Cieux

Qu’est-ce que des funérailles multireligieuses ?

Dans la société diversifiée d’aujourd’hui, de nombreuses personnes combinent plusieurs origines ethniques, religieuses et culturelles différentes. Par conséquent, lorsqu’on célèbre la vie de celles-ci, il est important d’honorer toutes les croyances qui les ont façonnées. Si ce portrait vous ressemble ou ressemble à celui d’un être cher, vous pourriez envisager des funérailles multireligieuses.
Vue d’ensemble
Les funérailles multireligieuses intègrent des éléments de religions variées dans un seul service. Il est courant de réunir plusieurs lectures, prières et traditions pour reconnaître toutes les influences spirituelles de la vie d’une personne.
La cérémonie elle-même peut être dirigée par un ou plusieurs représentants religieux. Par exemple, si votre proche avait une mère juive et un père bouddhiste, vous pouvez combiner les traditions juives et bouddhistes pour rendre hommage à chaque influence culturelle et spirituelle.
Funérailles marquantes
En 2016, la famille du célèbre boxeur Mohamed Ali a organisé un service funéraire multireligieux en sa mémoire. Il s’agissait des funérailles multireligieuses parmi les plus médiatisées de ces dernières années. À la demande d’Ali, des représentants de plusieurs confessions ont pris la parole à tour de rôle, notamment un imam, un pasteur protestant et un rabbin.
De nombreuses résidences funéraires tiennent désormais des funérailles multireligieuses. Vous pouvez également rechercher des célébrants interconfessionnels formés en ce sens et qui se spécialisent dans l’organisation de cérémonies pour les familles ayant plusieurs croyances. Informez-vous auprès des salons funéraires de votre région !

Lave Auto

Lave-auto avec ou sans contact ?

En hiver, les routes sont pleines de saleté, de boue et de sel de déneigement. Après des mois à conduire dans des conditions difficiles, vous avez probablement envie de « courir » au lave-auto pour redonner fière allure à votre vé­hicule! Voici un petit guide qui vous aidera à choisir entre les stations avec et sans contact.
Avec contact
Les lave-autos avec contact utilisent des applicateurs en mousse et en tissu remplis d’eau et de savon. Ceux-ci glissent doucement sur le véhicule afin d’y répandre la solution savonneuse. Le chiffon entre en contact physique avec la voiture, essuyant la saleté.
Cependant, les bandes de tissu peuvent être ap­pliquées trop énergiquement, ce qui ris­que d’endommager les rétroviseurs, l’antenne ou d’autres pièces détachées. Les petits cailloux et la saleté peuvent également se coincer à l’intérieur du tissu et ainsi abîmer le fini de votre véhicule.
Sans contact
Les lave-autos sans contact sont entièrement automatisés. Ils emploient des capteurs sophistiqués pour guider des buses à haute pression le long de votre véhicule afin d’en nettoyer chaque centimètre. Celui-ci n’est donc physiquement touché que par l’eau et les puissants produits de nettoyage, ce qui limite les risques de dommages pendant le processus.
Toutefois, les jets à haute pression ne peu­vent pas pénétrer chaque fissure, crevasse ou zone difficile à atteindre. De plus, les nettoyants chimiques peuvent être néfastes pour la finition du véhicule.
En conclusion, retenez qu’un lave-auto sans contact devrait parfaitement convenir si vo­tre voiture n’est que légèrement sale, mais qu’une station avec contact sera plus efficace si vous n’avez pas lavé celle-ci depuis longtemps.

Mécanique

Mise au point automobile : 8 incontournables à vérifier au printemps

Le printemps est dans l’air : il est temps de donner à votre voiture un petit coup de pouce avant de rouler sous le soleil estival ! Vous assurer que tout est en bon état de marche après l’hiver pourrait en effet vous éviter de coûteuses pannes. Voici huit éléments à ne pas négliger lors de la mise au point :
La batterie : la plupart des batteries durent de cinq à sept ans. Cependant, les hivers rigoureux sont durs pour celles-ci. Avec le temps chaud qui se profile, demandez à votre mécanicien de vérifier la vôtre.
Les essuie-glaces : la glace, la neige et les températures glaciales peuvent mettre à mal vos balais d’essuie-glace. C’est pourquoi il est bon de vérifier qu’ils ne présentent pas de signes d’usure et de les remplacer, si nécessaire.
Les pneus : le moment est venu de poser vos pneus d’été (le caoutchouc des pneus d’hiver se détériore plus rapidement par temps chaud). Mesurez l’usure de leur bande de roulement et inspectez-les en quête de fissures ou d’autres dommages pouvant exiger leur remplacement.
Les tuyaux et les courroies : l’hiver peut affecter la durée de vie des tuyaux et des courroies de votre véhicule. S’ils sont en mauvais état (ils sont fissurés, fuient, s’effilochent ou s’étirent), ils ne résisteront pas aux trajets de longue distance ce printemps.
Les filtres : un filtre d’habitacle encrassé peut entraîner un dysfonctionnement de votre système de climatisation; un filtre à air sale peut exercer une pression excessive sur le moteur.
Les freins : les freins étant essentiels à votre sécurité, n’attendez pas qu’un problème survienne pour faire inspecter les disques et les plaquettes.
L’éclairage : les ampoules des clignotants, les feux de freinage, les phares, les feux de position et les feux de jour doivent tous être testés.
Les fluides : plusieurs fluides doivent être changés au printemps. Par exemple, l’huile à moteur, le liquide de direction assistée, les liquides de frein et de transmission, le liquide de refroidissement et le liquide lave-glace doivent tous être vérifiés, remplissez les réservoirs au besoin !
Prêt pour la mise au point printanière de votre véhicule ? Confiez cette mission à un mécanicien professionnel pour rouler en toute sécurité !

