Aménagé comme un vrai salon de détente, avec goût et selon des règles de design intérieur, le bureau de la denturologiste Nancy Bibeau, sur la rue Angus Sud à East Angus, vise le confort et le bien-être de sa vaste clientèle.
Le bureau haut de gamme de la denturologiste Nancy Bibeau, situé au 161, Angus Sud, porte 2, à East Angus, se veut confortable pour que ses clients s’y sentent bien, un vrai salon ! Son horaire a été pensé, agencé et bonifié pour magnifier le temps à accorder à chacun. De plus, elle fait tout ce qui est en son pouvoir pour s’adapter aux besoins que sa clientèle exprime.
« Mon bureau, où se trouvait une clinique dentaire précédemment, je ne voulais pas qu’il puisse rappeler de mauvais souvenirs à mes clients. Chacun a pu être traumatisé par sa visite chez le dentiste auparavant. C’est courant. Alors je l’ai aménagé en conséquence », commence-t-elle.
« Je porte ma région dans mon cœur. Je veux le bien-être de mon monde. Je suis native d’East Angus. Je dessers un grand territoire. Quand je suis arrivée ici, après mes études, il y avait déjà une denturologiste qui couvrait seulement deux jours et demi par semaine, c’était insuffisant », commente-t-elle.
« J’ai fait le choix personnel de ne pas avoir de secrétaire, je gère le tout moi-même, mon agenda de rendez-vous, l’accueil des clients, le téléphone, les urgences, la réponse aux questions et aux besoins. Je priorise à tout moment ce que je veux. Je n’ai pas besoin de récupérer de l’argent pour payer une secrétaire, je ne suis pas pressée », indique Mme Bibeau.
« Je prends le temps qu’il faut avec mes clients, qui sont principalement des gens âgés. Je ne veux pas qu’ils angoissent avec l’incertitude reliée à leurs dents. De nos jours, la vie est trop rapide. Je ne les vois pas comme seulement des gens qui ont besoin d’un dentier, mais comme des personnes humaines ! Je prends le temps de les rassurer, de répondre à leurs attentes et à leurs questions, je les accompagne dans leur démarche, de les enrober… Comme professionnelle, je fais passer leurs besoins avant les mieux, en leur expliquant chaque étape importante de ce que je fais pour eux ! », précise-t-elle.
Elle prend l’exemple du programme dentaire canadien, qui en est à l’étape de la création, actuellement. Elle se réjouit que les denturologistes en fassent partie, à l’avenir. « Les gens y auront droit par groupes d’âge, et par étapes, dans les mois qui viennent. C’est commencé en décembre. Je me suis inscrite comme fournisseure de services, à cet égard », révèle-t-elle.
Elle a complété son cours de denturologiste au Cégep Édouard-Montpetit, à Longueuil. « La formation, je la trouvais importante, car j’avais travaillé très jeune comme assistante dentaire à temps partiel. Après l’école, je venais à la clinique du dentiste François Aimé, j’avais 14 ans, et j’aimais ce domaine d’activité, mais je me demandais ce que je pouvais faire de plus. J’ai ajouté une corde à mon arc en graduant en 2013. J’ai voyagé matin et soir entre East Angus et Longueuil, car j’avais deux garçons, Antoine et Mathis, tout a quand même bien fonctionné. Mon but était de graduer avant l’âge de 40 ans », raconte Nancy Bibeau.
« J’offre quatre jours-patients et une journée de laboratoire, qui se trouve chez moi. Je distance mes rendez-vous pour accorder le plus de temps possible à ma relation avec mes clients, je ne les pousse pas, j’ai suivi un cours de psychologie de la personne, je peux sentir leur bien-être ou leur angoisse, ce qui est un plus ! », conclut-elle.