Hanns

Un 3e bâtiment Han-Logement à East Angus : La construction déjà entamée

De gauche à droite, Gilles Daoust, président de Han-Logement; Lyne Boulanger, mairesse de East Angus; Paul Champagne, administrateur de Han-Logement; Janie Béïque, présidente et cheffe de la direction, Fonds de solidarité FTQ; Martin Raymond, vice-président principal aux investissements, Fonds immobilier de solidarité FTQ; Anik Roy-Trudel, vice-présidente de Han-Logement; Luc Pinard, président-directeur général des Fonds régionaux de solidarité FTQ; Jocelyn Jussaume, directeur général de Han-Logement; et Charles Lahaye, vice-président régional, Fonds régionaux de solidarité FTQ – Estrie, Mauricie et Centre-du-Québec.

L’organisme à but non lucratif, Han-Logement, est en voie de construire un 3e bâtiment à East Angus, au coût de 1,6 M$. L’édifice de huit logements à coût abordable, destinés à toute personne aux prises avec un handicap physique, une déficience intellectuelle ou en légère perte d’autonomie, portera à 24 le nombre de logements adaptés dans la municipalité.
Pour la mairesse de East Angus, Lyne Boulanger, l’avènement de ce 3e bâtiment signé Han-Logement est une fierté. « D’amener ça ici, à East Angus, pour nous autres, c’est une grande fierté. On sait que ce sont des logements qui sont subventionnés, pour les personnes à faible revenu et vivant avec un handicap. On est vraiment content de pouvoir leur offrir un bel appartement neuf et d’une certaine façon, une meilleure qualité de vie. »
La construction vient de débuter et selon Jocelyn Jussaume, directeur général chez Han-Logement et responsable du développement, les nouveaux locataires pourraient faire leur entrée dans leur logis respectif dès l’automne prochain. « L’objectif pour nous est de livrer la marchandise le plus tôt possible. Il y a de la demande à East Angus et tant qu’il y en aura, nous serons là. On a réussi à remplir les deux premiers immeubles assez rapidement. On a bon espoir que le troisième va se remplir aussi vite », exprime-t-il.
Le nouvel immeuble sera identique aux deux autres qui sont déjà en place sur la rue Warner, à East Angus. Il y aura deux 4 ½ ainsi que six 3 ½ accessibles à la location. « La municipalité a donné les terrains afin d’offrir aux futurs locataires un bel emplacement où ils pourront se sentir bien. Cette nouvelle construction sera adjacente au parc de la Rive Sud, près du Centre culturel », d’expliquer Mme Boulanger.
Récemment, la municipalité avait bonifié plusieurs infrastructures dans le parc, dont de nouveaux jeux d’eau ainsi que plusieurs jeux qui sont accessibles aux personnes à mobilité réduite. East Angus avait aussi prévu faire des sentiers pavés se rendant directement aux Habitations l’Apothicaire. Ces sentiers permettront aux résidents des trois habitations de se rendre au parc de façon autonome et sécuritaire.
Chez Han-Logement, il est important de travailler de concert avec les organismes déjà en place, mentionne M. Jussaume. « Dans le cas d’East Angus, on travaille de concert avec les Étincelles de Bonheur du Haut-Saint-François et le partenariat se fait très bien. Pour nous, avoir un organisme local comme celui-là nous donne un énorme coup de main. Ça parait dans l’entièreté du processus puisqu’ils connaissent bien les gens et le milieu. »
« C’est surtout Han-Logement qui s’occupe de la sélection des locataires et nous, aux Étincelles, on travaille en collaboration avec eux. On connaît le territoire, on connaît nos membres et on est en mesure de faire du référencement pour les loyers. On offre aussi à tous les locataires un soutien pour que tout se passe bien et que le maintien à domicile dans leur autonomie personnelle, se fasse le plus facilement possible » d’exprimer la directrice générale des Étincelles de Bonheur du HSF, Marie-Josée Pellerin.

Chartierville

Plaisirs d’hiver : On s’amuse à Chartierville

À l’instar de plusieurs municipalités sur le territoire, la communauté de Chartierville a célébré l’hiver avec la journée « Relâche ton fou ». Plusieurs activités étaient au menu au cours de cette journée intense et festive. Sculptures sur neige avec un sculpteur et un atelier de créations intérieures a donné le coup d’envoi. Promenades en traîneau à chiens, glissade sur des tubes et trottinettes des neiges ont fait le bonheur des jeunes et adultes. Feu de joie et promenade aux flambeaux complétaient la journée d’activités. Une trentaine de personnes ont fait le parcours sur une distance de un kilomètre et demi. Une halte y était aménagée pour réchauffer les marcheurs et on y offrait des breuvages et collations. Près d’une centaine de personnes ont participé à la journée « Relâche ton fou » au grand plaisir des organisateurs.

Entete westbury

Une première historique entre Westbury et East Angus

Procédant à la signature, les maires Gray Forster, du Canton de Westbury, et Line Boulanger, de East Angus. Entourés de gauche à droite par Etienne Bouchard, directeur des loisirs de East Angus, Claudia Gilbert, conseillère municipale de Westbury, Nathalie Audet, directrice générale de Westbury, Antoni Dumont, Guillaume Landry et Nicole Bernier, conseillers municipaux de East Angus.

La Ville de East Angus et le Canton de Westbury ont récemment procédé à la signature officielle de l’entente concernant les services de loisirs. Cette coopération s’inscrit comme étant la première collaboration entre les deux municipalités.
Cette union permettra aux citoyens de Westbury de profiter des mêmes services, à coûts identiques, que les résidents de East Angus. Ce nouveau partenariat au niveau des loisirs assurera aux Westburyens et Westburyennes d’avoir accès au Service d’animation de la semaine de relâche, au Service d’animation estivale (SAE), aux cours de natation, aux inscriptions auprès de l’Association du Hockey mineur du Haut-Saint-François (HSF), au Club de patinage artistique ainsi qu’à la Fête de la famille. Tout ça, sans défrayer le moindre dollar supplémentaire. Ces activités seront couvertes par cette nouvelle entente. Autrefois, les personnes ne vivant pas à East Angus devaient payer un surplus pour participer à ces évènements.
« Pour Westbury, c’est une belle amélioration. Avec cette entente, les citoyens n’auront plus de supplément à payer. De plus, cette façon de faire enlèvera, à la municipalité, toute la gestion au niveau de la facturation et de l’aide financière octroyée aux citoyens utilisant les services de East Angus et qui, par la suite, réclamaient à Westbury. Moi, je suis vraiment fière de cette collaboration. C’est quand même une première entre nos deux municipalités. Il faut et il y en aura d’autres comme celle-ci. Il y a encore tellement d’autres choses qu’on pourrait encore améliorer et c’est ensemble qu’on va le faire », d’exprimer la mairesse de East Angus, Lyne Boulanger. Cette dernière croit aussi que ce genre de partenariat favorisera le développement de la région et améliorera l’offre pour les activités et évènements.
Pour Gray Forster, maire de Westbury, le constat est le même. « C’est une bonne entente, pour les deux municipalités. C’est avantageux autant pour les citoyens de Westbury que pour le conseil. Ils allaient déjà profiter des infrastructures de loisirs de East Angus, mais ils payaient une taxe de non-résident. Avec cette entente, ça devient plus simple pour tout le monde. Nos citoyens auront accès à tous les services de loisirs de East Angus pour le même coût que les Angussiens et Angussiennes ».
C’est une entente renouvelable chaque année et les deux municipalités se disent prêtes à collaborer davantage dans le futur.

