MaireGendron

Cookshire-Eaton, une agglomération où les projets ne manquent pas !

Le maire, Mario Gendron, à droite, accompagné par son directeur général, Martin Tremblay.

La Ville de Cookshire-Eaton vibre déjà sur une gamme très large de projets pour 2024. Le maire, Mario Gendron, accompagné par son directeur général, Martin Tremblay, paraissait visiblement très heureux de parler de cette longue liste de projets, qu’il a étalée par secteurs municipaux de sa ville, avec tout l’enthousiasme qu’on lui connaît. Les projets des secteurs municipaux, Cookshire, Sawyerville, Johnville et Birchton seront décrits plus loin en détail (voir autres textes).
Les enjeux majeurs
Mais commençons par les grands enjeux auxquels Cookshire-Eaton doit faire face à court terme. Certains projets avaient été identifiés dès la campagne électorale qui a confirmé M. Gendron au poste de maire, en 2021 : entre autres, la problématique d’eau potable du secteur Cookshire, et l’accessibilité à la propriété pour les jeunes familles, en s’attaquant particulièrement à la difficulté de trouver un logement, une crise qui frappe tout le Québec.
« C’est certain, en 2024, le logement fait partie des grands défis pour Cookshire-Eaton. Nous sommes déjà promoteur préparé pour 53 logements dans notre secteur de Cookshire. Puis à Johnville, les infrastructures prévues pour 140 logements seraient subventionnées par le programme PRIMEAU 2023, du ministère des Affaires municipales et de l’Habitation (MAMH) du Québec. Enfin, à Sawyerville, neuf logements sont déjà prévus être ajoutés, sur un terrain appartenant à la ville », énumère M. Gendron.
« Pour ce qui est de la capacité d’approvisionnement en eau potable, c’est rendu plus difficile dans le contexte des changements climatiques. Car on puise l’eau dans la rivière Eaton, actuellement. Le goût de l’eau s’altère et les odeurs viennent avec la faible quantité d’eau. En 2023, nous avons creusé deux puits qui ne sont pas encore en opération et nous en prévoyons deux autres en 2024, comme réserve d’eau possible », transmet le maire.
Les infrastructures routières font également partie des préoccupations du premier magistrat. « Cookshire-Eaton possède 203 kilomètres de routes à couvrir. Mais comme nous avons certaines subventions qui ont été refusées, cette année, à ce poste budgétaire, il devient plus difficile de les entretenir adéquatement. Nous prévoyons quand même investir 1,2 million $ en 2024, mais un entretien efficace nécessiterait d’investir 3 millions $ par année », déplore-t-il.
M. Gendron signale ensuite d’autres enjeux importants pour sa ville. « Le renouvellement de la convention collective des employés municipaux, échue le 31 décembre 2023. Les négociations seront en cours en 2024. L’ancienne convention avait duré six ans. Cela concerne les 20 cols blancs et 35 cols bleus, plus 15 employés saisonniers, deux chefs pompiers permanents et 50 pompiers à temps partiel », décrit-il.
« Nous sommes conscients qu’il nous faut favoriser la rétention du personnel. Nous essayons aussi de maintenir un niveau de compétences afin d’assurer une desserte des services de qualité à l’intention de notre population. Ça prend la forme de la formation continue, de l’implantation de la semaine de travail de 4 jours, de la participation des employés à définir la vision de la ville, dans un comité à cet effet, et de mettre sur pied une journée reconnaissance de nos employés », ajoute le maire, qui se montre ambitieux.
Puis il termine en signalant aussi les enjeux d’amélioration de l’offre en loisirs et culture, la fin de la saga des Esséniens (qui devaient plus de 125 000 $, fin 2023, et 57 000 $ en 2024. Les avoirs pourront être vendus en octobre 2024 pour récupérer les taxes), et l’amélioration des communications avec les citoyens.
« Pour ce dernier élément, un système d’alerte de masse sera mis en service, permettant d’aviser les gens en temps réel, en cas d’annonces publiques de sécurité, par exemple en cas d’obligation de faire bouillir l’eau, les urgences en cas d’inondations ou d’incendies, etc. », conclut Mario Gendron.

CarrierSports

Scies à chaîne Claude Carrier devient Carrier Sports inc.

Une partie de l’équipe du nouveau commerce Carrier Sports inc. : à l’avant, Samuel Carrier, propriétaire, qui a pris la relève de son grand-père Claude, le fondateur, et à l’arrière Sylvain, père de Samuel, Simon et Manon Elisabeth, frère et sœur de Sylvain, tous des Carrier du commerce familial, qui sont grandement dévoués depuis longtemps envers leur vaste clientèle.

La relève a pris place chez Scies à Chaîne Claude Carrier de Cookshire-Eaton, qui devient Carrier Sports inc. C’est Samuel Carrier qui représente cette relève, petit-fils du fondateur Claude Carrier et fils de Sylvain Carrier qui avait lui-même succédé à son père Claude comme propriétaire. Une véritable histoire d’une bonne famille québécoise !
« Carrier Sports inc. correspond à l’évolution de l’entreprise, qui se modernise, qui effectue un virage sports qui nécessitera un nouveau site Internet », spécifie Samuel Carrier, le nouveau propriétaire qui n’a que 23 ans.
« Je suis un maniaque de VTT, un passionné de tout ce qui a un moteur, des armes de chasse, c’est ce qui explique toutes les nouveautés que nous ajoutons cette année », annonce Samuel.
« Mon grand-père avait commencé surtout avec les scies à chaîne, les VTT se sont ajoutés à un moment donné et nous ajoutons maintenant les motos, les VTT électriques pour enfants, etc. Nous avons aussi les vêtements FXR depuis trois ans. J’en rêvais de ce que je réalise aujourd’hui. Je venais dans le magasin quand j’étais jeune, en 2017, quand j’étais au secondaire, après l’école à 4 heures l’après-midi, après l’autobus scolaire, je venais aider en travaillant un peu, ce n’était pas une corvée, c’était un plaisir pour moi », raconte le jeune Carrier.
« J’aime côtoyer les gens, la vente, parler de garantie, donner le meilleur service possible. C’est ma grosse force ! J’aime faire une campagne de sourires . Faire rire les gens, le sourire, c’est motivant pour moi ! », avoue-t-il. Samuel et sa conjointe Sarah Binette ont un petit garçon de deux ans, Braxton.
Le magasin du 45 Craig Sud ressemble à la Caverne d’Alibaba, tellement il y a de produits qui remplissent pratiquement tous les pouces carrés d’espace : des VTT de plusieurs marques, tondeuses, des outils STIHL, Husqvarna, des tracteurs de pelouse Cub Cadet et STIHL (également nouveaux de cette année), des motos CFMoto, des VTT côte-à-côte (side by side), la vaste gamme des produits Pronature pour le plein air, la chasse et la pêche, des vêtements, des bottes, des bas très chauds,
Carrier Sports emploie une dizaine d’employés, trois mécaniciens, vendeurs, responsables de l’administration, dans différents départements, assez versatiles.
Le vendredi 3 et le samedi 4 mai, le lancement officiel de Carrier Sports sera l’occasion pour venir célébrer au magasin, où un méchoui de l’Orchidée accueillera les visiteurs à l’extérieur, des spécialistes professionnels de fournisseurs donneront des conférences sur leurs produits, le personnel sera à la disposition du public également pour donner de l’information…
Au chapitre de l’historique de l’entreprise, c’est en 1978 que Claude créait Scies à Chaîne Claude Carrier, en achetant un commerce existant appartenant à Raoul Pouliot, et qu’il achetait un autre commerce, une quincaillerie qui était l’ancien magasin général Osgood. Les fils de Claude, Sylvain et Simon, se sont joints à lui au début des années 1990 et sont devenus actionnaires du commerce familial vers 2010.
Des agrandissements sont survenus en plusieurs étapes, mais un majeur en 2014 pour l’ajout d’une section des produits Pronature. En 2023, la façade du magasin sur le côté de l’édifice subissait aussi une modification majeure.
La fille de Claude, Manon Elisabeth, pour sa part, était arrivée dans le commerce avec ses frères, autour de 2002 ou 2003. « J’ai passé ma vie avec des gars, ici dans le commerce de notre père. Nous avons toujours travaillé pour ajouter des produits de qualité, afin d’évoluer, pour changer et rester à l’affût, à l’écoute de nos clients. Nous allons continuer de travailler avec Samuel pour prendre grand soin de nos clients, sur la même lancée, car nous avons le goût d’avancer ! Nous avons à cœur l’achat local, quand on fait l’épicerie, quand on met de l’essence dans l’auto, c’est ici à Cookshire-Eaton, East Angus… On connaît nos produits, on invite les gens à venir faire un tour et voir ce que nous offrons », lance Manon Elisabeth avec jovialité.

