Le projet de captage d’eau au Parc écoforestier de Johnville (PEJ) par la ville de Cookshire-Eaton ira de l’avant dès le printemps prochain et permettra la réalisation d’un important développement d’une quarantaine de maisons pour la phase I.
Une résolution de la Ville de Sherbrooke cédant tous les droits de propriété qu’elle pourrait détenir sur des prises d’eau sur une partie du lot 28A dans le PJE permet d’aller de l’avant. Cookshire-Eaton avait déjà convenu d’une entente avec les propriétaires soit l’Université Bishop’s de Lennoxville et celle de Sherbrooke ainsi que Nature Cantons-de-l’Est, gestionnaire du PEJ.
La municipalité a déjà fait appel à un hydrogéologue ayant effectué une étude vérifiant la quantité, le débit et la qualité de l’eau. « La qualité est bonne, il y a de l’eau suffisamment et le fait de puiser l’eau dans le Parc écoforestier ne crée pas de problème non plus pour les tourbières. Il y a de l’eau en masse là-dedans pour conserver le parc et desservir les lots qu’on a à faire », d’exprimer le directeur général de la municipalité, Martin Tremblay, lors d’une récente entrevue.
Le coût des travaux pour amener l’eau est évalué à près de 400 000 $. Il est fort possible que la municipalité obtienne une aide financière couvrant la totalité des travaux par le biais du retour sur la taxe d’assise, d’exprimer M. Tremblay. Du montant prévu, 160 000 $ seraient consacrés pour le barrage et le reste sera affecté à l’aménagement de l’ancienne station et la conduite qui s’étalerait sur une distance de 1 km. Cette solution permettra d’atteindre le développement domiciliaire des secteurs de l’ancien et du nouveau Centre communautaire. Au total, on parle d’un projet résidentiel pouvant atteindre une centaine de lots. La mairesse de Cookshire-Eaton, Sylvie Lapointe, est évidemment heureuse de ce dénouement.
Une résolution de la Ville de Sherbrooke cédant tous les droits de propriété qu’elle pourrait détenir sur des prises d’eau sur une partie du lot 28A dans le PJE permet d’aller de l’avant. Cookshire-Eaton avait déjà convenu d’une entente avec les propriétaires soit l’Université Bishop’s de Lennoxville et celle de Sherbrooke ainsi que Nature Cantons-de-l’Est, gestionnaire du PEJ.
La municipalité a déjà fait appel à un hydrogéologue ayant effectué une étude vérifiant la quantité, le débit et la qualité de l’eau. « La qualité est bonne, il y a de l’eau suffisamment et le fait de puiser l’eau dans le Parc écoforestier ne crée pas de problème non plus pour les tourbières. Il y a de l’eau en masse là-dedans pour conserver le parc et desservir les lots qu’on a à faire », d’exprimer le directeur général de la municipalité, Martin Tremblay, lors d’une récente entrevue.
Le coût des travaux pour amener l’eau est évalué à près de 400 000 $. Il est fort possible que la municipalité obtienne une aide financière couvrant la totalité des travaux par le biais du retour sur la taxe d’assise, d’exprimer M. Tremblay. Du montant prévu, 160 000 $ seraient consacrés pour le barrage et le reste sera affecté à l’aménagement de l’ancienne station et la conduite qui s’étalerait sur une distance de 1 km. Cette solution permettra d’atteindre le développement domiciliaire des secteurs de l’ancien et du nouveau Centre communautaire. Au total, on parle d’un projet résidentiel pouvant atteindre une centaine de lots. La mairesse de Cookshire-Eaton, Sylvie Lapointe, est évidemment heureuse de ce dénouement.