Mondial Soccer

Un événement à saveur internationale à East Angus : Mondial de soccer grâce au projet RurAltérité de la CDC

Des joueurs d’une quinzaine de nationalités différentes participaient à ce Mondial de soccer, dans des équipes participantes de sept joueurs, ou autrement constituées sur place, dans des rencontres amicales et participatives.

Chose rare dans le Haut-Saint-François (HSF), le samedi 9 septembre dernier, s’est tenu rien de moins qu’un premier Mondial de soccer ! Cette activité réunissait des joueurs de 15 nationalités différentes et de 18 pays ! Il s’agit du projet RurAltérité, une grande initiative interculturelle de la Corporation de développement communautaire (CDC) du HSF. En tout, 114 joueurs, 65 adultes et 45 enfants ont participé aux matchs de soccer, pour un total de plus de 200 personnes présentes à l’activité durant la journée.
Présences remarquées aussi du député de la circonscription de Mégantic, François Jacques, du préfet de la MRC du HSF, Robert G. Roy et de la mairesse de East Angus, Lyne Boulanger. Les collaborations de la Ville de East Angus, de l’organisme les Dribbleurs du HSF et la contribution financière du gouvernement du Québec ont rendu possible cette activité.
« L’objectif premier de ce projet, c’est le rapprochement interculturel qui permet de jumeler des municipalités estriennes à des communautés d’immigrants, en l’occurrence East Angus avec la communauté colombienne, principalement, pour cette activité sportive », lance tout de go Jinny Mailhot, directrice générale de la CDC du HSF.
« Nous avons engagé un agent de développement originaire de la Colombie, Edwin Moreno, pour ce projet RurAltérité, qu’on a réfléchi il y a trois ans alors que le taux d’immigration n’était que de 1,9 %. Nous avions ainsi préparé le terrain pour soutenir l’immigration, œuvrer contre la discrimination et favoriser l’intégration des immigrants. C’est une richesse collective, même pour notre culture québécoise, qui se bonifie au contact des autres ethnies », assure-t-elle.
« C’est toute notre communauté qui en profite, par le rehaussement des compétences interculturelles, dans les deux sens. La Fédération des communautés culturelles de l’Estrie (FCCE) collabore au projet-pilote qui était un gros questionnement, au point de départ, pour plusieurs organismes réseautés qui mettaient en contact deux réalités avec plein d’activités. Un bon exemple, c’est le pique-nique comme nouvelle activité, au début, où il y avait plus de 100 personnes », a rappelé Mme Mailhot.
Elle signale au passage la contribution appréciée du conseiller en immigration, Charles Rodrigue, au ministère de l’Immigration, de la Francisation et de l’Intégration (MIFI) du Québec, et de son programme qui facilite le financement, le partenariat, la concertation et fournit même des services aux entreprises. Elle souligne aussi le dévouement d’Edwin Moreno.
« Cet été, nous avons présenté une quinzaine d’activités, il y en avait eu neuf en 2022. Des échanges interculturels très profitables pour les communautés québécoises et les ethnies d’immigrants qui ont participé avec enthousiasme », a fait valoir M. Moreno, l’agent de développement à la CDC du HSF.
Rappelons que la collaboration de la communauté colombienne de Sherbrooke et de M. Moreno avait aussi été remarquée lors d’une activité du Marché public du Canton de Lingwick, au début de l’été.
Edwin Moreno se réjouissait de la représentation internationale des joueurs de soccer à ce premier événement du genre à se tenir à East Angus, ce qui représentait à son avis un bon début, qui devrait bien évoluer et se bonifier dans le futur.

Eau vive

Manoir de l’EAU VIVE : Déjà 10 ans !

Le doyen et 1er résident, Marcel Fortier, au centre, coupe le ruban accompagné de gauche à droite de Steven Hallé, copropriétaire, Mario Gendron, maire de Cookshire-Eaton, Jean-Marie Dubé, directeur général et de Mario Choquette, copropriétaire.

Les résidents du Manoir de l’EAU VIVE à Cookshire-Eaton, résidence pour les personnes retraitées autonomes et semi-autonomes, ont récemment vécu une journée intense en émotion positive. Ils ont participé dans la bonne humeur à l’inauguration de la terrasse extérieure tout en soulignant le 10e anniversaire de cette ressource appréciée des occupants.
Le directeur général, Jean-Marie Dubé, et son adjointe, Marilyn Gaulin, en compagnie de toute l’équipe, ont concocté une journée dont les résidents en parlent encore. Les copropriétaires, Mario Choquette et Steven Hallé, ainsi que le maire de Cookshire-Eaton, Mario Gendron, se sont fait un devoir et plaisir de participer aux activités et de procéder à la coupe de ruban officiel. L’honneur du geste symbolique a été confié au premier résident à occuper les lieux, Marcel Fortier. Ce dernier âgé de 99 ans est toujours satisfait des soins qui lui sont prodigués. « C’est une bonne place, on est bien reçu, les gens sont smat, mais il manque de femmes », lance-t-il à la blague. Les participants ont savouré l’événement en dégustant de petites bouchées accompagnées de champagne.
Sur la terrasse, qui se veut un lieu paisible, on retrouve des balançoires et un gazebo. « C’est une belle place de relaxation près du ruisseau et avec beaucoup de verdure » de commenter, M. Dubé.
Les festivités se sont poursuivies avec un dîner gastronomique spécialement concocté par la chef, Aurianne Macron et son équipe. Le groupe So-Cool a contribué par la musique d’ambiance et même de danse pour les personnes en forme. Le party s’est poursuivi avec la tenue d’un casino auquel s’ajoutait le tirage de plusieurs prix de participation. La direction a également remis aux résidents et membres du personnel un sac fourre-tout avec le logo de la résidence et l’inscription soulignant le 10e anniversaire.
Rappelons que le Manoir de l’Eau VIVE a accueilli ses premiers résidents le 1er juillet 2013. L’édifice de 87 appartements luxueux comprend une aile de 14 chambres pour aînés en perte d’autonomie. La résidence compte 95 personnes anglophones et francophones dont la moyenne d’âge est de 83 ans. Le manoir offre une gamme de services et diverses commodités comme de grands salons, une vaste salle à manger, des salles communautaires, un salon de coiffure, de billard, une salle de cinéma, une piscine intérieure avec spa ainsi qu’un gymnase. L’équipe se fait un devoir d’offrir un milieu sécuritaire, confortable dans une ambiance familiale.

Gadgets

Connaissez-vous les gadgets qui simplifient la vie des aînés ?

Saviez-vous que de nombreux gadgets permettent de simplifier la vie des aînés en favorisant, entre autres, leur santé et leur sécurité ? En voici quelques-uns !
Les montres connectées : pratiques et polyvalentes, elles peuvent notamment surveiller en temps réel la fréquence cardiaque et la pression artérielle. De plus, elles ont parfois l’option d’un bouton d’urgence. Offrez-vous la tranquillité d’esprit !
Les assistants virtuels : ils peuvent répondre à vos questions, fournir des rappels pour la prise de médicaments, régler des alarmes, gérer vos autres gadgets pour la maison (ex. : thermostats intelligents) et plus encore !
Les téléphones simplifiés : les téléphones intelligents peuvent être complexes pour les aînés. C’est pourquoi il existe des appareils simplifiés qui offrent des fonctionnalités de base et une interface plus conviviale. Ils permettent de faire des appels et d’envoyer des messages texte en un tournemain. De plus, ils disposent souvent de boutons d’urgence pour contacter rapidement vos proches en cas de besoin.
Les gadgets futés pour les aînés offrent de nombreuses solutions pour faciliter leur quotidien. Vous voulez améliorer votre qualité de vie ? Visitez les commerces de votre région pour sélectionner les appareils qui répondent le mieux à vos besoins !