Vidanges Cookshire

Ville innovante, première en Estrie à implanter la collecte intelligente !

La fierté se lisait sur les visages du maire de Cookshire-Eaton, Mario Gendron, et d’Anick Fredette, agente aux travaux publics de cette municipalité et responsable du projet de collecte intelligente, lors de l’annonce de cette initiative où Cookshire-Eaton fait figure de pionnière innovante.

Cookshire-Eaton peut revendiquer être la première ville estrienne qui mettra en place la collecte intelligente, impliquant les trois bacs, déchets, recyclage et matières compostables.
Ce changement significatif dans sa gestion des matières résiduelles constitue un prolongement de l’engagement, pris dans le passé, par la direction de la Ville, envers un avenir plus écologique, tout en encourageant la participation active de ses résidants afin de bâtir une communauté plus verte.
« Il s’agit pour nous d’encourager le recyclage et le compostage, de réduire la quantité de matières envoyée à l’enfouissement et d’optimiser les opérations de collecte », a indiqué Anick Fredette, agente aux travaux publics de Cookshire-Eaton.
Le processus d’instauration de cette collecte débutera dès juin 2024, sur plusieurs semaines.
« Nous commencerons par l’installation d’une puce électronique sur les trois bacs, soit de déchets (noir), de recyclage (bleu) et de matières organiques (brun). Pour faciliter cette opération, nous demandons aux citoyens de laisser leurs bacs dans la cour avant ou latérale de leur domicile, de manière qu’ils soient accessibles. Lorsque les puces seront installées, nous laisserons un carton à leur porte pour leur indiquer qu’ils peuvent alors les remiser à l’endroit habituel », a ajouté Mme Fredette.
La puce électronique permettra aux camions de collecte de quantifier la fréquence d’utilisation des bacs, et non pas le niveau de quantité de matières résiduelles dans les bacs. La tarification incitative sera établie par la suite. La tarification de base pour tous s’établira sur 12 utilisations du bac de déchets, soit une par mois éventuellement. Il n’y aura pas de facturation supplémentaire pour l’utilisation plus de 12 fois des bacs de recyclage et de compostables.
Si un bac à déchets n’est pas rempli, le citoyen ne sera donc pas encouragé à le placer près du chemin pour le faire ramasser, la tarification étant basée sur le nombre d’utilisations du bac, soit les levées par le camion de ramassage.
« La puce électronique passive ne servira donc qu’à identifier le bac à l’adresse à laquelle il est relié, et à la puce du camion pour le secteur de ramassage. Nous voulons conscientiser les citoyens au tri à la source par une sensibilisation qui rapporte des fruits. Nous l’avons fait dans le passé et nous avons remarqué une amélioration de 20 pour cent », a fait valoir l’agente aux travaux publics.
« Cela fait partie également de la modernisation de la collecte sélective, par une loi du gouvernement, selon des principes élaborés par l’organisme Éco Entreprises Québec. Le gouvernement met des choses en place et acceptera plus de contenants pour être recyclés, par exemple. Entre autres, la consigne a été augmentée sur certaines bouteilles, les contenants seront aussi uniformisés davantage », témoigne Anick Fredette.
Des séances d’information pour les citoyens, à propos de la collecte intelligente, auront lieu dans les trois secteurs de la ville, soit à 18 h 30 le 8 mai 2024, à Cookshire, salle Guy-Veilleux, 75 rue Castonguay, à 18 h 30 le 15 mai, à Johnville, au centre communautaire, 62 chemin Jordan Hill, et à 18 h 30 le 22 mai, à Sawyerville, au centre communautaire, 4 chemin Randboro.
De plus, une séance d’information virtuelle, sur Facebook et sur Zoom, a été ajoutée le 15 mai 2024 à 18 h 30. Informations et réponses aux questions sur le site Internet suivant : www.cookshire-eaton.qc.ca/services-municipaux/ ou communiquez avec la responsable du projet, par courriel à anick.fredette@hsfqc.ca ou par téléphone au 819 560-8585 poste 2321.

CaserneSawyerville

Les projets les plus importants à prévoir : Secteur Sawyerville

Des subventions et aides financières peuvent s’appliquer à amoindrir les coûts de ces projets. (La collecte intelligente des matières résiduelles s’étend sur tous les secteurs de la municipalité.)
Réfection du barrage de la rivière Eaton, au coût de 1 million $ ;
Rechargements de graviers sur certains chemins de ce secteur, 900 000 $ ;
Borne de recharge électrique à la salle communautaire ;
Phase 2 de la mise aux normes du centre communautaire ;
Toit de la patinoire et module pour enfants en demande de subvention au programme PAFIRSPA ;
Pickle Ball à la patinoire et pétanque au centre communautaire ;
8 km de piste cyclable de Sawyerville à Saint-Isidore-de-Clifton, au coût de 235 000 $.

Cookshire mi mandat

Mi-mandat du conseil municipal : Le maire Mario Gendron bien fier de son bilan

Le maire de Cookshire-Eaton, Mario Gendron, debout, pose avec le directeur du Bureau de projets René Lavigne, à gauche, et Jean-Gabriel Lebel, ingénieur, directeur des Travaux publics, à Cookshire-Eaton. Absents sur la photo, deux autres membres du Bureau de projets, le directeur général de la ville, Martin Tremblay, ingénieur, et l’urbaniste Étienne Gagnon-Desrosiers.