Drone

4 nouvelles technologies au service de la sécurité agricole

Les employés de l’industrie agricole s’exposent chaque jour à des risques variés et travaillent souvent de longues heures. Heureusement, des innovations technologiques permettent d’augmenter leur sécurité. En voici quelques-unes :
Systèmes embarqués : dans les tracteurs, des consoles sophistiquées fournissent des conseils de conduite et des informations variées. Les agriculteurs bénéficient entre autres d’une assistance lors de l’utilisation de leur véhicule, et le dispositif leur indique quand il est temps de procéder à un entretien ou au remplacement d’une pièce.
Drones : les drones thermiques dotés de caméras haute définition permettent aux travailleurs agricoles de suivre les déplacements de leur bétail ou d’inspecter l’état de leurs cultures en temps réel, ce qui leur évite de se rendre sur des terrains accidentés possiblement périlleux.
Télédétection : les appareils de télédétection offrent une foule de fonctionnalités aux agriculteurs, comme la surveillance du taux d’humidité et de la température dans les champs ou les silos à grains. De cette façon, le risque d’être blessé, enseveli ou intoxiqué lors de leur inspection est éliminé.
Accessoires connectés : avec une technologie semblable à celle des montres intelligentes, il est possible d’effectuer le suivi de l’état de santé et du comportement des animaux d’élevage. Connaître ces informations évite aux agriculteurs de circuler inutilement dans des lieux potentiellement dangereux.
Toute innovation qui réduit la charge de travail d’une personne a le pouvoir de diminuer son stress et sa fatigue. En augmentant l’efficacité des procédés, ces nouveautés technologiques font assurément des exploitations agricoles des milieux de travail plus sûrs!

Prévention des accidents avec les véhicules agricoles : un sujet crucial

Au Québec, la Semaine de la santé et de la sécurité en agriculture se déroule du 12 au 18 mars 2023. Chapeautée par l’Union des producteurs agricoles (UPA), celle-ci se tient sur le thème La sécurité avec les véhicules agricoles : du lourd à ne pas prendre à la légère. Sachant que plus de 50 accidents impliquant des véhicules agricoles ont été recensés au Québec depuis 2018, il s’agit sans contredit d’un enjeu majeur.
Informer et sensibiliser
L’importance de la prévention lors de l’utilisation d’équipements motorisés à la ferme n’est plus à démontrer. Dans le cadre de la Semaine, l’UPA a donc pour objectif d’informer et de sensibiliser les producteurs et les productrices agricoles sur les gestes à poser dans l’exercice de leurs fonctions quotidiennes pour assurer leur propre sécurité ainsi que celle de leur main-d’œuvre.
Pour réaliser les tâches qui nécessitent d’opérer des véhicules motorisés, peu importe leur taille, il faut évidemment des connaissances et des compétences précises. De plus, la personne qui utilise un véhicule agricole doit s’assurer de respecter les normes et les règlements spécifiques aux équipements concernés. Enfin, il s’avère essentiel pour les travailleurs et les travailleuses de bien connaître les risques associés à l’usage de tels équipements ainsi que les moyens de prévenir les blessures.
Ainsi, dans le cadre de son colloque annuel portant sur le même thème et s’étant déroulé en février dernier, l’UPA a présenté des conférences portant notamment sur :
• L’opération sécuritaire des véhicules agricoles;
• La formation des opérateurs;
• La législation concernant les équipements artisanaux;
• La sécurité sur les routes.
Abordés lors de la Semaine, ces sujets seront également traités durant toute l’année. La sécurité en milieu agricole vous préoccupe ? Communiquez avec votre fédération régionale de l’UPA ou visitez le upa.qc.ca pour obtenir une foule d’informations !

Ancien bâtiment Orchidée

La Journée internationale des droits des femmes : Le cabaret des résistances

Le Centre des Femmes du Haut-Saint-François, La Passerelle, tiendra un 5 à 7 dans l’ancienne salle du Café l’Orchidée.

Dans le cadre de la Journée internationale des droits des femmes, le Centre des Femmes du Haut-Saint-François, La Passerelle, organise le 8 mars une soirée de type cabaret avec plusieurs invitées qui livreront différentes performances en lien avec la résistance féministe.
Sous forme de 5 à 7, dans l’ancienne salle du Café l’Orchidée à Cookshire-Eaton, au 97 rue Bibeau, les participants pourront, outre les performances artistiques, observer une exposition de peintures et d’arts visuels toujours sous le thème de la résistance féministe.
Il sera possible de retrouver lors de cette soirée différentes performances, telles que des témoignages, des slams ainsi que des lectures féministes. Lors du 5 à 7, il sera possible de déguster quelques bouchées et un service de boisson sera accessible à tous, et ce, gratuitement.
« C’est important pour nous d’organiser ce genre d’évènement d’une année à l’autre. Briser les stéréotypes et combattre les oppressions font partie intégrante de notre mission, comme Centre des femmes. C’est un évènement qui nous tient à cœur parce que le combat pour le droit des femmes n’est pas fini. On a encore beaucoup à faire à ce niveau-là », d’expliquer Jeannette, co-coordonnatrice et responsable à la vie associative, à la mobilisation et au milieu de vie à La Passerelle.
Cet évènement est ouvert aux femmes et aux personnes de la pluralité de genre uniquement. Quoique la soirée soit gratuite, les places sont limitées et l’inscription est obligatoire. Il est possible de le faire en contactant directement le Centre des Femmes du HSF par courriel au info@cdflapasserelle.org ou au numéro de téléphone 873 825-7060.
La Journée internationale des droits des femmes trouve son origine dans les manifestations de femmes au début du XXe siècle, en Europe et aux États-Unis, réclamant de meilleures conditions de travail et enfin, le droit de vote.
C’est en 1975, lors de l’Année internationale de la femme, que l’Organisation des Nations Unies a commencé à célébrer la Journée internationale des femmes le 8 mars.