Bilan foret

Rapport annuel de l’Agence de mise en valeur de la forêt privée : Plusieurs préoccupations soulevées par le président

Jean-Paul Gendron, président.

Dans la foulée des nombreuses assemblées générales annuelles (AGA) d’organismes du Haut-Saint-François (HSF), la publication du rapport annuel 2022-2023 de l’Agence de mise en valeur de la forêt privée de l’Estrie (AMFE) retient l’attention. Cela n’est sûrement pas étranger au fait que la forêt couvre une part importante du territoire de l’Estrie, et particulièrement de la MRC du HSF, et que la ressource naturelle qu’est le bois tient une part prépondérante dans l’économie régionale.
Dans son message du président, Jean-Paul Gendron fait remarquer que la production forestière s’est avérée stable en Estrie, si on se fie aux statistiques publiées par le ministère des Ressources naturelles et des Forêts (MRNF) et de la Fédération des producteurs forestiers du Québec (FPFQ). De 2016 à 2022, la récolte de bois de tous les types de producteurs confondus s’est maintenue, soit de 763 400 mètres cubes solides (mc s) à 843 500.
À noter que n’est pas incluse dans ces statistiques la récolte des très grands propriétaires forestiers ni des industriels à la transformation, pâtes et sciage. Ce qui porterait la statistique au-delà du million mc s, qui permettrait de conclure à un très grand impact économique de la ressource bois en Estrie et dans le HSF.
Le président Gendron se questionne ensuite sur l’intérêt suscité par la forêt dans la population locale : « L’Estrie (NDLR : et par le fait même le HSF) pour cause de ses «œuvres forestières» est une RÉGION FORESTIÈRE ! Le sait-on ? ».
Il signale ensuite sa préoccupation concernant la production à partir des résineux, particulièrement des sapins et épinettes, production qui s’approche de la possibilité forestière : « Si l’Estrie bénéficie d’un atout des forêts feuillues du Québec méridional, cet acquis s’estompe quand il s’agit de forêts résineuses et à dominance résineuse », indique-t-il.
Il souligne aussi l’importance de la mise à jour, tous les cinq ans, du Plan de développement de la zone agricole (PDZA). Plusieurs forestiers notoires et actifs ont « flairé la bonne affaire pour la foresterie estrienne et, considérant qu’agriculture et foresterie sont indissociables pour bien afficher une ruralité dynamique, une vigilance de suivi s’impose donc ! », propose M. Gendron, particulièrement pour les MRC du HSF et du Val-Saint-François.
L’élaboration du Plan régional des milieux humides et hydriques, par le ministère de l’Environnement, de la Lutte contre les changements climatiques, de la Faune et des Parcs (MELCCFP), ne passe pas inaperçue dans le rapport du président. « Il est entre autres confirmé, une autre fois, que le couvert forestier est indissociable de la masse et de la qualité de l’eau, quel que soit son lieu. Si le Ministère assume sa part de responsabilités…, les MRC et des partenaires de première ligne que sont agriculteurs et forestiers ont aussi leur bonne part de responsabilités, de connaissances, de vigilance et d’actions éducatives… Le couvert forestier est indissociable du bilan hydrique », martèle-t-il.
Il y a aussi la question de l’agrandissement de l’Estrie, qui préoccupe le président. La région s’est bonifiée des MRC Brome-Missisquoi et Haute-Yamaska, au même moment que battait son plein la saga du nom retenu récemment versus Cantons-de-l’Est. Cela porte à croire que deux agences de mise en valeur de la forêt seront peut-être fusionnées, soit l’Estrie et la Montérégie, ce qui pourrait être problématique, juge M. Gendron. Pour l’instant, le statu quo est maintenu à ce sujet.
« Au constat que les valeurs ou cultures forestières en forêt privée sont en mutation, une mise à jour du profil et des valeurs des propriétaires de forêts privées du Québec est certes à reprendre. La promotion de la forêt privée comme productrice de bois est une affaire à peaufiner en fonction des «agitations» sociales et économiques, aussi environnementales, de la dernière décennie », écrit M. Gendron.
L’homme dévoué à la cause du bois, qui en est dans sa 12e année comme président, conclut être à l’aise « à évoluer, bien entouré, dans le merveilleux monde estrien de la forêt privée ».

Mangeons local

À la ferme Maraîchers de l’or vert, à Sawyerville : Une invitation à « manger local » !

La ministre du Revenu national, Marie-Claude Bibeau, et députée de Compton-Stanstead, rencontrée sur place, n’a pas manqué de s’entretenir avec les copropriétaires des Maraîchers de l’or vert, Jason Lessard et Sammuel Tanguay, qui l’entourent sur la photo.

Après une éclipse de quelques années à cause de la pandémie, les visites à la ferme appelées Portes ouvertes UPA ont repris pour leur 19e édition, un relancement qui a fait visiblement plaisir aux visiteurs, en nombre impressionnant, et avec un nouveau slogan bien invitant, soit Mangeons local !
C’est du moins ce qui a pu être remarqué à la ferme Maraîchers de l’or vert, dans le secteur Sawyerville de Cookshire-Eaton, le 10 septembre dernier, au 40 chemin Randboro.
Les copropriétaires Sammuel Tanguay et Jason Lessard, collaborateurs et de bon conseil, ont l’accueil facile et agréable, ouvertement très fiers de révéler leurs trésors sur 12 acres, à la sortie du village qui portait le nom de Sawyerville, il n’y a pas très longtemps.
« Nous cultivons une trentaine de légumes différents, de mai à la mi-février de l’année suivante, de même que deux petits fruits, la camerise, un fruit émergent, et la framboise noire, hors du commun, au goût plus doux et plus sucré que la framboise d’été, avec un taux d’antioxydant plus élevé, anti-cancer et ralentissant le vieillissement », explique Sammuel.
Il ne se fait pas prier non plus pour énumérer quelques-uns des légumes qui caractérisent la culture de leur ferme : salade, concombres, carottes, choux, céleris, tomates, poivrons…
De plus, ils offrent un abonnement à des paniers de printemps, d’été et d’hiver, avec un beau choix de légumes en saison, et même un abonnement aux œufs ! Car ils ont aussi des poules pondeuses ! Ils se décrivent comme une ferme de petite taille, diversifiée et écologique. « Nous sommes une petite ferme qui pratique une approche globale de l’agriculture. Nous croyons que chaque décision que nous prenons à la ferme doit bénéficier à l’environnement, à notre communauté et notre vie. Nous croyons aussi que les petites fermes ont un grand rôle à jouer pour contrer le changement climatique et la dégradation des sols », écrivent Sammuel et Jason sur leur site Web.
Leurs beaux champs, bien entretenus, méritent la visite des gens intéressés par les légumes.
« Notre apprentissage en continu et notre agriculture flexible nous permettent de faire face aux différentes conditions, comme l’été pluvieux que nous avons connu, alors que nos serres ont compensé les champs qui ont été moins bons, à cause des pertes occasionnées par la pluie considérable, qui a saturé les sols et noyé les légumes-racines. Nous avons eu de bonnes récoltes, car les cultures ont ainsi été plus facilement contrôlées », indique le jeune propriétaire.
Ils opèrent un kiosque de libre-service, ouvert de mai à la fin-octobre et ils participent aux marchés publics de Sawyerville et La Patrie.
La ministre du Revenu national et députée de Compton-Stanstead, Marie-Claude Bibeau, rencontrée sur place, a tenu à s’exprimer, elle qui auparavant chapeautait le ministère fédéral de l’Agriculture et de l’Agroalimentaire, où elle se sent encore des affinités naturelles. « C’est important pour moi de rester proche des producteurs, qui ont eu une saison difficile cette année, dans mon comté qui a des caractéristiques très agricoles, quand même. Je suis heureuse de pouvoir les soutenir dans mon nouveau ministère qui gère plusieurs programmes distribuant des fonds. Je soutiens évidemment le ministre québécois de l’Agriculture, des Pêcheries et de l’Alimentation (MAPAQ), André Lamontagne », a-t-elle assuré, démontrant un enthousiasme bien légitime.
Le président de l’UPA-Estrie, Michel Brien, a exprimé, pour sa part, que « les consommateurs sont sensibilisés davantage, depuis la pandémie, à la notion de manger local qui est importante, car compter sur l’étranger pour les approvisionnements, c’est risqué. En gardant en tête le développement régional et l’occupation du territoire, j’aime bien la diversité dans la programmation alimentaire, en toute chose. Ici, les serres leur permettent d’avoir une variété de produits », a-t-il déclaré.
« Et leur ferme, ici aujourd’hui, représente bien le Haut-Saint-François et l’Estrie, où 50 pour cent des producteurs ont moins de 100 000 $ de revenus agricoles bruts par année », a conclu M. Brien.
Sur place, d’autres fermes étaient présentes pour offrir leurs informations, de même que des organismes reliés à l’agriculture, comme le MAPAQ et le Club agroenvironnemental de l’Estrie, de même que les Cuisines collectives du Haut-Saint-François, intéressés à la distribution alimentaire à leurs clientèles de plus en plus nombreuses.