Le mi-mandat du règne du maire Mario Gendron, à Cookshire-Eaton, a été atteint et même dépassé en 2023. Et c’est avec sa verve habituelle et son enthousiasme qu’on lui connaît qu’il a bien voulu en parler au bénéfice de cette thématique.
« Je suis bien fier du chemin parcouru depuis l’élection du 7 novembre 2021. Nous avons travaillé fort pour revoir en profondeur la structure organisationnelle de la municipalité. Nous avons ajouté des ressources professionnelles dans les domaines de la gestion, de l’urbanisme, de la comptabilité, de l’inspection et de l’environnement, des communications et de la vie culturelle », décrit le maire.
« Nous avons également implanté un Bureau de projets pour le suivi des ouvrages en cours, mais c’est aussi pour l’accompagnement des promoteurs, qui développent surtout des projets d’habitation et de logements », explique M. Gendron.
« C’est la première fois que Cookshire-Eaton se dote d’un tel Bureau de projets. J’en avais fait la promesse en début de mandat, car c’est une mesure essentielle pour tout ce qu’on veut développer », assure-t-il.
Incidemment, font partie du Bureau de projets, outre le maire Gendron, Martin Tremblay, ingénieur et directeur général de la ville, René Lavigne, directeur du Bureau de projets, Jean-Gabriel Lebel, ingénieur, directeur des Travaux publics de Cookshire-Eaton, et Étienne Gagnon-Desrosiers, urbaniste.
« Je suis également heureux d’avoir pu, avec mon équipe municipale, accompagner les organismes communautaires locaux dans leur développement, de même qu’avoir permis une amélioration continue dans le service des Travaux publics municipaux, autant dans les ressources humaines que dans les technologies et les outils de travail. »
« Par exemple, au chapitre de l’état des chemins, nous avons maintenant un système de caméra sous le véhicule de la ville qui nous transmet des données automatiquement, une belle innovation qui ajoute à notre efficacité. Et concernant la gestion des actifs, nous avons suscité une économie d’énergie dans tous les bâtiments municipaux », se targue le maire, de façon bien légitime.
Il évoque ensuite plusieurs dossiers qui concourent à sa satisfaction du devoir accompli, en première partie de son mandat. « Entre autres, la nouvelle caserne de
Sawyerville, érigée au coût de 1,2 million $, la mise aux normes de l’église de Johnville ayant permis l’installation temporaire du Centre de la petite enfance et l’aire de repos locale, la réalisation du projet Cœur villageois au parc des Braves de Cookshire-Eaton, la réfection des services municipaux rue Eastview, les trois patinoires de Cookshire,
Johnville et Sawyerville, puis, on ne peut oublier, les dépenses majeures pour le rechargement de nos chemins de gravier et l’asphaltage de rues », énumère sommairement M. Gendron, très concerné par la mise en place des services favorisant ses contribuables.

Projet Cookshire

Les projets les plus importants à prévoir : Secteur Cookshire

En plus des projets indiqués dans le texte principal au sujet de Cookshire-Eaton, certains peuvent être détaillés afin d’informer adéquatement la population. (À noter que cette liste n’est pas exhaustive et peut varier sans préavis. La collecte intelligente des matières résiduelles s’étend sur tous les secteurs de la municipalité.)
Prolongement de la rue Du Boisé pour la construction éventuelle des infrastructures nécessaires en fonction de plusieurs autres logements ;
Subvention déjà demandée pour la modernisation (par une mise aux normes) de la salle Guy-Veilleux, avec ajout d’une borne de recharge électrique ;
Prolongement du trottoir rue Craig Sud ;
Ajout d’un terrain de soccer au parc Castonguay ;
Étude de mise aux normes à l’Hôtel de Ville ;
Réfection des sentiers de la halte routière et du pont couvert ;
Conversion progressive d’éclairage de rue aux ampoules DEL ;
Implantation d’un lit de séchage à l’usine d’épuration.

EgliseJohnville

Les projets secteur Johnville

Le secteur de Johnville, situé le plus près de la nouvelle autoroute qui rejoint la route 108 près de la Ferme expérimentale, à proximité de l’arrondissement de Lennoxville, connaît un mouvement de population qui est favorable à la hausse démographique de Cookshire-Eaton.
Des subventions et aides financières peuvent s’appliquer à amoindrir les coûts de ces projets. (La Collecte intelligente des matières résiduelles s’étend sur tous les secteurs de la municipalité.)
Construction d’un Centre de la petite enfance (CPE), une garderie de 63 nouvelles places, pour compenser une liste d’attente qui a déjà été de 100 demandes ;
Mise en place du terrain de tennis et de Pickle Ball ;
Demande de subvention pour module de jeux pour enfants ;
Borne de recharge électrique au centre communautaire et à l’aire de repos ;
Implantation d’un réseau d’aqueduc ;
Infrastructures de nouvelles rues ;
Demande de subvention pour un trottoir, route 251 ;
Commémoratifs lieux de pèlerinage ;
Étude Génie civil rue Ladouceur, Somers ;
Rechargement de gravier et pavé sur des chemins, avec subvention du gouvernement.

ProjetCompost

Lancement du comité Enviro-cité à la polyvalente Louis-Saint-Laurent : Réelle invitation à poser les petits gestes pour l’environnement

Le lancement du Projet Compost, à la Cité-école de la polyvalente Louis-Saint-Laurent d’East Angus, a réuni plusieurs partenaires.

On fait souvent référence au fait qu’il faut poser même les petits gestes pour l’environnement, de nos jours. Bien, les petits gestes pourront dorénavant être facilités à la Cité-école de la polyvalente Louis-Saint-Laurent, à East Angus.
En effet, la direction de l’institution scolaire, en collaboration avec les enseignants et des élèves engagés, a lancé le comité Enviro-cité, le 21 mars dernier, responsable de l’opération Compost, une initiative qui interpelle la majorité de tous les intervenants, pour le bien de l’environnement.
« Enviro-cité, c’est le nom qu’on a donné au comité ACTES de l’école. ACTES (NDLR: nouveau nom du mouvement des Établissements verts Brundtland, connu anciennement) est un mouvement qui encourage les projets en faveur d’une société plus écologique, pacifique, solidaire et démocratique. Grâce à eux, on peut compter sur l’accompagnement de l’Alliance engagement jeunesse… et la Fondation Monique-Fitz-Back », a livré Gabrielle Chouinard, l’enseignante responsable du comité, en ouverture de la conférence de presse de lancement.
« Le comité Enviro-cité compte, cette année, quatre élèves qu’on pourra dire pionnières du mouvement à l’école. Je parle de Gaëlle Authier, Céleste Bissonnette, Alyson Cimon et Janne Lamontagne. Cette dernière est aussi ministre de l’Environnement au sein du Parlement étudiant de notre Cité-école. Une petite équipe, mais forte, rayonnante, créative, motivée et amusante, qui j’espère restera le noyau du comité dans les années à venir », a poursuivi Mme Chouinard.
En 2024, le comité a choisi de développer l’enseignement en dehors des classes, de donner un deuxième souffle à la friperie et de mettre en place le compost à l’école. Cette opération impliquant le tri des déchets, l’enseignante a insisté sur l’importance d’agir ensemble, pour tous les habitants de la Cité-école, en mettant les bonnes matières dans les bons bacs placés aux endroits stratégiques, « sinon tout se retrouve à l’enfouissement et continue de polluer la planète », a ajouté l’enseignante.
Ont pris successivement la parole le préfet adjoint de la MRC du Haut-Saint-François (HSF) et maire de Weedon, Eugène Gagné, qui s’est dit très touché lui-même quand il est question des matières résiduelles; la mairesse de East Angus, Lyne Boulanger, qui a garanti à l’assistance qu’elle est convaincue et convaincante sur l’importance pour sa municipalité de mettre en place des actions pour moins remplir les sites d’enfouissement, invitant la population à embarquer dans le mouvement J’y participe; le directeur de l’école, Tommy Poulin, qui s’est réjoui du « super projet qui vient d’éclore, qui traduit bien la MRC du HSF et les beaux partenariats avec tous les acteurs, pour une école stimulante et sa mission, pour l’équipe, pour l’avenir et pour un meilleur monde ! »
Tous ces orateurs n’ont pas manqué de remercier les personnes qui se sont engagées pour la réussite de ce projet Compost et de son comité.
La ministre de l’Environnement à la Cité-école, Janne Lamontagne, a clos l’activité en disant : « Nous avons besoin de la Terre, mais aujourd’hui elle a besoin de nous ! », transmettant ensuite des arguments comme le fait que tous peuvent intervenir pour l’amélioration des fruits et le meilleur conditionnement de la vie de tous les êtres vivants, faisant référence à ce qui vit sur la terre. « Ça n’a rien de compliqué, le compost ! », a-t-elle assuré pour terminer, sous forme d’une invitation informelle.

