santé mentale

Conférences-témoignages de Virage Santé mentale : Nathalie Simard et Diane Demers- Roy se confieront

Virage Santé mentale reprend ses activités-conférences et témoignages les 3 et 4 mai prochains dans le cadre de la Semaine de la santé mentale. Pour l’occasion, Nathalie Simard fera part de son expérience de vie le mardi, à Weedon, et suivra le lendemain à East Angus, le témoignage de Diane Demers-Roy.
La participation de Mme Simard était prévue en 2020 avant que tout soit mis sur pause, mais elle sera présente à la salle communautaire de Weedon au 209, des Érables, ce mardi 3 mai à compter de 19 h. En plus de parler de son expérience de vie, l’artiste interprétera quelques chansons.
Le lendemain suivra le témoignage de Diane Demers-Roy au local d’East Angus, situé au 37, rue Angus Nord. L’activité débutera à 18 h 30.
Les deux activités se déroulent en présentiel et les règles sanitaires seront respectées, notamment le port du masque obligatoire. Pour les deux soirées, il est recommandé de réserver votre place en composant le 819 877-2674.

Marchés publics

La saison des marchés publics dans le Haut : On se prépare

La saison chaude arrive à grands pas et les différentes municipalités du Haut-Saint-François se préparent à l’ouverture des marchés publics. Quoique débutant pour la plupart au mois de juin, les préparatifs vont déjà bon train.
Le Jardin Communautaire de Sawyerville accueillera les visiteurs tous les samedis du 2 juillet au 24 septembre, de 10 h 30 à 13 h, à son marché public. Depuis la dernière édition, en 2021, une structure permanente a été installée pour faciliter l’exposition de marchands et producteurs. Cette dernière permet aux organisateurs d’installer moins de tentes et offrira pour une 2e année consécutive, une meilleure protection contre les éléments naturels. Des fruits et des légumes locaux produits de façon écologique seront disponibles au marché en plus de plusieurs produits transformés tels que des fromages, des confitures, du miel, du pain, du jus de pomme et d’offrir leurs pizzas cuites dans un four à bois ancestral.
Pour le Marché de la petite école de Lingwick, il sera ouvert tous les vendredis de 16 h à 19 h, du 10 juin jusqu’au 9 septembre. Comme au marché de Sawyerville, les fruits et les légumes seront au rendez-vous en plus d’avoir une grande sélection de viande. De plus, cette année, les activités du P’tit pub reprendront normalement.
À sa 3e année d’activité, le marché public de Dudswell vous accueillera pendant 13 semaines, du 25 juin au 17 septembre, les samedis de 9 h à 12 h. Au moment d’écrire ces lignes, 16 producteurs avaient déjà confirmé leur présence pour cet été. Pendant ces 13 semaines, trois tirages auront lieu. Des prix tels qu’un chèque cadeau à utiliser au marché, un produit offert par l’un des exposants ou même le panier du marché qui regroupera un produit par producteur présent et qui sera offert à la fin de la saison. De plus, chaque samedi, il sera possible de se procurer deux recettes créées par les bénévoles en lien avec les produits vendus au marché. Cette période permettra d’amasser un total de 26 recettes, qui seront aussi disponibles sur leur page Facebook. Le 25 juin, à Dudswell, pour l’ouverture officielle du marché, sera présente sœur Angèle.
La municipalité de Westbury ouvrira son marché public du 30 juin au 1er septembre les jeudis, de 16 h à 18 h 30.
Pour ce qui est de La Patrie, il prépare aussi l’ouverture de leur marché public; toutefois, au moment d’écrire ces lignes, les informations n’étaient pas disponibles.
La municipalité de Weedon n’aura pas de marché public cette année, mais la Ferme Patry fera la vente de produits des fermes environnantes ainsi que de sa viande charolaise sans antibiotiques ni hormones dans un nouveau local situé au 650, 2e Avenue, à Weedon. L’ouverture du nouveau commerce est prévue pour mai 2022.

Bureau de developpement - copie

Implantation d’un bureau de projets

Le maire de Cookshire-Eaton, Mario Gendron, est d’avis que le bureau de projets sera un outil essentiel pour assurer le développement de la municipalité.