ACTU-Rachel

YOUNG VOICES

Are you young? Do you enjoy taking photos? Creating artwork? Writing stories, poetry, or non-fiction? If so, a new Townships Young Voices Awards project is coming for you. Deadline: February 29, 2024. Courtesy of the Townships Sun, and supported by the Townshippers’ Research & Cultural Foundation.
This is a chance to be creative, to have your creativity recognized and appreciated, and to get published in the Townships’ own community/cultural magazine in English. The 2023 Young Voices recognized 19 young creatives with cash prizes, and publishing their work in the Townships Sun over the following months.
For example, in the September issue is a gripping story, “Lockdown,” by Megan Foster, age 12. A poem, “Child,” is by Ruohan Wallis, age 17, who keeps on sending contributions for publication after her award-winning article, “Waste and You,” was published in May. It compares waste disposal in Canada and China. Her co-author, Jenny Yin, lives in China.
By the way, this issue is on the magazine stands in the Cookshire IGA and the Lachance Dépanneur for the next two days. You’ll spot the stunning artwork on the cover, “Shadow Play,” by artist Xania Keane, a Haut-Saint-Franciscan who is also youngish.
Another Townships Young Voices winner has work published in the upcoming October-November issue of the Townships Sun. “Forest of Dendra” is a whimsical sculpture of wildlife and magical creatures hiding in a tree. It’s creator, Andra Denver Quilliams, won first prize in the category of art. This issue should be in your mailbox or on the stands by October 1st. You’ll be confronted by a masterful beaver on the cover.
50 YEARS
Here are some pretty impressive numbers. Total pages: 14,135, of which 10,659 were in tabloid format, and 3,476 in magazine format. That’s how many pages were in 525 issues of the Townships Sun, almost 50 years worth. Thanks to John Mackley’s scanning back issues over the past year (it may have felt like 50 years!), these are now accessible, free, online at the Bibliothèque et archives nationales du Québec (BAnQ).
The online archives were launched publicly last Friday, and can be easily accessed and searched. Just look for BAnQ, click on Recherche (the magnifying glass), and type “Townships Sun.” That lets you look for particular topics, contributors, or articles in the magazine. For example, look up “Bernard Epps.” You’ll found a slew of writings and artwork about our very own Haut-Saint-François. He was our neighbour, after all.
BROOKBURY POTLUCK
Get cooking: A potluck supper and silent auction are planned for the Brookbury Community Centre on October 14, at 5 p.m. Address: 571 Brookbury Road, Bury. Bring something to add to the food table and an item to put in the silent auction. No admission charge. Info: Brenda, at 819-884-5984.
HALLOWEEN AT BROOKBURY
A Halloween Party is planned for October 27 at 7 p.m., at the Brookbury Community Centre, 571 Brookbury Road. There will be games, judging of costumes, treats, and lots of fun. Admission is $2, with or without a costume. This is the last Brookbury event planned for the season. Info: Brenda, at 819-884-5984.
WARTIME TALKS, BANQUET
Building on the extensive military history exhibit last March, the Bury Historical and Heritage Society has organized a conference and a wartime-style banquet for Saturday, October 21.
Surrounded by images, texts and artefacts related to Bury’s military tradition from 1866 onwards, speakers will discuss these events to help today’s generations understand and appreciate the challenges and sacrifices that have been made. What was life like at the time? How did women cope with the absence or loss of men in their families? Who were some of these men? What did they look like? The banquet will recall the tastes and flavours of World War II times.
The event is at the Armoury Community Center, 563 Main St., Bury, from 1 to 7 p.m. The banquet is at 5 p.m.
Tickets are on sale now, $20 for the conference and banquet; $15 for members of the Bury Historical and Heritage Society. You may bring your own wine. Only 125 places are available, so advance purchase is highly recommended. Contact: edwardwpedersen@gmail.com or 819-872-3400 (leave a message).
EATON CORNER
Visits to the Eaton Corner Museum end October 1st for the 2023 season. The 2024 season is to open on the June 24th holiday weekend. For information or questions, call the Museum at 819-875-5256 and leave a message. “Thank you to those who visited the Eaton Corner Museum during the 2023 season,” says Sharon Moore.
NATURE TRILOGY
Last chance to see the Trilogia Natura exhibition with works by Denis Palmer of Randboro, George Foster of Way’s Mills, and Louise Marois of Sherbrooke. The exhibit at the Cookshire-Eaton Art Gallery, 125 Prinicipale St., Cookshire, ends October 9. Opening hours are from noon to 4 p.m., Wednesday through Sunday, or by appointment by contacting galeriecookshireeaton@gmail.com.
Also, an exhibit by painter Diane Dugal until October 9: “Et si tu osais laisser ta trace…” And if you dared to leave your mark…
NO YOGA THIS FALL
Sawyerville Yoga instructor Myrna MacDonald writes, “Sadly, I have decided not to hold the fall session of Yoga. I had an incident with my hip again, and feel it is wise not to tempt fate. Hopefully, we can resume next year. Please take care. Namasté.”
CHURCHES
Baptist. Sunday services are in French at 9 a.m. and in English at 11 a.m. All services are at the Sawyerville Baptist Church, 33 rue de Cookshire. For information, please contact Pastor Michel Houle at 819-889-2819.
Anglican. On October 1st, the service is at 10 a.m. at St. Peter’s Anglican Church, 45 Principale West, Cookshire. Info: 819-887-6802, or quebec.anglican.ca.
United. Sunday services: October 1st at 10 a.m., Trinity United Church (Cookshire). October 8 at 10 a.m. Thanksgiving service with communion, Sawyerville United Church. October 15 at 10 a.m., Trinity United Church (Cookshire). Info: 819-889-2838. For pastoral care, call Rev. Spires at 819-452-3685.
Do you have news to share? Call 819-640-1340 or email rawrites@gmail.com by October 2 for October 11.

camera chasse

Il n’y a que des avantages à se procurer une caméra de chasse !