FeteDesSemences-Sawyerville

Sawyerville Seed Festival : Excitement and great interest in the coming of spring

The Seed Festival was a real success, quite legitimate on the eve of an early spring that everyone greatly wishes for, given their strong interest in gardening.

Spring will be here soon, that’s for sure! The Seed Festival confirmed this on February 24 in Cookshire-Eaton, Sawyerville sector, welcoming nearly 200 gardening enthusiasts! With the promise of an early spring, judging from the surprisingly mild temperatures of this winter, tempered by climate change.
The Seed Festival lives up to its name: it’s a party! The festive atmosphere was felt in Sawyerville, where more than twenty exhibitors welcomed the public, market gardeners, maple producers, seed producers and just plain gardeners. As for the visitors, their enthusiasm was palpable at the simple mention of the new gardening season!
“Everyone was very satisfied, the exhibitors as much as the visitors we met; among other things, for the good meal we served. We met some great people, many people who came from farther away as well, most of them people convinced of the importance of gardening. Everyone was visibly eager to see each other, to meet again after the winter and to exchange ideas,” rejoiced a member of the organizing committee, Chantal Bolduc, when asked to take stock of the day.
“The seed producers were also happy with the atmosphere, which they find every year at this event in Sawyerville. They liked the atmosphere. The layout and novelty of the room were noticed, a beautiful room renovated by the Town of Cookshire-Eaton, well lit and repainted, which made it seem larger,” testified Ms. Bolduc.
Her close colleague, Jeannette Thériault, who was responsible for the dinner, did very well, as always. “She had a really good and large team, where there was no waste of time, no stopping; it flowed. Everyone kept moving, it was well orchestrated,” said Ms. Bolduc.
The meal they served featured three comforting and invigorating soups that were all worth tasting!
“About the conferences that were held in past years, people asked a few questions, but we reassured them that they will be back next year. It was out of our control for this year,” concluded Chantal Bolduc.
Just to give an idea of the exhibitors, visitors could meet Charlene-Audrey Chouinard, the owner of the Ferme florale Libella, from Bury, with its large gardens. Also present was the Ferme Les Hôtes Épinettes, which offers vegetable baskets during the summer and a Boutique at the farm. To name a few more: the Tradition d’antan sugar bush; Louis Langlois, a producer of Bio Char charcoal, from La Patrie; Audrey Fontaine, seed producer of Les Jardins La Brouette, in Pierreville; Catherine Sylvain of the Potager ornemental de Catherine in Saint-Apollinaire; Richard Obreham, seed producer from Stanstead.

CeramiqueVachon

Céramique Vachon, à Ascot Corner : Des passionnés de céramique depuis plus de 35 ans

Les trois associés principaux de Céramique Vachon, dont le magasin est établi à Ascot Corner : de g à d, les deux frères Miguel et Jasmin Vachon, et leur cousin Raphaël, ont pris la relève de leurs pères Yves et Stéphane Vachon.

C’est une histoire de famille qui s’est agrandie avec le temps, que celle de Céramique Vachon, qui a débuté en 1987.
Après avoir travaillé dans le domaine du carrelage, un certain nombre d’années, Yves Vachon et son frère Luc ont établi leur commerce dans la maison familiale, à Cookshire, sous le nom de Céramique Vachon. Leur frère Stéphane s’est joint à eux plus tard, en 1989, de même que le beau-frère de Luc, Sylvain Beaulieu, devenant tous deux associés en 1992.
Depuis, les deux fils de Yves, Miguel et Jasmin ont commencé à œuvrer dans l’entreprise, le premier en 2002 et le deuxième en 2005, rejoints ensuite par leur cousin Raphaël, fils de Stéphane. Ces trois jeunes ont ensuite enrôlé avec eux deux de leurs amis comme associés, formant les cinq actionnaires de l’entreprise actuelle.
Ils ont développé, au fil du temps, une grande expertise de la pose de céramique et de l’installation de marbre, granit et ardoise, dans des projets très variés dans les domaines commercial, industriel et institutionnel, expertise qu’ils ont aussi transposée dans le domaine résidentiel. Leur chiffre d’affaires est constitué de 90 pour cent de projets commerciaux et de 10 pour cent dans le domaine résidentiel. Le magasin de l’entreprise est facile d’accès au 4571 route 112, à Ascot Corner, près de Sherbrooke.
Aujourd’hui, l’équipe d’une trentaine d’employés compte dans ses rangs deux décoratrices qui répondent aux besoins des clients, les accompagnent dans le choix des matériaux, couleurs et autres détails, dans une vaste gamme de produits, selon les tendances du moment et les goûts suggérés par les clients, bien sûr !
« C’est un service complet, de l’idée du début jusqu’au contrôle de la qualité. Notre équipe de plusieurs carreleurs d’expérience démontre de la passion, du respect et un souci du détail, avec une facilité pour la communication, ce qui permet de respecter les échéanciers de tous les projets de notre vaste clientèle, et d’obtenir, chaque fois, un résultat à la hauteur de notre réputation », développe Jasmin qui, visiblement, connaît bien son métier.
« Nous travaillons avec des produits de finition qui demandent de la minutie, et de nos jours, il n’y a rien qui ne se fait pas en céramique. Nous avons accès à un vaste éventail de produits de qualité. Que ce soit pour des murs de réception avec des panneaux de grande taille, rien n’est impossible, ou pour les planchers chauffants, les douches spéciales, avec des drains linéaires, nous sommes familiers avec tous les détails, défis et particularités », garantit Miguel, pour sa part, avec détermination.
Ils ont procédé à des rajeunissements de l’intérieur de leur magasin, de même que de l’extérieur de leur édifice, en 2023, avec beaucoup de brio. La qualité de finition de leur magasin vaut le détour.
La liste de leurs réalisations, disséminées dans tout le Québec et même au-delà, ne manque pas d’impressionner. Citons-en quelques-unes : au Carrefour de l’Estrie, certaines boutiques et commerces, des restaurants Tim Hortons, McDonald’s, A&W, Pizzeria No 900, concessionnaires automobiles Subaru, Infiniti, Hyundai, BMW, centres sportifs de l’Université de Sherbrooke, de l’Université Bishop’s, complexe sportif Thibault GM, magasins Sports Experts, bureaux d’entreprises comme Soprema inc., Avocats Vaillancourt Rioux, le Casino de Calgary, en Alberta, et plusieurs autres.
« Finalement, je tiens à mentionner que nous sommes fiers de notre équipe, dont plusieurs employés sont avec nous de longue date ! Nous sommes vraiment fiers de notre gang ! », conclut Jasmin avec beaucoup d’enthousiasme.

Sous-sol

Sous-sol sombre ? Voici 6 idées lumineuses pour améliorer la situation !

Si vous trouvez votre sous-sol trop sombre et, du coup, déprimant, inspirez-vous de ces judicieuses astuces pour l’illuminer et l’égayer à volonté !