Alain Choquette

Gala de magie avec Alain Choquette : Un partenariat qui traverse le temps

Fidèle à son habitude, Alain Choquette aime faire participer les gens dans la salle.

Prévu en mars 2020, mais retardé en raison de la pandémie et aux problèmes de santé d’Alain Choquette, le gala de magie a finalement eu lieu plus tôt ce mois-ci au Centre culturel de Weedon. Plus de 4000 $ ont été amassés. Tous les bénéfices et dons de cette soirée seront remis aux personnes dans le besoin par le biais de la Fondation Pauline Beaudry.
Outre quelques numéros d’Alain Choquette, porte-parole de la Fondation, le gala a permis de découvrir deux autres magiciens et amis de ce dernier. Loran, magicien et illusionniste, nous a d’abord amenés dans son univers et nous en a mis plein la vue avec des numéros éblouissants où l’homme jouait avec le feu et les illusions avec une aisance toute naturelle. La soirée se terminait avec la prestation d’un magicien et communicateur hors pair, Michel Huot, qui lui aussi livra une performance haute en couleur. Lors de ces numéros, la foule était plus souvent qu’autrement, amenée à participer directement au spectacle, ce qui fut apprécié de tous.
Alain Choquette, quant à lui, est présentement en tournée avec son dixième spectacle, La mémoire du temps. Ce sera son dernier tour de piste sur scène, après plus de 35 ans de carrière. Même avec un train de vie effréné, M. Choquette prend toujours le temps de venir encourager la Fondation Pauline Beaudry. « Avec Pauline, c’est un contrat à vie », d’exprimer ce dernier.
Au fil du temps, une belle relation s’est formée entre le magicien et la municipalité de Weedon. Avec les années, c’est devenu comme une 2e maison. « Loran et Michel avaient une bonne heure de préparation et d’installation à faire avant le spectacle alors que moi, je n’en avais pas autant, j’ai donc prévu faire mon épicerie à Weedon. Les propriétaires étaient là, on a discuté avec eux. On a aussi soupé au Restaurant des Cantons où on a été vraiment bien reçus. On commence vraiment à connaître les gens et vice-versa. C’est quelque chose de sympathique qui me plait bien ici, à Weedon. C’est devenu comme une petite visite à la maison », d’exprimer Alain Choquette.
Certains de ses billets étaient vendus depuis 2020 et Pauline Beaudry a tenu à remercier la fidélité des personnes présentes, presque 3 ans plus tard. « J’aimerais remercier tous les gens présents ce soir. Il y a pas mal de gens dans la salle qui ont leurs billets depuis 2020 et je n’ai pas eu beaucoup de demandes de remboursement qui ont été faites. Vous êtes vraiment des gens fidèles et sincèrement, cela me touche droit au cœur. Je me sens privilégiée de vous côtoyer dans le quotidien », d’exprimer cette dernière.
Un prochain spectacle au bénéfice de la Fondation devrait avoir lieu au mois de juin, dans la salle communautaire rénovée de la municipalité. « Tant que Pauline voudra de moi, je répondrai à l’appel. D’ici juin, on va préparer le prochain spectacle. On va inaugurer cette nouvelle salle communautaire. Cette année, je vais essayer de faire venir un humoriste », de dire le magicien connu internationalement.
La mission première de la Fondation Pauline Beaudry est de soulager la pauvreté en subvenant principalement aux besoins alimentaires des personnes démunies de la MRC du Haut Saint-François. À l’occasion, elle peut aussi subvenir à d’autres besoins essentiels de ces personnes (ex. vêtements, meubles, paiements de facture d’électricité, de chauffage, entrée scolaire, etc.).

PDZA

Forum consultatif pour le Plan de développement de la zone agricole (PDZA) : Les citoyens sont invités

Rémi Vachon, directeur adjoint au CLD du HSF, invite la population à participer au Forum consultatif qui se déroulera au Centre communautaire de Johnville, le 26 avril prochain.

La MRC ainsi que le Centre local de développement (CLD) du Haut-Saint-François (HSF) invitent les citoyens à venir participer au Forum consultatif en lien avec la révision de son Plan de développement de la zone agricole (PDZA). La rencontre est ouverte à tous et se tiendra au Centre communautaire de Johnville, le 26 avril, de 9 h à 16 h.
« Cette invitation au forum consultatif est une démarche de mise à jour principalement. Le plan de développement de la zone agricole a déjà été mis en place et maintenant, on retourne sonder le milieu pour une mise à jour. Qu’est-ce qui est toujours d’actualité ? Est-ce qu’il y a de nouveaux éléments qu’on doit ajouter et intégrer ? C’est vraiment une démarche de consultation », d’expliquer Rémi Vachon, directeur adjoint au CLD du HSF.
Un peu plus d’une centaine de citoyens, agriculteurs et partenaires s’étaient présentés lors de la première rencontre du PDZA, en 2017. Les organisateurs ont pour objectif d’accueillir sensiblement le même nombre de participants. « C’est un enjeu majeur dans notre MRC et ce forum nous donnera le pouls », exprime M. Vachon.
« On va présenter un portrait de notre zone agricole dans le HSF et des enjeux qui ont déjà été identifiés lors de précédentes rencontres et conjointement, avec les acteurs du milieu, on va déterminer si certains d’entre eux doivent être modifiés ou laissés tels quels. À la suite de ces échanges, on va mettre en place un plan d’action pour voir comment on fait face à ces éléments-là et quelles actions on met concrètement en place », de dire Rémi Vachon.
La MRC et le CLD chercheront aussi à trouver des partenaires désirant s’impliquer dans ces actions et les épauler dans le projet. Suivant cette consultation, ce sera le départ de la mise en place du plan d’action à proprement parler. C’est ce qui permettra aux acteurs, dans les années à venir, de savoir où mettre les efforts, à quel moment et de déterminer les priorités d’actions.
Ce forum consultatif est l’occasion de prendre part aux décisions qui auront nécessairement un impact sur le développement socio-économique, agroalimentaire et forestier, ainsi que sur le développement des entreprises liées à la zone agricole et forestière du Haut-Saint-François, d’exprimer M. Vachon.
L’inscription à l’évènement est requise, mais l’ensemble de la journée est gratuit incluant un repas sur l’heure du dîner. Pour s’inscrire consultez le site cldhsf.com.