Lors de sa campagne électorale de l’automne dernier, le maire de Cookshire-Eaton, Mario Gendron, avait fait un de ses chevaux de bataille, le développement de la municipalité. En créant un bureau de projets, il croit être en mesure de remplir avantageusement cet engagement.
« Dans ma campagne, j’en ai parlé, ça me tient à cœur. C’est là-dessus que je suis branché, j’ai ouvert avec le conseil, avec les employés ici, on passe en mode développement, on avance. »  M. Gendron rappelle que de nombreux entrepreneurs et promoteurs lui ont fait des remarques quant au développement de la municipalité et il entend bien y donner suite.
Le surintendant des travaux publics, René Lavigne, sera affecté directeur du bureau de projets. Un espace est aménagé à cet effet. « Il faut qu’il soit bien installé, il faut qu’il ait tous les plans à sa disposition. Quand un promoteur ou un entrepreneur veut te rencontrer, bien il y a un bureau de projets. Ça, c’est un gros morceau qu’on vient de mettre en place. » M. Lavigne pourra compter sur Mégane Vachon, agente de bureau suivi de projets, pour l’appuyer dans sa tâche. Le bureau du directeur général de la municipalité, Martin Tremblay, qui est également ingénieur de formation, sera relocalisé à proximité de celui du développement pour assurer une collaboration. Ces personnes seront toutes situées à l’étage, à proximité du maire. « Moi, tout ce qui est promoteur, tout ce que j’entends parler, faut passer ça par le bureau de projets », insiste M. Gendron.
Il assure que cet outil de développement répond à une demande. « Des projets, il y en a. Là, on tombe dans une période où la conjoncture est bonne pour amener des projets parce que le gouvernement tente de repartir l’économie après pandémie, on sent que le député est à l’écoute, des argents il va y en avoir. »
M. Gendron mentionne qu’avec l’ancienne structure, il aurait été impossible de gérer l’envergure des projets à venir. « Tu ne peux pas gérer des projets d’infrastructure de nouvelles rues, de multilogements, de parc résidentiel si tu n’as pas un bureau de projets pour suivre tes projets, suivre tes consultants qui y travaillent, recevoir les consultants qui viennent te présenter les préliminaires. »
Projets
Pour les secteurs de Cookshire, Sawyerville et Johnville, on travaille sur une stratégie de dézonage pour la création de terrains résidentiels et de multilogements. « Cookshire, ça fait longtemps que c’est en demande du terrain résidentiel et multilogements. » Parmi le potentiel, le maire fait part de deux terrains pour des résidences unifamiliales sur la 1re Avenue et de cinq pour des multilogements dans le secteur du Boisé avec possibilité de 12 additionnels. « On n’arrête pas de se faire appeler sur ça. Le monde est à la recherche de logements et il n’y en a pas, faut vraiment travailler fort là-dessus. »
Johnville
Des projets sont également prévus pour du développement résidentiel et des multilogements dans le secteur Johnville. Un potentiel de 18 terrains pour des résidences unifamiliales et quelques multilogements sur la partie existante de la rue Gendron figure sur les plans. Le projet va bon train, les plans sont pratiquement complétés et il ne reste qu’à amener l’eau du parc écoforestier. Des essais de pompage ont été effectués et la municipalité est dans l’attente des résultats des tests de caractérisation de l’eau. Cette étape complétée, la firme de consultants EXP acheminera les résultats au ministère de l’Environnement pour obtenir le certificat d’autorisation (CA) et ainsi procéder à l’émission des plans et devis d’infrastructures afin de procéder aux appels d’offres auprès des entrepreneurs. Si tout va bien, on pense débuter les travaux l’automne prochain et compléter la finition de la rue au printemps 2023.
Toujours à Johnville, le développement de 24 terrains dans le secteur Maheux, prévu pour l’automne 2023, pourrait accueillir des résidences unifamiliales, des jumelés et des multilogements.
Le maire anticipe une forte demande. Leur coût approximatif de 80 000 $, selon le secteur, avec les services, sera hautement concurrentiel, précise-t-il. M. Gendron estime que les deux développements domiciliaires permettraient d’accueillir approximativement 65 nouvelles familles.
Sawyerville
Du côté Sawyerville, la municipalité est en exploration pour du développement domiciliaire, d’ajouter M. Gendron. Celle-ci est en négociation pour l’acquisition de plusieurs terrains, dont une douzaine, dans un secteur zoné blanc et une quarantaine potentiels dans un secteur zoné vert. On travaille aussi à développer le volet industriel dans le secteur abritant autrefois l’entreprise Perron Palettes.
Fonds de développement
Le maire ajoute qu’avec la création du bureau de projets, la municipalité a mis en place un fonds de développement. « C’est-à-dire que toutes les ventes de terrains seront versées dans le fonds. Cela nous permettra d’investir dans les infrastructures. »

Patinoire

Des patinoires neuves pour la prochaine saison

La municipalité de Cookshire-Eaton investira approximativement 500 000 $ pour mettre à niveau les patinoires des secteurs Johnville, Sawyerville et Cookshire. On prévoit couler des dalles de béton et installer des bandes neuves. L’aménagement de la surface permettra de pratiquer divers sports tout au long de l’année, d’expliquer le maire, Mario Gendron.

rue eastview

Travaux de pavage : 3 M$ à investir sur les chemins en 2022

D’importants travaux seront effectués dans la rue Eastview au cours du mois d’août.

La municipalité de Cookshire-Eaton dispose d’une aide financière de 3 M$ provenant du Programme d’aide voirie locale (PAV) pour effecteur des travaux de pavage dans les trois secteurs de la municipalité soit Cookshire, Sawyerville et Johnville.
Le maire, Mario Gendron, assure que le tout se fera de façon coordonnée et sera réalisé au cours de la présente année. « Pour nos routes, le pavage, on a tout un tableau de toutes les routes. Ça, on est appuyé par notre firme de consultants qui a tout vérifié, l’épaisseur de l’asphalte, l’épaisseur de gravier dans les rangs. Tout est défini », d’assurer le maire Gendron. Les travaux seront confiés principalement aux entrepreneurs privés.
Selon M. Gendron, les travaux se mettront en branle simultanément dès le début de mai. Au total, une quinzaine de projets sont prévus comprenant notamment du pavage, du rechargement des accotements, rechargement de chaussées gravelées, reprofilage de fossés, planage et marquage de la chaussée. Parmi ceux prévus, on remarque entre autres, dans le secteur Cookshire, la rue Eastview comprenant la réfection des infrastructures souterraines et trottoirs. Le début des travaux au coût de 1,8 M$ devrait débuter au mois d’août. Il est également prévu de faire la réfection de la rue Principale Est, notamment de la ligne d’aqueduc et d’égouts entre la rue Castonguay et le chemin Learned Plain au montant de 1,2 M$. Mentionnons que ces projets bénéficient de l’aide financière du Programme de la taxe sur l’essence et de la contribution du Québec 2019-2023 (TECQ). Pour le secteur Johnville, on travaillera sur les plans et devis, la conduite et le bâtiment de service en prévision de l’installation de l’aqueduc pour la rue Gendron et le secteur Maheu ainsi que d’autres projets futurs. Le coût est de 1,2 M$ subventionné à 60 %.
Pour le secteur Sawyerville, on prévoit effectuer les travaux sur la Principale Nord et Flanders. M. Gendron est d’avis que les travaux sont répartis assez équitablement dans les trois secteurs de la municipalité.

Jack anglais

One Sawyerville Resident’s DNA: All Mixed Up

Jack Garneau: 100 percent.