  1. Choisissez des rideaux minces et pleine longueur : un tissu léger (ex. : voilage) laissera passer la lumière tout en donnant de la texture aux pièces. Si les panneaux sont longs, ils agrandiront en outre les fenêtres. Des tringles plus larges que celles-ci et posées près du plafond accentueront cette impression de grandeur.
  2. Multipliez les sources d’éclairage : en plus des plafonniers, disposez des lampes sur pied, des lampes de table et des appliques murales pour bien éclairer tout l’espace. Vous pourriez aussi recourir aux lumières encastrées (dans le plafond ou le plancher).
  3. Misez sur des matériaux réfléchissants : un plafond tendu chatoyant, un plancher en béton poli au fini lustré et des accessoires métalliques (ex. : cadres dorés) sont autant de solutions pour maximiser la réflexion de la lumière.
  4. Optez pour des couleurs claires : murs, plafonds, planchers… les teintes pâles sont vos alliées ! En plus de réfléchir la lumière, celles-ci contribueront à agrandir visuellement le sous-sol. Par ailleurs, un contraste entre les murs et les plafonds ferait paraître ces derniers plus bas.
  5. Installez des miroirs : aussi décoratifs qu’utiles, les miroirs n’ont pas leur pareil pour réfléchir la lumière !
  6. Privilégiez les cloisons vitrées : pour diviser l’espace sans nuire à la luminosité, portes et cloisons vitrées sont tout indiquées. Avec du verre texturé, par exemple, vous pourrez vous offrir avec style toute l’intimité requise, le cas échéant.
    Visitez vos commerces locaux pour faire le plein d’inspiration et dénichez tout ce qu’il vous faut pour transformer votre sous-sol en un lieu lumineux des plus invitants !
Évaluation

Vous aimeriez mieux comprendre l’évaluation immobilière ? Voici ce qu’il faut savoir !

L’évaluation immobilière est cruciale dans le processus d’achat et de vente d’une propriété, car elle permet de déterminer la juste valeur marchande de celle-ci. Cette valeur essentielle a une incidence sur le prêt hypothécaire, l’évaluation des impôts fonciers, la planification successorale et les décisions d’investissement, notamment.
Comment ça marche ?
L’évaluation est effectuée par un évaluateur agréé. Ce professionnel impartial inspecte la propriété, recherche les ventes et les inscriptions récentes et analyse les données du marché pour parvenir à une valeur objective de la propriété.
Il tient compte de différents facteurs, dont : l’emplacement, la taille, l’état, l’âge, les caractéristiques, les améliorations récentes et les ventes de biens immobiliers comparables dans la région. Il rédige ensuite un rapport détaillé de ses conclusions.
Le coût d’une évaluation peut varier, mais il est généralement assumé par la partie qui la demande. Il peut s’agir de l’acheteur, du vendeur ou du prêteur, selon les circonstances. Il faut en outre savoir que l’évaluation peut être valide seulement pour une période donnée, car les marchés immobiliers fluctuent.
Est-ce obligatoire ?
L’évaluation est généralement exigée de la part du prêteur, qui désire s’assurer que la valeur de la propriété justifie le montant du prêt hypothécaire consenti.
Besoin d’une évaluation immobilière ? Consultez le site Web de l’Ordre des évaluateurs agréés du Québec (oeaq.qc.ca) pour trouver un professionnel dans votre région !

actualite

Semaine de l’action bénévole dans le HSF : Un moment précieux pour le CAB

La Semaine de l’action bénévole aurait 80 ans cette année, la première semaine spéciale portant ce titre étant apparue en 1943, en Angleterre. En 2024, soit la 50e édition pour le Québec, elle est soulignée du 14 au 20 avril, sous le thème Bénévoler, c’est brillant !
« Dans le Haut-Saint-François, le Centre d’action bénévole (CAB) du HSF souligne cet important événement depuis plus de 40 ans ! », a indiqué France Lebrun, directrice générale de cet organisme.
« La Semaine de l’action bénévole est un moment précieux pour souligner l’apport incontournable des bénévoles dans toutes les sphères de l’activité humaine : sport, loisirs, soutien à domicile, jeunesse, pastorale, culture, scolaire, journaux communautaires, organismes communautaires et caritatifs et combien d’autres… », a-t-elle énuméré.
« Le thème proposé nous rappelle que Bénévoler, c’est faire rayonner ses valeurs et ses talents, c’est ce geste multidimensionnel qui donne naturellement tout son sens à la place qu’on occupe dans nos collectivités », décrit Mme Lebrun.
« En s’impliquant auprès des causes qui nous animent, on s’ancre dans un milieu de vie et on contribue à une société en mouvance. Donner de son temps bénévolement est cette façon ingénieuse de développer nos habiletés, de confirmer nos forces et d’aller à la rencontre d’une pluralité de personnalités qui éclaireront nos propres lanternes. Prendre part à l’action bénévole, c’est apporter son étincelle là où on aura toujours besoin de plus de lumière. Et si briller veut dire se distinguer avec éclat, on peut donc affirmer haut et fort que Bénévoler, c’est brillant ! », s’inspire France Lebrun d’une publication de la Fédération des centres d’action bénévole du Québec (FCABQ), dont son organisme est membre.
Les personnes qui désireraient devenir bénévoles peuvent contacter le CAB du HSF en téléphonant au 819 560-8540 ou sur le site www.cabhsf.org
Les principaux services que peut rendre l’organisme sont les suivants :
Popote roulante – Popote congelée : livraison de repas maison congelés à domicile, toutes les deux semaines. L’inscription est nécessaire, sans signature de contrat. 5,50 $ chacun, minimum 8 repas par commande. Soupes disponibles à 1 $ chacune. Pour la population du HSF. Popote chaude : livraison de repas chauds à domicile, pour East Angus actuellement. De 2 à 3 fois par semaine. 7 $ chacun (prix sujet à changement). L’inscription est nécessaire, sans contrat. S’adresse aux personnes de 65 ans et plus d’East Angus et Westbury, aux mamans qui viennent d’accoucher et aux personnes malades ou en convalescence.
Accompagnement transport – Service pour les personnes ayant besoin de se rendre à un rendez-vous médical principalement. La demande doit être acheminée 48 heures à l’avance, pour le jumelage avec un chauffeur bénévole. Ce service est offert selon la disponibilité des chauffeurs. Pour la population du HSF. Un coût de 0,50 $ par km est chargé (sujet à changement).
Service d’aide en impôt – Des personnes bénévoles ont reçu une formation de Revenu Canada et Revenu Québec, pour aider les gens à faible revenu pour remplir leurs rapports d’impôts. Service gratuit, mais contribution volontaire acceptée pour aider à payer les frais d’impression et de déplacements des bénévoles. Des critères d’admissibilité s’appliquent : consulter le site www.cabhsf.org/services
SécuriCAB – Service d’appels automatisés auprès des aînés afin de veiller à leur bien-être à leur domicile. Peut s’appliquer à un rappel de prise de médicaments, rappel de s’alimenter, de bouger, etc. S’adresse à toute personne retraitée, malade ou vivant seule. Offert gratuitement.
Un service de photocopies, télécopies et un accès communautaire à Internet, par ordinateur, sont également disponibles. Des frais s’appliquent. Ouvert à la population du HSF : secteur Weedon et secteur East Angus (sur rendez-vous).
Pour ces services : infos au numéro 819 560-8540 ou courriel cab@cabhsf.org

PBeaudry

Virage Santé mentale : De l’aide pour les personnes endeuillées du HSF

Diplômée de l’Université de Sherbrooke, Pauline Beaudry a joint les rangs de l’organisme Virage Santé mentale en avril 2001, y devenant directrice générale en 2006.

