André Roy

Réponse d’André Roy aux opposants du plan conjoint : Il va y avoir poursuite judiciaire s’il n’y a pas d’excuses et rétractations

André Roy, président du Syndicat des Producteurs forestiers du Sud du Québec, répondait à l’Association de défense des producteurs forestiers.

Un conflit larvé a éclos lorsque l’Association de défense des producteurs forestiers a posté dernièrement un document mettant en cause l’intégrité du CA du Syndicat des Producteurs forestiers du Sud du Québec. Le Syndicat y a répliqué par un autre envoi pour rectifier les informations de l’Association.
Lors de la rencontre du secteur du Haut-Saint-François du 7 février dernier, le président, André Roy, a répliqué de vive voix à ce qu’il considérait comme du « salissage et de la diffamation pas acceptables. »
Lors de la période de questions, Jonathan Blais, acériculteur et producteur forestier, se prononçait, en faveur du plan conjoint. Il souhaitait que tous soient capables de se respecter malgré des désaccords. « Il faut faire avancer la cause, ça va faire avancer tout le monde, pas rien que les producteurs », qu’il affirmait. Fort de cet argument, il demandait au président s’il avait « une stratégie pour rallier ces producteurs-là. »
Se disant capable d’accepter « à la limite qu’on me traite d’incompétent, qu’on me dise que t’es pas bon, je [André Roy comme président] peux le supporter. Qu’on dise que tu favorises un groupe par rapport à un autre, [que] t’es malhonnête, ça, j’avoue que c’est fini. » Déterminé, il a continué sa réponse en mentionnant qu’au conseil d’administration du Syndicat « on a envoyé une mise en demeure au syndicat [ADPF] responsable de la diffusion de ce message là, et il va y avoir poursuite judiciaire si les excuses et les rétractations ne sont pas faites. Ça, c’est l’attitude qu’on a adoptée dernièrement [au CA]. » Il ajoutait « qu’on est prêt à entendre des opinions, mais du salissage, ce n’est pas acceptable et on va poursuivre tant qu’on n’aura pas eu réparation. »
Aucun membre de l’Association n’a voulu répondre à une demande d’entrevue à la suite de cette assemblée de secteur.
Lors de cette assemblée, les membres présents ont élu les délégués et les substituts pour les représenter auprès du SPFSQ. La liste est disponible au Syndicat.

Irma Chapman

Irma Chapman : A Good Life

The Viactive group in Bury in 2011, showing (left to right) June Morrison, Irma Chapman, Theresa MacLeod, Judy Statton, and Martha Levesque.

“I really don’t like to be in the limelight!”
Irma Chapman really, really means that.
Irma comes in a petite package, full of energy and willingness to do whatever needs to be done. Can I say she is somewhere around 85? That for the past four years or so, she volunteered as a caregiver for a good neighbour, even during the pandemic.
“I was getting meds and groceries, doing a lot of household things. If anything went wrong, I’d get an SOS. That was quite a little experience!”
I first met Irma 10 years ago, a few years after she founded the Viactive exercise group in Bury. For about a decade, she co-led the weekly group with June Morrison. As an employee of the Centre d’action bénévole du Haut-Saint-François, I was able to watch Irma at work.
She was the model of constancy, caring, and good cheer. Her enjoyment was contagious, and she reached out to every member of the group, whether English-speaking or French-speaking.
Irma Chapman has been involved in so many volunteer activities over the years, even she has difficulty remembering them all. She’s outlived some of the organizations she worked for, some of them victims of the Covid pandemic. She was secretary of the Jolly Seniors, for example, a social and support group for seniors.
She was the agricultural reporter for the Women’s Institute. Her parents were farmers and, she joked, “I grew up on a horse’s back. I always loved horses. I had a workhorse; she was a big horse, a good horse for me to ride. I rode bareback, and I’d take her to twitch logs out of the forest for my father.”
(I had to look that up. “To twitch a log” means to hitch a log to a horse and drag it out of the forest.)
Irma Coates Chapman was born near Gould Station, when it was still a village. “When I was 14 or 15, I went out to work, looking after a little girl for a family in Huntingville. I wanted to earn money to help my family.”
After that, she went to work in Sherbrooke, first at a laundry, then at a glove and hosiery factory.
“And then I got married to Dennis. Haven’t I done well all these years! It’s been 60-some years. We were married in Canterbury in the little church there.”
They kept on living and working in Sherbrooke, where she had her first baby, daughter Joanne. They moved back to Canterbury, and “along came two babies, two boys. Randy and Steven,” she said.
She waitressed at a restaurant, while tending the gas pump. “Bury was a booming place, then.”
After that, they lived in Hardwood Flat for a number of years before moving to “the old Bob Mayhew house,” across the street from the St. Paul’s Home where Irma worked as a caregiver.
“I must have been there 12 to 15 years. At the same time I had my own Home in our house. I had about six residents.”
Irma and Dennis still live in the heart of Bury. They’ve been long-time volunteers and members of the Bury Historical & Heritage Society and the Bury’s Image de Bury. Irma was a warden for the St. Paul’s Anglican church, and more lately, a volunteer for the Trinity United Church in Cookshire.
I asked if she had any advice for those of us aging after her. “Oh no. I’ll just say – I’ve had a good life, good friends, good neighbours, a good family!”
Who needs the limelight when they’ve surrounded themselves with so much grace?