Scottish, English/Northwest Europe, Irish, Norwegian, French, Slavic, Native American: One person’s DNA, in that order of proportion. Perhaps you recognize the package?
That’s the portrait Ancestry.com paints of Jack Garneau. It’s not unlike many other so-called “English” in the Haut-Saint-François, he guessed.
In fact, “being English-speaking” is not at all the same as “being English,” I observed, and Garneau acknowledged with a hearty laugh how often the two are confused. We talked by phone, he from his home in Sawyerville.
The genealogy buff has looked into his roots, and being 85, he’s had a bit of time to do so in depth.
“Ancestry tells me that my genes are only two percent similar to those from France, yet they tell me I am connected to all French people in North America.”
He has French heritage from his great-grandfather on his father’s side, and his great-grandmother on his mother’s side. “So I would have thought that percentage would be higher. But I suppose people who came from France, they probably weren’t totally genetically French either. They probably were partly Viking or Scandinavian, who knows?”
Another surprise was his predominant Scottish DNA. “My dad’s mother came from the Isle of Lewis,” he said. “My mother always said her father was Irish. But I think most of her roots were what they called planters.”
“Planters” were people from England and Scotland brought into northern Ireland to settle the land in the early 1600s, Protestants who were friendly to the English crown. They became known as Irish, but had Scottish origins.
The “English-Northwest Europe” part of the package referred, in part, to his great-great-grandfather who came over from Germany to Boston in 1751.
“The Boston settlers were getting a lot of grief from the French and Aboriginal people, so they brought over immigrants to settle on the outskirts of Boston. ‘Better they lose their scalps than we lose ours’,” Garneau said.
They invited Lutherans from the northern part of the Rhine valley; the Bostonians feared Catholic immigrants would be too easily influenced by French-Quebecers. Seven families collectively farmed a thousand-acre piece of land for a number of years, then Garneau’s ancestors gradually moved north, up the Connecticut River, and settled in Eaton.
“It doesn’t take very long to go from an ancestor 100 percent to one percent, really. My Native ancestry is eighth generation on the Huron side, and eleventh on the Algonquin side, and yet they say I’m only a small percentage Native American,” Garneau observed. His ancestors were among the “first Métis” in Canada, in the 1600s.
“I may not have much of their DNA left, but if they weren’t there, we wouldn’t be here.”
His English ancestors, the Page family, came to the New World in the 1600s, soon after the Mayflower. “They came up to the Eaton area around 1800 or 1805.” Like many other Americans at that time, they came for land, he noted, not politics. “They were not Loyalists.”
Around the 1850s, Garneau’s French ancestors moved south into the Bury area. His Geurtin ancestors supported the British in the Rebellion of 1837, but his great-great-great uncle, Hippolyte Lanctot, a notary in Saint-Constant, fought on the side of the Patriots. He was captured and shipped off to Australia. After some years, his sentence was commuted and he came back to Montreal.
“So here he was, a Patriot, and on the other side of my family, they were against that. Near Quebec City, the Irish there were afraid of what was going on. George Abraham Smyth, my great-great-great grandfather, petitioned Lord Dorchester to give them arms and give them aid so they could protect the area against the Patriots and I have a copy of the document he wrote to Lord Dorchester,” he said.
Then there are his Slavic roots: Ukrainian or Russian. Garneau compares the current war to the times of the Viking raids in Europe. “I guess unfortunately it’s been the story of mankind. Really, I just cannot comprehend. We’ve been led to believe we can talk things out, but I’m not so sure. History doesn’t seem to show we’re very successful at that.”
That’s one lesson we can learn from our DNA. Garneau summed up another: “We’re all mixed up, actually!”

Kiwi

Sortir des sentiers battus et produire des mini kiwis

Le kiwi est une plante grimpante, les agriculteurs projettent d’installer une structure en acier au cours des prochaines semaines.

Le couple Annick Lauzon et Francis Tremblay, de Cookshire-Eaton, sort des sentiers battus et innove, pour ainsi dire, en lançant une production de mini kiwis, le Kolomikta.
Encore à l’étape de début, cette plante qui mettra cinq années avant de produire au maximum de sa capacité, entame sa deuxième année et devrait donner ses premiers fruits à la fin de l’été 2023. Nos producteurs, en devenir, ont planté 250 plants sur une superficie d’un acre et demie à la fin de l’été 2021. Parmi les plants, principalement du Kolmikta, on retrouve également de l’Arguta qui lui, mettra cinq ans avant de produire. Au moment de l’entrevue, ils étaient dans l’attente de voir si les plants avaient survécu aux rigueurs de leur premier hiver.