Quand l’empathie a été distribuée au genre humain, Pauline Beaudry avait la chance de se trouver au premier rang et elle en a accepté beaucoup ! En tant que directrice générale de l’organisme Virage Santé mentale depuis 2006, elle est à la bonne place.
Il y a déjà plus de 20 ans, elle a créé une formation de Cheminement du deuil pour les personnes endeuillées vivant un décès, une situation qui touche tout le monde au cours de sa vie.
Cette formation se base sur la méthode Jean Monbourquette, un prêtre et psychologue québécois, doublé d’un écrivain prolifique qui a été surnommé le « médecin de l’âme ».
« En 2002, je suis allé suivre la formation sur cette méthode, ce qui nous a permis de développer une très belle expertise sur le deuil et de devenir une référence à ce sujet dans la région du Haut-Saint-François (HSF). Tellement qu’aujourd’hui, les travailleurs sociaux du CSSS du HSF nous réfèrent les personnes endeuillées qui ont des besoins à la suite d’un décès d’un être cher », signale Pauline Beaudry, avec toute la bonhommie qu’on lui connaît.
« Il s’agit d’une formation de 13 rencontres, pendant 12 semaines consécutives, alors que la 13e rencontre se passe trois mois plus tard, pour faire un suivi à savoir comment ça va maintenant. Il y a aussi la possibilité d’un suivi individuel en parallèle au cheminement, pour ceux qui en ont besoin. Tous les services de Virage Santé mentale sont gratuits, pour les intéressés dans toute la région du HSF. Nous offrons deux cheminements par année, un à la mi-septembre et l’autre à la mi-mars. Cela se fait par groupes de 10 personnes maximum », spécifie Mme Beaudry.
« À partir de la deuxième semaine, le groupe est complet et fermé. On peut encore accueillir quelqu’un après la première semaine. Nous avons une grande mission : prévenir les problèmes de santé mentale, promouvoir et démystifier la santé mentale et offrir du soutien à ceux qui en ont besoin, et tout le monde est à risque d’en avoir besoin au cours de sa vie. Nos autres services, ce sont un plateau de travail, un milieu de jour et un appartement supervisé, où une personne à la fois peut résider. Un téléphone cellulaire d’urgence peut servir sept jours sur sept, 24 heures sur 24. Nous faisons aussi du soutien dans la communauté, un intervenant est disponible sur appel, au 819 877-2674 à Weedon, et 819 832-4404 à East Angus. Il y a aussi un café-rencontre pour ceux qui ont besoin de parler, de même qu’un suivi individuel et un atelier de croissance personnelle », énumère Pauline.
Elle travaille fort, actuellement, pour préparer le 40e anniversaire de son organisme, qui sera célébré en 2025 !

Maison5eSaison

Pour desservir le Granit et le HSF : La Maison La Cinquième Saison a beaucoup à offrir

La Maison La Cinquième Saison est située en pleine nature, sur la rue des Pins à Lac-Mégantic, dans le quartier Fatima.

Construite et en opération depuis plus de 10 ans déjà, la Maison La Cinquième Saison, située au 6900 rue des Pins, à Lac-Mégantic, dans le quartier Fatima, offre toute la gamme de services dédiés aux gens en fin de vie, provenant des MRC du Granit et du Haut-Saint-François (HSF).
L’institution compte six lits pouvant accueillir les personnes ayant reçu un diagnostic de fin de vie de trois mois et moins. Les membres des familles y sont également les bienvenus, pour accompagner leur être cher et même prendre un repas avec lui ou elle, sans restrictions pour les temps de visite. Les frais du repas de la personne aidante qui l’accompagne sont minimes, et possibles du lundi au jeudi midi.
« On tient à s’assurer qu’ils seront bien et confortables avec ce qu’ils vont vivre », indique Suzanne Bizier, conseillère aux familles et aux bénévoles, parmi le personnel administratif de la Maison.
« J’ai un rôle de soutien au deuil et à la proche aidance. C’est toujours le patient qui décide de tout, selon son besoin et son bien-être qui priment. Je soutiens moralement ces familles à travers ce qu’ils vont vivre, soit un deuil ultime. La maladie représente déjà un deuil lourd. Certains sont un peu préparés à cela, d’autres ne le sont pas du tout », a-t-elle constaté.
« J’offre aussi un suivi après le décès pour ceux qui en ont besoin, individuel ou en groupe, en personne ou par téléphone. Ces services s’adressent aussi à toute la population, même pour ceux qui décident de décéder chez eux, ou à la Maison La Cinquième Saison, ou à l’hôpital. Un proche est également toujours le bienvenu. Tous les services sont gratuits, c’est bon de le mentionner, il n’y a pas de frais. Cette gratuité est aussi valable pour le séjour des personnes en fin de vie », insiste Mme Bizier.
En tout temps, les soins et les services de la Maison sont assurés 24 heures sur 24. L’équipe du personnel se compose de six infirmières, deux infirmières auxiliaires, dix préposé(e)s aux bénéficiaires et sept membres du personnel administratif. Le conseil d’administration compte, pour sa part, huit administrateurs.
La Maison La Cinquième Saison offre également le service du centre de jour L’Arbre de la vie, qui a réouvert après la pandémie de Covid.
« C’est un endroit chaleureux et sécurisant où une personne vivant une maladie incurable, qui n’a pas encore de pronostic de fin de vie à court terme, et son proche aidant, sont accueillis dans le respect de leur vécu. La préoccupation première est axée sur la qualité de vie. On les accueille sur une base hebdomadaire dans le but d’améliorer leur qualité de vie, de prévenir leur isolement et d’offrir du répit et du soutien psychosocial à leurs proches », précise le site internet de l’organisme à but non lucratif.
Les activités du centre de jour se concentrent le mercredi de 9 h à 15 h, et peuvent inclure massothérapie, atelier de relaxation, soins corporels (bain thérapeutique, coiffure, manucure, pédicure, soins du visage), expression artistique guidée, groupe de partage et plusieurs autres. Une équipe de bénévoles formés accompagne les invités tout au long de la journée, qui choisissent les activités et services selon leurs goûts et besoins. Il n’y a pas de frais pour le patient et le proche aidant, pouvant être son conjoint ou un membre de la famille, un(e) ami(e).
« En lien avec le centre de jour, un atelier «groupe de parole» est réservé aux proches aidants, sur le territoire desservi par la Maison, une fois par mois. C’est toujours de jour le mercredi, de 13 h 30 à 15 h 30 actuellement. À partir du 8 avril, nous allons ouvrir des rencontres en soirée, formant un groupe d’entraide pour personnes endeuillées, soit six rencontres consécutives le lundi… La Maison La Cinquième Saison, c’est une petite maison de fin de vie accueillante pour la MRC du HSF, tout en desservant aussi la MRC du Granit », de conclure Suzanne Bizier.

PNEUS

Pneus bien gonflés et équilibrés : des avantages insoupçonnés!

L’importance des roues dans le fonctionnement d’un véhicule ne peut être sous-estimée. Et nombreux sont les avantages de compter sur des pneus bien gonflés et parfaitement équilibrés. Pour votre sécurité et votre confort de conduite, découvrez-les dès maintenant!
Pression
Pour maintenir des pneus en parfait état, il est conseillé de vérifier régulièrement la pression, idéalement une fois par mois. Utilisez un manomètre fiable et assurez-vous de suivre les recommandations du fabricant.
Retenez que des pneus sous-gonflés peuvent provoquer une usure prématurée, une baisse de rendement énergétique et une diminution de la stabilité du véhicule. En contrepartie, lorsqu’ils sont trop gonflés, cela peut affecter l’adhérence, entraînant une distance de freinage plus longue et une conduite moins stable.
Équilibrage
L’équilibrage devrait être effectué lors du remplacement des pneus, de toute intervention sur la suspension ou dès l’apparition de vibrations anormales pendant la conduite. Celui-ci permet de répartir uniformément le poids du véhicule sur les quatre roues, minimisant ainsi les secousses ressenties à l’intérieur de la voiture.
Des pneus correctement positionnés sur leurs jantes prolongent leur durée de vie, celle des suspensions et d’autres composantes de votre automobile, réduisant donc les coûts d’entretien à long terme. De plus, cela contribue à une tenue de route optimale, ce qui améliore la sécurité et le plaisir de conduire.
Pour des résultats à la hauteur, n’hésitez pas à faire appel à un mécanicien d’expérience de votre région. Bonne route!