Famille Rodrigue

Impliqué : Charles Rodrique entraîne sa famille avec lui

Les membres de la famille de M. Rodrigue mettent la main à la pâte lors des activités.

Retraité depuis cinq ans, Charles Rodrigue, ancien travailleur à la mine Graymont à Dudswell, demeure actif au sein de sa communauté à Weedon. Grand Chevalier de Colomb de cette municipalité, il s’implique au sein de l’organisme depuis plus de 35 ans et n’a pas l’intention d’arrêter, au contraire. Il transmet sa passion d’aider les plus démunis aux membres de sa famille.
Au fil des années, il a réussi à attirer dans son giron ses deux fils et les gendres de ses trois filles. Bien que l’organisme soit accessible seulement aux hommes, M. Rodrique a réussi d’y greffer, tous les membres de sa famille (femme, filles et certains petits-enfants) à participer aux diverses activités. « Les petits-enfants, on leur montre à être compréhensif. »
Lors des brunchs, maintenant suspendus en raison de la pandémie, ce n’était pas rare de voir ses proches impliqués. Même certains petits-enfants pouvaient donner un coup de main à débarrasser les tables ou à autres choses. « Pour moi, les Chevaliers de Colomb, c’est un organisme catholique qui vient en aide au monde. J’aime ça faire des actions, ça me rend heureux. Moi, je suis confortable avec ça. Tous mes garçons et gendres sont actifs. Je les ai tous fait entrer. » Un des fils de M. Rodrigue enseigne la catéchèse auprès de jeunes, ajoute-t-il avec une fierté évidente. « Pour la famille, le bien des autres, c’est important et les Chevaliers, c’est comme une grosse famille. »
Même si l’organisme a cessé sa principale activité de préparer des brunchs, on tente de poursuivre l’implication sociale sous une autre forme. « On aide avec différentes bannières, comme le Centre d’action bénévole en participant à la guignolée et Moisson Haut-Saint-François pour l’aide alimentaire. »
M. Rodrigue ne cache pas sa hâte de reprendre les activités régulières comme les brunchs. « On a très hâte de reprendre les brunchs et la communauté aussi. » En attendant, l’organisme est à la recherche d’activités qui pourraient se dérouler au cours de l’été prochain et favoriser des rencontres familiales tout en respect des normes sanitaires. Celui qui est à la tête de l’organisme regroupant quelque 160 membres n’a pas l’intention de baisser les bras. « Ça fait 35 ans que je suis dans les Chevaliers. Tant que je vais vivre, je vais continuer. Je ne laisserai pas tomber mon organisme », complète-t-il avec détermination.

Briser l'isolement

Le Cœur sur la main : Briser l’isolement des aînés depuis 1990

Nous apercevons à l’avant de gauche à droite, Odile Boucher-Lachance, Claudine St-Laurent, Manon Bérubé et Chantal Beaudoin. Dans le même ordre à l’arrière on remarque Dorice Fortier, Guylaine Fortier et Anne Moquin.