Économique femmes

Comment l’égalité des sexes stimule-t-elle la croissance économique ?

Saviez-vous que l’égalité des sexes va de pair avec la stabilité économique et financière ? Les femmes représentant la moitié de la population mondiale en âge de travailler, l’économie mondiale souffre lorsqu’elles n’ont pas la possibilité d’atteindre leur plein potentiel.
Dans les pays où les femmes bénéficient d’une plus grande égalité des chances, l’économie est beaucoup plus résiliente, durable et compétitive. Selon une étude du McKinsey Global Institute, combler l’écart entre les sexes dans la population active pourrait ajouter jusqu’à 28 trillions au PIB mondial en 2025. De plus, l’augmentation de la participation des femmes au marché du travail pourrait contribuer à compenser l’impact de la diminution de la main-d’œuvre dans des sociétés vieillissantes.
Par ailleurs, les femmes apportent de nouvelles compétences sur les lieux de travail, ce qui améliore la productivité et la croissance. De plus, en donnant aux femmes des chances égales de participer à l’agriculture et en les équipant de solutions bénéfiques pour l’environnement, il est possible d’accélérer les progrès dans la lutte contre l’insécurité alimentaire et les changements climatiques.
Bien que des avancées considérables aient été réalisées en matière d’égalité des sexes, les femmes ont toujours moins de possibilités de carrière et gagnent, en moyenne, 16 % de moins que les hommes. Les gouvernements et les entreprises jouent assurément un rôle crucial dans la réduction de l’écart entre les sexes, mais en cette Journée internationale des droits des femmes, rappelez-vous que c’est aussi à vous d’agir pour accélérer le changement !

actualite

4 façons de valoriser les entrepreneures dans votre communauté

La Journée internationale des droits des femmes est célébrée chaque année le 8 mars. C’est l’occasion de souligner les réalisations des femmes et de les aider à réussir dans le monde des affaires. Voici quatre façons simples de soutenir les entrepreneures dans votre communauté.

  1. Encouragez-les
    L’une des meilleures façons de donner du pouvoir aux entrepreneures est d’acheter leurs produits ou leurs services. Recherchez activement les entreprises dirigées par des femmes, idéalement dans votre région et dans les environs, et soutenez-les chaque fois que vous le pouvez.
  2. Faites passer le mot
    Les médias sociaux sont un outil puissant ! Par conséquent, si vous aimez un produit ou un service d’une entreprise appartenant à une femme, dites-le à vos amis et publiez des informations à ce sujet sur vos pages de réseaux sociaux. Vous ferez peut-être découvrir à des personnes une marque qu’elles n’auraient probablement pas connue autrement.
  3. Donnez votre avis
    Laisser un avis positif ou constructif est l’un des meilleurs moyens d’aider les entreprises à s’améliorer et à se développer. Cela peut également contribuer à accroître leur visibilité.
  4. Faites un don
    Les entreprises dirigées par des femmes ont souvent du mal à obtenir le financement dont elles ont besoin. Vous pouvez les soutenir en faisant un don à des organisations qui fournissent des prêts et des subventions aux petites entreprises appartenant à des femmes, notamment dans les secteurs défavorisés.
    Alors que l’économie demeure incertaine, votre soutien peut contribuer à faire en sorte qu’une entreprise ait du succès ou non. À vous de jouer !
laver

Nettoyer ses murs sans abîmer la peinture : mode d’emploi

Laver des murs peints requiert certaines précautions, que ceux-ci soient visiblement sales ou non. Pour éviter d’altérer leur couleur ou de laisser de vilaines traces, suivez ces quelques étapes :

  1. Retirez délicatement la poussière et les toiles d’araignée (avec un aspirateur ou un chiffon à épousseter) ;
  2. Installez de vieilles serviettes au sol pour absorber l’excédent d’eau au moment du nettoyage ;
  3. Lavez les murs avec une éponge ou une vadrouille à partir du haut vers le bas en frottant doucement les taches au besoin (l’eau claire suffit généralement pour la saleté superficielle, mais un agent nettoyant peut être nécessaire en cas de taches tenaces) ;
  4. Asséchez au fur et à mesure les surfaces nettoyées et rincées à l’aide d’un linge propre.
    Psitt ! Plus la peinture est foncée et plus son fini est mat, plus vous devez avoir la main légère !

Vos murs sont vertigineux, ou votre condition physique ne vous permet pas d’effectuer vous-même leur nettoyage ? Utilisez une vadrouille télescopique ou engagez des professionnels de l’entretien ménager !

Rebord

Quel matériau choisir pour les rebords de fenêtre ?