Voisin anglais

Neighbourhood Meetings in Cookshire-Eaton : An Exercise Appreciated by Elected Officials and Citizens

The councillors, Daphné Raymond and Marcel Charpentier, presented the projects for the Sawyerville sector.

About a hundred citizens of Cookshire-Eaton participated in neighbourhood meetings in the Cookshire, Johnville, and Sawyerville sectors. The mayor, Mario Gendron, would have liked more participants in this activity organized by the municipality, but expressed satisfaction with the exchanges.
During the presentations, the mayor, accompanied by councillors from each sector, presented the achievements of the municipality in the neighbourhoods in question during 2022, as well as the perspectives for the current year.
Among the achievements, Mayor Gendron recalled the overhaul of the municipality’s action plan, involving improvements to the organizational structure, and the search to optimize human resources and processes. Efficiency, sound management, and residential, commercial and industrial development, as well as enhancing the particularity of the territory of Cookshire-Eaton are all part of the new vision adopted by the municipal council’s team, said Mr. Gendron.
On another front, the municipality’s development strategy has been overhauled. The strategy includes five orientations: to preserve and enhance the natural character of the territory, to improve the quality of life on a continuing basis, to become an attractive tourist destination, to position the city as an alternative of choice for the Sherbrooke region, in particular taking advantage of the Sherbrooke airport that is located in the Cookshire-Eaton territory, and to create dynamic and inviting urban centres.
This overhaul was adjusted so the municipality can benefit from the subsidies offered by the Regional and Rurality Fund, explained the mayor. The regional development financial assistance program is administered jointly by the Government of Quebec and the Haut-Saint-François MRC.
Revenue Increase
Mr. Gendron emphasized the importance of increasing the municipality’s revenues. One way to achieve this is to take various actions that are likely to increase growth in its territory. In its attraction plan, Cookshire-Eaton plans to develop land for single-family housing and housing in Cookshire, Johnville, Sawyerville and even Birchton. In all, 250 housing units are planned for the next few years throughout the territory. The development of outdoor facilities, adequate sports facilities, daycare centres, local shops and the arrival of new employers should help to arouse the interest of future residents, the elected officials hope.
Achievements
The mayor and councillors presented the various achievements in the neighbourhoods where the meetings took place. In Johnville, among the initiatives completed were upgrading the church to temporarily accommodate the CPE (childcare centre); expanding Fire Station No. 3; working on the water catchment structure in the Johnville Bog & Forest Park to provide water for housing projects; and carrying out work at the purification plant, plus repairing several road segments. Obviously, the Saint-Laurent and Maheux sectors were listed, plus that of Gendron Street, planned for 2024. Several other projects concerning recreation and the community were presented. Satisfied with the topics discussed, the citizens nevertheless denounced the problem of speeding in the heart of Johnville, and suggested that elected officials intervene.
Sawyerville
The meeting in Sawyerville is the one that attracted the most citizens, with 54 people attending. Among the achievements made in this sector, councillors Daphné Raymond and Marcel Charpentier recalled the public road repairs, the replacement of wooden strips at the skating rink, work on the park trail at the dam, in particular building an observation tower. The inauguration of the new Fire Station No. 2 was a highlight of the past year.
On the list of projects to come is upgrading the Community Center, estimated at $125,000, as well as repairing the dam, estimated at $1.1 million, consisting of maintenance work required by the Government of Quebec. On this subject, a citizen, Jack Garneau, asks if it would be possible to install a plaque at the dam commemorating to the old saw and flour mill and the covered bridge of yesteryear. In terms of residences, six apartments are to be built near the fire station. In the recreation and community sector, the municipality plans to complete the project to cement the skating rink by adding anchors to eventually install a roof. This process is identical for the three sectors of the municipality. Completing the cycle path, improving the game modules, and installing urban furniture in the parks completes the to-do list.
At the end of the meeting, the citizens who attended expressed their satisfaction with the initiative. All the questions asked related to the project to renovate the community center, its maintenance and its use.
Cookshire
The Cookshire meeting proved to have the lowest turnout. A dozen citizens attended the meeting. Councillors Josée Pérusse and Roger Thibault presented the main achievements, starting with the infrastructure work on Eastview Street, the repair of several road segments, the launch of intergenerational operations on the Cloutier pond site and, in collaboration with the Cœur villageois, setting up a new stage for concerts at the Parc des Braves.
Future projects include building a sidewalk on Bibeau Street, accrediting the tourist welcome office, and providing support to set up a family daycare centre. In the area of industry, it is planned to develop the airport sector on private land. The municipal council is studying the possibility of a bypass for heavy trucks. Industrial development also plays a role in the projects, and the construction of three buildings is planned in the Boisé development with a capacity of 50 housing units. Renovation of the John-Cook bridge is also among the list of things to do. The councillors reminded citizens that the search for water continues. In the area of leisure, the municipality is considering developing a pump track in the medium term. Other projects in development for future years were announced during the meeting.
Returning Next Year
The mayor said he believes the neighbourhood meetings have achieved their objective. “The pulse I had from people, and this goes back seven, eight years was: we’re not informed about what you’re doing, where you’re going, what are the plans coming up, what are you going to do for the community?” Mr. Gendron is satisfied with the discussions and suggestions, which have been noted. “For me, this kind of meetings, I like them and they should come back next year,” he added.

Fete semence anglais

Sawyerville Seed Festival : Sowing Encounters and Exchanges

Participants had an opportunity to make purchases in person.

The 7th edition of the Seed Festival organized by the Sawyerville Community Garden gave more than a few citizens and entrepreneurs an opportunity to sow encounters, exchanges and collaborations. About twenty kiosks and several speakers were present at the event, attended by about a hundred citizens ready to prepare their gardens.
For Chantal Bolduc, the event’s organizer, the results of the activity outstripped her expectations. Visitors had the opportunity to meet local artisans and producers as well as seed producers. “ We have great quality; they produce really ecological, really healthy food. It’s really an honour, it’s a pleasure to see that we have so many people who make such high quality products,” enthused Bolduc. This year, in addition to vegetable seeds, growers also offered a large selection of flower seeds. One entrepreneur also explained how a tower garden works, for gardening in winter.
In all, four speakers made presentations during the day. Chantal Parent began, talking about insomnia, the causes and the plants related to it. Les Maraîchers de l’or vert spoke about winter gardening. The Hôtes Épinettes offered a workshop on preparing seedlings, and the Jardins des Bocages discussed living soils, microbiota and superfoods. Members of the Sawyerville Community Garden prepared a heart-warming dinner for participants.
Bolduc also mentioned that it is always possible to rent a 40-foot garden bed at the Community Garden at the cost of $20 per year. Compost and garden tools are provided to participants. Interested persons can contact the persons responsible at https://www.jcs-scg.org. The garden is scheduled to open near the end of May.

Voisin francais

Rencontre de voisinage à Cookshire-Eaton : Un exercice apprécié des élus et citoyens

Le maire de Cookshire-Eaton, Mario Gendron, a présenté les réalisations de la municipalité aux 35 personnes présentes pour le secteur de Johnville.

