La meilleure édition du souper-soirée country à date 

Crédit photo : Renée-Claude Leroux

La deuxième édition du souper-soirée country de la Fondation Louis-Saint-Laurent aura permis d’amasser 19 053 $ en octobre dernier à la polyvalente d’East Angus. De cette somme, 5000 $ proviennent du député provincial de Mégantic, François Jacques.  

« Ça fait partie des meilleures activités de financement, du moins depuis que je suis en poste », confie la présidente de la Fondation, Renée-Claude Leroux. « Ça fait deux belles années de financement qu’on fait de gros montants. » 

Après dix années d’Oktoberfest, la formule a été revisitée l’an dernier. « Le but de ça, c’est de ramasser des fonds pour la Fondation, peu importe le nom que ça porte », résume le président d’honneur 2024, Marc Reid. 

L’ancien élève de la polyvalente, Marc Reid, a assuré l’animation de la soirée en tant que président d’honneur de l’événement.

En passant d’une formule de célébration de la bière à une country depuis le retour de la pandémie, le succès va en augmentant. « On est 170 personnes pour le souper. Après ça, les danseurs de Winslow arrivent. Ils vont être 300 », poursuit l’ancien élève de la polyvalente Louis-Saint-Laurent. Le but qu’il s’était donné cette année était de rajeunir les donateurs participants.  

Bon an, mal an, la Fondation Louis-Saint-Laurent redistribue une dizaine de milliers de dollars. Avant la pandémie, lorsque les activités de financement étaient en-deçà des objectifs fixés, « on [vivait] avec ce qu’on avait ramassé d’avant, quand on en a de besoin », explique la présidente Leroux. 

La Fondation Louis-Saint-Laurent existe depuis 1995. En tant qu’organisme de bienfaisance, elle aide financièrement les étudiants dans le besoin avec l’achat de matériel scolaire, l’accès à des activités culturelles et parascolaires, des bourses et de l’aide alimentaire.  

170 personnes ont assisté au souper en première partie de soirée, avant que le nombre de convives ne double lors de la seconde.

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Jean-Marc Brais
Jean-Marc oeuvre dans les médias communautaires depuis 2013. Il a été journaliste pour le Haut-Saint-François de 2017 à 2019. Il est de retour au Journal depuis 2024.
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