Le couple ne semble guère angoissé de voir les résultats. « On ne peut rien y faire, de toute façon », de lancer avec philosophie, Mme Lauzon. Son partenaire est du même avis et ajoute « le pire qui va arriver est que les tiges qui ont poussé, elles auront séché et vont mourir puis vont retiger et repartir. On ne risque pas de perdre la production, mais ça pourrait la retarder », d’indiquer Francis Tremblay.
Le projet mijotait depuis quelques années. « On voulait faire de quoi, on avait pensé à des fraises et finalement en parlant avec mon boss, qui me parlait de mini kiwis, je savais que c’était une bonne idée », d’exprimer Mme Lauzon. « On s’est dit : on ne veut pas faire la même chose que nos voisins. On cherchait une culture nouvelle, il y a tellement de maraîchers. On songeait à développer une culture qu’on retrouve peu en région. On a choisi le mini kiwi parce qu’il n’y en a pas dans la région, parce que ça goûte bon, ça n’a pas besoin d’être épluché, ça contient beaucoup de minéraux, potassium, calcium, magnésium, phosphore, beaucoup de vitamine C et E, des fibres et des antioxydants. C’est un fruit sucré, on n’a pas besoin d’enlever la pelure, ce n’est pas poilu, c’est comme un gros raisin vert », d’indiquer le couple.
Bien que la culture de mini kiwis s’inscrit comme un essai, le couple prend le projet au sérieux et a bien fait ses devoirs en préparant un plan d’affaires. L’entreprise Kiwi & Compagnies est prête. Si tout va comme prévu, on pourrait récolter 325 kilos de kiwis la première année de récolte et plus de 650 kilos à la cinquième.
Débouchés
Le mini kiwi pourrait trouver facilement preneurs. Déjà, des restaurateurs se sont montrés intéressés par ce fruit et certains sont prêts à le transformer pour faire des recettes. Mais Annick et Francis aimeraient l’offrir à coût abordable aux consommateurs. Éventuellement, ils souhaiteraient aménager un kiosque sur le bord de la route et offrir leurs produits aux gens. Si jamais la production n’était pas suffisante à la première année de récolte, on songe à offrir le fruit aux divers marchés publics de la région afin de donner la chance aux gens de découvrir le mini kiwi.
Autre culture
Plein de fougue, le couple n’entend pas se limiter aux mini kiwis. Il caresse le projet de démarrer une culture d’asperges. Ils entament la deuxième année de préparation du sol et prévoient planter 10 000 asperges sur un acre au printemps 2023. Tout comme le mini kiwi, ce type de culture n’est pas courant en région. Comme si cela n’était pas suffisant, on y cultive également divers produits dans un jardin de plus de 250 pieds.
Tout cela se fait à travers le travail régulier, temps plein, de nos deux jeunes producteurs. « On est pas mal occupés », lancent-ils en riant d’un regard complice. Ils admettent néanmoins que leur rêve, à long terme, serait de développer leurs cultures et d’en vivre.

Étang Cloutier

Étang Cloutier : Une aire de repos et de loisir

Inauguré l’automne dernier, l’étang Cloutier sera accessible au grand public dès la prochaine saison estivale. La municipalité projette de compléter l’aménagement du terrain de volleyball, d’améliorer les sentiers pédestres ainsi que l’aire de repos en plus d’y installer un abri extérieur. Rappelons que le site a une vocation multigénérationnelle et est accessible gratuitement.

Soccer

Deux nouveaux terrains de soccer

En raison de la forte demande pour la pratique du soccer, la municipalité fera des travaux d’aménagement du terrain de balle dans le secteur Cookshire pour y installer deux terrains de soccer. Ce nouvel emplacement profitera du système d’éclairage en soirée. Les travaux devraient se mettre en branle au cours du mois de mai.

Oasis

Oasis in the Cookshire Elementary School

Kevin Dezan and Tina Jacklin in the new Oasis of the Cookshire Elementary School.

Tina Jacklin, Kevin Dezan, and Noemie Caya greet me at the door to the room. We’re in the Cookshire Elementary School, where Jacklin is principal, Caya is psychoeducator, and Dezan is special education technician.
I’m here to tour the Oasis. It’s a spacious room created in November 2021 to help children with feelings that can distract them from learning.
“We are definitely seeing an increase in problems – the pandemic has been stressful for everyone. I think children feel the stress that parents are under,” said Jacklin.
“But we had problems beforehand, as well,” Dezan noted. “There were days when Tina and I would just be going around from crisis to crisis. We started thinking there’s got to be a better way.”
Dezan and Caya visited the elementary school in Danville which already had an Oasis. “We came back with a lot of ideas, and with a lot of optimism as well.”
Dezan himself is a key feature of the room, but it has a lot of other attractions, too.
Just inside the door is a “check-in space,” a small couch facing a four-colour display of “zones” of emotions. Blue stands for a family of “down” feelings; green, a “relaxed and ready to learn” state; yellow, frustrated or worried feelings, and red, an angry or out-of-control state.
Each student positions their name card within one of the zones. Dezan takes note, talks with the child about how they’re feeling and what just happened, and sets a timer for how long their break will be – five or ten minutes, max. “The breaks,” he said, “give a student time to reflect, and give me a chance to help them learn tools and strategies that get them out of the situation.”
Some of the room’s features are designed to relieve anxiety, such as “fidgets” for restless hands. Some provide rest, like a little isolation-cube bed with stuffed animals, or a one-person teepee with noise-cancelling headphones. A dartboard with velcro and styrofoam balls might help raise a person’s energy level.
The demolition corner might be where a person releases excess energy by tearing apart a laptop (while wearing safety glasses, to be sure). Stepping stones meander across the carpet. Meditative or calming strategies abound: special markers for drawing on the window panes that overlook the playground, a Lego wall, a kinetic sand box, puzzles, or colouring pages. Breathing techniques: “smell the flower, blow out the candle.”
The Oasis is used preventively, as well. “We note when certain kids often have outbursts, and schedule a break so they come in here before it happens,” Dezan said.
Jacklin said each classroom has a little teepee, “a calming corner,” where children can take a short break during class if they feel the need.
The Cookshire Elementary School has 104 students in pre-Kindergarten to Grade 6. At first, only 10 or 15 children visited the Oasis in a day; now 20 or 30 do. They come for different reasons: For a scheduled break, because of problem behaviour, or even to do schoolwork.
“Some come because they’ve earned a break, too,” said Jacklin. “We’re trying to have a space where everyone can come. We don’t want it to be seen as a bad place. It’s a place that is helpful, and everyone can come and benefit from having a conversation.”
“Even as adults, we’re not always in that perfect happy zone,” said Dezan. “You can feel all sort of different emotions in a day, and it’s ok. We try to give students ideas about how to work through those emotions and get back into a happier more ready-to-learn place.”
The Oasis approach is working, observed Jacklin. “For the benefits, it definitely was not costly.”

Garderie

CPE Il était une fois à Johnville : Accueillera les enfants dès juin

Le CPE Il était une fois ouvrira ses portes de façon temporaire dès juin en accueillant 40 enfants de 18 mois et plus.