Une centaine de citoyens de Cookshire-Eaton ont participé aux rencontres de voisinage tenues dans les secteurs de Cookshire, Johnville et Sawyerville. Le maire, Mario Gendron, aurait souhaité davantage de participants à cette activité, organisée par la municipalité, mais se montre satisfait des échanges.
Lors des présentations, le maire, accompagné des conseillers de chaque secteur, a présenté les réalisations de la municipalité et des voisinages concernés au cours de 2022 ainsi que les perspectives pour la présente année.
Parmi les réalisations, le maire Gendron a rappelé la refonte du plan d’action de la municipalité consistant à améliorer la structure organisationnelle, la recherche d’optimisation des ressources humaines et des procédés. L’efficacité, la saine gestion, le développement résidentiel, commercial et industriel ainsi que la mise en valeur de la particularité du territoire de Cookshire-Eaton font partie de la nouvelle vision adoptée par l’équipe du conseil municipal, d’exprimer M. Gendron.
D’autre part, on a effectué une refonte de la stratégie de développement de la municipalité. Cette dernière comprend cinq orientations soit de conserver et mettre en valeur le caractère naturel du territoire, améliorer la qualité de vie de façon continue, de devenir une destination touristique attrayante, de positionner la ville comme une alternative de choix pour la région de Sherbrooke, notamment en tirant profit de l’aéroport de Sherbrooke, situé sur le territoire de Cookshire-Eaton, et de créer des centres urbains dynamiques et invitants.
Le maire explique que cette refonte est ajustée afin que la municipalité puisse bénéficier des subventions offertes par le Fonds régional et ruralité. Ce programme d’aide financière de développement régional est administré conjointement par le gouvernement du Québec et la MRC du Haut-Saint-François.
Hausse de revenus
M. Gendron insiste sur l’importance de majorer les revenus de la municipalité et une façon d’y arriver est de poser diverses actions susceptibles d’augmenter la croissance sur son territoire. Dans son plan d’attraction, Cookshire-Eaton prévoit développer des terrains pour l’habitation unifamiliale et de logements que ce soit à Cookshire, Johnville, Sawyerville et même Birchton. D’ailleurs, 250 unités de logement sont prévues pour les prochaines années sur l’ensemble du territoire. Le développement d’installations plein air, de plateaux sportifs adéquats, de garderies, de commerces de proximité et l’arrivée de nouveaux employeurs devraient contribuer à susciter un intérêt pour de futurs résidents, de souhaiter les élus.
Réalisations
Le maire et les conseillers ont présenté les différentes réalisations dans les voisinages rencontrés. À Johnville, la mise à norme de l’église pour accueillir temporairement le CPE, l’agrandissement de la caserne No. 3, l’ouvrage de captation d’eau au parc Écoforestier pour les projets domiciliaires, les travaux effectués à l’usine d’épuration sans oublier la réfection de plusieurs segments s’inscrivent parmi les initiatives complétées. Évidemment, les secteurs Saint-Laurent et Maheux sont énoncés sans oublier celui de la rue Gendron, prévu pour 2024. Plusieurs autres projets concernant les loisirs et le communautaire ont été présentés. Satisfaits des sujets abordés, les citoyens ont tout de même dénoncé l’excès de vitesse au cœur de Johnville et suggéré que les élus interviennent.
Sawyerville
La rencontre à Sawyerville est celle qui a attiré le plus de citoyens avec 54 personnes. Parmi les réalisations effectuées dans ce secteur, les conseillers Daphné Raymond et Marcel Charpentier ont rappelé la réfection des voies publiques, le remplacement des bandes de bois à la patinoire, les travaux du sentier du parc du Barrage notamment avec la construction d’une tour d’observation. L’inauguration de la nouvelle caserne No 2 s’inscrit comme un moment fort au cours de la dernière année.
Sur la liste des projets s’inscrivent la mise aux normes du Centre communautaire estimé à 125 000 $ ainsi que la réfection du barrage évalué à 1,1 M$ consistant à des travaux d’entretien requis par le gouvernement du Québec. À ce sujet, un citoyen, Jack Garneau, demande s’il serait possible d’installer au barrage une plaque commémorative faisant référence à l’ancien moulin à scie, à farine et le pont couvert d’autrefois. Au secteur résidentiel figure un projet de construction d’un six logements à proximité de la caserne d’incendie. Au domaine des loisirs et communautaire, on prévoit compléter le projet de bétonner la patinoire en ajoutant des ancrages pour y installer éventuellement un toit. Cette démarche est identique pour les trois secteurs de la municipalité. Compléter le sentier de piste cyclable, bonifier les modules de jeux et installer du mobilier urbain dans les parcs complète la liste de choses à faire.
Au terme de la rencontre, les citoyens présents ont signifié leur satisfaction envers l’initiative. L’ensemble des questions posées a porté sur le projet de rénovation du centre communautaire, son entretien et l’utilisation.
Cookshire
L’assemblée à Cookshire s’est révélée la plus faible en termes de participation. Une dizaine de citoyens ont assisté à la rencontre. Les conseillers Josée Pérusse et Roger Thibault ont fait part des principales réalisations en débutant par les travaux d’infrastructures que ce soit sur la rue Eastview, la réfection de plusieurs segments de routes, le lancement des opérations intergénérationnelles sur le site de l’étang Cloutier et la mise en place d’une nouvelle scène pour les concerts au parc des Braves en collaboration avec le Cœur villageois.
Au chapitre des projets, on prévoit faire un trottoir sur la rue Bibeau, homologuer le bureau d’accueil touristique et faire de l’accompagnement dans l’implantation d’une garderie en milieu familial. Au domaine industriel, il est envisagé de développer le secteur de l’aéroport sur des terrains privés. Le conseil municipal étudie la possibilité d’une voie de contournement pour les camions lourds. Le développement industriel fait également partie des projets et on prévoit la construction de trois édifices dans le développement du Boisé pour une capacité de 50 unités de logement. La rénovation du pont John-Cook s’inscrit également parmi les choses à faire. Les conseillers rappellent que la recherche en eau se poursuit. Au domaine des loisirs, on songe à moyen terme à l’aménagement d’un pumptrack. D’autres projets en développement pour les années à venir ont été énoncés au cours de la rencontre.
De retour l’an prochain
Le maire estime que la démarche a atteint l’objectif. « Le pouls que j’avais des gens et ça remonte à sept, huit ans, c’était : on n’est pas informé de ce que vous faites, où vous vous en allez, c’est quoi les projets qui s’en viennent, qu’est-ce que vous allez faire pour la communauté?» M. Gendron est satisfait des échanges et suggestions qui ont d’ailleurs été pris en note. « Moi, ce genre de rencontres, j’y tiens et ça devrait revenir l’an prochain », complète-il.

fete semence francais

Fête des semences de Sawyerville : Semer des rencontres et des échanges

Les participants ont apprécié les divers conférenciers qui ont pris la parole.