Depuis 1990, l’organisme Le Cœur sur la main, à Chartierville, offre différents services pour les personnes âgées de plus de 75 ans. Repas collectifs, activités sociales, fêtes d’anniversaire, les idées ne manquent pas pour briser l’isolement chez les aînés.
Cela fait maintenant plus de 30 ans que l’organisme, fondé par Jeannine Faucher et Monique Bissonnette, s’occupe des aînés de Chartierville. Leur mission : offrir des repas communautaires et réunir les gens pour les amuser. « On essaie de les regrouper pour qu’ils puissent rencontrer d’autres personnes », explique Claudine Saint-Laurent, trésorière de l’organisme. Avant la pandémie, outre les soupers en groupe, l’équipe de bénévoles proposait des activités de bingo et prenait plaisir à souligner les fêtes telles que la Saint-Valentin, Pâques, la fête des Mères et celle des Pères. Maintenant, avec les consignes sanitaires, comme plusieurs, l’organisme a dû se réinventer. Au lieu des soupers collectifs, les bénévoles distribuent des boîtes repas à domicile, ils font également des appels téléphoniques pour converser et rendent visite aux aînés question de les désennuyer. « On les appelle et leur demande s’ils ont besoin de services pour les rendez-vous ou des choses comme ça », explique Mme Saint-Laurent.
En plus de l’offre sociale, Le Cœur sur la main propose une aide matérielle. Divers objets pour la réadaptation physique sont disponibles et prêtés pour des durées indéterminées. Des fauteuils roulants, déambulateurs, machines à pression et cannes, l’organisme a su s’équiper au cours des dernières années. Mme Saint-Laurent explique que ce service est offert gratuitement aux aînés qui en font la demande.
Pour la trésorière, son implication dans l’organisme est importante puisque ça lui permet de faire du bénévolat et de s’impliquer dans un groupe. « J’aime m’occuper des personnes âgées, les désennuyer », explique-t-elle, ajoutant que ça lui permet également de s’amuser. Selon elle, le plus important pour les aînés est d’échanger entre eux et de partager de bons moments ensemble.
Bien qu’elle adore être impliquée, Mme Saint-Laurent doit maintenant passer le flambeau pour son rôle dans l’organisme. En raison de problèmes de santé, elle a préféré se retirer. Ce sera maintenant à Manon Bérubé de tenir le poste de trésorière. C’est très peinée qu’elle doit laisser ce projet dans lequel elle s’est investie pendant huit ans. « J’aimais m’impliquer avec les autres, on est un groupe assez dynamique », exprime Mme Saint-Laurent.
Tant que les mesures sanitaires ne permettront pas de rencontres en groupe, l’équipe d’une dizaine de bénévoles poursuivra ses livraisons de repas, ses appels et ses visites afin de mettre un baume sur le cœur des aînés de Chartierville.

Irma Chapman

Irma Chapman : Une bonne vie

« Je n’aime vraiment pas être sous les projecteurs ! »
Irma Chapman est vraiment, vraiment sincère quand elle dit cela.
Irma vient dans un petit format, pleine d’énergie et de bonne volonté pour faire tout ce qui doit être fait. Puis-je dire qu’elle a environ 85 ans ? Qu’au cours des quatre dernières années, elle a fait du bénévolat en tant qu’aidante pour un bon voisin, même pendant la pandémie.
« J’allais chercher les médicaments et l’épicerie, je faisais beaucoup de tâches ménagères. Si quelque chose tournait mal, j’aurais un S.O.S. Ça a été toute une expérience ! »
J’ai rencontré Irma pour la première fois il y a 10 ans, quelques années après qu’elle ait fondé le groupe d’exercices Viactive à Bury. Durant près d’une décennie, elle a codirigé le groupe hebdomadaire avec June Morrison. En tant qu’employée du Centre d’action bénévole du Haut-Saint-François, j’ai pu voir Irma travailler.
Elle était le modèle de constance, de bienveillance et de bonne humeur. Son plaisir était contagieux et elle a tendu la main à tous les membres du groupe, qu’ils soient anglophones ou francophones.
Irma Chapman a participé à tant d’activités bénévoles au fil des ans qu’elle a de la difficulté à se les rappeler toutes. Elle a survécu à certaines organisations pour lesquelles elle a travaillé, dont certaines ont été victimes de la pandémie de Covid. Elle a été secrétaire des Jolly Seniors, par exemple, un groupe social et de soutien pour les aînés.
Elle a été la rapporteur agricole pour le Women’s Institute. Ses parents étaient agriculteurs, et à la rigolade elle disait : « j’ai grandi sur le dos d’un cheval. J’ai toujours aimé les chevaux. J’avais un cheval de trait; c’était une grosse jument, un bon cheval à monter pour moi. J’ai monté à cru, et je l’ai amenée à sortir des billots de la forêt pour mon père. »
Irma Coates Chapman est née près de Gould Station, alors que c’était encore un village. « Quand j’avais 14-15 ans, je suis partie travailler, m’occupant d’une petite fille pour une famille à Huntingville. Je voulais gagner de l’argent pour aider ma famille. »
Après cela, elle est allée travailler à Sherbrooke, d’abord dans une blanchisserie, puis dans une usine de gants et bonneterie.
« Et puis je me suis mariée avec Dennis. N’ai-je pas bien fait ! Cela fait une soixantaine d’années. Nous nous sommes mariés à Canterbury, dans la petite église là-bas. »
Ils ont continué à vivre et à travailler à Sherbrooke, où elle a eu son premier bébé, sa fille Joanne. Ils sont retournés à Canterbury, et « sont arrivés deux bébés, deux garçons. Randy et Steven, » a-t-elle dit.
Elle était serveuse dans un restaurant, tout en s’occupant de la pompe à essence. « Bury était un endroit en plein essor, alors. »
Ils ont ensuite vécu sur Hardwood Flat pendant un certain nombre d’années avant de déménager dans « la vieille maison de Bob Mayhew », en face de la résidence St-Paul où Irma travaillait comme soignante.
« J’ai probablement été là 12-15 ans. En même temps j’avais ma propre résidence dans notre maison. J’avais environ 6 résidents ».
Irma et Dennis vivent toujours au cœur de Bury. Ils ont longtemps été bénévoles et membres de la Bury Historical & Heritage Society et de la Bury’s Image de Bury. Irma était marguillière de l’église anglicane St-Paul et, plus récemment, bénévole pour l’église Trinity United à Cookshire.
Je lui ai demandé si elle avait un conseil pour ceux d’entre nous qui vieillissons derrière elle. « Oh non. Je dirai simplement : j’ai eu une belle vie, de bons amis, de bons voisins, une bonne famille ! »
Qui a besoin des feux de la rampe quand ils se sont eux-mêmes entourés de tant de grâce ?