Essentiels, les rebords des fenêtres sécurisent celles-ci et peuvent en prime servir d’étagères. Pour les réaliser, vous pouvez choisir parmi une grande variété de matériaux. Voici les avantages et les inconvénients de chacun :
PVC : abordable et vendu en plusieurs couleurs, le PVC est l’option la plus courante. Celui-ci résiste à l’humidité et à la décoloration, et il suffit de l’essuyer périodiquement avec un chiffon humide pour qu’il garde son aspect neuf. Cependant, il ne se recycle pas et n’est pas aussi durable que d’autres matériaux.
Bois massif : les différentes essences (ex. : chêne, acajou, pin, frêne) sont élégantes et durables, et elles offrent une bonne isolation. Le bois est toutefois sensible aux températures extrê­mes, à l’humidité et aux rayons UV. Vous devez donc l’entretenir régulièrement pour le protéger contre la pourriture et la moisissure.
Pierre naturelle : fabriqués dans des matériaux tels que le granit, le calcaire et le marbre, les rebords en pierre naturelle ajoutent une touche de luxe. Ils résistent en outre à la lumière du soleil et conservent leur apparence pendant des années en exigeant très peu d’entretien. Par contre, ils n’ont pas de propriétés isolantes et peu­vent être coûteux.
Carrelage : qu’il s’agisse de cérami­que, de verre ou de béton, le carrelage est un excellent choix pour les salles de bain et les cuisines en raison de sa durabilité. De plus, il offre des pos­sibilités de personnalisation infinies. Cependant, son installation demande beaucoup de travail et le coulis peut se salir rapidement.
Consultez un professionnel de votre ré­­gion pour en savoir plus et prendre une décision éclairée !

Chambre

Conseils pour créer une chambre apaisante pour un enfant neurodivergent

Pour les enfants ayant un trouble du spectre de l’autisme, les stimuli sensoriels comme les odeurs, les sons et les couleurs vives peuvent être perçus intensément. Les experts recommandent de leur offrir un espace où ils peuvent se retirer à l’abri des stimulations de la vie quotidienne. Voici quelques idées pour créer une chambre apaisante.
Éclairage
Au lieu de puissants plafonniers, installez des lampes à l’éclairage doux près des zones de travail, puis réduisez les reflets sur le sol en misant sur la moquette plutôt que sur le bois ou le carrelage. Pour favoriser le sommeil, des rideaux opaques occultant toute lumière extérieure sont un must.
Couleurs
Chez les enfants neurodivergents, le jaune peut causer de l’épuisement et de la fatigue oculaire, et le rouge peut provoquer une forte émotion. Favorisez la tranquillité avec des nuances de gris, de violet, de bleu ou de vert doux.
Literie
Considérez les éléments visuels et tactiles lorsque vous choisissez des draps et des couvertures. Préférez les couleurs apaisantes et évitez les motifs trop chargés. Les couvertures lestées, les couettes épaisses et les draps de compression procurent une sensation comparable à celle d’un câlin réconfortant.
Petits plus
Faites de la pièce un endroit agréable pour votre enfant en y incorporant des éléments spéciaux : une balançoire sensorielle où s’asseoir en toute sécurité, une tente pour s’isoler, une machine à bruit blanc pour compenser les sons perturbants, un réveille-matin imitant le lever du soleil pour commencer la journée en douceur, etc.
Que votre enfant soit neurodivergent ou non, il est toujours bon de lui offrir une chambre qui favorise la paix et le calme. Consultez un décorateur d’intérieur afin de trouver d’autres idées pour créer un espace reposant.

actualite

Remplacez votre comptoir de cuisine en 3 étapes

Règle générale, changer un comptoir de cuisine peut se faire en une fin de semaine. Vous possédez tout le matériel et les habiletés nécessaires ? Dans ce cas, voici comment vous y prendre en trois étapes !

  1. Retirez
    Fermez d’abord l’approvisionnement en eau, puis enlevez ou non l’évier selon vos besoins avant de procéder au retrait du comptoir à remplacer.
  2. Coupez
    Mesurez deux fois plutôt qu’une les dimensions requises pour votre nouveau comptoir afin de déterminer la longueur à couper. Conservez environ un pouce supplémentaire pour un îlot ou un comptoir en surplomb. Utilisez un traceur pour couper avec précision les côtés qui touchent à un mur dont la surface est inégale.
  3. Installez
    Selon le matériau de votre comptoir, vous pourriez avoir à ajouter un produit d’étanchéité et à utiliser tantôt de l’adhésif, tantôt des vis. Dans tous les cas, vérifiez que l’installation est bien fixée et stable avant de vous occuper de la plomberie et de replacer l’évier, le cas échéant.
    Vous préférez confier cette tâche à un expert ? Informez-vous sur les professionnels de votre région pouvant exécuter cette mission lorsque vous choisirez votre nouveau comptoir !
Armoires de cuisine

Remplacement des armoires de cuisine : quels sont les éléments à considérer?