La 7e édition de la Fête des semences organisée par le Jardin Communautaire de Sawyerville a permis à plusieurs citoyens et entrepreneurs de semer des rencontres, des échanges et des collaborations. L’événement, où une vingtaine de kiosques et plusieurs conférenciers étaient présents, a reçu une centaine de citoyens prêts à préparer leurs jardins.
Pour Chantal Bolduc, organisatrice de la journée, les résultats de l’activité vont au-delà de ses espérances. Les visiteurs avaient la possibilité de rencontrer des artisans et des producteurs locaux ainsi que des semenciers. « On a une grande qualité; ils produisent des aliments vraiment écologiques, vraiment sains. C’est vraiment un honneur, c’est un plaisir de voir qu’on a autant de personnes qui font des produits de si grande qualité », s’extasie Mme Bolduc. Cette année, outre les semences de légumes, les producteurs avaient également une grande sélection pour celles des fleurs. Un entrepreneur expliquait également le fonctionnement d’une tour à jardin permettant de cultiver en hiver.
Au total, quatre conférences ont été présentées au cours de la journée. Chantal Parent a ouvert le bal en parlant de l’insomnie, les causes et les plantes qui s’y rattachent. Les Maraîchers de l’or vert ont abordé le sujet de la culture hivernale. Les Hôtes Épinettes ont animé un atelier de préparation de semis et les Jardins des Bocages ont discuté des sols vivants, des microbiotes et des superaliments. Un dîner réconfortant était offert grâce au travail des membres du Jardin Communautaire de Sawyerville.
Mme Bolduc souhaite également rappeler qu’il est toujours possible de louer une planche de 40 pieds au jardin communautaire pour le coût de 20 $. Le compost et les outils de jardinage sont fournis aux participants. Les personnes intéressées peuvent contacter les responsables au https://www.jcs-scg.org. L’ouverture du jardin est prévue vers la fin du mois de mai.

CHLSD

Unité protégée au CHSLD d’East Angus : Un projet innovateur qui donne des résultats intéressants

Annie Dupuis, gestionnaire responsable du CHSLD d’East Angus, Robert Beaunoyer et Sophie Rodrique, chef de l’unité protégée devant une murale.

Le CHSLD d’East Angus innove et fait preuve de modèle dans le réseau. Les équipes de soins et techniques avec les acteurs de la communauté se sont donné les moyens financiers et le temps pour réaliser un projet : celui d’aménager l’unité protégée pour lui donner, à l’aide de grandes murales, des allures de petit village. Complétée en janvier dernier, l’initiative n’a pas tardé à donner des effets bénéfiques, estiment les responsables, que ce soit pour les résidents, les membres de leur famille et le personnel.
À l’aide de grandes murales, on a reproduit diverses scènes de la vie quotidienne que ce soit par des paysages, des animaux de ferme, un marché de légumes, un garage avec des véhicules, un salon de coiffure et une boutique de vêtements. On y a également aménagé un petit coin outils que les résidents peuvent toucher en toute sécurité, une chambre de bébé avec couchette et poupée ainsi qu’une chaise berçante. Certains résidentes et résidents s’y arrêtent pour prendre le temps de bercer la poupée ou même la changer. En plus, une murale reconstituant le coin bistro est aménagée dans la salle à manger. En outre, toutes les portes des chambres sont reconverties en différents styles d’entrées de maison de couleurs variées, faisant en sorte que chaque résident reconnaisse sa propre maison. L’uniformité des chambres par la couleur, explique Annie Dupuis, gestionnaire responsable du CHSLD d’East Angus, faisait en sorte que les résidents se trompaient fréquemment de chambre et s’installaient dans celle d’un autre. L’initiative n’a pas réglé le problème au complet, mais plusieurs, soit 25 % d’entre eux, reconnaissent maintenant leur chambre, ce qui est considéré comme étant efficace dans le domaine.
Mme Dupuis explique, « on s’est rendu compte que les gens atteints d’Alzheimer circulent beaucoup, certains font de l’errance et avaient plus ou moins d’occupationnel, des choses qui pouvaient les tenir occupés, ce qui pouvait amener des comportements d’agressivité, des troubles de comportement. L’idée a germé qu’on pouvait créer un village qui les tiendrait occupés avec des souvenirs qui leur rappelleraient des choses qui se sont passées dans leur vie active. L’idée est d’avoir un côté rural et urbain pour toucher le plus de gens possible. » Elle souligne que les résidents sont d’anciens agriculteurs et citadins. « On voulait vraiment qu’ils aient un sentiment d’appartenance à l’unité. On voulait recréer un village dans lequel ils ont vécu autrefois », d’ajouter Sophie Rodrigue, chef de l’unité protégée du CHSLD.
Pascale Rodrigue, préposée aux bénéficiaires, remarque des améliorations. « Il y a moins d’erreurs de chambre, le visuel et la couleur aident à se repérer. Les murales suscitent des souvenirs et les résidents s’y arrêtent et racontent des histoires. D’autres regardent et sourient. » Le trompe-l’œil à la porte, qui est barrée, permet d’éviter l’attroupement de résidents et diminue le bruit, ajoute Pascale Rodrigue. Tout le concept, d’expliquer les responsables, apporte des bienfaits tant sur le plan moteur qu’intellectuel. On remarque une diminution de l’agitation et même de l’agressivité chez certains résidents.
Fière de cette réalisation, Mme Dupuis souligne l’implication de la communauté, notamment pour la recherche de contributions financières. À ce chapitre, Desjardins du Haut-Saint-François, la Fondation des CLSC et CHSLD du Haut-Saint-François, les municipalités d’East Angus et Westbury ainsi que le Club des amis du domaine ont contribué à la démarche. Une partie provenant du fonds de l’ex-ministre des Aînés, Marguerite Blais, a permis d’amorcer l’initiative. Le coût du projet s’élève à 20 000 $. À cela, il faut ajouter l’implication du personnel du CHSLD.
Phase II
Fort satisfaites des résultats, les intervenantes travaillent sur une phase II qui s’appliquera à l’ensemble des résidents du CHSLD. Sans en dévoiler la teneur, Mme Dupuis parle d’une idée principale en développement. Il y aura des murales, mais l’objectif sera différent. Elle ajoute que les résidents seront consultés pour développer quelque chose qui répondra à leur désir et besoin.
Mentionnons que plusieurs intervenants du réseau ont fait un passage au CHSLD d’East Angus afin de voir l’application du concept pour l’aile protégée. Il existe certaines murales dans d’autres CHSLD, mais pas de concept du genre village, d’expliquer Mme Dupuis. Mmes Rodrigue et Dupuis ne cachent pas leur fierté de cette belle réalisation, précisant au passage que l’initiative n’était pas d’embellir l’aile concernée, mais bien d’améliorer la qualité de vie des résidents.

Cadeau Pâques

Quoi offrir comme cadeau d’hôte pour Pâques ?