Comment expliquer un congédiement en entrevue ?

Vous avez subi un congédiement et vous craignez que ceci n’affecte vos chances de décrocher un bon emploi ? Vous avez bientôt un entretien d’embauche et vous savez que le sujet de cette mise à pied viendra inévitablement s’insérer dans la conversation ? Voici quelques conseils qui vous aideront à briller malgré cette épreuve passée !
Faites preuve d’honnêteté
Dire la vérité est la meilleure des options et vous évite qu’un mensonge ne nuise éventuellement à votre réputation. Demeurez le plus objectif possible dans votre explication afin de ne pas vous poser en victime et, quelle que soit la raison de votre congédiement, soyez précis. Une réponse trop évasive pourrait laisser croire que vous cachez des informations.
Préparez votre réponse
Vous vous doutez que cette question sera abordée lors de votre entrevue. Pour vous empêcher de dire quelque chose que vous pourriez regretter par la suite, pensez déjà à la réponse que vous donnerez. Celle-ci ne devrait ni vous dénigrer ni parler de votre ancien employeur en mal. Ne vous éternisez pas non plus à expliquer toute la situation dans les moindres détails.
Soulignez vos apprentissages
Servez-vous de votre congédiement comme d’un tremplin. Vous y avez acquis de l’expérience et y avez appris sur les plans professionnel et personnel. Reconnaissez les erreurs commises, ne tentez pas de trouver des excuses et démontrez que vous en êtes ressorti grandi, en perfectionnant vos connaissances et vos qualifications, notamment. Vous deviendrez ainsi un candidat plus intéressant pour votre futur employeur potentiel.
Vous avez besoin d’aide pour réaliser votre curriculum vitæ ou vous préparer pour une entrevue ? Recherchez les organismes ou les entreprises de votre région qui pourraient vous accompagner !

3 suggestions pour souligner la Saint-Valentin… à distance !

Vous désirez célébrer la fête de l’amour en beauté, mais vous et votre tendre moitié vivez une relation à distance ? Voici trois idées qui vous permettront de faire de cette journée une réussite !

  1. Réalisez un repas virtuel
    Planifiez ensemble un plat afin que celui-ci vous plaise à tous deux et concoctez-le en simultané lors d’un appel vidéo. Décorez votre table avec des accessoires semblables, puis installez-vous pour déguster votre repas et discuter comme si vous étiez assis à la même table.
  2. Offrez un cadeau qui se porte
    Faites livrer un bijou, une montre, des lunettes de soleil, des bas, des gants ou un foulard à votre âme sœur. Vous et votre partenaire pourrez ensuite porter ce cadeau au quotidien, comme un doux rappel de l’être aimé.
  3. Organisez un cinéma maison
    Louez ou achetez le même film, préparez vos grignotines favorites et blottissez-vous chacun dans le confort de votre fauteuil. Visionnez votre film en même temps et vivez l’expérience comme si vous étiez côte à côte grâce à un échange de messages ou à un appel téléphonique ou vidéo.
    La Saint-Valentin, dans une relation à distance, constitue une occasion supplémentaire de démontrer que vous aimez votre partenaire et qu’il ou elle vous manque. Visitez vos commerçants locaux pour trouver le parfait cadeau !

Les pollinisateurs : de petites créatures essentielles à l’agriculture !

