute. Ça prend des gens pour nous aider, ça prend des professionnels pour nous écouter et nous accompagner. On a un intervenant pour nous et un intervenant pour l’enfant. Tout au long du processus, on a quelqu’un pour nous accompagner. »
Pour Marie-Pierre Tardif, la motivation d’avoir des enfants est très égocentrique. « C’est le besoin d’être entourée, d’avoir une famille, d’avoir de l’action autour de moi. Avoir l’impression que je sers à quelque chose. » Pour la maman, l’adoption est motivée par le désir d’avoir une famille, pas de sauver un enfant. « Les enfants, avoir une famille, ce n’est pas un privilège, c’est un droit. Moi, par contre, être parent, c’est un privilège. »
Mère soloparentale avec quatre enfants n’est pas toujours évident. « C’est un joyeux chaos à la maison ici, c’est à l’envers, il y a des jeux partout, ça crie, ça hurle, je suis heureuse là-dedans. Faut être capable d’accueillir cette surcharge-là et moi, ça me nourrit. »
S’entourer
Mme Tardif est bien entourée, une femme de ménage deux jours semaine, des amis et des parents qui répondent présents à l’appel. Même si les enfants proviennent de divers milieux, ils forment une famille unie. « Le lien de sang n’est pas important, ils ont vécu des choses. Ils sont très fusionnels mes enfants. » Elle est d’avis que sa famille est plus unie qu’une dite normale, peut-être à cause de ce qu’ils ont vécu. Le fait d’avoir deux enfants de couleur, deux filles dont une rousse et la petite dernière blonde ne font aucune différence aux yeux des enfants. Ils se voient tous comme frère et sœur sans distinction. « Ils sont hyper proches. »
Le conseil que Mme Tardif donne aux futurs parents est d’aller à la séance d’information et « d’être solide dans ce que vous souhaitez et engagez-vous ; c’est la plus belle aventure du monde. Moi, ça m’a permis de devenir une famille, c’est pas rien, c’est un projet de vie. »
Un des enfants, Henri, a bien voulu commenter à visage découvert. Lui qui a vu la famille s’agrandir avec l’arrivée de ses sœurs n’a pas ressenti d’animosité et la transition s’est faite comme une famille à laquelle s’ajoute un nouveau-né. « J’étais très content d’avoir de nouvelles sœurs quand maman me l’avait dit. »
Couple
Le couple Chantal et Jean-Michel, du Canton de Westbury, a bien voulu accueillir le journal pour parler de leur expérience. Ils ont adopté trois enfants âgés aujourd’hui de 6, 5 et 3 ans. Ne pouvant avoir d’enfants de façon biologique, le couple a effectué des recherches sur Internet pour choisir l’adoption, banque mixte de la DPJ. « On ne connaissait pas ce service. On est allé à la séance d’information en avril 2016, et on a fait nos démarches. En septembre 2016, on a été accrédité, puis on tombait sur la liste d’attente le 30 septembre pour essayer d’avoir un enfant et le 23 décembre, on accueillait notre premier, un beau cadeau de Noël. Nos enfants sont tous arrivés à deux mois de vie. On a été chanceux pour ça, d’avoir de petits bébés. » Le couple était déterminé à avoir deux à trois enfants. Les délais se sont avérés très rapides d’une à trois semaines après avoir déposé la demande.
Les parents admettent que la première année avec l’enfant est plus inquiétante en raison du risque qu’il soit rappelé. « C’est un risque qui est faible, mais qui est vraiment bien expliqué au départ. Pour nous, le désir d’avoir des enfants et de fonder notre propre famille était plus grand que le risque. On a beaucoup de soutien », d’ajouter le papa. Le couple a été appuyé par la même travailleuse sociale tout au long du processus d’adoption. « Ça fait maintenant sept ans, elle connaît bien notre couple », de préciser Jean-Michel. Les enfants ont également leur travailleuse sociale.