Vous adorez chasser et aimeriez améliorer vos techniques ? Voyez pourquoi les caméras de chasse gagnent en popularité !
Les fonctions
Les caméras de chasse sont conçues pour être placées dans les bois ou dans d’autres zones extérieures. Elles peuvent capturer des images fixes et des vidéos lorsqu’elles sont déclenchées par la détection d’un mouvement. Certains modèles sont également dotés de fonctions de vision nocturne.
Les avantages
L’usage d’une caméra de chasse peut vous donner un avantage de taille lorsqu’il s’agit de suivre les mouvements du gibier dans un secteur, car toute activité est surveillée et enregistrée. Ces informations peuvent ensuite être utilisées pour déterminer quand les animaux sont les plus susceptibles de fréquenter certaines zones, par exemple.
Enfin, il est intéressant de savoir que les caméras de chasse peuvent être employées à des fins de sécurité autour des propriétés rurales ou des campements. Les images ou vidéos d’intrus peuvent fournir la preuve d’un acte répréhensible, et la présence d’une caméra peut servir de moyen de dissuasion pour les intrusions futures.
Visitez les commerces de chasse et pêche de votre région pour dénicher la caméra qui répond le mieux à vos besoins !

Golf Angus

Club de golf East Angus : À vendre en gardant la mission de golf à tout prix ?

Marc Reid, directeur général du Club de golf East Angus, qui a accepté d’appuyer son ami, Ghislain Couture, dans son rêve d’acheter le club. C’était le 1er février 2022. Des spéculateurs ont proposé d’acheter le club de golf, moins rentable que prévu, pour y transplanter un développement immobilier majeur, de prestige. Ce serait trahir l’esprit de son père et de ses oncles qui siégeaient sur le conseil d’administration à l’époque où a été construit le deuxième 9-trous, un tour de force réalisé en trois ans au lieu des neuf années prévues.

Ce n’est pas vraiment une question. C’est simplement ce que souhaitent le propriétaire actuel du Club de golf East Angus, Ghislain Couture, et son ami Marc Reid, qu’il a choisi au départ comme directeur général de son entreprise, un golfeur qui l’a toujours appuyé et bien conseillé. L’objectif, vendre le club, devenu moins rentable, en s’assurant de conserver sa mission sportive pour le golf, sans tout sacrifier le merveilleux terrain qui s’y trouve, au dieu tout puissant de l’Immobilier, pour y placer des édifices à logements et des maisons qui y remplaceraient le paysage bucolique, à jamais… ?
Le monde du golf traverse des turbulences depuis quelques années. Marc Reid en parle avec sagesse et clairvoyance.
« Je suis golfeur depuis toujours. J’ai commencé à jouer à l’âge de 10 ans. Mon père travaillait et jouait au golf d’East Angus, c’étaient ses deux activités. Il a siégé sur le conseil d’administration du club avec mes oncles, à une certaine époque. J’ai été, moi aussi, sur le c. a. quand j’étais dans la trentaine. Mes chums me taquinaient en me disant : “C’est toi qui devrais acheter le club !”. Ce commentaire était venu aux oreilles de Ghislain (Couture), un de mes amis qui voulait le sauver en l’achetant, c’était un rêve pour lui. Mais il ne jouait pas… contrairement à moi ! Il m’avait demandé de lui aider en devenant son directeur général, quand il l’a acquis le 1er février 2022. Je ne pouvais pas lui refuser ça ! », raconte-t-il.
« Mais le golf est en diminution partout au Canada. C’est une question démographique. C’est un sport qui s’adresse traditionnellement aux baby-boomers, qui sont vieillissants. La période de pandémie, de 2020 à 2022, a été comme un respirateur artificiel pour le golf, qui a connu un essor incroyable, étant une activité extérieure, avec leur chalet où les gens pouvaient se réfugier. Avec la distance sociale naturelle, les joueurs sont venus en grand nombre, créant un boum qui a donné un break au club d’East Angus. Mais actuellement, on reprend le rythme normal de 2019. La relève doit se manifester, mais il faut commencer jeune, question d’éducation. En 2022, nous avions six jeunes joueurs, aujourd’hui en 2023, nous en avons 32. Nous pourrions engager un professionnel pour la formation, à brève échéance », a-t-il complété.
Depuis l’annonce de la mise en vente, dernièrement, plusieurs acheteurs potentiels se sont fait connaître. Il est conscient que l’immobilier pourrait être un moyen de rentabiliser le club, car plusieurs terrains pourraient être ouverts facilement à accueillir des propriétaires de maisons ou d’édifices à logements, le long de la rue adjacente au club de golf.
« Notre priorité est vraiment de trouver un acheteur pour continuer la mission de golf. Juste de l’immobilier n’est pas du tout une option. Nous avons des rencontres avec des gens sérieux, et nos discussions sont constructives. Nous faisons de belles rencontres. Ça se parle beaucoup, des groupes sont intéressés, même qu’ils en sont à définir les tâches. Nous souhaitons faire une annonce à l’automne, pour que les membres sachent à quoi s’en tenir. Nous avons honoré tous les engagements de la saison 2023, mais pour 2024, on ne peut rien garantir. À un nouvel acheteur, il faut tout l’hiver pour préparer la nouvelle saison. Nous avons dû attendre la disparition de la neige pour la mise en vente. Ça prend du sang neuf. La partie “immobilier” va pouvoir venir en support à un nouveau propriétaire, qui pourrait garder un 9 trous, même si le 18 est favorisé », suggère M. Reid.
Il y a donc de l’espoir pour que le golf reste vivant à East Angus.

Parc Barrage

À Cookshire-Eaton, secteur Sawyerville : Le nouveau sentier du parc du Barrage inauguré officiellement

La coupe du ruban officiel pour l’inauguration du sentier du parc du Barrage est sur le point de s’effectuer, par le maire de Cookshire-Eaton, Mario Gendron, qui utilisait une nouvelle paire de ciseaux géants, au centre. L’entouraient Stéphane Tanguay, d. g. de Nature Cantons-de-l’Est, et Marie-Chantal Vallée, de Scierie Clifton.

La Ville de Cookshire-Eaton a procédé, récemment, à l’inauguration officielle d’un nouveau sentier de randonnée dans l’arrondissement de Sawyerville, à proximité du site du Jardin Communautaire, 74 chemin de Randboro.
Elle en a d’ailleurs fait un modèle de collaboration pour la réussite de ce genre de projet. En effet, les partenaires qui en ont assuré le succès ont été encensés pour l’efficacité de leurs interventions. Il s’agit, outre la Ville de Cookshire-Eaton, de la société d’État Hydro-Québec, de l’entreprise locale Scierie Clifton, et l’entreprise de conservation Nature Cantons-de-l’Est. Elles ont toutes mis la main à la pâte, chacune à sa manière.
« Le parachèvement des travaux du sentier du parc du Barrage constitue une nouvelle étape dans le développement de nos infrastructures sportives à Cookshire-Eaton. Cela confirme le bien-fondé de notre stratégie. La population a soif de contacts avec la nature et un sentier de randonnée comme celui-ci lui permet de découvrir notre territoire. C’est un projet rassembleur qui manifeste notre audace et notre originalité pour ce genre de développement », a fait mention le maire de Cookshire-Eaton, Mario Gendron, dans son allocution.
Il a remercié Hydro-Québec pour l’aide au financement du projet et a souligné la collaboration efficace de tous les partenaires.
Stéphane Tanguay, d. g. de Nature Cantons-de-l’Est, a revu rapidement les différentes étapes du projet, à partir de la caractérisation et l’obtention des autorisations, compte tenu que le sentier traverse un milieu humide. Il a également relaté les cinq années qu’ont duré les travaux, incluant les surprises rencontrées et les hausses des coûts qui en ont découlées.
« Il y a eu une certaine pandémie qui a amené des délais… À travailler ensemble, nous avons appris des choses. Nous avons une longue tradition de collaboration », a-t-il fait valoir, notant au passage les deux kilomètres du sentier, dont un demi-kilomètre en plein bois.
Finalement, Marie-Chantal Vallée, directrice Finances et Administration de la Scierie Clifton, n’avait pas encore vu en vraie la tour d’observation dont son entreprise avait fourni, à titre de commanditaire important, le bois d’œuvre pour sa construction.
« C’est le genre de projet qui est conforme à qui on est, en fonction de nos valeurs communautaires. C’est un beau projet pour la ressource naturelle qui est la nôtre, le bois, et c’est un plaisir pour nous d’en être le partenaire », a indiqué Mme Vallée dans son témoignage.