Saviez-vous que les abeilles et bien d’autres pollinisateurs jouaient un rôle majeur en agriculture ? En voici un bref portrait !
Les différentes espèces
Plusieurs insectes et divers animaux contribuent à polliniser les plantes à fleurs qui sont cultivées pour la production de fruits, de légumes et de textiles (coton, lin, etc.). Parmi ceux-ci, on compte les guêpes, les mouches, les papillons, les coléoptères, les chauves-souris et les oiseaux. Bien que de nombreux agriculteurs bénéficient aujourd’hui de l’abeille domestique (facile à élever et à transporter), ce sont les espèces sauvages qui génèrent la meilleure efficacité.
L’impact de leur déclin
Une grande variété de cultures, comme le canola, les bleuets, les concombres, les haricots et les pommes, dépendent ou tirent profit de la pollinisation. Les insectes et les animaux pollinisateurs voient cependant leur nombre diminuer en raison, notamment, d’une détérioration et d’une fragmentation de leur habitat causées par l’intensification de l’agriculture et d’autres activités humaines.
Si ces espèces venaient à avoir une population nettement moins élevée ou à disparaître, cela pourrait non seulement entraîner une réduction de la production de certains aliments de base, mais aussi une importante augmentation de leur prix en raison de leur rareté.
Les mesures de protection
Agriculteurs et citoyens peuvent contribuer à protéger les pollinisateurs sauvages en leur offrant une source de nourriture (fleurs variées, riches en nectar et en pollen), un espace pour aménager leur nid et hiberner ainsi qu’un environnement exempt de pesticides et de maladies.
N’hésitez pas à rechercher et à encourager les initiatives prises par votre municipalité et vos agriculteurs locaux pour préserver les pollinisateurs domestiques et sauvages !

actualite

Rétrospective 2021 – Partie 2

SEPTEMBRE
Trèd’si
Nouvel exportateur de l’année
Récipiendaire du prix du Nouvel Exportateur de l’année par Carrefour Québec International (CQI), l’entreprise de Westbury, Trèd’si, voit son travail assidu porter fruit. En devenant Exportateur Étoile du CQI, elle se positionne comme finaliste pour le Gala à l’Exportation MercadOR Québec à l’automne.
Projet MADA-Familles
Une consultation publique pour bientôt

La préparation du projet MADA-Familles (municipalité amie des aînés) à l’échelle régionale auquel participent 12 municipalités et la MRC du Haut-Saint-François va bon train. Les comités sont formés et une consultation publique devrait se faire au cours de l’automne, ce qui permettra d’élaborer le plan d’action pour l’ensemble du territoire.
Vente du terrain de golf à East Angus
Une seule offre à 100 000 $

Une seule offre de proposition a été déposée pour l’achat du terrain de golf appartenant à la municipalité de East Angus. Il s’agit de l’entreprise Constructions Morin qui propose 100 000 $. La proposition sera étudiée en comité de travail et c’est tout le conseil qui prendra la décision, de commenter la mairesse, Lyne Boulanger.
Créer des lieux de rencontres spontanées à Chartierville
La municipalité de Chartierville inaugurait son nouveau mini-putt ainsi que l’Espace de l’amitié aménagé au centre du village. L’objectif derrière ces aménagements est d’offrir des activités familiales intergénérationnelles, ainsi qu’un lieu de rencontres spontanées.
L’application du passeport vaccinal
L’application du passeport vaccinal dans les restaurants du Haut-Saint-François ne semble pas faire l’affaire de quelques restaurateurs. Si certains s’en accommodent, d’autres y voient un frein à leur entreprise et sont carrément mécontents.
Vente du terrain de golf à East Angus
La ville rejette l’offre et propose une consultation
La municipalité de East Angus rejette l’unique offre de proposition déposée par Constructions Morin, pour l’achat du terrain de golf et propose une consultation publique qui sera menée en 2022, pour définir l’avenir du site.
Chartierville s’implique dans le projet de vélo de montagne
La municipalité de Chartierville appuiera financièrement le projet de sentier de vélo de montagne à la hauteur de 20 % plus les frais non admissibles. Le projet global est légèrement supérieur à 175 000 $, « mais si on enlève toutes les taxes qu’on récupère, c’est autour de 152 000 $ », d’exprimer le maire, Denis Dion. Pour la municipalité, sa participation financière s’élèverait approximativement à 30 400 $.
Hockey senior à East Angus
Nouvelle saison, nouvelle direction, nouvelles couleurs, voilà ce qui marque l’arrivée des Shark’s d’East Angus dans la ligue régionale de hockey senior A. Nouveau propriétaire de l’ancienne équipe Distribution Payeur, Alex Paquette-Viens était fier de présenter, en conférence de presse, la nouvelle direction de la formation locale.
Réélection de Marie-Claude Bibeau dans Compton-Stanstead
Marie-Claude Bibeau entame un troisième mandat en six ans à titre de députée de Compton-Stanstead. Elle a même légèrement augmenté son avance avec 3 344 voix de majorité sur sa plus proche rivale, la candidate du Bloc Québécois et mairesse d’Ascot Corner, Nathalie Bresse.
Inauguration du parc de villégiature et de plein air à Cookshire-Eaton
C’est par une belle journée ensoleillée que la municipalité de Cookshire-Eaton a récemment procédé à l’inauguration officielle du site de villégiature et de plein air situé à l’étang Cloutier. L’endroit qui sera ouvert au grand public pour l’été 2022 se veut un lieu qui facilitera l’échange des générations contribuant à augmenter la qualité de vie des aînés, des familles et de la population en général, de mentionner la mairesse, Sylvie Lapointe.