Pour le couple, l’intégration « se fait comme une famille qui a trois enfants rapprochés. Le processus est un peu différent, mais en adoption, on va voir l’enfant puis tout est beau, l’enfant progressivement revient dans notre milieu, on l’intègre jour à jour selon les besoins de l’enfant. Chaque histoire est différente, chaque enfant a son bagage, ses défis, ses difficultés. On doit et c’est là-dessus le soutien qu’on a est pertinent ; on s’adapte à chaque situation aux besoins de l’enfant selon le cas », d’expliquer le père. Même si l’ensemble du processus s’est bien passé, les parents admettent que le plus difficile est de gérer le risque de se voir retirer l’enfant particulièrement la première année.
Pour les parents, le fait d’avoir un enfant par l’adoption fait oublier rapidement le processus dit naturel. « Tout ça tombe très rapidement. Quand on est avec l’enfant, puis au jour un comme une mère qui accouche, on vit la fébrilité d’accueillir. C’est juste que c’est accéléré. On donne un coup de téléphone, quelques jours après l’enfant est chez toi, tu vis comme si papa, maman avait arrêté de travailler pour s’occuper de l’enfant comme si l’on venait d’avoir un accouchement », d’exprimer les parents. Toutefois, ils admettent que l’intégration peut nécessiter quelques mois et varie selon l’enfant. « Faut se laisser le temps de s’adapter mutuellement et le lien se crée. Maintenant, on a un lien d’attachement très fort. Nos enfants, on se le fait dire, vos enfants sont tellement humains, tellement attachants. C’est un processus où l’on est amené par choix et intérêt à s’impliquer beaucoup parce qu’il a fallu le construire, le travailler. Sans rien enlever à aucun parent, aucune famille, de par ce qu’il faut faire, dès le départ, si ce n’est que par l’intérêt d’aller là, il y a un investissement, faut travailler fort le lien. Comme les trois sont adoptés, c’est notre plus grande fierté. Notre but, c’était de créer notre famille en tant que couple et de permettre à des enfants qui pouvaient peut-être sur un point de départ avoir un peu moins de chance, de leur permettre d’aller où il serait capable d’aller par eux-mêmes. On veut juste leur donner le meilleur et qu’ils soient heureux. »
Selon les parents, les enfants ne voient pas de différence au fait qu’ils soient adoptés. « Pour eux, il n’y a pas de différence et depuis l’arrivée de la troisième, ils sont encore plus fusionnels dans la discorde comme dans le bonheur. Ils ont besoin de l’un et l’autre pour être bien. C’est vraiment mon frère, ma sœur. Ils font ça tout seuls ; on n’a pas eu besoin d’intervenir, ça se fait naturellement », d’exprimer les parents.
Bien que les enfants soient en bas âge, les parents ont bien l’intention de leur expliquer la situation. « On leur a fait chacun un album photo. Les enfants, explique Chantal, ont été retirés de leur famille biologique dès leur naissance. On a pris des photos quand on est allé les chercher dans leur famille d’accueil d’urgence. On est leur troisième famille », précise-t-elle.
Enfin, s’informer auprès de personnes qui ont adopté et participer à la séance d’information sont deux façons efficaces de se faire une bonne idée sur le projet d’adoption banque mixte, d’exprimer les parents. « Moi et mon conjoint, on ne pensait jamais adopter dans notre vie. Au final, on est rendu avec trois beaux enfants, on a créé notre propre famille, on est vraiment reconnaissants et nos enfants, c’est notre plus grande fierté. On recommencerait l’expérience demain », de soutenir la maman.