actualite

À Ascot Corner et Dudswell : Les travaux de la route 112 en ligne avec l’échéancier

Lors d’une mise à jour en date du 30 août dernier, au sujet de l’avancement des travaux d’asphaltage des deux chantiers routiers effectués sur la route 112, à Ascot Corner et à Dudswell, la porte-parole du ministère des Transports et de la Mobilité durable, Isabelle Dorais, a spécifié que l’échéancier des travaux prévu sur six semaines à Ascot était respecté. Cela malgré les conditions météorologiques souvent défavorables.
« À l’heure actuelle, il resterait environ quatre jours de pavage et trois jours d’accotements. Si aucune contrainte ne se présente, les travaux seront complétés dans la semaine du 11 septembre. Au terme du chantier, les travaux d’asphaltage auront été exécutés sur un tronçon de près de sept km, sur la route 112 entre la rue des Pins, à Ascot Corner, et le chemin Coates, à Westbury », a-t-elle indiqué.
« La réfection de la chaussée, sur cette portion de route où circulent en moyenne 14 300 véhicules par jour, dont 12 pour cent des camions, permettra de remédier aux problèmes d’orniérage et de fissuration. Le ministère intégrera également des bandes rugueuses médianes aux travaux d’asphaltage, dans la semaine du 11 septembre, si la météo est favorable », a-t-elle ajouté.
Ces bandes médianes visent à réduire les probabilités de collision avec un véhicule venant en sens inverse, en cas d’inattention, de somnolence ou de conditions météo défavorables.
« Les travaux d’asphaltage, combinés à cette mesure de sécurité éprouvée, seront réalisés au coût d’un peu plus de 2,1 millions de dollars », a-t-elle révélé.
Pour ce qui est du chantier de Dudswell, cinq semaines de travaux ont été réalisés sur la route 112. Au total, ce sont 12 semaines qui étaient prévues, pour l’asphaltage du tronçon de cinq kilomètres, ce qui totalisera plus de huit kilomètres de route qui auront été remis en état, en considérant les travaux de l’an dernier. Ce chantier devrait en principe être complété vers la fin de septembre.
« Cela a amélioré la sécurité et le confort de roulement des usagers. Les travaux sont réalisés au coût de près de 6,8 millions de dollars », a-t-elle conclu.

opinion

Lettre ouverte publiée dans les médias écrits communautaires : Les journaux communautaires nesont-ils utiles qu’en temps de crise ?

Monsieur le ministre,
La publicité émise par le Gouvernement du Québec dans les médias écrits communautaires est quasi inexistante, et cela met en péril la survie de plusieurs d’entre eux. Pourtant, lors de la pandémie, il était crucial pour le Gouvernement, notamment pour le ministère de la Santé et des Services sociaux, de faire publier ses messages dans les journaux communautaires afin d’informer le plus de gens possible. Or, depuis janvier 2022, presque plus rien. Nous sommes revenus au même stade qu’avant la pandémie; les médias écrits communautaires ne reçoivent que des miettes en matière de publicité gouvernementale.
Nous avons peine à penser, monsieur le ministre, que les journaux communautaires ne sont utiles qu’en temps de crise. Mais où est donc diffusée la publicité gouvernementale ? Est-ce que tout passe par les réseaux sociaux, ces mégaentreprises américaines ? Un sondage mené en 2018 par la firme Advanis Jolicoeur démontre que le taux d’appréciation de la presse écrite communautaire est de 94 %. La fonction principale d’un média écrit communautaire est de transmettre de l’information locale ou régionale sur un territoire délimité géographiquement. Il reflète l’actualité de toute une communauté.
Le ministère de la Culture et des Communications reconnaît le rôle essentiel des médias écrits communautaires depuis fort longtemps en leur accordant une aide financière primordiale. Ce que nous souhaitons maintenant, monsieur le ministre, c’est que les différents ministères et sociétés d’État en conviennent également. À cet effet, nous vous demandons de bien vouloir nous appuyer en incitant vos collègues à donner les directives nécessaires afin que le placement de publicités gouvernementales reprenne dans les médias écrits communautaires. Nous aimerions aussi que ce même message soit transmis à la firme Cossette, l’agence officielle du Gouvernement du Québec en cette matière.
Les lecteurs de la presse écrite communautaire du Québec sont en droit d’être informés de toute annonce faite par leur gouvernement.
Veuillez agréer, monsieur le Ministre, mes cordiales salutations.
Le président de l’Association des médias écrits communautaires du Québec,
Joël Deschênes

Rentrée scolaire

À Scotstown et La Patrie, de même que dans le Haut-Saint-François : Mission réussie pour une rentrée scolaire au beau fixe

À l’école Saint-Paul, à Scotstown, les enfants accompagnés par l’un ou leurs deux parents arrivent petit à petit. C’est le jour de la rentrée scolaire, un jour important pour les enfants, après les grandes vacances d’été qui sont déjà chose du passé.