OCTOBRE
Des luttes dans 11 municipalités
Le visage politique des municipalités risque de se modifier en marge des élections municipales du 7 novembre prochain. Un total de 64 candidats, dont 13, pour des postes de maires dans six municipalités et 51 personnes pour combler les 24 sièges de conseillers disponibles, se font la lutte. Le tiers des candidats au poste de conseillers sont des femmes.
Lutte à deux pour la préfecture
Les citoyens des 14 municipalités de la MRC du Haut-Saint-François auront à voter pour choisir qui du préfet sortant, Robert G. Roy, ou Marc Turcotte sera le mieux habilité pour remplir ce poste.
Valoris se porte mieux financièrement
On ne crie pas encore victoire du côté de Valoris, mais le plan de redressement 2019-2021 semble porter fruit. La situation financière s’améliore et se répercute sur les municipalités qui bénéficieront d’une baisse des tarifs de 21 $ la tonne pour le traitement des déchets en 2022.
Passerelle Chantal-Ouellet
Un spectaculaire hommage a été rendu le 2 octobre dernier à Chantal Ouellet pour l’ensemble de son œuvre tant dans la municipalité de Scotstown, que dans la MRC du Haut-Saint-François, et dont le rayonnement, par son exemple, déborde sur les rives de la politique provinciale. Le conseil municipal a baptisé en son honneur, la passerelle du parc Walter-MacKenzie, Passerelle Chantal-Ouellet.
Nouvel hôtel de ville à Bury
Les citoyens de Bury profitent depuis juillet dernier d’un nouveau bureau municipal, l’Édifice Desjardins, où le travail s’exécute dans un meilleur climat. Une vingtaine de personnes de tous horizons ont pu visiter les lieux. Yves Veilleux, administrateur de la Caisse du Haut-Saint-François, s’est adressé à eux pour en souligner l’inauguration.

Suicide

Prévention du suicide : joignez-vous au mouvement de mobilisation !

Chaque année, l’Association québécoise de prévention du suicide (AQPS) met sur pied et coordonne la Semaine nationale de prévention du suicide. La 32e édition, qui porte le thème  Parler du suicide sauve des vies et se déroule du 30 janvier au 5 février 2022, se concentre sur la question Comment parler du suicide en ligne ? L’AQPS souhaite, entre autres, faire connaître aux personnes vulnérables et à leurs proches les ressources d’aide disponibles et inviter les citoyens et les organisations à contribuer à la prévention du suicide.
Comment soutenir la cause ?
Le suicide étant une mort évitable grâce à la prévention, les petits et les grands efforts pour sensibiliser la communauté ont tous le potentiel de faire diminuer le nombre de suicides au Québec, qui s’élève actuellement à trois par jour, en moyenne. Voici quelques gestes simples à poser :
Partagez le site CommentParlerDuSuicide.com et les visuels de la campagne sur vos réseaux sociaux;
Installez des affiches de sensibilisation dans votre milieu scolaire ou de travail, par exemple;
Donnez des épinglettes matérielles ou virtuelles « T’es important-e pour moi » à vos proches;
Organisez une collecte de fonds ou une autre initiative citoyenne;
Ajoutez le filtre de la campagne à votre photo de profil sur Facebook;
Rendez-vous au aqps.info pour en apprendre plus sur les réflexes de prévention à adopter dans vos activités en ligne.

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AmbassadeuRHSF : Une soixantaine d’entreprises ont répondu au sondage