Équipement acériculteur

L’Aménagement forestier coopératif des Appalaches est prêt pour la saison : Nouvel équipement pour venir bonifier la production

Les nouvelles presses devraient bonifier le rendement.

Le temps des sucres est à notre porte et les préparatifs sont déjà bien entamés pour l’Aménagement forestier coopératif des Appalaches (AFCA) de La Patrie. La 2e année de service de la coopérative a déjà pris son envol, mais selon Nicolas Fournier, directeur général, cette année est la première où la compagnie opérera à presque 100 %.
« Pour moi, c’est vraiment la 1re année. Avec toutes les années “covid”, on a eu de la difficulté à s’équiper et à être prêt à temps pour les sucres. On fonctionnait, mais on n’était jamais au maximum. Là, on est bien installé. On va utiliser de nouvelles presses à sirop, plus petites que les précédentes, contrairement à l’année dernière où on utilisait une grosse presse. Cette façon de faire permettra d’éviter les pertes de temps lorsque la presse bouche et que la bouilleuse continue à couler », d’exprimer M. Fournier.
L’entreprise située à La Patrie possède un contingent de 19 000 entailles et serait en mesure de gérer le bouillage d’environ 100 000 entailles. Selon Nicolas Fournier, le nerf de la guerre en acériculture est le service et la main-d’œuvre. « La relève et la main-d’œuvre ont toujours été un enjeu pour les érablières. La relève n’est pas là et les propriétaires vieillissent. Nous, on a une équipe de 9 travailleurs étrangers qui sont avec nous à l’année et qui peuvent s’occuper de faire l’entaillage, l’installation de l’équipement, du nettoyage ainsi que de la tubulure. Les services offerts sont variés et s’ajustent aux besoins du client », de mentionner le directeur général de l’AFCA.
Le partenariat avec la Chaire de recherche industrielle sur les technologies acéricoles se mettra en branle cette année avec l’ajout de capteurs à différentes étapes du transport et de la production. « L’an dernier, la Chaire n’était pas prête. Elle l’est maintenant. Des capteurs ont été installés sur le réseau d’apprivoisement des machines et il y en a aussi sur le camion qui récupère les concentrés chez les clients. Ça permettra de calculer le taux de Brix (taux de sucre dans le concentré), le volume, l’acidité et la viscosité », explique Nicolas Fournier.
Cette technologie permettra entre autres de savoir si le concentré est stable au moment de la réception, mais aussi s’il est en train de changer. Cette façon de faire assurera aussi une transparence avec le client parce que dès le départ, ce dernier saura ce qui est récupéré chez lui et ce que ça peut donner comme quantité une fois la transformation faite. « On devrait commencer à avoir des données et en tirer des conclusions d’ici 4 ans », ajoute M. Fournier.

Tournoi hockey atome peewee

Tournoi provincial Atome Pee-Wee : Une 40e édition réussie

Les joueurs des Sharks du Haut-Saint-François catégorie M13C n’ont pas à rougir de leur défaite en finale.

La 40e édition du tournoi provincial de hockey Atome Pee-Wee, qui se déroulait principalement à l’aréna Robert-Fournier d’East Angus, a connu un vif succès. Les formations locales ont fait belle figure alors que deux se sont rendues en finale et une en demi-finale, contribuant ainsi à faire augmenter l’assistance.
Au cours de la dernière fin de semaine d’activité consacrée au Pee-Wee, le M13C s’est incliné en finale par la marque de 3 à 1 aux dépens des Lions de Saint-Jérome. Un peu plus tôt dans la journée, le M13A a perdu en demi-finale par la marque serrée de 2 à 1 en tir de barrage face aux Concordes de Mirabel.
Rappelons que l’Atome A M11A s’est imposé lors de la première fin de semaine d’activité en remportant le championnat dans sa catégorie raflant le championnat par une victoire serrée en tir de barrage 2 à 1 face aux Éclaireurs de Lévis. Quant au M11C, il s’est incliné par la marque de 0 à 1 aux dépens des Seigneurs-Soulanges.
Jessika Boislard, présidente du tournoi, est satisfaite du déroulement, et ce malgré une frousse du vendredi 17 février alors qu’une panne de courant sévissait sur la rive sud d’East Angus. « Vendredi, la météo était moins de notre bord, mais au moins, aucune équipe n’a annulé. » Mme Boislard était satisfaite de l’achalandage. Le fait que certaines équipes locales se soient rendues en finale a contribué à remplir les gradins, explique-t-elle. La présidente signale avoir reçu beaucoup de bons commentaires et les équipes prévoient se présenter à nouveau l’an prochain.