École Saint-Paul de Scotstown
Plus de 90 élèves étaient attendus à Scotstown, mais ce sont finalement 87 qui se sont présentés à la rentrée. Le directeur de l’institution, Francis Larochelle, se réjouissait de « la belle rentrée avec un beau taux de participation. Nous avons vu arriver des parents avec leur enfant ou même avec deux souvent, des grands-mamans aussi, et des élèves heureux de retrouver leurs amis à l’école. Le personnel a également émis de très bons commentaires et, chose rare, aucun des nouveaux élèves de la maternelle n’a pleuré ! », a raconté M. Larochelle.
Au chapitre du nombre d’élèves, il a rappelé qu’en 2016, il n’y en avait que 23 au total et que l’école avait failli fermer. « On en prévoyait 98 pour cette année, mais la baisse est temporaire. Le projet d’agrandissement de l’école a été refusé par le ministère, ça va, on s’en tire bien. Mais d’ici trois ans, il est prévu que le nombre d’élèves va passer au-delà de 100, on va resoumettre une demande d’agrandissement qui sera nécessaire, car il n’y a pas de place pour la maternelle 4 ans, et le gymnase n’est pas adéquat », a-t-il conclu.
Nancy, une maman de Scotstown rencontrée alors qu’elle accompagnait son fils Emryck, n’a pas été très loquace. « Nous avons eu un bel été, mais avec de la pluie en masse. Là c’est le retour à la normale, ça va », a-t-elle résumé. Son jeune garçon a semblé ambivalent, quant à lui, hésitant à se déclarer heureux.
École Notre-Dame de Lorette, à La Patrie
En l’absence du directeur, Matthew Maclure, retenu à l’école Notre-Dame-du-Paradis, à Dudswell, c’est Isabelle Martin, l’enseignante de maternelle, qui s’est occupée de recevoir les parents et les enfants. « Ça se passe très bien, nous avons de beaux enfants avec de beaux parents ! », a-t-elle mentionné, en souriant.
M. Maclure, par la suite au cours de la journée, a enchaîné : « Nous avons été chanceux, pour le beau temps, les jeunes étaient contents et prêts à recommencer. Chez nous, nous avons de la place à l’école, car c’était dans le passé une école primaire et, en plus, le secondaire 1 et 2, qui n’est plus ici. Les 87 élèves sont bien servis », a-t-il assuré.
« À Dudswell, nous avons 125 élèves, avec un bassin de population un peu plus grand, du côté de Marbleton et de Bishopton, et même une partie des chemins d’East Angus. La rentrée s’est bien déroulée là également », a-t-il conclu.
Sans incident à rapporter, aux trois endroits, on ne pouvait demander mieux pour une rentrée au beau fixe.
Polyvalente Louis-Saint-Laurent
La rentrée s’est très bien déroulée également à la Cité-école Louis-Saint-Laurent, d’East Angus, où l’équipe d’enseignants et des employés de soutien s’est montrée dynamique et proactive, selon le directeur général du Centre de services scolaire des Hauts-Cantons, Martial Gaudreau.
« La croissance se continue pour notre polyvalente d’East Angus. Il y a cinq ans, il n’y avait que 550 élèves qui la fréquentaient. Aujourd’hui, ce sont 715 élèves qui ont participé à cette rentrée, globalement une bonne augmentation de 165 élèves. L’an dernier, ils étaient 658, encore là c’est une soixantaine de plus maintenant. Il y a un facteur intéressant pour l’expliquer : la popularité du programme de Santé globale, que des parents nous avaient demandé. Ils étaient attirés par certaines écoles privées qui offraient cet avantage, selon eux. Nous avons 203 élèves qui y sont inscrits. C’est la première année que les cinq niveaux du secondaire y ont accès. Les élèves sont stimulés, font davantage d’efforts et ont ainsi un bon taux de réussite », a résumé M. Gaudreau.

Famille-Armand-Prevost

À La Patrie : Inauguration du parc Armand-Prévost

La famille d’Armand Prévost, prise en photo à proximité de la plaque commémorative qui a été dévoilée à l’occasion du tournoi de balle annuel, du 1er au 3 septembre dernier à La Patrie.

La Municipalité de La Patrie a procédé au dévoilement d’une plaque commémorative rendant hommage à un grand bénévole, Armand Prévost, pour officialiser le fait de donner son nom au parc situé dans l’aire des loisirs du village.
Cette activité spéciale a eu lieu le samedi 2 septembre dernier, à l’occasion du tournoi de balle annuel au bénéfice de l’école Notre-Dame-de-Lorette, à La Patrie. La mairesse suppléante, Chantal Lacoursière, représentait la municipalité de La Patrie, en l’absence de Mme Johanne Delage, mairesse.
M. Prévost, natif de l’endroit, a œuvré comme bénévole pendant 30 ans au sein du Club Lions local, également avec les Chevaliers de Colomb pendant quelques années, et comme organisateur de loisirs pendant une dizaine d’années, se révélant très rassembleur et dynamique.
« C’était un homme rassembleur et farceur, qui aimait rire, fêter et avoir du fun ! Lorsqu’il recrutait de l’aide, notamment lors des corvées de l’Abri-bois, personne ne pouvait lui refuser », décrivait son épouse, Manon Labrecque, à propos de son mari.
La famille de M. Prévost était présente pour la cérémonie organisée par la municipalité.

Trottoir Cookshire

Projet de trottoir sur la rue Craig Sud : Cookshire-Eaton à la remorque d’Hydro-Québec

M. Roger Thibault, conseiller du District 3 de la Ville de Cookshire-Eaton, aux abords de la rue Craig Sud.

La nécessité de prolonger le trottoir de la rue Craig Sud s’impose depuis plus de trois ans à la Ville de Cookshire-Eaton, car la sécurité des piétons y est grandement compromise. Mais les travaux prévus doivent attendre qu’Hydro-Québec déplace des poteaux porteurs de lignes hydroélectriques et de télécommunications, pour que la Ville puisse enfin effectuer ces travaux, ce qui est demandé depuis plusieurs années par des citoyens inquiets.
Le nouveau trottoir projeté doit couvrir une distance de 266 mètres, soit 876 pieds environ, entre les rues Martin et Fraser, sur le côté Est de la rue Craig Sud, qui est aussi la très achalandée route 253.
Le déplacement des poteaux permettra à la Ville d’augmenter la superficie potentielle de l’emprise du nouveau trottoir. Plusieurs compagnies de services publics sont impliquées dans ce dossier, qui demande également l’action des employés du ministère des Transports et de la Mobilité durable (MTMD) du Québec et ceux de l’entreprise privée qui doit construire la voie piétonnière.
C’est donc un échéancier que la Ville de Cookshire-Eaton ne contrôle vraiment pas, à la remorque des délais d’exécution de travaux des entreprises de services publics, principalement d’Hydro-Québec, qui sont préalables.
Le conseiller du District 3 de Cookshire-Eaton, Roger Thibault, où se situe le projet de trottoir, connaît bien le dossier qui est issu de la dernière administration.
« Il y a environ trois ans, le Conseil de ville a reçu une demande des citoyens résidant en bordure de ce segment de la rue Craig Sud. Ils désiraient voir un trottoir y être construit. Les citoyens ne se sentaient pas en sécurité lorsqu’ils marchaient le long de cette rue à cause du grand nombre de véhicules qui y circulent quotidiennement », souligne le conseiller municipal.
« La circulation automobile à vitesse excessive à l’entrée de Cookshire est aussi un enjeu de sécurité aux yeux des citoyens. Un groupe de résidents du secteur a exprimé ses inquiétudes lors d’une réunion du Conseil de Ville, il y a environ deux ans. L’inquiétude était et est toujours là. Une famille demeurant à l’extrémité du segment de cette section de route a fermement refusé de voir son enfant marcher à l’école parce qu’elle considérait la bordure de route non sécuritaire. Je comprends les parents qui ne veulent pas risquer la sécurité de leurs enfants… Cette situation doit être réglée dès que possible », a conclu M. Thibault.
La Ville de Cookshire-Eaton a communiqué avec l’équipe du MTMD pour lui faire part de son projet de prolongement du trottoir long de la rue Craig Sud, et cela dès janvier 2020. L’autorisation de procéder lui a été accordée dans les mois qui ont suivi. Le déplacement des poteaux a été jugé obligatoire pour libérer l’espace nécessaire à la construction du trottoir en question. Ce n’est qu’en 2023 qu’Hydro-Québec, en tant que propriétaire de ces poteaux, a réalisé leur déplacement, de même que les transferts des lignes hydroélectriques et de télécommunications. Mais il reste encore le retrait des anciens poteaux, pour que la Ville puisse enfin contacter l’entrepreneur responsable de la construction du trottoir. L’été tire à sa fin et la réalisation des travaux avant l’arrivée du temps froid est mise en péril à cause des délais qui continuent à se prolonger.

actualite

Élections à Cookshire-Eaton

Rappelons que c’est ce dimanche 17 septembre que se tiendront les élections pour combler le siège vacant au district 1. Une lutte à deux se dessine et oppose les candidats Jean Tremblay et Jean-Marc Dickenson. La journée du scrutin se déroulera de 10 h à 20 h et se tiendra au Centre communautaire de Johnville 62, chemin Jordan Hill, à Cookshire-Eaton. Le recensement des votes sera effectué à la salle du conseil le soir même du scrutin au 220, rue Principale Est. Approximativement, 697 personnes sont habilitées à voter dans le district concerné. Mentionnons que le siège du district 1 est devenu vacant en raison du désistement du conseiller Alain Paquette pour des raisons de santé.