Si vous êtes convié à un repas de Pâques et que vous cherchez comment remercier votre hôte, puisez l’inspiration dans ces quelques suggestions !
Cadeaux printaniers
Outre les poussins, les lapins et le chocolat, Pâques évoque la nature qui se réveille : bouquet de fleurs coupées, plante en pot et chandelle parfumée aux effluves printaniers, notamment, sont donc tout indiqués. L’arrivée des beaux jours signalant aussi le retour de diverses activités (jardinage, camping, vélo, etc.), vous pourriez miser sur un accessoire lié à celles que votre hôte affectionne, si vous les connaissez.
Présents gourmands
Si le chocolat est un classique pascal dont on ne se lasse pas, d’autres options s’offrent à vous, comme les alcools d’ici, les assortiments de thés, les jujubes et bonbons colorés, les délices de l’érable, les épices à barbecue et le maïs soufflé aromatisé. Magasinez les paniers gourmands thématiques ou créez le vôtre en y intégrant vos produits préférés à faire découvrir.
Surprises personnalisées
Si vous êtes proche de la personne qui vous reçoit, n’hésitez pas à lui offrir un cadeau moins « passe-partout ». Songez notamment à un bijou, à une paire de billets pour un spectacle de son artiste préféré ou à un atelier qui lui plaira à coup sûr. Vous pouvez aussi personnaliser un accessoire pratique (tasse, sac réutilisable, tablier, etc.) en y ajoutant son expression favorite, par exemple. Bon magasinage !

actualite

3 idées de menu pour célébrer Pâques

Vous recevez pour Pâques et ne savez pas quoi servir à vos invités? Voici trois idées plus appétissantes les unes que les autres !
Un repas de cabane à sucre : savourez jambon, pommes de terre rissolées, saucisses, oreilles de « crisse », fèves au lard, omelettes et crêpes, notamment, le tout généreusement arrosé de sirop d’érable.
Un menu de Pâques traditionnel : misez sur un gigot ou un carré d’agneau, une salade rafraîchissante (ex. : roquette et petits fruits ou jardinière aux œufs) et un gratin de légumes (ex. : pommes de terre ou chou-fleur) pour ravir les papilles de chacun.
Un brunch végétarien : tartines à l’avocat et aux œufs, quiche aux poireaux, feuilleté aux champignons ou aux épinards, poêlée de légumes, salade printanière, soupe de pois chiches et pâtes… les options « végé » ne manquent pas pour régaler toute la tablée !
Visitez vos commerces locaux pour dénicher les ingrédients qu’il vous faut et les boissons idéales pour accompagner vos plats !

Karate_East_Angus

Karaté : Des élèves se démarquent

Dans le même ordre sur la seconde rangée, nous retrouvons sempai Hugo Veilleux, instructeur, Nicolas Potvin, sensei Alain Roy et le sempai Alexandre Sénéchal.

Neuf élèves de l’école de Karaté Kyokushin, Alain Roy, située à l’école du Parchemin à East Angus, ont fait belle figure lors de la récente classique Nakamura (compétition de kata et de combat) qui se déroulait récemment à Saint-Bruno. Parmi ceux qui se sont démarqués, nous retrouvons Mégan Bossé et Noah Bélanger qui ont respectivement décroché la première position en kata, catégorie mixte ceinture bleue pour Mégan alors que Noah faisait de même en combat catégorie garçon, ceinture orange. Félix Pouliot et Samuel Côté se sont également signalés en obtenant la deuxième position. Félix en kata mixte ceinture orange ainsi qu’en combat chez les garçons, ceinture orange et bleue. Samuel s’est démarqué en combat dans la catégorie garçon ceinture blanche et orange. Mentionnons que sempai Véronique Montreuil Jacques (instructrice), a décroché la 1re position en kata, catégorie adulte mixte, ceinture brune. Le dojo d’East Angus en était à sa deuxième participation à la classique Nakamura. Fondée en 2018, la jeune école de karaté ne compte pas moins de 75 élèves, enfants et adultes. Hugo Veilleux, instructeur et également enseignent à l’école du Parchemin, est fier des élèves et ajoute que certains adultes se préparent pour l’obtention de leur ceinture noire. Nous apercevons à l’avant de gauche à droite, Samuel Côté, Débora Dumais, Mégan Bossé, Noah Bélanger, Anick Bastien et sempai Véronique Montreuil Jacques.

Formation Ch. commerce

Pénurie de main-d’œuvre : Des formations pour soutenir les entreprises locales

Plus d’une trentaine d’employeurs ont participé aux deux formations offertes par la Chambre de commerce du HSF et du Comité d’adaptation de la main-d’œuvre (CAMO) régional.

Plus d’une trentaine d’employeurs du milieu ont participé aux deux formations en ressources humaines offertes par la Chambre de commerce du Haut-Saint-François (CCHSF) et le Comité d’adaptation de la main-d’œuvre (CAMO) régional.
Les formations offertes portaient sur la rémunération globale et l’expérience employée. Les formateurs Marie-Josée Tessier, stratège en ressources humaines pour Koläb, et Alex Philibert-Smith, stratège en ressources humaines pour GoRH, ont été appréciés des participants. Les présentations laissant place à la discussion permettant aux personnes d’échanger sur leurs pratiques en matière de rémunération ou encore d’expérience employée dans le but d’attirer de nouveaux employés et maintenir les emplois existants.
Selon les organismes qui présentaient les formations, le monde du travail est caractérisé par une pénurie de main-d’œuvre. Il leur apparaît donc essentiel pour les employeurs de la région d’avoir les outils nécessaires pour développer leurs pratiques en ressources humaines et ainsi, concurrencer les régions avoisinantes.
« Dans un contexte de rareté de la main-d’œuvre qui se fait de plus en plus criant pour les employeurs du Haut-Saint-François, il est essentiel de pouvoir offrir des formations ciblées sur les besoins existants de façon à améliorer leurs stratégies en ressources humaines », d’exprimer Alexandra Jacquet, directrice générale de la CCHSF. « En plus de réseauter, ces formations ont permis aux participants de discuter entre eux et avec les formateurs de différentes stratégies efficaces pour l’attraction, l’engagement et la fidélisation des employés », de poursuivre Léa Duquet, coordonnatrice du CAMO.

Vitres

Faire briller les vitres et les miroirs : 5 erreurs à éviter

Des miroirs, des fenêtres et des meubles vitrés bien propres donnent « illico » de l’éclat à votre décor. Cela dit, dans votre empressement (ou votre enthousiasme), vous pourriez commettre certaines erreurs en les nettoyant, ce qui vous obligerait à tout recommencer en serrant les dents…… Voici donc ce que vous ne devez absolument pas faire !