Ancien bâtiment Orchidée

La Journée internationale des droits des femmes : Le cabaret des résistances

Le Centre des Femmes du Haut-Saint-François, La Passerelle, tiendra un 5 à 7 dans l’ancienne salle du Café l’Orchidée.

Dans le cadre de la Journée internationale des droits des femmes, le Centre des Femmes du Haut-Saint-François, La Passerelle, organise le 8 mars une soirée de type cabaret avec plusieurs invitées qui livreront différentes performances en lien avec la résistance féministe.
Sous forme de 5 à 7, dans l’ancienne salle du Café l’Orchidée à Cookshire-Eaton, au 97 rue Bibeau, les participants pourront, outre les performances artistiques, observer une exposition de peintures et d’arts visuels toujours sous le thème de la résistance féministe.
Il sera possible de retrouver lors de cette soirée différentes performances, telles que des témoignages, des slams ainsi que des lectures féministes. Lors du 5 à 7, il sera possible de déguster quelques bouchées et un service de boisson sera accessible à tous, et ce, gratuitement.
« C’est important pour nous d’organiser ce genre d’évènement d’une année à l’autre. Briser les stéréotypes et combattre les oppressions font partie intégrante de notre mission, comme Centre des femmes. C’est un évènement qui nous tient à cœur parce que le combat pour le droit des femmes n’est pas fini. On a encore beaucoup à faire à ce niveau-là », d’expliquer Jeannette, co-coordonnatrice et responsable à la vie associative, à la mobilisation et au milieu de vie à La Passerelle.
Cet évènement est ouvert aux femmes et aux personnes de la pluralité de genre uniquement. Quoique la soirée soit gratuite, les places sont limitées et l’inscription est obligatoire. Il est possible de le faire en contactant directement le Centre des Femmes du HSF par courriel au info@cdflapasserelle.org ou au numéro de téléphone 873 825-7060.
La Journée internationale des droits des femmes trouve son origine dans les manifestations de femmes au début du XXe siècle, en Europe et aux États-Unis, réclamant de meilleures conditions de travail et enfin, le droit de vote.
C’est en 1975, lors de l’Année internationale de la femme, que l’Organisation des Nations Unies a commencé à célébrer la Journée internationale des femmes le 8 mars.

Économique femmes

Comment l’égalité des sexes stimule-t-elle la croissance économique ?

Saviez-vous que l’égalité des sexes va de pair avec la stabilité économique et financière ? Les femmes représentant la moitié de la population mondiale en âge de travailler, l’économie mondiale souffre lorsqu’elles n’ont pas la possibilité d’atteindre leur plein potentiel.
Dans les pays où les femmes bénéficient d’une plus grande égalité des chances, l’économie est beaucoup plus résiliente, durable et compétitive. Selon une étude du McKinsey Global Institute, combler l’écart entre les sexes dans la population active pourrait ajouter jusqu’à 28 trillions au PIB mondial en 2025. De plus, l’augmentation de la participation des femmes au marché du travail pourrait contribuer à compenser l’impact de la diminution de la main-d’œuvre dans des sociétés vieillissantes.
Par ailleurs, les femmes apportent de nouvelles compétences sur les lieux de travail, ce qui améliore la productivité et la croissance. De plus, en donnant aux femmes des chances égales de participer à l’agriculture et en les équipant de solutions bénéfiques pour l’environnement, il est possible d’accélérer les progrès dans la lutte contre l’insécurité alimentaire et les changements climatiques.
Bien que des avancées considérables aient été réalisées en matière d’égalité des sexes, les femmes ont toujours moins de possibilités de carrière et gagnent, en moyenne, 16 % de moins que les hommes. Les gouvernements et les entreprises jouent assurément un rôle crucial dans la réduction de l’écart entre les sexes, mais en cette Journée internationale des droits des femmes, rappelez-vous que c’est aussi à vous d’agir pour accélérer le changement !

actualite

4 façons de valoriser les entrepreneures dans votre communauté

La Journée internationale des droits des femmes est célébrée chaque année le 8 mars. C’est l’occasion de souligner les réalisations des femmes et de les aider à réussir dans le monde des affaires. Voici quatre façons simples de soutenir les entrepreneures dans votre communauté.