actualite

Dudswell se lance dans une démarche reliée au Défi Parité + EDI

La Municipalité de Dudswell s’est lancée intensément dans une démarche novatrice, en lien avec un programme du gouvernement fédéral s’intitulant Défi parité+ EDI, pour Équité Diversité Inclusion. Lequel visait, au point de départ, la parité hommes-femmes, mais il s’est étendu également aux gens défavorisés d’une façon ou d’une autre. Des nationalités différentes comme les immigrants, les membres de la communauté LGBTQIA+, les démunis vivant en précarité financière, et toutes les autres personnes qui se démarquent et qui présentent toutes les formes de particularités.
Le programme est parrainé par certains organismes, en Estrie, comme celui s’intitulant la Promotion des Estriennes pour initier une nouvelle équité sociale PÉPINES et le Groupe Femmes, Politique et Démocratie (GFPD).
La démarche implique aussi l’intervention d’un comité mixte d’égalité EDI, qui peut se composer de fonctionnaires municipaux, de représentant(e)s de groupes communautaires et d’organismes publics et parapublics, de même que de citoyen(ne)s.
« Nous en sommes au début de notre démarche, entre autres, en train de créer un comité qu’on veut issu de la diversité, avec des membres de plusieurs provenances, pour éventuellement essayer de combattre les préjugés, renverser les tendances et changer les mentalités. Il s’agit d’éliminer les œillères et faciliter l’intégration de ces différents groupes », décrit la directrice générale de la Municipalité de Dudswell, Solange Masson, responsable du projet et visiblement passionnée par les idées qu’il véhicule.
« Ça ne concerne pas seulement les personnes avec un handicap, mais plusieurs autres groupes de la société, les immigrants, certains groupes de femmes défavorisées, les gens à mobilité réduite incluant ceux et celles qui poussent simplement un carrosse, qu’on souhaite favoriser par des politiques et en créant une nouvelle culture, pour que cela devienne un réflexe de penser à eux, car ils sont très souvent peu nombreux », assume-t-elle.
Elle convient finalement qu’il ne s’agit pas toujours de mesures qui vont coûter beaucoup d’argent afin de changer les choses. « Il s’agit souvent de sensibiliser tout simplement les gens, cela ne coûte pas grand-chose, même rien. Il faut se convaincre de réfléchir, d’adopter parfois des petits gestes pour faciliter l’intégration de certains groupes, dans notre société et cela peut éliminer des œillères qui nous empêchent de voir d’une façon plus large ! », conclut-elle.
La question importante qui découle de tout ce qui précède, qu’elles sont justement les mesures concrètes qui peuvent être adoptées pour changer les mentalités et faciliter l’intégration de plusieurs groupes de personnes qui peuvent avoir besoin d’aide pour aller de l’avant ?
Les réponses à cette question viendront nombreuses, sans doute bientôt. Mais l’agente de liaison pour le Défi parité+ EDI, Nicole Charette, du groupe PÉPINES, dresse déjà des balises pour en comprendre l’importance : « La mise en œuvre d’actions concertées permettront à la Municipalité de Dudswell de devenir plus accueillante, plus attractive et en mesure de retenir un personnel de plus en plus rare et mobile. De plus, plusieurs études l’ont démontré, une plus grande diversité améliore la qualité de vie et assure la participation de toutes et tous, notamment en augmentant l’esprit critique et la qualité des débats aboutissant à de meilleures décisions stratégiques. Dudswell devient ainsi un porte-étendard d’un discours et d’actions inclusifs et une municipalité activatrice de changement. Un exemple d’ouverture pour les villes, municipalités et MRC de l’ensemble du Québec », a-t-elle transmis par voie de communiqué.

église Lingwick

Paroisse Sainte-Marguerite-de-Lingwick : L’église est à vendre…

Bâtie en 1911, l’Église catholique Sainte-Marguerite est située au 68, route 108 à Lingwick. Le terrain couvre un périmètre de 8000,90 mètres carrés, et sa désignation cadastrale porte le numéro 3 904 702.

La Fabrique de la paroisse Sainte-Marguerite-de-Lingwick a pris la décision difficile, de concert avec les autorités de l’archidiocèse de Sherbrooke, de se départir de l’église. Le bâtiment trône au centre du village depuis 1911, année de sa construction, en face de l’actuel magasin général Morin et à côté du chapiteau, où se tient chaque vendredi le marché public de Lingwick.
« C’est surtout parce qu’il y a pénurie de célébrants, pour agir comme curé de notre paroisse, que l’archidiocèse nous suggère de vendre notre église. Il n’y a pas de curé attitré à la paroisse depuis un certain temps », indique Jacques Bureau, marguillier de la paroisse. M. Bureau a été délégué par la Fabrique comme seul répondant, agissant entre autres comme informateur pour la vente de l’église.
« Actuellement, c’est l’abbé Donald Lapointe, qui est à la retraite dans une résidence pour personnes autonomes, à Disraeli, qui vient nous dépanner occasionnellement le dimanche », raconte M. Bureau.
L’abbé Lapointe est un octogénaire bien serviable, qui a été évêque de Saint-Jérôme dans le passé, après une belle carrière de professeur au Séminaire de Sherbrooke et de curé dans certaines paroisses de la région.
« Plusieurs pensaient que nous pourrions nous rendre aux fêtes avec notre église, mais les appels d’offres sont maintenant lancés. » La date limite était le 28 août. « C’est la seule échéance que nous avons pour l’instant. Il n’y a rien d’autre d’officiel. L’église appartient à la Fabrique et c’est elle qui la vend, pas l’archevêché. La Fabrique n’est pas obligée d’accepter quelque offre que ce soit. L’acheteur devra favoriser un usage communautaire pour que la proposition d’achat soit acceptée », insiste M. Bureau.
« On pense que la vente pourrait se concrétiser vers l’Action de grâce, en octobre. Chaque année, il y a un brunch spécial à cette occasion, à la salle communautaire, située près de l’église, mais qui est municipale », décrit pour sa part le président de la Fabrique, André Mathieu.
« Il est à noter que l’église est enclavée, n’ayant pas d’issue sur la rue. Elle bénéficie d’un droit de passage. La Fabrique avait vendu une partie des terrains de l’église à la Municipalité de Lingwick quand celle-ci a bâti le chapiteau pour faciliter la tenue d’activités publiques et communautaires », termine M. Mathieu.
Intérêt de la Municipalité
La conseillère municipale de Lingwick, Suzanne Jutras, confirme que les élus ont adopté une résolution incluant une proposition d’achat lors de la séance régulière du 21 août dernier. Cette dernière a été déposée auprès des instances responsables et à l’intérieur des délais prévus. « On a visité l’église, on a eu des discussions. L’état du bâtiment est bon et il n’y a pas de travaux majeurs. »
La municipalité a donc déposé une proposition d’achat symbolique de 1 $. Mme Jutras mentionne que les élus n’avaient pas de projet précis pour l’instant, mais que le bâtiment serait utilisé à des fins communautaires s’il est retenu. Mme Jutras n’était pas en mesure de mentionner combien d’offres avaient été déposées pour l’achat de l’église. Elle ajoutait, au moment d’écrire ces lignes, que la municipalité était dans l’attente d’une réponse.

Chauffage

Quels sont les modes de chauffage d’appoint les plus économiques ?