Climatisation

Tester sa climatisation au printemps,

Le printemps est non seulement synonyme de fleurs et de journées plus longues, mais il marque également le début des températures estivales. Pour garantir des trajets agréables sous le soleil, il est essentiel de s’assurer que votre système de climatisation est en parfait état. En effectuer la vérification avant qu’il fasse trop chaud est un must pour éviter des problèmes coûteux et profiter d’une expérience de conduite optimale.
Anticipation des fortes chaleurs
La sollicitation accrue du système de climatisation pendant les journées chaudes peut révéler des problèmes latents. Une vérification au printemps permet d’anticiper ces défectuosités potentielles avant qu’elles ne se transforment en panne majeure. Rouler à des températures et à des taux d’humidité élevés n’est jamais plaisant sans air climatisé!
Signes avant-coureurs à surveiller
Il est possible d’identifier les signes indiquant que votre système de climatisation nécessite une attention particulière. Parmi ces indices figurent des odeurs inhabituelles, des bruits étranges ou une performance réduite. Il est important de ne pas négliger ces signaux d’alerte, car ils pourraient souligner des problèmes sous-jacents. En abordant ces troubles dès le printemps, les automobilistes peuvent s’assurer que leur climatisation fonctionne de manière optimale pendant les mois les plus chauds.
Conseils de prévention pratiques
Il est important de nettoyer ou de remplacer les filtres à air régulièrement. En outre, il est recommandé de faire vérifier le système en profondeur par un professionnel. Ces actions préventives peu­vent vous éviter une foule d’ennuis et assurer le bon fonctionnement du système de climatisation durant la saison chaude.
Prenez rendez-vous dans un atelier de mécanique près de chez vous sans tarder pour rouler l’esprit en paix!

UPA

Bonification de l’aide aux producteurs agricoles : L’UPA se réjouit des investissements concernant les changements climatiques

Les changements climatiques dérangent, que ce soit les populations, qui les subissent comme des surprises au point où on ne reconnaît plus vraiment les saisons, comme les productrices et producteurs agricoles, de plus en plus, de saison en saison. Ces derniers doivent adopter des pratiques agroenvironnementales qui coûtent de plus en plus cher, pour compenser les inconvénients auxquels ils doivent faire face.
L’Union des producteurs agricoles (UPA), un regroupement qui défend les intérêts des producteurs, s’est réjouie dernièrement de l’annonce de la bonification, par les gouvernements, de la rétribution des pratiques agroenvironnementales qu’ils doivent adopter spécifiquement à ce propos. Ces investissements supplémentaires imprévus, et non traditionnels pour eux, peuvent aller jusqu’à mettre en péril le futur même des entreprises agricoles.
Par rapport à d’autres pays dans le monde, le Québec et le Canada démontraient un certain retard dans l’aide à apporter dans ce secteur de l’économie. À titre d’exemple, citons l’étude récente de RBC Banque Royale qui a confirmé : « Les secteurs agricoles des États-Unis, de l’Union européenne, de l’Australie et de la Chine reçoivent un financement environ trois fois plus élevé pour la lutte contre les changements climatiques que ce que le Canada accorde à son secteur. »
Le président général de l’UPA Martin Caron a, pour sa part, déclaré : « Les productrices et producteurs adhèrent fortement à l’idée d’accélérer le virage écologique souhaité par tous. Les investissements requis pour l’adaptation des entreprises nécessitent un soutien beaucoup plus vigoureux, comme c’est le cas ailleurs dans le monde. L’annonce d’aujourd’hui est une ouverture en ce sens, mais les sommes consacrées devront éventuellement être ajustées pour refléter la réalité des productrices et producteurs de toutes les régions du Québec. »
Concrètement, plusieurs productrices et producteurs agricoles doivent mettre en place des mesures spécifiques pour compenser les inconvénients causés par les changements climatiques parfois extrêmes. Ces mesures peuvent être de plusieurs natures, concernant le monde végétal en fonction des cultures, pour le choix des variétés des semences, qui peuvent être déjà traitées par des insecticides, pour les fourrages en alimentation animale, et aussi au niveau des céréales, quant à la meilleure sélection des plantes, favorisant celles qui résistent mieux aux sautes d’humeur du climat et donnent de meilleurs rendements.
« Les mesures peuvent concerner aussi le monde animal, comme la climatisation, pour que les animaux ne souffrent pas trop du réchauffement climatique. Également certains aménagements qui favorisent la biodiversité, comme les brise-vents autour des bâtiments, quand il y a moins de forêts dans les alentours qui coupent les grands vents. Ou encore, pour la protection des sols hors saison, les producteurs peuvent préconiser une culture spéciale pour empêcher l’érosion, en semant du trèfle dans le champ pendant que pousse le maïs, ce qui a également un effet bénéfique par son apport d’azote, dans la fertilisation du sol pour la prochaine culture. Les rétributions qui sont annoncées encouragent les producteurs à continuer à essayer de contrer les changements climatiques, même si cela n’est pas toujours couronné de succès », lance Michel Brien, président de l’UPA – Estrie.
Pour l’UPA, la bonification annoncée est une reconnaissance explicite de l’engagement des productrices et producteurs. À moins d’un an d’une nouvelle politique bioalimentaire, le gouvernement québécois devra rehausser de façon significative les budgets, le soutien, l’accompagnement, les mesures et les programmes qui leur sont destinés.

Croque Saisons

Popularité des paniers de légumes biologiques : La Ferme Croque-Saisons de Lingwick perpétue la tradition

Caroline Poirier, co-propriétaire de la Ferme Croque-Saisons, de Lingwick, en pleine action dans la serre où les semis ont été préparés, en vue de la prochaine saison de paniers de légumes biologiques.