  1. Encouragez-les
    L’une des meilleures façons de donner du pouvoir aux entrepreneures est d’acheter leurs produits ou leurs services. Recherchez activement les entreprises dirigées par des femmes, idéalement dans votre région et dans les environs, et soutenez-les chaque fois que vous le pouvez.
  2. Faites passer le mot
    Les médias sociaux sont un outil puissant ! Par conséquent, si vous aimez un produit ou un service d’une entreprise appartenant à une femme, dites-le à vos amis et publiez des informations à ce sujet sur vos pages de réseaux sociaux. Vous ferez peut-être découvrir à des personnes une marque qu’elles n’auraient probablement pas connue autrement.
  3. Donnez votre avis
    Laisser un avis positif ou constructif est l’un des meilleurs moyens d’aider les entreprises à s’améliorer et à se développer. Cela peut également contribuer à accroître leur visibilité.
  4. Faites un don
    Les entreprises dirigées par des femmes ont souvent du mal à obtenir le financement dont elles ont besoin. Vous pouvez les soutenir en faisant un don à des organisations qui fournissent des prêts et des subventions aux petites entreprises appartenant à des femmes, notamment dans les secteurs défavorisés.
    Alors que l’économie demeure incertaine, votre soutien peut contribuer à faire en sorte qu’une entreprise ait du succès ou non. À vous de jouer !
Fete des semences Sawyerville

Retour de la Fête des semences à Sawyerville

Camille Lussier de la ferme Les Hôtes Épinettes offrira un atelier sur la préparation de semis et d’un terreau.

La 8e édition de la Fête des semences aura bel et bien lieu cette année, après deux ans d’absence liés à la pandémie. Elle se tiendra le samedi 11 mars, de 10 h à 17 h, au 4 chemin de Randboro, sous-sol de l’église secteur Sawyerville, à Cookshire-Eaton. Le Jardin Communautaire de Sawyerville invite donc tous les amateurs de jardinage ainsi que les personnes intéressées à en savoir plus sur les différentes cultures à se joindre à eux. Cette édition regroupera quatre conférenciers, autant de semenciers ainsi que plusieurs producteurs et productrices, artisans et artisanes provenant de la MRC du Haut-Saint-François.
Plusieurs sujets seront abordés lors des conférences, mais tous auront un lien direct avec les semences et les différentes cultures. Dès 10 h, Chantal Parent parlera de l’insomnie ; des causes s’y rattachant et des plantes favorisant le sommeil. Les Maraîchers de l’or vert suivront avec une conférence sur la culture hivernale tandis que les Hôtes Épinettes présenteront, à 13 h 15, différentes méthodes et techniques de semis intérieur en vue de la prochaine saison de culture. Les conférences se termineront avec la ferme Jardins des Bocages qui parlera des microbiotes, des superaliments et des sols vivants, dès 15 h.
La ferme maraîchère Les Hôtes Épinettes offrira aussi, à 14 h, un atelier sur la préparation des semis et d’un terreau. Les participants pourront repartir avec quelques semis de leur choix qui auront été faits sur place pendant cet atelier présenté par Camille Lussier et Dominique Guay.
Les semenciers présents seront Les jardins féconds de Kélanie, Au jardin d’Edem, Mycoflor et la Ferme La Marjolaine. Ils proposeront aux visiteurs différentes semences ancestrales et québécoises. Principalement des variétés qui ne se retrouvent pas chez les commerçants réguliers. Un semencier a pour activité la sélection, la production et la distribution de semences pour leurs utilisateurs qui sont essentiellement des agriculteurs ou des particuliers. L’événement préconise l’éducation et le partage d’information sur les semences et les cultures dites écologiques.
Un choix de soupe, les pains d’Aurélien, fromages, café et dessert seront servis sur place, au coût de 10 $ par personne et gratuit pour les enfants de 5 ans et moins.
« M’impliquer au jardin est ma façon de faire du bénévolat qui est en accord avec mes principes et mon mode de vie. Nous avons continué de travailler au jardin même au temps de la Covid, en respectant les normes d’hygiènes en vigueur, mais c’est un retour depuis 2020 de la fête des semences et nous en sommes très heureux. Cet événement nous permet également de faire connaître et promouvoir le jardin et le marché qui s’y rattache », d’expliquer Jeanette Thériault, secrétaire au sein du CA du Jardin Communautaire de Sawyerville et membre du comité de la Fête des semences.