Vos armoires de cuisine étaient au goût du jour il y a 20 ou 30 ans, ou elles montrent des signes de détérioration évidents? Puisque leur remplacement représente un projet important, il s’avère judicieux de planifier les travaux soigneusement! Pour obtenir un résultat à la hauteur et éviter les erreurs, considérez ces éléments clés.
Le choix
Les cuisinistes et autres professionnels de l’aménagement de cuisines fonctionnelles et esthétiques sont de précieux alliés pour s’assurer que vos nouvelles armoires s’intègrent harmonieusement à votre pièce. Grâce à leur savoir-faire et à leurs logiciels de design 3D, ils pourront vous présenter des projets en fonction de votre espace, de vos goûts et de votre budget.
MDF, bois franc, mélamine, acrylique, etc. : il existe une foule de matériaux ayant leurs qualités propres. Regardez et touchez! plusieurs échantillons afin de cibler vos préférences. En plus du look, tenez compte de leur entretien et de leur mécanisme d’ouverture, notamment.
Lorsque vous saurez quelles armoires vous procurer, vous pourrez passer votre commande (à un ébéniste ou à une entreprise spécialisée) et élaborer l’échéancier des travaux selon que vous poserez vous-même vos armoires ou non.
Le retrait
En choisissant de changer vos armoires de A à Z, vous devrez évidemment vider vos vieilles armoires (profitez de l’occasion pour trier et épurer leur contenu) et les retirer. Pour éviter de vous blesser en les arrachant, confiez cette tâche à des professionnels qui, autant que possi­ble, se débarrasseront des matériaux inutilisables de façon responsable.
L’installation
Avant d’installer vos nouvelles armoires de cuisine ou d’accueillir les ouvriers qui s’en chargeront, vous devrez préparer la pièce (dégager et protéger le sol, retirer les électroménagers, débrancher la plomberie, etc.). Selon la complexité des travaux, vous pourriez devoir trouver une solution de rechange temporaire pour préparer vos repas.
Remplacer vos armoires est un moyen sûr de donner fière allure à votre cuisine et d’augmenter la valeur de vo­tre maison!

Couts rénovations

Rénovations : 3 stratégies pour réduire le coût de vos travaux

Le budget alloué pour des travaux de rénovation a un impact déterminant sur la réalisation de ceux-ci. Voici donc trois conseils pour vous aider à obtenir le meilleur prix !
Choisissez le moment de leur exécution : certaines périodes de l’année sont moins occupées pour les entrepreneurs. En réalisant votre projet durant celles-ci, vous pourriez profiter de coûts moins élevés ou avoir un meilleur pouvoir de négociation, notamment.
Multipliez les soumissions : vous disposerez ainsi de points de repère et en saurez plus sur les prix moyens de projets comparables, ce qui vous permettra d’obtenir un tarif intéressant ou d’autres avantages, le cas échéant.
Faites preuve de précision : clarifiez vos besoins dès le début, qu’ils soient pratiques ou esthétiques, afin d’éviter de faire grimper inutilement la facture avec de petits « extras » ici et là.
Avant de sélectionner une offre pour vos travaux, vérifiez que l’entrepreneur possède l’expertise et les certifications requises !

actualite

Comment réussir ses rénovations malgré les pénuries de matériaux ?

Vous souhaitez rénover, mais craignez des ruptures sur la chaîne d’approvisionnement ? Si vous adoptez une stratégie proactive, réussir votre projet n’est pas impossible. Voici quelques conseils pour bien gérer votre budget et garder votre calme !
Approche par étapes : divisez vos rénovations en une série de petits projets. Les mener à bien vous procurera un sentiment de satisfaction et vous permettra de garder le contrôle sur le chaos engendré par les travaux.
Calendrier flexible : planifiez l’échéancier de votre projet avant de l’entamer en vous assurant de prévoir plus de temps pour les étapes qui dépendent de l’arrivée de fournitures et de matériaux essentiels. Vous aurez ainsi une certaine marge de manœuvre.
Entreposage temporaire : libérez de l’espace sur vo­tre propriété ou louez une unité de stockage afin de disposer d’un endroit où conserver les matériaux reçus en attendant que les autres arrivent.
Fonds de prévoyance : allouez un montant aux im­prévus dans votre budget. Les coûts de transport étant en constante évolution, il est possible que le prix des matériaux augmente soudainement. Vous devrez peut-être aussi assumer des frais supplémentaires pour la main-d’œuvre.
Pour mieux planifier votre projet, discutez avec un entrepreneur local. Celui-ci est bien au fait des retards sur les chaînes d’approvisionnement et pourra vous suggérer des solutions de rechange créatives, le cas échéant.

Gilles Denis Foret

La forêt, un havre de paix pour Gilles Denis

Gilles Denis est en voie d’aménager un sentier dans son boisé qui sera parsemé de sculptures.