Le Centre de la petite enfance (CPE) Il était une fois a obtenu l’autorisation du ministère de la Famille de s’installer temporairement à l’intérieur de l’église Notre-Dame-de-la-Paix de Johnville et pourra accueillir 40 enfants âgés de 18 mois et plus dès juin.
L’autorisation est conditionnelle au fait que la municipalité, propriétaire de l’église, effectue des travaux de mise aux normes. D’ailleurs, elle dispose d’une aide financière de 56 200 $ pour ce faire et certains travaux sont déjà amorcés, d’exprimer le maire de Cookshire-Eaton, Mario Gendron. Parmi les ouvrages à effectuer, on prévoit entre autres adapter les salles de bain, les sorties, la cuisinette, le vestiaire, tables à langer. D’autres travaux, dont l’aménagement d’une aire de repos à l’intérieur de l’église est prévu. Ce volet sera assumé par la municipalité. Rappelons que la gestion de l’église et son développement est sous la responsabilité de Cookshire-Eaton Innovation (CEI).
Évidemment, les instigatrices du projet, Vicky Champagne et Isabelle Côté, sont satisfaites de la réponse positive du ministère. L’objectif est d’ouvrir la garderie le 6 juin, mais cela pourrait retarder de quelques jours. « Tout dépend de comment les travaux vont aller. Quand les travaux vont être faits, ça prend l’approbation du ministère et après ils vont nous délivrer notre permis », d’exprimer Mme Côté. Cette dernière est confiante de disposer de tout le personnel nécessaire pour accueillir les enfants en juin. « On a affiché la liste d’embauche et on attend les CV. On a besoin de cinq éducatrices, on devrait y arriver », précise-t-elle.
Quant aux inscriptions, elles devraient être amplement suffisantes, voire même au-delà des 55 places disponibles. « Les gens nous ont contactées sur notre page Facebook. On en a plusieurs, on pourrait remplir un CPE de 80 places demain matin. Mais on va fonctionner avec la place 0-5. On (CPE) devrait être inscrit sur ça sous peu et dès qu’on sera inscrit, on va aviser les parents qui nous avaient déjà écrit d’aller cocher notre CPE et après on va aller avec la liste centralisée. » Mme Côté précise que c’est obligatoire de passer par la place 0-5.
Construction
D’autre part, bien que les travaux d’infrastructure de la rue Gendron ne soient pas débutés, cela n’empêchera pas au CPE de se bâtir, assure le maire. La future garderie sera située derrière l’église, ce qui permettra à la municipalité de fournir l’alimentation en eau et de la brancher temporairement au service d’égout de la route 251. La fin des travaux du futur CPE Il était une fois, au coût de 1,2 M$, est prévue pour août 2023. À ce moment, la garderie, à vocation verte, sera en mesure d’offrir 55 places dont 15 poupons et 40 enfants de 18 mois et plus.

jack francais

L’ADN d’un résident de Sawyerville : tout un mélange

Jack Garneau : 100 pour cent.

Écossais, Anglais/Europe du Nord-Ouest, Irlandais, Norvégien, Français, Slave, Amérindien : l’ADN d’une personne, dans cet ordre de proportion. Peut-être reconnaissez-vous l’amalgame?
C’est le portrait que dresse Ancestry.com de Jack Garneau. Ce n’est pas sans rappeler bien d’autres soi-disant « anglais » du Haut-Saint-François, devine-t-il.
En fait, « être anglophone » n’est pas du tout la même chose que « être anglais », ai-je observé, et M. Garneau a reconnu avec un rire chaleureux à quel point les deux sont souvent confondus. Nous lui avons parlé au téléphone, chez lui à Sawyerville.
Le passionné de généalogie s’est penché sur ses racines et, à 85 ans, il a eu un peu de temps pour le faire en profondeur.
« Ancestry me dit que seulement deux pour cent de mes gènes sont semblables à ceux de la France, mais ils me disent que je suis connecté à tous les Français d’Amérique du Nord. »
Il a un héritage français par son arrière-grand-père du côté de son père et son arrière-grand-mère du côté de sa mère. « Alors j’aurais pensé que ce pourcentage serait plus élevé. Mais je suppose que les gens qui venaient de France n’étaient probablement pas totalement français génétiquement non plus. Ils étaient probablement en partie Vikings ou Scandinaves, qui sait ? »
Une autre surprise était l’ADN écossais prédominant. « La mère de mon père est venue de l’île de Lewis », a-t-il déclaré. « Ma mère a toujours dit que son père était irlandais, mais je pense que la plupart de ses racines étaient ce qu’ils appelaient des colons planteurs ».
Les « planteurs » étaient des gens d’Angleterre et d’Écosse amenés en Irlande du Nord pour coloniser la terre au début des années 1600, des protestants qui seraient amis de la couronne anglaise. Ils sont devenus connus comme Irlandais, mais avaient des origines écossaises.
La partie « anglaise/Europe du Nord-Ouest » faisait référence dans une certaine mesure à son arrière-arrière-grand-père qui est venu d’Allemagne à Boston en 1751.
« Les colons de Boston recevaient beaucoup de chagrin des Français et des Autochtones, alors ils ont fait venir des immigrants pour s’installer à la périphérie de Boston. Mieux vaut qu’ils perdent leur cuir chevelu que nous perdions le nôtre », a dit M. Garneau.
Ils ont invité des luthériens de la partie nord de la vallée du Rhin; les Bostonnais craignaient que les immigrants catholiques ne soient trop facilement influencés par les Canadiens français. Sept familles ont collectivement cultivé un terrain de mille acres pendant plusieurs années. Les ancêtres de M. Garneau se sont progressivement déplacés vers le nord, en remontant la rivière Connecticut, et se sont installés à Eaton.
« Il ne faut pas très longtemps pour passer d’un ancêtre à 100 % à 1 %, vraiment. Mon ascendance autochtone est de la huitième génération du côté Huron et de la onzième du côté Algonquin, et pourtant on dit que je n’ai qu’un petit pourcentage amérindien », a observé M. Garneau. Ses ancêtres étaient parmi les « premiers Métis » au Canada, dans les années 1600.
« Je n’ai peut-être plus beaucoup de leur ADN, mais s’ils n’étaient pas là, nous ne serions pas ici. »
Ses ancêtres anglais, la famille Page, sont venus dans le Nouveau Monde au cours des années 1600, peu après le Mayflower. « Ils sont arrivés dans la région d’Eaton vers 1800 ou 1805. » Comme beaucoup d’autres Américains à cette époque, ils sont venus pour la terre, a-t-il noté, pas pour la politique. « Ce n’étaient pas des loyalistes. »
Vers les années 1850, les ancêtres français de M. Garneau se sont déplacés vers le sud dans la région de Bury. Ses ancêtres Geurtin ont soutenu les Britanniques lors de la Rébellion de 1837, mais son arrière-arrière-arrière-grand-oncle, Hippolyte Lanctot, notaire à Saint-Constant, a combattu aux côtés des Patriotes. Il a été capturé et envoyé en Australie. Après quelques années, sa peine a été commuée et il est revenu à Montréal.
« Il était donc ici un patriote et de l’autre côté de ma famille, ils étaient contre ça. Près de Québec, les Irlandais là-bas avaient peur de ce qui se passait. George Abraham Smyth, mon arrière-arrière-arrière-grand-père, a demandé à Lord Dorchester de leur donner des armes et de les aider afin qu’ils puissent protéger la région contre les Patriotes et j’ai une copie du document qu’il a écrit à Lord Dorchester », a-t-il déclaré.
Ensuite, il y a ses racines slaves : ukrainiennes ou russes. M. Garneau compare la guerre actuelle à l’époque des raids vikings en Europe. « Je suppose que malheureusement, c’est l’histoire de l’humanité. Vraiment, je ne peux tout simplement pas comprendre. Nous avons été amenés à croire que nous pouvons parler des choses, mais je n’en suis pas si sûr. L’histoire ne semble pas montrer que nous avons très bien réussi à cet égard. »
C’est une leçon que nous pouvons tirer de notre ADN. M. Garneau en résume une autre : « En fait, on est tous un mélange ! »