Fete des semences Sawyerville

Return of the Sawyerville Seed Festival

The 8th edition of the Seed Festival will indeed be back this year, after two years of absence during the pandemic. It will be on Saturday, March 11, from 10 a.m. to 5 p.m. in the basement of the Catholic church at 4 Randboro Road, in the Sawyerville sector of Cookshire-Eaton. The Sawyerville Community Garden invites all gardening enthusiasts as well as those interested in learning more about different farming methods to attend. This edition will bring together four speakers, four seed companies, and several producers and artisans from the MRC du Haut-Saint-François.
Several topics will be discussed during the presentations, but all will have a direct link with seeds and various crops. Starting at 10 a.m., Chantal Parent will talk about insomnia, its possible causes, and plants that promote sleep. The Maraîchers de l’or vert will follow with a presentation on winter cultivation, while Les Hôtes Épinettes will present, at 1:15 p.m., different methods and techniques of indoor seeding for the next growing season. The speeches will end with one by the Jardins des Bocages farm about microbiota, superfoods and living soils, starting at 3 p.m.
Camille Lussier and Dominique Guay of the vegetable farm Les Hôtes Épinettes will also offer, at 2 p.m., a workshop on the preparation of seedlings and soil. Participants will be able to leave with a few seedlings of their choice that will have been planted on site during the workshop.
The seed companies who will attend are Les jardins féconds de Kélanie, Au jardin d’Edem, Mycoflor and La Ferme La Marjolaine. They will offer visitors various ancestral and Quebec seeds, mainly varieties that are not available from large commercial suppliers. A seed company selects, produces and distributes seeds for their users, who are essentially farmers or individuals. This event promotes education and the sharing of information about seeds and crops that are deemed to be ecological.
A choice of soup, bread from Les pains d’Aurélien, cheeses, coffee and dessert will be served on site, at a cost of $10 per person, and free for children age 5 and younger.
“Getting involved in the garden is my way of volunteering, which is in line with my principles and my way of life. We continued to work in the garden even during the Covid pandemic, respecting the health norms in force, but this is a return of the seed festival, since 2020, and we are very happy about it. This event also allows us to let people know about our Garden and promote the market attached to it,” explained Jeanette Thériault, secretary on the Board of Directors of the Sawyerville Community Garden and member of the Seed Festival committee.

Carnaval East Angus

Carnaval d’East Angus : Vent de plaisir au parc des Deux Rivières

C’est par un beau samedi ensoleillé que parents, enfants et grands-parents se sont donné rendez-vous au parc des Deux Rivières à East Angus pour participer aux diverses activités dans le cadre du Carnaval d’hiver. Les amateurs de plein air ont eu l’occasion de glisser sur tubes, faire une randonnée en raquettes, s’amuser dans la piste d’hébertisme et se dégourdir au rythme de la musique. Le tout s’est clôturé par un feu d’artifice. Plusieurs centaines de personnes ont participé aux activités faisant le bonheur de la mairesse, Lyne Boulanger. La journée était organisée par la Ville de East Angus avec la collaboration des membres de la Maison des jeunes Actimaje.

laver

Nettoyer ses murs sans abîmer la peinture : mode d’emploi

Laver des murs peints requiert certaines précautions, que ceux-ci soient visiblement sales ou non. Pour éviter d’altérer leur couleur ou de laisser de vilaines traces, suivez ces quelques étapes :