La majorité des personnes ont une occupation quelconque qui permet de faire le vide, se changer les idées. Pour l’homme d’affaires Gilles Denis, de Cookshire-Eaton, se promener dans son boisé lui apporte toute la quiétude nécessaire. Les effets apaisants et bénéfiques sont encore plus forts, dit-il, lorsqu’il est accompagné de ses petits-enfants.
Domicilié en plein centre-ville de Cookshire, M. Denis a fait l’acquisition, il y a maintenant trois ans, d’un terrain de 47 acres dont 25 sont en forêt et 22 en prairie, à la sortie du secteur urbain. « Je suis en train de réaliser un rêve tardif. J’ai hésité, juste pour savoir si j’étais trop vieux pour réaliser un autre rêve et l’avenir nous le dira. » Amant de la nature et d’art, M. Denis caresse un rêve particulier. « Ce que je trouvais le fun, c’était faire un boisé avec des sentiers pis des sculptures tranquillement. On a fait un sentier, il y a deux ans, mais la maladie m’a rattrapé. Je n’ai pas été marcher bien gros. Mais là, je suis en train de me reprendre, me remettre en forme pour continuer ça. » M. Denis insiste pour dire que son boisé ne servira pas à faire de la production forestière ou de la spéculation. « C’est un beau boisé pour marcher, pour accueillir la nature, les animaux », précise-t-il. Le but est d’utiliser le boisé comme havre de paix.
M. Denis entend faire profiter son boisé aux membres de sa famille. « Mes petits-enfants adorent ça, c’est sûr. C’est grand, ils peuvent aller se promener. Ils cherchent à voir les chevreuils, renards. Pis il y a de petits fruits. » Pour lui, la forêt représente l’oxygène. La forêt est reproductrice d’insectes, de la faune et de la flore. Originaire de Montréal, M. Denis n’hésite pas à dire « pour un urbain comme moi, je suis impressionné par ça. On respire du bon air et on est encore capable de voir les étoiles. Ça permet de décanter et moi, je suis un petit nerveux. »
Le boisé de M. Denis s’étend sur deux kilomètres. « J’ai fait faire ça par des travailleurs forestiers et là je suis capable d’aller me promener là-dedans. » L’homme d’affaires a déjà disposé des sculptures sur son terrain à proximité de la résidence, mais désire en installer à l’intérieur du sentier. Fidèle à lui-même, Gilles Denis aménagera des sculptures fabriquées par des artistes de la région. L’objectif, explique-t-il, est d’encourager les sculpteurs et animer la forêt, pour le plaisir. « Je n’ai rien inventé parce que ça existe à Saint-Venant et dans la Beauce et à Sutton, je pense. Il y a des gens qui se font de petits boisés. »
Travaillant sur sa mise en forme physique, M. Denis avoue avoir hâte de retourner marcher dans son boisé au printemps prochain. Le boisé pour lui est un joyau, « si tu fais attention, les chevreuils veulent avoir de l’eau, de petits fruits pis les petites bibittes autour d’eux autres. Si l’harmonie de la nature est là, c’est formidable. Quand on fait attention à nos prairies et nos forêts, on a des oiseaux, on a des hirondelles qui mangent des quantités innombrables de bibittes. » Pour M. Denis, se promener dans la forêt « ça me permet de m’isoler complètement. De faire le vide. Tu t’en vas là, tu regardes, tu observes tout ce qui se passe. Tu découvres la forêt. Quand tu y vas avec tes petits-enfants, c’est la même chose pour eux, ils sont émerveillés. Je pense que ce côté-là c’est fantastique, l’émerveillement de la nature. » Il ajoute avoir lu des textes sur la forêt. « Il y a des gens autour ici qui font des sentiers et écrivent de petits mots, des fois wow, c’est très inspirant. Je pense que ça vaut bien des antidépresseurs. » L’homme d’affaires insiste sur la nécessité de garder la région verte. « Moi je suis un développeur, mais pas un développeur à tout prix. Je veux développer pour que ça reste vert, agréable et écologique. Faut penser à nos petits-enfants. »

cornet

7 applications étonnantes du bois

Le bois est bien loin de ne servir qu’à construire des meubles et des maisons et à faire griller de délicieuses guimauves autour d’un feu ! En effet, le bois fait partie intégrante de notre quotidien pour de multiples autres raisons. Voici sept utilisations surprenantes de ce matériau durable !

  1. Comme carburant : grâce à la pyrolyse, le bois peut être transformé en biocarburant, notamment le mazout renouvelable et le biodiésel.
  2. En lave-glace : le biométhanol, un dérivé du bois, se transforme en nettoyant lorsqu’il est mélangé avec de l’eau et de l’éthylène glycol. Il peut se dissoudre rapidement et est idéal contre le gel.
  3. En serviettes de bain : la rayonne est un textile fabriqué à partir de cellulose de bois, traitée et transformée en viscose. Douce et absorbante, elle fait concurrence à la soie depuis environ 100 ans !
  4. Dans l’impression 3D : la lignine, la colle naturelle qui lie les fibres de bois, peut substituer divers constituants de pétrole afin de réaliser des impressions 3D.
  5. En déglaçant pour les routes : les copeaux de bois, lorsqu’imprégnés de chlorure de magnésium, peuvent remplacer le sel, très corrosif, répandu sur les routes pour faire fondre la glace. Au printemps, ceux-ci peuvent même être réutilisés pour faire du compost, par exemple.
  6. Pour le dessert : la lignine du bois donne sa consistance crémeuse et onctueuse à la crème glacée, mais sert également à produire la vanilline, une solution moins coûteuse que la vanille naturelle pour aromatiser vos recettes.
  7. Comme sucre naturel : le xylitol, un sucre contenu dans l’une des composantes principales du bois, goûte pratiquement aussi sucré que le sucre de table, et ce, tout en étant moins calorique. Il est notamment employé dans les gommes sans sucre.
    Visitez les commerces de votre région pour intégrer les différents produits issus de dérivés du bois dans votre quotidien. En plus d’encourager vos marchands locaux, vous contribuerez au bien-être de l’environnement !
Sylva Plus

Aménagement forestier : Une façon différente d’intervenir avec Groupe Sylva Plus des Sommets

La machinerie de Groupe Sylva Plus des Sommets permet d’effectuer des travaux particuliers et minimiser les dégâts dans la forêt.