Maman

Mère et conjointe : offrez-lui une fin de semaine princière!

À la fête des Mères, recevoir une carte ou un bricolage de ses enfants fait toujours chaud au cœur. Mais un geste d’amour de la part du bien-aimé est aussi très charmant! Cette année, pourquoi ne pas témoigner à votre douce moitié toute votre reconnaissance pour son rôle de maman, et ce, en lui proposant une fin de semaine où elle sera traitée comme une véritable princesse? Voici comment vous y prendre!
Empêchez-la de faire du ménage : dites-lui clairement que vous vous chargez de toutes les tâches ménagères, sans exception. Intervenez rapidement si vous la surprenez la main dans le panier à lessive ou dans l’évier de cuisine. Rappelez-lui doucement, mais fermement que vous êtes à son service et que cela vous fait plaisir.
Incitez-la à décrocher : habituée à vivre à plein régime, votre compagne pourrait se sentir prise au dépourvu avec un horaire soudainement allégé. Rédigez à l’avance une liste d’activités auxquelles elle pourrait se livrer sans remords (bain chaud, lecture, série télé, passe-temps, appel à une amie, etc.). Remettez-lui cette liste et encouragez-la à s’accorder du temps.
Dorlotez-la : pensez à ce qui lui fait plaisir (café, massage des pieds, etc.) et offrez-le-lui systématiquement pendant toute la fin de semaine. Et si vous pouvez faire garder votre progéniture durant tout un après-midi pour qu’elle puisse faire une sieste, seule ou avec vous, elle en sera sûrement ravie!
Discutez avec elle : pour une mère et conjointe, rien ne vaut un cœur à cœur. Prévoyez un moment où vous vous retrouverez seuls afin de discuter de tout et de rien. Si vous en avez perdu l’habitude, posez-lui des questions ouvertes sur ce qu’elle vit ces temps-ci à la maison ou au travail, sur ses projets, ses rêves, etc. Permettez-lui de s’exprimer et soyez une oreille attentive et aimante.
Parions qu’après ces deux journées mémorables, vous serez à ses yeux le plus adorable des princes!

CELEBRONS

Célébrons le cercle vertueux du bénévolat !

Du 24 au 30 avril 2022 se déroule la Semaine de l’action bénévole. Chapeauté par la Fédération des centres d’action bénévole du Québec (FCABQ), l’évènement se tient cette année sur le thème évocateur Bénévoler change la vie !
Un impact majeur dans toutes les causes
Selon la FCABQ, l’action bénévole représente un cercle vertueux. Lorsqu’on y réfléchit, on réalise que la cause du bénévolat en est une qui touche l’ensemble des autres causes. En effet, cette pratique noble constitue l’essence même du fonctionnement harmonieux de notre société. Imaginez le nombre d’évènements servant à amasser des fonds pour un organisme ou une fondation qui ne pourraient avoir lieu sans l’implication de généreux bénévoles !
Des effets positifs sur la vie des bénévoles
C’est prouvé : le bénévolat change la vie de ceux et celles qui en font. Qu’il soit motivé par la compassion ou par la passion, le geste de donner de son temps et de son talent constitue une source de plaisir et de joie. Voici quelques-uns des effets positifs de « bénévoler » :
• Rencontrer des gens (et, très souvent, se faire des amis !);
• Se sentir apprécié et valorisé;
• Garder la forme;
• Chasser l’ennui;
• Augmenter sa confiance en soi.
Une richesse collective indispensable
Faire du bénévolat, c’est poser un geste précieux auprès des personnes qui en ont le plus besoin, et ce, dans un contexte de bienveillance et de solidarité. C’est améliorer concrètement le bien-être physique et psychologique de ceux et celles à qui l’on tend la main, autrement dit, c’est changer leur vie !
Pour en savoir plus sur la Semaine de l’action bénévole 2022, visitez le fcabq.org.