  1. Retirez délicatement la poussière et les toiles d’araignée (avec un aspirateur ou un chiffon à épousseter) ;
  2. Installez de vieilles serviettes au sol pour absorber l’excédent d’eau au moment du nettoyage ;
  3. Lavez les murs avec une éponge ou une vadrouille à partir du haut vers le bas en frottant doucement les taches au besoin (l’eau claire suffit généralement pour la saleté superficielle, mais un agent nettoyant peut être nécessaire en cas de taches tenaces) ;
  4. Asséchez au fur et à mesure les surfaces nettoyées et rincées à l’aide d’un linge propre.
    Psitt ! Plus la peinture est foncée et plus son fini est mat, plus vous devez avoir la main légère !

Vos murs sont vertigineux, ou votre condition physique ne vous permet pas d’effectuer vous-même leur nettoyage ? Utilisez une vadrouille télescopique ou engagez des professionnels de l’entretien ménager !

Rebord

Quel matériau choisir pour les rebords de fenêtre ?

Essentiels, les rebords des fenêtres sécurisent celles-ci et peuvent en prime servir d’étagères. Pour les réaliser, vous pouvez choisir parmi une grande variété de matériaux. Voici les avantages et les inconvénients de chacun :
PVC : abordable et vendu en plusieurs couleurs, le PVC est l’option la plus courante. Celui-ci résiste à l’humidité et à la décoloration, et il suffit de l’essuyer périodiquement avec un chiffon humide pour qu’il garde son aspect neuf. Cependant, il ne se recycle pas et n’est pas aussi durable que d’autres matériaux.
Bois massif : les différentes essences (ex. : chêne, acajou, pin, frêne) sont élégantes et durables, et elles offrent une bonne isolation. Le bois est toutefois sensible aux températures extrê­mes, à l’humidité et aux rayons UV. Vous devez donc l’entretenir régulièrement pour le protéger contre la pourriture et la moisissure.
Pierre naturelle : fabriqués dans des matériaux tels que le granit, le calcaire et le marbre, les rebords en pierre naturelle ajoutent une touche de luxe. Ils résistent en outre à la lumière du soleil et conservent leur apparence pendant des années en exigeant très peu d’entretien. Par contre, ils n’ont pas de propriétés isolantes et peu­vent être coûteux.
Carrelage : qu’il s’agisse de cérami­que, de verre ou de béton, le carrelage est un excellent choix pour les salles de bain et les cuisines en raison de sa durabilité. De plus, il offre des pos­sibilités de personnalisation infinies. Cependant, son installation demande beaucoup de travail et le coulis peut se salir rapidement.
Consultez un professionnel de votre ré­­gion pour en savoir plus et prendre une décision éclairée !

Chambre

Conseils pour créer une chambre apaisante pour un enfant neurodivergent

Pour les enfants ayant un trouble du spectre de l’autisme, les stimuli sensoriels comme les odeurs, les sons et les couleurs vives peuvent être perçus intensément. Les experts recommandent de leur offrir un espace où ils peuvent se retirer à l’abri des stimulations de la vie quotidienne. Voici quelques idées pour créer une chambre apaisante.
Éclairage
Au lieu de puissants plafonniers, installez des lampes à l’éclairage doux près des zones de travail, puis réduisez les reflets sur le sol en misant sur la moquette plutôt que sur le bois ou le carrelage. Pour favoriser le sommeil, des rideaux opaques occultant toute lumière extérieure sont un must.
Couleurs
Chez les enfants neurodivergents, le jaune peut causer de l’épuisement et de la fatigue oculaire, et le rouge peut provoquer une forte émotion. Favorisez la tranquillité avec des nuances de gris, de violet, de bleu ou de vert doux.
Literie
Considérez les éléments visuels et tactiles lorsque vous choisissez des draps et des couvertures. Préférez les couleurs apaisantes et évitez les motifs trop chargés. Les couvertures lestées, les couettes épaisses et les draps de compression procurent une sensation comparable à celle d’un câlin réconfortant.
Petits plus
Faites de la pièce un endroit agréable pour votre enfant en y incorporant des éléments spéciaux : une balançoire sensorielle où s’asseoir en toute sécurité, une tente pour s’isoler, une machine à bruit blanc pour compenser les sons perturbants, un réveille-matin imitant le lever du soleil pour commencer la journée en douceur, etc.
Que votre enfant soit neurodivergent ou non, il est toujours bon de lui offrir une chambre qui favorise la paix et le calme. Consultez un décorateur d’intérieur afin de trouver d’autres idées pour créer un espace reposant.