  1. Procéder au nettoyage lorsque la météo ou l’éclairage sont défavorables (pluie verglaçante, soleil puissant, etc.) ;
  2. Omettre de retirer la poussière à proximité (ex. : sur les cadrages) avant de commencer le nettoyage ;
  3. Employer une solution commerciale de mauvaise qualité ;
  4. Assécher les surfaces avec un linge non absorbant, sale ou, pire encore, pelucheux ;
  5. Négliger d’essuyer la raclette après chaque passage, le cas échéant.
    Munissez-vous des meilleurs produits et accessoires pour nettoyer vos surfaces en visitant vos commerces locaux, ou faites affaire avec des pros de l’entretien ménager pour un résultat éblouissant !
Soffites

4 signes que vous devez remplacer les soffites et les bordures de toit

Les soffites et les bordures de toit (fascias) protègent le grenier et la toiture des infiltrations d’eau et empêchent les insec­tes et les animaux nuisibles d’entrer dans vo­tre maison. Voici quatre signes indiquant qu’il est temps de les faire réparer ou remplacer.
La peinture s’écaille ou se détache : lorsque la peinture commence à se détériorer, l’humidité peut pénétrer dans les planches et entraîner des dégâts d’eau sur le toit, les murs intérieurs et le parement.
Les gouttières sont lâches : les plan­ches des soffites et des bordures de toit servent de support à vos gouttières. Par conséquent, elles doivent probablement être réparées si ces dernières semblent branlantes et instables.
Des parasites s’installent autour de votre maison : des marques de grignotage, des matériaux de nidification ou des excréments dans le grenier indi­quent souvent que les bordures de toit et les soffites sont endommagés, puisqu’ils sont conçus pour empêcher les rongeurs, les insectes et les autres petites bêtes de s’introduire dans votre demeure.
Il y a peu ou pas de ventilation : les soffites assurent la ventilation et préviennent la condensation dans votre grenier. Si votre maison semble devenue «étouffante», vos soffites sont probablement bloqués ou en mauvais état.
En présence de l’un de ces signes, contactez un couvreur local pour faire inspecter votre toiture et effectuer les réparations nécessaires, le cas échéant.

PLANCHERS

Astuces pour entretenir vos planchers selon leur revêtement

Vous achevez (enfin !) votre grand ménage du printemps, et il vous reste à laver vos planchers pour la touche finale? Voici comment procéder pour entretenir les vôtres sans les abîmer !
Céramique : les joints du carrelage doivent être nettoyés à l’aide d’un produit spécifiquement conçu pour cet usage. Après l’avoir laissé agir, vous devez frotter ou brosser les zones avec une brosse ou un linge, puis rincer. Les carreaux, pour leur part, se nettoient aisément avec un mélange d’eau et de vinaigre blanc.
Vinyle : ce matériau populaire est très facile d’entretien et conserve sa belle apparence longtemps. Recherchez un produit nettoyant pour le vinyle, passez la vadrouille sans frotter avec force, rincez, puis laissez sécher.
Plancher flottant : ce revêtement de sol est pratique et esthétique, mais il a tendance à être vulnérable à l’humidité. Vous devez donc éviter de le détremper au moment de le laver. Vous trouverez sur le marché des nettoyants conçus pour les planchers flottants. Suivez le mode d’emploi, et le vôtre retrouvera tout son éclat !
Bois franc : pour rendre son lustre à ce matériau élégant, dénichez un nettoyant écologique sans rinçage qui ne laisse ni traces ni résidus. Pour faire disparaître les taches sur les zones plus sales, évitez les tampons à récurer et les autres outils qui pourraient faire perdre son fini brillant à votre plancher.
Visitez vos commerces locaux pour trouver les produits et les accessoires qui feront briller vos planchers comme des miroirs !

Quel que soit le matériau de votre plancher, commencez toujours par retirer les débris, les miettes et la poussière à l’aide d’un balai, d’un aspirateur ou d’un linge.

Rangement

4 conseils pour bien ranger sa maison

Même si vous avez soigneusement effectué le tri de vos biens pour ne conserver que les essentiels, il est probable que vos pièces semblent encore (un peu) en désordre… Qu’à cela ne tienne : il existe plusieurs astuces pour mieux ranger vos possessions!

  1. Tirez parti des espaces vacants : faites le tour de votre maison et repérez les endroits « vides », comme le haut d’une armoire, le dessous de l’escalier ou d’un lit, ou l’arrière d’une porte. Vous pouvez ensuite exploiter leur plein potentiel grâce à des crochets, à des tablettes, à des bacs, etc.
  2. Entreposez les articles saisonniers : mettez l’équipement de camping et les décorations de Noël, par exemple, dans des bacs ou des sacs bien identifiés, et remisez ceux-ci dans un endroit approprié (ex. : sous-sol, cabanon) en vous assurant que le tout sera facile d’accès lorsque vous en aurez besoin.
  3. Gardez à la vue ce qui est utilisé souvent : il est illogique et inefficace de camoufler les articles dont vous vous servez plusieurs fois par jour ou par semaine. Placez-les plutôt à portée de main (sur de jolis présentoirs, le cas échéant) et rangez les autres produits hors de votre champ de vision, à moins qu’ils soient particulièrement décoratifs!
  4. Privilégiez les meubles multifonctions : le mobilier transformable, les étagères polyvalentes et les banquettes ou poufs de rangement sont vos complices pour ranger vos objets avec style. Visitez vos commerces locaux pour avoir un aperçu de vos options!
    Si vous voulez obtenir des conseils personnalisés pour bien organiser votre maison, consultez des spécialistes de votre région!
Rachel Garber