Près de 60 entreprises du Haut-Saint-François ont répondu au sondage Aime ta main-d’œuvre. Lancé par le Centre local de développement (CLD) du Haut-Saint-François, ce sondage visait à évaluer les besoins en ressources humaines chez les entreprises du secteur et correspondait à la deuxième phase du projet pilote de service d’intervention en ressources humaines AmbassadeuRHSF.
Ce projet pilote a pour objectif de supporter l’ensemble des entreprises dans la situation de pénurie de main-d’œuvre et de faire extension dans tout ce qui touche la gestion des ressources humaines. Au total, 400 entreprises du Haut-Saint-François ont été sollicitées et parmi celles-ci 59 ont répondu au sondage, ce qui rend l’étude valable. Ainsi, les résultats se retrouvent avec un niveau de confiance de 90 % et d’une marge d’erreur de 10 %, estiment les responsables du projet et conseillères en ressources humaines, Caroline Dufour et Marie-Josée Rodrigue. Une rencontre virtuelle a été organisée afin de présenter les résultats de ce sondage. Ces derniers ont été compilés selon quatre secteurs, soit manufacturier, commerce de détail, services et autres.
Une carte de 14 municipalités du Haut-Saint-François a été présentée afin de démontrer la provenance de chacun des répondants. Mme Rodrigue s’estime satisfaite de la diversité des répondants et explique que de nouvelles données continuent d’être collectées. Plusieurs points sont ressortis, notamment l’importance de la gestion des ressources humaines, le moment d’embauche, la rétention de main-d’œuvre et la rémunération. 
La première question visait à connaître l’importance de la gestion des ressources humaines dans chacune des entreprises. En moyenne, les répondants estiment que cette gestion est importante à 8,7/10. L’équipe de recherche tenait également à connaître le nombre d’employés et le nombre de gestionnaires dans chacune des entreprises afin de pouvoir dresser un ratio. Les résultats démontrent que le secteur manufacturier présente le plus haut taux d’encadrement. Le secteur autres, quant à lui, obtient un taux de 45 %, expliqué par le fait que dans le Haut-Saint-François plusieurs petites entreprises sont constituées d’un gestionnaire et d’un employé, selon Mme Rodrigue.
L’équipe cherchait à connaître quel était le mois dans l’année où l’embauche était la plus forte. Pour les secteurs manufacturier et services, c’est en avril, pour le commerce au détail, c’est en mars et pour le secteur autres, c’est d’août à septembre. « Globalement si on met tous les secteurs ensemble dans le Haut-Saint-François, on voit que c’est vraiment en avril que l’embauche est la plus forte », explique Mme Rodrigue. Pour ce qui est des horaires de travail, le secteur du commerce de détail est le seul qui n’a pas de quarts de travail de nuit. Tous les autres secteurs doivent faire face à une gestion variée des quarts de travail. L’une des facettes de cette étude visait à connaître le taux de roulement dans les entreprises. Pour la conseillère, il était intéressant de voir que 51 % de celles-ci ne le connaissait pas. Quant à l’exercice visant à comparer les conditions de travail auprès de la compétition, 69 % des répondants affirment ne pas avoir fait l’exercice et parmi les 31 % qui l’ont fait, 85 % d’entre eux ont trouvé qu’ils étaient compétitifs.
À la question visant à savoir si les gens étaient prêts à embaucher une personne qui n’a pas le profil demandé, 80 % ont répondu de façon affirmative. « La raison qui serait à creuser et discuter de manière intéressante est : est-ce que c’est par dépit qu’on dévie du profil initial ou simplement parce qu’on a une ouverture d’esprit vers des options comme orientation travail », se questionne Mme Rodrigue. Concernant les outils en gestion des ressources humaines les plus utilisés, les répondants affirment que la description des tâches est l’outil le plus utilisé suivi par la mission, vision et valeurs et en 3e et 4e position ex aequo, c’est le manuel de l’employé et le plan d’accueil des nouveaux employés. 
Mme Dufour expliquait quant à elle les résultats concernant les enjeux en gestion des ressources humaines. Selon les répondants, les enjeux prioritaires seraient la rétention de la main-d’œuvre à 53 %, l’attraction de la main-d’œuvre 49 % et la rémunération à 34 %. « Ce qui est intéressant aussi c’est que quand on regarde le Portrait 360° de la main-d’œuvre du marché du travail au Québec, qui a été fait par la Commission des partenaires du marché du travail au Québec, ils ont ressorti les deux mêmes enjeux principaux, soit l’attraction et la rétention », explique Mme Dufour. Ainsi, cette donnée affirme que le Haut-Saint-François n’est pas différent du reste du Québec. Selon les réponses reçues, les enjeux qui ne sont pas considérés comme étant prioritaires sont l’informatisation des tâches en ressources humaines avec seulement 5 %, le courage managérial est ressorti à 2 % et aucune des entreprises ne considère la gestion des diversités comme étant prioritaire. « En général dans le Haut-Saint-François, les enjeux d’attraction et de rétention en gestion des ressources humaines, c’est principalement relié à la pénurie de main-d’œuvre. Notre étude révèle aussi que la rémunération reste une source d’inquiétude considérable », ajoute-t-elle. 
Finalement, 59 % des répondants se sont montrés intéressés à avoir de l’accompagnement en ressources humaines. Robert Gladu, maire de Lingwick, a profité de l’occasion pour apporter le fait qu’il serait intéressant de faire l’étude auprès des municipalités en tant qu’employeur.
Pour la prochaine étape, le CLD vise à ouvrir un service d’intervention dans les entreprises de façon accompagnée et individuelle. Bernard Ricard, directeur adjoint du CLD, explique également la possibilité d’avoir ce service en groupes dans le milieu agricole. « On regarde le portrait d’entreprise de l’entrepreneur, on identifie deux ou trois choses principales à travailler et on leur donne les ressources pour être capable de s’équiper eux autres même avec qui ils veulent faire affaire et ce qui existe comme documents », explique M. Ricard. Les gens qui ont participé à ce volet d’analyse et d’intervention en entreprise pourront par la suite recevoir le statut d’ambassadeur RH. Cela démontrera à leurs fournisseurs et leurs employés qu’ils sont préoccupés par la main-d’œuvre. Ces séances dureront une dizaine d’heures sous forme de conseil et d’intervention et seront disponibles pour toutes les entreprises du Haut-Saint-François dans les secteurs manufacturiers, services et commerces de détail. 
Pour les entreprises désirant participer au sondage, il est toujours possible d’y répondre en contactant le CLD du HSF.