Groupe Sylva Plus des Sommets, cette compagnie d’aménagement forestier, se distingue des autres par sa petite machinerie. Elle peut se rendre à des endroits difficilement accessibles. La petite taille de ses équipements permet également de minimiser les dégâts dans la forêt.
Alexandre Lussier, technicien et ingénieur forestier, coordonnateur de l’entreprise regroupée au sein du Groupement Forestier des Cantons inc, stipule « on a une petite machinerie qui se démarque des autres parce qu’on va limiter les dommages au sol. On peut circuler à travers la forêt de façon à ce que nos sentiers ne soient pas apparents et aller à des endroits peu accessibles que les grosses machineries ne peuvent aller comme des dessus de montagnes. »
L’entreprise offre principalement un service de coupe d’arbres manuelle avec des scies à chaîne. « Il n’y a pas de machines hydrauliques qui vont couper les arbres, c’est un bûcheron qui va faire l’abattage manuel et par la suite, le bois va être récolté avec les tracteurs et les chargeuses », d’expliquer M. Lussier. L’entreprise, ajoute le coordonnateur, peut offrir un service clé en main incluant le bûchage et la mise en marché du bois. « On peut faire du déchiquetage. S’il y a du monde qui veut avoir des copeaux de bois dans leur sentier, on peut prendre le bois mort en bordure, le déchiqueter et le mettre dans leur sentier. » Groupe Sylva Plus des Sommets offre également des services-conseils, elle peut faire des sentiers pas trop larges, selon le désir des propriétaires forestiers, la plantation d’arbres que ce soit de gros calibres ou de petits pour le reboisement standard, des chemins forestiers et du martelage. L’entreprise fait également de la stabilisation de berges, notamment de terres qui se font éroder par l’eau au printemps. L’expertise développée est en mesure de répondre aux divers clients. « Ça peut être un propriétaire qui veut faire enlever 5 à 6 arbres sur son terrain, ou un propriétaire forestier qui a une terre de 200 acres, mais il ne veut pas faire entrer de grosses machines parce qu’il a peur qu’on massacre le terrain. Ils vont nous contacter pour faire la job que les grosses machines auraient faite, mais nous, on va la faire de façon différente. On va minimiser la compaction du sol, on va pas faire de gros sentiers déboisés, on va zigzaguer à travers les arbres. »
Groupe Sylva Plus des Sommets compte sur une équipe de six employés, bientôt huit. Elle dispose de quatre tracteurs forestiers avec déchiqueteuse à bois et autant de chargeuses. À titre de coordonnateur technicien et ingénieur forestier, M. Lussier rencontre les clients afin de bien comprendre leurs besoins, expliquer la nature des diverses interventions et de superviser les travaux. Il peut faire des prescriptions sylvicoles, faire des demandes de permis pour l’abattage d’arbres auprès des municipalités ainsi que la supervision des travaux. « Par la suite, s’il y a du bois qui doit être mis en marché, la valeur de ce bois-là va être créditée lors de la facturation du client », d’expliquer le coordonnateur.
Parmi les divers services offerts, l’entreprise est également en mesure de faire de la clôture de perche ou de cèdre pour clarifier des lignes de terrain de propriétés identifiées par un arpenteur.

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Bien entourés, les jeunes peuvent tous persévérer !

R3USSIR – Éducation Emploi Estrie est heureux de lancer cette toute nouvelle édition des Journées de la persévérance scolaire (JPS) en Estrie. Du 13 au 17 février, l’ensemble de la collectivité estrienne est invitée à prendre part à cette grande campagne nationale et régionale de mobilisation.
La persévérance scolaire, c’est l’affaire de tous
Le thème de cette année Bien entourés, les jeunes peuvent tous persévérer !, est l’occasion de rappeler que chaque adulte peut allumer une étincelle dans les yeux des jeunes, du plus petit au plus grand, en posant des gestes favorisant leur persévérance scolaire. Derrière chaque jeune qui fournit des efforts dans son parcours scolaire, il y a des adultes qui jouent un rôle essentiel.
« Que l’on soit un parent, un ami, un enseignant, un intervenant ou même un employeur, notre apport est primordial dans la motivation, la résilience et la confiance en soi des jeunes », mentionne Josiane Bergeron, directrice de R3USSIR. « Tous les gestes que nous posons au quotidien, tous nos encouragements, nos félicitations, nos explications et notre écoute contribuent à renforcer leur engagement et leur réussite. À plus long terme, c’est toute notre société qui en bénéficiera. »
La conciliation études-travail, un enjeu de plus en plus préoccupant
Le contexte actuel de rareté de main-d’œuvre, accrue par la pandémie, nous appelle à rester vigilants et à intensifier les interventions pour favoriser une bonne conciliation entre les études et le travail chez les jeunes.
En ce sens, le Réseau québécois pour la réussite éducative (RQRÉ) dévoilait les résultats d’un sondage réalisé en collaboration avec Léger, auprès de la population québécoise, afin de comprendre leur perception de la conciliation école-travail à la suite de la pandémie.
Premier constat : Les Québécois sont préoccupés quant à la persévérance scolaire dans un contexte de rareté de la main-d’œuvre. Une majorité de la population (71 %) est, en effet, préoccupée par le fait que dans une période où les entreprises recherchent activement des employés pour pourvoir des postes vacants, les jeunes pourraient être incités à travailler plutôt que de terminer leurs études. D’ailleurs, plus du deux tiers des Québécois (68 %) affirment que la conciliation études-travail des jeunes est un sujet qui les préoccupe.
« C’est une réalité qui nous préoccupe tous. Avec l’attrait de meilleurs salaires, les jeunes sont appelés à travailler de plus longues heures, et dès un plus jeune âge », commente Éric Gagné, coprésident de R3USSIR et directeur général du Cégep de Sherbrooke. « Bien sûr, il existe de nombreux avantages à occuper un emploi pendant les études, notamment le sens des responsabilités et l’autonomie des jeunes. Plusieurs d’entre eux réussissent à garder un bon équilibre entre le temps accordé au travail et aux études, mais d’autres risquent de compromettre leur réussite scolaire. »
Des actions concrètes pour agir sur la conciliation études-travail
Dans le cadre des JPS, R3USSIR, en collaboration avec le mouvement Employeurs engagés pour la réussite éducative en Estrie, met en œuvre différentes actions afin de sensibiliser les jeunes et les employeurs aux bonnes pratiques en termes de conciliation études-travail. Parmi celles-ci, des capsules vidéo mettant en vedette les employeurs engagés pour la réussite éducative proclamés « meilleurs boss », lors des éditions précédentes du concours Mon boss c’est le meilleur, ont été réalisées à l’attention des employeurs :
« Nous souhaitions démontrer que lorsqu’un employeur est conciliant avec son étudiant-employé ou son stagiaire, par exemple en étant flexible avec les horaires et en restant à l’écoute de ses besoins, c’est aussi payant pour le jeune, qui gardera le cap sur ses études, que pour l’employeur lui-même, qui, de son côté, profitera d’un meilleur rendement de la part de son employé et d’une meilleure rétention. C’est gagnant-gagnant. », ajoute Mme Bergeron.
Les adultes côtoyant des jeunes qui occupent un emploi durant leurs études sont invités à rester à l’écoute et à discuter avec eux de conciliation études-travail et de l’importance d’établir leurs limites au travail. À cet effet, une trousse de sensibilisation a été conçue afin d’outiller les acteurs de tous les milieux. Dans ce même contexte, R3USSIR lance également la 4e édition du concours Mon Boss c’est le meilleur. Du 13 février au 5 mars, les jeunes sont invités à mentionner de quelle manière leur patron ou leur patronne les appuie dans leur conciliation études-travail, en se rendant sur le site MonBossEstrie.ca.
Des activités phares pour célébrer les JPS
Les JPS 2023 bouillonnent d’activités dans tous les milieux en Estrie : campagne médiatique et médias sociaux, plusieurs activités dans les écoles et les organismes du milieu, levée du drapeau vert et blanc dans différentes municipalités et MRC, remise de certificats de persévérance et de cartes d’encouragement aux jeunes pour souligner leurs efforts, etc. Le 16 février, dans le cadre du Jeudi PerséVERT, toute la population est d’ailleurs invitée à porter un vêtement ou un accessoire vert, symbole de la jeunesse et de l’espérance, en signe d’adhésion à l’importance de la persévérance scolaire.
Pour plus d’information sur les activités phares et sur la campagne des JPS 2023 en Estrie, visitez le site JourneesPerseveranceScolaire.com/Estrie.