La popularité du système des paniers de légumes bios ne se dément pas, même si la presque totalité est régie par un abonnement impliquant des obligations et engagements. Les paniers sont appréciés à cause de tous les avantages gagnant-gagnant qui s’y rattachent, autant pour les consommateurs que pour les producteurs.
Caroline Poirier et son conjoint, Sébastien Alix, les co-propriétaires de la Ferme Croque-Saisons, établie à Lingwick, croient fermement dans les vertus de cette façon de faire, un commerce de proximité qui facilite les choses pour tout le monde.
« Plusieurs fermes sont en crise, de nos jours, parce que leurs petits revenus ne leur permettent pas de survivre, surtout s’ils font affaire avec les gros distributeurs, dans le marché des épiceries, où les chaînes d’alimentation font des profits records. L’impact de la vente directe aux consommateurs, qui permet aux producteurs d’obtenir un juste prix pour leurs produits, ça change complètement la donne ! », fait valoir Mme Poirier, avec sa franchise bien évidente.
« Pour les consommateurs, ça rend les produits accessibles près de chez eux. Ils apprécient la fraîcheur de nos produits, la qualité du certifié bio et le fait d’éviter le suremballage, les longs transports et le coût non négligeable des intermédiaires, qui prennent tous un profit. Et pour nous, les producteurs, le contact direct avec notre clientèle, c’est précieux et motivant », continue-t-elle.
Son entreprise prépare plus de 300 paniers de légumes par semaine, durant la belle saison, soit une vingtaine de semaines. Les clients paient un montant à l’avance sur l’abonnement, comme engagement, démontrant ainsi leur intérêt à obtenir le meilleur panier qui soit, ce qui aide également au producteur à financer ses opérations agricoles. Car il a déjà fourni ses efforts, son équipement et une certaine part de matières premières pour le succès de ses paniers bio, pour lesquels la récolte survient par la suite.
Deux points de distribution des paniers sont en opération à Sherbrooke, un près du centre-ville et l’autre près du CHUS Fleurimont. Le troisième, à la ferme, se situe au 111 route 108, à Lingwick, où les clients sont appelés à venir les chercher durant la fin de semaine.
« Nous avons une équipe de 10 employés, en haute saison, qui effectuent des tâches variées, dans nos serres, sur nos plantations, car notre production est très diversifiée. Nous avons deux périodes de production des paniers, soit une durant l’été, de juin à la fin octobre, et une d’hiver, de novembre à février. Les paniers impliquent la très grosse majorité de nos produits. Nous produisons également des fruits, des œufs, des bovins de boucherie, etc. Au fil des saisons, durant toute l’année, une quarantaine de sortes de légumes se retrouvent dans nos paniers », décrit Caroline Poirier, avec fierté.
À titre d’exemples, les légumes se déclinent comme suit : carottes, pommes de terre, choux, céleri, rutabagas, céleri rave, panais, chou chinois, betteraves, variété de courges, oignons, radis daikon moins connus, et plusieurs autres.
« Et pour ce qui est du bœuf, notre troupeau se compose de bouvillons de 22 mois. Nous vendons la viande emballée sous vide, en quartiers, nous avons des boîtes assorties de pièces en fonction des besoins des consommateurs, selon ce qu’ils aiment cuisiner, des rôtis, du bœuf à braiser ou à griller, etc. Les prix pour les clients varient entre 220 $ et 580 $ », admet-elle.
Dans le Haut-Saint-François, deux autres producteurs maraîchers offrent des paniers de légumes bios, sur le même principe. Ce sont la Ferme Les Hôtes Épinettes, de Cookshire-Eaton, et la Coop maraîchère Les deux courants, de Bury. « Ce sont plus des collègues que des compétiteurs. Nous avons toutes sortes de collaborations ensemble », conclut Mme Poirier.

Auto-SylvioAutoExpert

Sous la bannière Uni-Pro à Cookshire-Eaton : Sylvio Auto Expert, la polyvalence pour l’entretien auto

Sylvio et Lisette, un couple passionné par leur domaine de prédilection, l’entretien automobile, devant les installations de leur entreprise, rue Craig Nord, à Cookshire-Eaton.

Sylvio Dussault et Lisette Drouin forment un couple uni dans la vie, d’autant plus qu’ils travaillent ensemble avec une belle connivence, dans leur entreprise, formant toute une équipe, très accueillante, qui aime traiter l’automobile de leur client de la meilleure façon. Cela depuis 1993, alors que Sylvio a été associé à son frère Donald, pendant les 16 premières années de son entreprise.
Natif de Cookshire, Sylvio œuvre dans le domaine automobile depuis l’âge de 17 ans. Mécanicien d’expérience, l’innovation a toujours fait partie de son quotidien pour peaufiner le service à offrir à sa clientèle.
En près de 31 ans d’opération, la polyvalence et la qualité sont devenues des caractéristiques importantes de Sylvio Auto Expert, pendant 18 ans sous la bannière Spécialiste d’Uni-Sélect, et maintenant à l’enseigne Uni-Pro d’Uni-Sélect.
L’entreprise collectionne les spécialités : mécanique générale, mise au point, pneus, suspension, direction, système d’échappement, climatisation automobile, freins, vidange d’huile et le tout en conformité avec l’entretien recommandé par le fabricant de l’auto du client… C’est impressionnant !
« Nous avons beaucoup de nos clients qui viennent de l’extérieur, comme Sherbrooke, par exemple. Entre autres des gens qui travaillent à Cookshire et qui nous laissent leur véhicule le matin, en arrivant. Nous on fait l’entretien durant la journée. C’est pratique pour eux ! Mon travail d’aviseure technique consiste à les accueillir, à analyser le travail à faire sur leur auto, estimer ce que cela va coûter, céduler leur rendez-vous, commander les pièces requises, préparer la facturation, faire la comptabilité, etc. », indique Lisette, dont Sylvio admet qu’il ne pourrait pas se passer d’elle !
Une réputation de qualité
Faisant preuve de transparence et d’honnêteté, Sylvio inspire la confiance, toujours fidèle à sa réputation qui fait sa renommée dans toute la région du Haut-Saint-François et au-delà. Tout le travail qui sort de l’entreprise est garanti.
« Nous avons traversé deux épreuves majeures, dont un incendie d’origine accidentelle, de travail, qui a détruit notre garage, une perte totale. C’est arrivé le lendemain de l’événement du World Trade Center, le 11 septembre 2001… On s’en souvient ! Nous avons été arrêtés pendant six mois, mais nous nous sommes relevés », raconte Sylvio. Un événement qui les a rendus plus forts, sans doute.
Le couple a trois enfants, Sandy 41, Jessika 40 et Miguel 38 ans, de même que cinq petits-enfants, que Sylvio et Lisette adorent. Ils vont vouloir profiter de la vie et de leur famille davantage, à leur retraite, dans quelques années. Ils en parlent déjà !

Pâques

4 activités à faire avec les enfants pour célébrer Pâques

Pâques est une période idéale pour partager des moments en famille et organiser des sorties divertissantes avec les enfants. Vous êtes à la recherche d’idées originales pour occuper les petits? Découvrez des activités ludiques à réaliser à la maison ou des sorties familiales pour célébrer cette fête de manière joyeuse et créative.

  1. Dégustation de délices sucrés
    Organisez une sortie dans une chocolaterie ou une cabane à sucre de votre région. Si vous préférez rester à la maison, faites une dégustation de douceurs chocolatées ou faites-vous livrer des produits de l’érable. Toute la famille se régalera!
  2. Fabrication d’une miniferme
    Transformez votre espace de jeu en une miniferme de Pâques avec des bricolages simples. Les enfants peuvent fabriquer des poussins, des lapins ou des vaches à partir de matériaux recyclés, par exemple. Voilà une activité qui stimule l’imagination des petits artistes!
  3. Sortie à la rencontre des animaux
    Visitez une ferme ou un zoo pour une agréable sortie à la découverte des animaux. De nombreux endroits proposent des activités spéciales pour Pâques, telles que des tours en charrette et des chasses aux cocos. Il s’agit d’une façon éducative et amusante de passer du temps en famille pendant la fin de semaine de Pâques.
  4. Confection de cartes de souhaits
    Engagez toute la famille dans la confection de cartes de Pâques personnalisées. Utilisez du papier coloré, des autocollants, des étampes et d’autres accessoires de bricolage. Elles peuvent ensuite être envoyées par la poste ou livrées en mains propres à des proches pour transmettre vos vœux les plus sincères.
    Amusez-vous en famille et vivez une fête de Pâques mémorable avec ces idées divertissantes et accessibles tant pour les petits que pour les grands!
©2024 Journal Le Haut-Saint-François