Vous en avez assez de grelotter l’hiver et songez à investir dans l’achat d’un appareil de chauffage d’appoint ? Voici quatre solutions économiques qui vous permettront de profiter d’un meilleur confort, et ce, tout en réduisant votre facture !
Le foyer au bois
Le chauffage au bois demeure l’une des méthodes les plus économiques sur le marché. Toutefois, il s’agit d’un appareil émettant des particules fines irritantes et nécessitant l’installation d’un détecteur de monoxyde de carbone. De plus, il faut prévoir un emplacement pour les bûches.
Le foyer au gaz
Que ce soit un foyer au gaz propane ou naturel, ce type d’appareil abordable gagne en popularité, puisqu’il nécessite uniquement un évent ou un tuyau d’évacuation, oubliez la cheminée ! De plus, un tel foyer peut être installé à peu près n’importe où dans votre demeure.
Le poêle à granules
Les foyers aux granules de bois sont un très bon choix de chauffage d’appoint. Vendus en sacs, les granules sont peu coûteux, se rangent plus facilement que des bûches et prennent beaucoup moins d’espace. L’alimentation du poêle se fait automatiquement et peut durer jusqu’à 20 heures, selon les modèles. Cette solution vous permet également de mieux contrôler le taux d’humidité dans votre propriété.
Le radiateur électrique
Portatifs et sécuritaires, les radiateurs électriques (chaufferettes) sont faciles à utiliser et se trouvent dans plusieurs gammes de prix. Il suffit de les brancher dans une prise de courant et le tour est joué ! On peut les installer partout dans la maison, mais ils sont inutiles en cas de panne d’électricité.
Vous trouverez tous les types d’appareils de chauffage d’appoint qu’il vous faut dans les commerces de votre région. Bon magasinage !

Salle de bain

10 tendances inspirantes pour une salle de bain élégante

Bain, douche, toilette, coiffure, rasage… mine de rien, la salle de bain est une pièce où l’on passe beaucoup de temps au quotidien. Alors, si vous songez à rénover la vôtre prochainement, autant profiter de l’occasion pour en faire un endroit aussi agréable et fonctionnel que possible ! Vous manquez d’idées pour la meubler et la décorer ? Voici 10 tendances pour vous inspirer !

  1. Les baignoires ou lavabos en verre : translucides ou givrés, ils donnent une allure spectaculaire et prestigieuse à votre pièce. Psitt ! Comme on voit au travers, assurez-vous que ce qui se trouve derrière ou dessous est chic et de bon goût !
  2. La robinetterie inspirée d’autrefois : ici, il est question de modèles contemporains qui imitent les antiquités. Les teintes métalliques, comme l’or et le laiton, sont parmi les plus populaires dans les magazines de décoration.
  3. Les douches italiennes en pierre : parfaites pour produire un aspect noble, organique et intemporel, les grandes dalles de pierre gris pâle complètent merveilleusement un décor zen à souhait !
  4. Les meubles-lavabos suspendus : si vous aimez le style minimaliste, cette tendance devrait vous plaire ! Ayant l’air de flotter, ces meubles créent une atmosphère sereine vivement recherchée dans une salle de bain.
  5. Les luminaires muraux : traditionnellement placés de chaque côté des miroirs ou au-dessus, ils s’installent désormais ailleurs dans la salle de bain et font office d’éclairage d’appoint, donc principalement décoratif.
  6. Les teintes aquatiques franches : ajoutez de la vie à cette pièce en la colorant avec des tons vitaminés de bleu ou de vert rappelant l’océan. Carreaux de céramique, cadres, plantes naturelles ou artificielles… vous avez l’embarras du choix !
  7. Les formes arrondies : les cercles et les ovales contribuent à conférer à la salle de bain un style apaisant empreint de légèreté. Vasques, vases et rideaux de douche vous permettent d’embrasser cette tendance.
  8. Les miroirs avec éclairage intégré : pratiques et esthétiques, les pharmacies et miroirs rétroéclairés à l’aide d’ampoules à DEL donnent un look résolument moderne, pour ne pas dire futuriste, à votre pièce.
  9. Les textures cannelées : incurvées ou bombées, en bois ou en céramique, sur les meubles-lavabos ou les murs de la douche, les textures cannelées sont attrayantes et créent du mouvement.
  10. Le terrazzo en grand format : dans la salle de bain, les comptoirs et les planchers arborant ce motif rétro ajoutent une touche de ludisme, surtout si les morceaux d’agrégats sont de grande taille ou multicolores !
    Une de ces tendances vous interpelle ? Visitez les plomberies, les commerces d’accessoires pour la maison et les boutiques de décoration de votre région pour aménager la parfaite salle de bain. Pour des conseils personnalisés et des résultats impeccables, faites affaire avec des spécialistes !
soumission

Rénovations : Conseils pour bien comparer vos soumissions

Lorsque vous avez un gros projet en vue, comme la réfection de votre toiture, le réaménagement complet de votre cuisine ou l’ajout d’une extension à votre maison, le recours à des spécialistes va de soi. Pour choisir la bonne personne, il est recommandé de faire au moins deux ou trois demandes de soumissions. Voici comment bien les comparer !
Prix : le montant de la soumission n’est pas un gage de qualité des travaux. Pour trouver le juste prix, il importe de faire une comparaison entre les éléments semblables de la soumission (matériaux, main-d’œuvre, etc.) plutôt que de se fier au montant total.
Type de contrat : les contrats à prix fixe impliquent que si, à la fin du projet, le coût final est plus élevé, c’est l’entrepreneur ou l’entrepreneuse qui paiera la différence. Dans le cas d’un contrat à prix majoré, une estimation juste sera probablement moins onéreuse, mais vous devrez débourser plus que prévu s’il y a des dépassements. Évaluez quelle option vous convient davantage.
Relation : la dynamique entre vous et le ou la spécialiste est importante. Vous devez vous sentir à l’aise avec cette personne. Si vous avez des divergences d’opinions lors de vos premières rencontres, envisagez de privilégier quelqu’un d’autre.
Détails : chaque soumission doit être suffisamment détaillée pour vous permettre d’effectuer la meilleure comparaison possible. Si une information est omise sur un seul des documents, n’hésitez pas à exiger un ajustement pour inclure cet élément et à demander pourquoi il était manquant.
Avant d’officialiser votre choix d’entrepreneur ou d’entrepreneuse, vérifiez qu’il ou elle possède les certifications requises !

suivi renovations

Effectuer un suivi de vos rénovations : une excellente habitude à adopter !

L’entretien d’une maison demande du temps… et de l’argent ! Les soins prodigués à la toiture, les diverses réparations, le rafraîchissement de la peinture et une foule d’autres tâches permettent de garder votre habitation en bon état. Apprenez-en plus sur l’utilité et les manières de conserver un suivi de vos différentes rénovations !
Pourquoi ?
Garder des traces de vos rénovations vous permet de bien vous organiser. La toiture, par exemple, possède une durée de vie limitée. En connaissant cette dernière, vous savez d’avance à quel moment vous aurez besoin de recourir à un couvreur et pourrez planifier votre budget en conséquence.
Chacune des informations que vous consignez peut se révéler un atout lorsque vous voudrez vendre votre propriété. Ainsi, vous saurez exactement où chercher vos renseignements si un acheteur potentiel vous interroge sur le dernier remplacement de votre chauffe-eau, notamment.
Comment ?
Le suivi de vos rénovations peut être consigné dans un porte-documents, dans un dossier informatique ou sur une application. Rassemblez-y vos factures et une liste de tâches essentielles à exécuter pour assurer l’entretien de votre propriété. Ajoutez les dates des prochains travaux à effectuer (ex. : nettoyer les conduits de ventilation, changer les filtres de la fournaise).
Pour tous vos projets de rénovation, faites affaire avec des entrepreneurs certifiés de votre région !

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