actualite

Remplacez votre comptoir de cuisine en 3 étapes

Règle générale, changer un comptoir de cuisine peut se faire en une fin de semaine. Vous possédez tout le matériel et les habiletés nécessaires ? Dans ce cas, voici comment vous y prendre en trois étapes !

  1. Retirez
    Fermez d’abord l’approvisionnement en eau, puis enlevez ou non l’évier selon vos besoins avant de procéder au retrait du comptoir à remplacer.
  2. Coupez
    Mesurez deux fois plutôt qu’une les dimensions requises pour votre nouveau comptoir afin de déterminer la longueur à couper. Conservez environ un pouce supplémentaire pour un îlot ou un comptoir en surplomb. Utilisez un traceur pour couper avec précision les côtés qui touchent à un mur dont la surface est inégale.
  3. Installez
    Selon le matériau de votre comptoir, vous pourriez avoir à ajouter un produit d’étanchéité et à utiliser tantôt de l’adhésif, tantôt des vis. Dans tous les cas, vérifiez que l’installation est bien fixée et stable avant de vous occuper de la plomberie et de replacer l’évier, le cas échéant.
    Vous préférez confier cette tâche à un expert ? Informez-vous sur les professionnels de votre région pouvant exécuter cette mission lorsque vous choisirez votre nouveau comptoir !
Armoires de cuisine

Remplacement des armoires de cuisine : quels sont les éléments à considérer?

Vos armoires de cuisine étaient au goût du jour il y a 20 ou 30 ans, ou elles montrent des signes de détérioration évidents? Puisque leur remplacement représente un projet important, il s’avère judicieux de planifier les travaux soigneusement! Pour obtenir un résultat à la hauteur et éviter les erreurs, considérez ces éléments clés.
Le choix
Les cuisinistes et autres professionnels de l’aménagement de cuisines fonctionnelles et esthétiques sont de précieux alliés pour s’assurer que vos nouvelles armoires s’intègrent harmonieusement à votre pièce. Grâce à leur savoir-faire et à leurs logiciels de design 3D, ils pourront vous présenter des projets en fonction de votre espace, de vos goûts et de votre budget.
MDF, bois franc, mélamine, acrylique, etc. : il existe une foule de matériaux ayant leurs qualités propres. Regardez et touchez! plusieurs échantillons afin de cibler vos préférences. En plus du look, tenez compte de leur entretien et de leur mécanisme d’ouverture, notamment.
Lorsque vous saurez quelles armoires vous procurer, vous pourrez passer votre commande (à un ébéniste ou à une entreprise spécialisée) et élaborer l’échéancier des travaux selon que vous poserez vous-même vos armoires ou non.
Le retrait
En choisissant de changer vos armoires de A à Z, vous devrez évidemment vider vos vieilles armoires (profitez de l’occasion pour trier et épurer leur contenu) et les retirer. Pour éviter de vous blesser en les arrachant, confiez cette tâche à des professionnels qui, autant que possi­ble, se débarrasseront des matériaux inutilisables de façon responsable.
L’installation
Avant d’installer vos nouvelles armoires de cuisine ou d’accueillir les ouvriers qui s’en chargeront, vous devrez préparer la pièce (dégager et protéger le sol, retirer les électroménagers, débrancher la plomberie, etc.). Selon la complexité des travaux, vous pourriez devoir trouver une solution de rechange temporaire pour préparer vos repas.
Remplacer vos armoires est un moyen sûr de donner fière allure à votre cuisine et d’augmenter la valeur de vo­tre maison!

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