actualite

Semaine de l’action bénévole : Le CAB fête ses bénévoles

Après deux ans d’absence, le Centre d’action bénévole du Haut-Saint-François (CAB) reprend son activité festive de tenir un souper en guise de remerciement pour ses bénévoles. La directrice générale, France Lebrun, ne cache pas sa hâte d’accueillir les membres lors de la journée du 30 avril au Centre communautaire de Johnville, à Cookshire-Eaton.
La dernière fête en présentiel remonte à 2019, fait remarquer Mme Lebrun. Les responsables attendent une centaine de personnes pour l’occasion à moins que la situation pandémique évolue autrement. Toutes les mesures sanitaires seront respectées pour l’occasion « on veut souligner nos héros », d’insister Mme Lebrun.
La journée s’entamera avec l’arrivée des membres vers 13 h 30. L’artiste bien connu, Jean-Guy Piché, assurera le volet musical et l’animation de la journée. Comme à l’habitude, des discours officiels sont prévus ainsi que de la danse accompagnée du souper, d’un tirage de prix et les remerciements d’usages. La journée se déroulera sous le thème Bénévoler change la vie!

ESCALIER

L’escalier sur mesure : un monde de possibilités !

Selon son style, votre escalier peut s’avérer un réel élément de décoration dans votre maison. Ainsi, se doter d’un escalier sur mesure est assurément la solution idéale pour combiner originalité et fonctionnalité !
La forme
Selon l’espace disponible, vous pouvez privilégier un escalier droit (qui peut facilement permettre la création d’une zone de rangement en dessous), tournant (avec de petits paliers accueillant des décorations) ou encore en colimaçon (parfait pour les lieux exigus).
Le type
Si vous le souhaitez, profitez de l’occasion pour éviter les marches et les contremarches habituelles en bloc. Étudiez la possibilité que votre escalier soit suspendu (avec des tiges au plafond ou des marches fixées dans le mur), qu’il soit doté d’un limon central ou qu’il soit plus atypique avec des pas japonais (marches asymétriques et décalées), par exemple. Effet de légèreté garanti !
Les matériaux
Laissez libre cours à votre inspiration et sélectionnez un ou des matériaux qui s’agencent au style de votre domicile. Pensez au bois, au métal, au verre, au béton et à la pierre, par exemple. L’important est de choisir en fonction de vos goûts et de l’effet escompté (ambiance chaleureuse, contemporaine, etc.).
Vous avez une bonne idée de vo­tre projet? Confiez celui-ci à un profession­­­­nel dont les réali­sa­tions vous in­­terpellent !

Insonorisation

Comment améliorer l’insonorisation de votre maison ?

Vous n’en pouvez plus d’entendre les bruits de votre voisinage ou vous aimeriez enfin pouvoir vaquer à vos occupations sans que les activités des membres de votre famille vous dérangent ? Voici plusieurs solutions qui vous permettront de régler une partie ou l’entièreté du problème!
Installez des cloisons sèches ou des panneaux acoustiques : ciblez les pièces les plus bruyantes, telle celle du cinéma maison, et ajoutez-y des panneaux de gypse, des plaques de plâtre acoustique ou des panneaux acoustiques, par exemple, afin de réduire la transmission du bruit à travers les murs et les portes. Complétez avec un scellant acoustique pour de meilleurs résultats.
Changez les portes et les fenêtres : même lorsqu’elles sont fermées, les portes et les fenêtres de moins bonne qualité ou de matériaux légers peuvent laisser passer le bruit. Optez pour des modèles en bois lourd, en acier, en composite ou en panneau de fibres ou de particules afin de réduire les sons. Mi­sez sur des fenêtres parfaitement étan­ches et, au besoin, tournez-vous vers le triple vitrage ou les vitres spécialement conçues pour optimiser l’insonorisation.
Ajoutez des meubles ou des accessoires : divers éléments peuvent contribuer à estomper les bruits. C’est notamment le cas des étagères bien remplies, des rideaux épais, des moquettes ou des tapis matelassés. S’ils ne sont pas spécialement conçus pour couper les sons, leur effet est toutefois suffisamment déterminant pour être souligné.
Trouvez l’origine des problèmes : l’impact d’objets sur le plancher est particulièrement dé­sagréable, les marches vibrent et cra­quent ou vous entendez l’eau circuler dans les tuyaux ? Tâchez de repérer la source des bruits qui vous causent de l’inconfort afin de corriger le problème à la source.
Il vous faut ouvrir les murs ou les planchers afin de couper les bruits une bonne fois pour toutes ? Confiez ce travail à un professionnel de votre région!

Lit

5 éléments à considérer avant d’acheter un lit escamotable

Vous souhaitez faire l’acquisition d’un lit escamotable afin de gagner de l’espace dans votre demeure ou de donner une deuxième fonction à l’une de vos piè­ces (ex. : bureau)? Voici cinq éléments dont vous devez tenir compte avant de fixer votre choix.
L’espace disponible : celui-ci peut avoir une incidence directe sur le sens (horizontal ou vertical) de votre lit escamotable. Mesurez non seulement l’espace au mur, mais aussi celui au sol afin de vous assurer de pouvoir cir­culer librement dans la pièce.
Le rangement : certains lits se referment dans une unique armoire, tandis que d’autres possèdent diverses options de rangement ou un bureau intégré.
Le mécanisme : il doit être robuste et sécuritaire afin de pouvoir être rabattu facilement et manipulé sans ef­fort par des enfants, le cas échéant.
Le matelas : ce ne sont pas tous les matelas qui peuvent être combinés à un lit escamotable, car une limite de hauteur est essentielle pour pouvoir ranger le lit. Faites divers essais pour en choisir un à la fois confortable et durable.
L’installation : les lits escamotables nécessitent une installation particulière pour assurer leur sécurité d’utilisation. Renseignez-vous sur les exigences relatives aux modèles qui vous plaisent ou sur la possibilité de bénéficier d’un service d’installation.
Visitez les différents commerces de vo­tre région afin de comparer les modèles et les options!

