La Journée internationale des droits des femmes : Le cabaret des résistances

Ancien bâtiment Orchidée

Le Centre des Femmes du Haut-Saint-François, La Passerelle, tiendra un 5 à 7 dans l’ancienne salle du Café l’Orchidée.

Dans le cadre de la Journée internationale des droits des femmes, le Centre des Femmes du Haut-Saint-François, La Passerelle, organise le 8 mars une soirée de type cabaret avec plusieurs invitées qui livreront différentes performances en lien avec la résistance féministe.
Sous forme de 5 à 7, dans l’ancienne salle du Café l’Orchidée à Cookshire-Eaton, au 97 rue Bibeau, les participants pourront, outre les performances artistiques, observer une exposition de peintures et d’arts visuels toujours sous le thème de la résistance féministe.
Il sera possible de retrouver lors de cette soirée différentes performances, telles que des témoignages, des slams ainsi que des lectures féministes. Lors du 5 à 7, il sera possible de déguster quelques bouchées et un service de boisson sera accessible à tous, et ce, gratuitement.
« C’est important pour nous d’organiser ce genre d’évènement d’une année à l’autre. Briser les stéréotypes et combattre les oppressions font partie intégrante de notre mission, comme Centre des femmes. C’est un évènement qui nous tient à cœur parce que le combat pour le droit des femmes n’est pas fini. On a encore beaucoup à faire à ce niveau-là », d’expliquer Jeannette, co-coordonnatrice et responsable à la vie associative, à la mobilisation et au milieu de vie à La Passerelle.
Cet évènement est ouvert aux femmes et aux personnes de la pluralité de genre uniquement. Quoique la soirée soit gratuite, les places sont limitées et l’inscription est obligatoire. Il est possible de le faire en contactant directement le Centre des Femmes du HSF par courriel au info@cdflapasserelle.org ou au numéro de téléphone 873 825-7060.
La Journée internationale des droits des femmes trouve son origine dans les manifestations de femmes au début du XXe siècle, en Europe et aux États-Unis, réclamant de meilleures conditions de travail et enfin, le droit de vote.
C’est en 1975, lors de l’Année internationale de la femme, que l’Organisation des Nations Unies a commencé à célébrer la Journée internationale des femmes le 8 mars.

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