SUBTITLED

I’m going on a trip around the world next week, at the 10th edition of the Festival cinéma du monde de Sherbrooke, April 6 to 13. It offers more than 90 films from 40 countries, plus 25 special events, in the Maison du Cinéma plus four other venues.
I’ve picked out the films in English, those partly in English, or those subtitled in English. I found 11 feature-length fiction and eight documentaries. The online schedule (fcms.ca/schedule/) says only one is subtitled in English (Clara Sola), and two are in English with no subtitles (Brian and Charles and God’s Creatures), both from the UK.
Six films are in English with French subtitles. Sans Filtre (Triangle of Sadness), a so-called satirical black comedy about an uber-rich couple on a luxury cruise with an unhinged boat captain (Woody Harrelson). Vivre (Living) from the UK interests me: The screenplay is by the novelist Kazuo Ishiguro.
The Other Tom is about a single mother and son in El Paso, Texas, bordering Mexico. I Like Movies is about a socially inept 17-year-old befriended by an older female. Aftersun (Sous le soleil), from the UK and the US, is about father and daughter. Young Plato documents a search for peace in an all-boys school in post-conflict Belfast.
Three fiction films and seven documentaries were in English and other languages, all subtitled in French. There’s Portraits From a Fire, in English and Tsilhqot’in, about a young Indigenous vlogger. Carmen, in Spanish and English, is about a Mexican woman’s chilling border adventures. In Retour à Séoul (French, Korean and English), a 25-year-old returns to South Korea after growing up in France.
The documentary that most interests me is The Colour of Ink, in English, Spanish and Japanese. It’s about Jason Logan, a Toronto ink-maker who makes ink from weeds, bark, flowers, rocks, rust, and more. I have his book. It is gorgeous and fascinating; I expect no less from the film.
Topical and thought-provoking is Au-delà du papier (Beyond Paper), by Oana Suteu Khintirian, in in French, English, Romanian and Italian. Filmed around the world, it charts the migration of humanity’s archives to the “cloud,” from paper to digital. What is the future of human memory?
Dear Memories is a film from Germany and Switzerland; in German and English. Thomas Hoepker is one of the most important living photographers worldwide; his photos are icons of photojournalism. In 2017, he was diagnosed with Alzheimer’s disease. His one last big dream: A road trip through the USA with his wife.
La parfaite histoire (The Perfect Story), is in English, Somali, and Norwegian. By Michelle Shepherd, it is a riveting, intimate look at the ethical and moral challenges sparked by the relationship between a foreign correspondent and a young Somali refugee. Telling his heart-rending story, the film explores the boundaries of journalism and filmmaking, and questions what stories are told, why, and who gets to tell them.
And music! Ennio (The Maestro) is about the legendary film composer Ennio Morricone. It is in Italian, English, Portuguese, and Chinese. Chasseuse de son (Ever Deadly), in English and Inuktitut. Nunavut landscapes, stories, and songs of the innovative musical performer, Tanya Tagaq.
Ok, out of 90 films, that’s 19 films in English or partly so. About 20%. Kinda much. But it’s ok. They’re all from other countries, including those west of us. Many of them are award-winning.
World, here I come!
STORYMAKERS
Last call, if you enjoy stories and doing things by hand: Literacy in Action is offering a creative workshop series in Eaton Corner, using collage and family histories. “Easy and fun activities for all ages. Come solo, with your kids, or with a friend!” Accomplished storyteller, author, and Sawyerville Library coordinator Ann Rothfels will share a story with participants at the start of the first four workshops.
The first workshop is Tuesday, April 4, at 5-7 p.m., with five more to follow on April 11, 18, 25, May 2, and 9. They are free of charge, at the Academy building of the Eaton Corner Museum, 375 Route 253, Eaton Corner. Reservations: 819-346-7009, or info@lia-estrie.org. Or drop in!
BULWER COMMUNITY CENTRE
Bulwer activities are starting up again – a sure sign of spring! The first meeting is on Tuesday, April 11, and will meet every two weeks after that. Cards, bowling, and a light lunch will be served. That should put spring in your step and a smile on your lips! The Bulwer Community Centre is located at 254 Jordan Hill Road, Cookshire-Eaton. For the time or other details, contact Nathalie at the Centre d’action bénévole du Haut-Saint-François, 819-238-8541, or coordo@cabhsf.org.
SPRING IN CANTERBURY
Plan ahead for two summer events at the Canterbury Center: First, a Concert for the Fête Nationale on Friday, June 23, featuring Paula Chiasson on violin, voice, and dance; Normand Breton on bass, accordion, voice, and dance; and Christian Nolet on guitar and bouzouki. Tickets are available soon. Reservations: 819-872-3400.
Second, the Canterbury Center will host a Flea Market/Marché aux puces and Farmers’ Markets on Saturday and Sunday, July 29 and 30. Starting now, the organizers are seeking donations of small items and antiques. To arrange to drop off donations, or if your mobility is reduced, have them picked up, call 819-872-3400. The Canterbury Center is located at 1095 Route 214, Cantberbury.
CHURCHES
Baptist. In-person Sunday services are in French at 9 a.m. and in English at 11 a.m. All services are at the Sawyerville Baptist Church, 33 rue de Cookshire. For information, please contact Pastor Michel Houle at 819-889-2819.
Anglican. For the schedule of services at the St. George’s Anglican Church, 84 Queen St., Lennoxville, visit deaneryofstfrancis.com and click on the “Calendar” link. Info: 819-887-6802, or quebec.anglican.ca.
United. Sunday services are at 9:30 a.m. at the Trinity United Church in Cookshire, and at 11 a.m. at the Sawyerville United Church. Info: 819-889-2838. For pastoral care, call Rev. Spires at 819-452-3685.
Do you have news to share? Call 819-640-1340 or email rawrites@gmail.com by April 3 for publication April 12.

laver murs

Nettoyer ses murs sans abîmerla peinture : mode d’emploi

Laver des murs peints requiert certaines précautions, que ceux-ci soient visiblement sales ou non. Pour éviter d’altérer leur couleur ou de laisser de vilaines traces, suivez ces quelques étapes :

  1. Retirez délicatement la poussière et les toiles d’araignée (avec un aspirateur ou un chiffon à épousseter) ;
  2. Installez de vieilles serviettes au sol pour absorber l’excédent d’eau au moment du nettoyage ;
  3. Lavez les murs avec une éponge ou une vadrouille à partir du haut vers le bas en frottant doucement les taches au besoin (l’eau claire suffit généralement pour la saleté superficielle, mais un agent nettoyant peut être nécessaire en cas de taches tenaces) ;
  4. Asséchez au fur et à mesure les surfaces nettoyées et rincées à l’aide d’un linge propre.
    Psitt ! Plus la peinture est foncée et plus son fini est mat, plus vous devez avoir la main légère !

Vos murs sont vertigineux, ou votre condition physique ne vous permet pas d’effectuer vous-même leur nettoyage ? Utilisez une vadrouille télescopique ou engagez des professionnels de l’entretien ménager !

Mécanique

Comment nettoyer le châssis de votre voiture ?

Le châssis de votre voiture accumule la saleté, les débris et les produits de déglaçage. Il est aussi souvent arrosé par la pluie, la boue et la neige, ce qui provoque la rouille. Le printemps étant le moment idéal pour bien le nettoyer, voici comment procéder :
Soulevez votre véhicule : en soulevant votre auto à l’aide d’un cric, vous pourrez accéder plus facilement à toutes les parties du châssis — sautez cette étape si vous avez un camion surélevé !
Retirez les pneus : cette manœu­vre est facultative, mais elle vous permet de vous déplacer plus libre­ment autour du véhicule et d’atteindre tous les coins et recoins.
Rincez le châssis : nettoyez le châssis section par section, de l’avant vers l’arrière, à l’aide d’une laveuse à pression ou d’un tuyau d’arrosage muni d’un embout pulvéri­sateur. Tenez la lance dans un an­gle de 45 degrés pour un meilleur lavage.
Nettoyez les zones récalcitran­tes avec un dégraissant : pour vous débarrasser de la saleté et des débris persistants, vaporisez du dégraissant sur le châssis et laissez-le agir pendant 20 minutes. Frottez ensuite avec une brosse, puis rincez le tout.
Séchez le châssis : de la rouille peut se développer si le métal reste humide. Séchez donc chaque partie avec de vieilles serviettes.
Appliquez un produit de protection : en plus de protéger le métal du châssis contre les dommages, il gardera celui-ci plus propre, plus longtemps !
Si vous n’êtes pas à l’aise de nettoyer vous-même le dessous de votre voiture, recherchez une station de lavage offrant ce service dans votre région.

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