Peindre

Quel fini choisir selon la pièce ou la surface à peindre ?

Vous avez le projet de repeindre une ou plusieurs pièces de votre domicile ? Si la couleur est importante lorsque vient le temps de choisir une peinture, la sélection du fini l’est tout autant. Entre le mat, le satiné, le velouté ou encore le semi-lustré, voici quelques recommandations pour orienter votre décision!
Qu’est-ce que le fini ?
Le fini indique l’aspect d’une peinture et la quantité de lumière qu’elle réfléchit. Les différentes appellations (velours, platine, velouté, satin, perle, etc.) peuvent varier d’un fabricant de peinture à un autre. Il importe donc de vous renseigner sur le lustre du produit avant de confirmer votre préférence.
Voici les finis convenant le mieux à différentes pièces ou surfaces de la maison :
• Plafond : le fini mat est le plus recommandé, puis¬qu’il permet une application uniforme et cache les imperfections.
• Salon et chambres : les finis mat et satiné sont à envisager en raison de leurs résultats uniformes et élégants. Notez que le premier se nettoie cependant moins bien. Les finis perle et semi-lustré, dont le lavage est plus facile, sont également des options pertinentes.
• Salle de bain et cuisine : les finis brillant ou lustré sont les choix les plus judicieux pour ces pièces nécessitant davantage d’entretien et devant résister à l’humidité. Le semi-lustré peut être envisagé dans le cas d’un astiquage occasionnel.
• Boiseries : les boiseries et les moulures bénéficient de nombreuses possibilités, telles que les finis velouté, satin, semi-lustré et brillant. Il en va de même pour les portes, où vous pouvez prioriser un produit permettant un lavage facile.
Visitez un détaillant de peinture de votre région pour vous équiper pour votre projet !

Meubles

Faites place à de nouveaux meubles avec style !

Offrez un vent de fraîcheur à une pièce en renouvelant son mobilier ! Facile et rapide, cette solution a l’avantage d’avoir une fonction à la fois pratique et esthétique. Voici quelques conseils pour vous aider à sélectionner votre futur mobilier.
Les préparatifs
Commencez par choisir un style qui vous plaît (ex. : rustique, scandinave, contemporain). Déterminez ensuite les matériaux et les couleurs qui vous font envie en veillant à créer une certaine harmonie avec les autres éléments de votre pièce (murs, accessoires, plancher, etc.). Enfin, fixez-vous un budget afin de mieux orienter votre magasinage.
La disposition
Il importe que vos meubles soient de dimensions appropriées en fonction de la taille de votre pièce. Ainsi, à moins d’avoir déjà une idée bien précise de votre aménagement, vous pouvez mesurer la taille de vos meubles et de votre pièce, puis reproduire le tout à l’échelle sous forme de maquette en deux dimensions. Déplacez vos meubles (ex. : formes en papier) sur votre pièce (ex. : feuille quadrillée) afin de tester différentes positions et de découvrir celle qui vous convient le mieux.
Si vous êtes à l’aise avec les nouvelles technologies, utilisez plutôt une application ou un logiciel d’aménagement d’intérieur pour obtenir une vision en trois dimensions et faire vos essais. Dans tous les cas, n’oubliez pas de laisser de l’espace pour circuler !
Vous aimeriez profiter d’un accompagnement pour réaliser un aménagement à la fois chic et pratique? Recherchez un designer d’intérieur dont les créations sont en adéquation avec vos goûts !

Ménage

Astuces pour le ménage et l’organisation du coffre et de l’habitacle

Avec le printemps vient le temps de remiser les articles hivernaux (pelle, balai à neige, etc.), d’aérer votre véhicule et de nettoyer de fond en comble l’habitacle. L’occasion est aussi parfaite pour optimiser le rangement si le désordre tend à y régner en maître. Voici quelques conseils pour vous simplifier la tâche.
Ménage
Pour que l’intérieur de votre véhicule soit comme neuf (ou presque !), un coup de chiffon ne suffit pas. Ainsi, après avoir soigneusement passé l’aspirateur sur les sièges et les tapis, utilisez des produits conçus pour éliminer les cernes de calcium sur ces derniers et pour dépoussiérer le tableau de bord et les moulures de plastique, ou encore pour nourrir le cuir, par exemple.
Un moyen simple de rafraîchir les tapis et de chasser les mauvaises odeurs consiste à procéder à un nettoyage à la vapeur. Par ailleurs, pour laver efficacement les vitres, frottez celles-ci dans un sens à l’intérieur et dans le sens contraire à l’extérieur afin de savoir quel côté devra être refait, le cas échéant.
Organisation
Pour éviter que des objets divers se retrouvent éparpillés un peu partout au fil de vos trajets en solo ou en famille, munissez les sièges d’organisateurs pratiques adaptés à vos besoins ou à ceux de vos enfants. Selon le cas, vous pourrez y conserver des sacs réutilisables, des livres d’histoires, des paquets de mouchoirs, des bouteilles d’eau, etc.
Il existe en outre une variété d’organisateurs et de range-tout pour le coffre, voire pour le pare-soleil, de même qu’une foule d’accessoires fort utiles, dont des poubelles pliables ou suspendues, qui vous aideront à maintenir l’ordre. L’ajout de porte-gobelets peut également prévenir les verres et tasses vides qui roulent sur le sol.
Visitez vos commerces locaux pour dénicher les produits de nettoyage et les accessoires de rangement idéaux pour votre auto !

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