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Encourager la réussite scolaire de son enfant, c’est important !

Les mots et les gestes d’encouragement ont le pouvoir de motiver les enfants à réussir. Ceux-ci peuvent faire la distinction entre les élèves qui terminent leurs études et ceux qui les abandonnent. Voici de quelle manière les encouragements scolaires peuvent contribuer au développement global de votre enfant.
Ils favorisent l’épanouissement personnel : grâce aux paroles encourageantes, votre enfant est moins enclin à douter de ses capacités et se sent plus à l’aise de résoudre lui-même les problèmes qu’il rencontre.
Ils améliorent la confiance en soi : quand votre enfant est soutenu par son entourage, il est plus susceptible d’avoir la motivation nécessaire pour surmonter ses difficultés. Lorsqu’il réussit une tâche, il ressent un plus grand sentiment d’appartenance au sein de son groupe, ce qui accroît son estime personnelle.
Ils favorisent la motivation : votre enfant doit parfois apprendre à considérer un échec comme une expérience d’apprentissage positive. Faire des erreurs est un processus naturel et peut renforcer sa détermination à réussir. Vous pouvez lui enseigner comment transformer ses échecs en repères pour progresser.
Ils stimulent l’indépendance : féliciter votre enfant, même pour les plus petites réalisations ou les améliorations de ses efforts, l’aide à avoir plus confiance en ses capacités. Il sent davantage qu’il a le contrôle sur sa vie et qu’il dispose des compétences nécessaires pour réussir.
Enfin, encourager votre enfant tout en lui créant un environnement où il se sent écouté et respecté peut le rendre plus désireux d’apprendre, non seulement à l’école, mais dans toutes les sphères de sa vie !

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Familles en affaires : Un plus pour tout le monde

Avoir la boss des affaires comme on dit, ce n’est pas donné à tout le monde. Certaines personnes sont douées et l’on dirait même qu’elles portent ça dans leurs gènes puisqu’il n’est pas rare de voir leur progéniture marcher dans les traces de leurs parents.
Nombreuses sont les entreprises dans le Haut-Saint-François où le père, la mère et un membre de la famille, si ce n’est davantage, travaillent tous ensemble sous un même toit. À une certaine époque, Scies à Chaîne Claude Carrier à Cookshire-Eaton regroupait parents et enfants au sein de l’entreprise. Il en était de même avec Weedon Auto. Combien d’entreprises peut-on compter à l’appellation du nom du propriétaire et fils ! Même si elles sont en diminution, les exploitations agricoles familiales sont encore bien présentes sur le territoire.
D’autres familles sont en affaires et l’on constate que les enfants ont préféré voler de leurs propres ailes en lançant leur entreprise. C’est le cas de Maude Maher avec La Cantine à Ascot Corner, un créneau totalement différent de celui de ses parents. Il arrive même, dans certains cas, où le couple dispose de leur entreprise respective comme un propriétaire de garage et sa conjointe, propriétaire d’un salon de coiffure. Ces personnes carburent au rythme de l’entrepreneuriat et jouent un rôle important dans le développement économique de leur communauté respective et de la MRC du Haut-Saint-François.

©2023 Journal Le Haut-Saint-François