Artisanex

Du haut de gamme à la perfection pour du mobilier intégré et sur mesure : Credo d’Artisanex d’East Angus

Pouvant compter sur du personnel stable, Artisanex poursuit son développement malgré la pandémie.

Depuis cinq ans, l’entreprise Artisanex d’East Angus produit du mobilier intégré tel des bibliothèques, des façades de foyer et autres modules fixes auxquels s’ajoutent des armoires de cuisine, comptoirs, vanités, et cabinets de salle de bain. Artisanex ne jure que par la qualité dans sa production haut de gamme.
« Que ce soit pour des armoires d’allure moderne ou pour du style champêtre en bois massif, Artisanex possède toutes les compétences pour que le rêve de la clientèle devienne réalité », annonce Alex Vézina, dynamique entrepreneur qui n’a pas encore trente ans. Sa jeunesse ne nuit en rien à l’excellence de sa production. Au contraire ! Sa curiosité naturelle l’incite à se tenir au courant de la dernière innovation dans le domaine. Lui-même, avec l’expérience acquise, imagine, dessine et planifie le moindre meuble qui sort de son usine.
Outre le fait que la clientèle peut espérer des concepts esthétiques osés tout en respectant la fonctionnalité, elle peut choisir une large gamme de matériaux et de finitions pour ses projets. Bois massif, bois laqué sur place, laminés européens ou provenant de Tafisa de Lac-Mégantic, il n’y a qu’à demander. « Nous sommes ouverts à toutes les tendances du marché », complète le jeune entrepreneur. Les fixations, les garnitures et les accessoires tirent leur origine des meilleurs fournisseurs et se situent à la fine pointe de la technologie, qu’il ajoute.
La progression de l’entreprise est qualifiée de fulgurante par son propriétaire. Installé, au début, dans un garage de quelque 2 400 pi carrés, il a déménagé ses pénates dans un autre six fois plus grand, localisé sur la rue Georges Pinard, derrière Viandes Giroux. De six employés, Artisanex en embauche aujourd’hui une vingtaine. « C’est une entreprise familiale », explique M. Vézina. « J’ai dix personnes de ma famille et de celle de ma femme qui travaillent chez nous », démontre-t-il.
Les autres travailleuses et travailleurs ont été recrutés par le biais de Facebook, LinkedIn et Emploi-Québec. « J’ai travaillé fort pour trouver du personnel qualifié et qui resterait à l’emploi », confie l’employeur. Et la COVID dans tout ça ? « L’an dernier, on a dû fermer en février », mentionnait-il. Et il renchérissait : « Malgré tout, même si on est surchargé d’ouvrage, ça fonctionne bien quand même. » La sécurité au travail, l’attention portée pour éviter les contaminations et la qualité des relations entre le personnel et l’employeur priment à l’usine, secret de leur fidélisation.
En témoigne ce commentaire de sa part sur son site internet Artisanex : « Vendredi passé, nous avons livré l’un des projets les plus techniques que nous avons faits ! Nous faisons cette publication pour remercier nos employés en or d’avoir contribué à ce magnifique projet et même, pour certains, d’avoir fini leur quart à 4 h am. Nous avons un team de feu sur qui on peut compter et nous vous en sommes très reconnaissants ! Soyez fiers de ce que vous avez accompli ! » y est-il écrit.
Fort de ses études en ébénisterie à l’école 24-Juin de Sherbrooke, M. Vézina, copropriétaire de l’usine Artisanex avec son père Pierre, a complété son apprentissage au centre de formation de cuisiniste l’Académie du Haut Design, au CÉGEP de Saint-Jean-sur-Richelieu. Il s’agit d’une école spécialisée en production d’équipements de cuisine et salle de bain fonctionnels et esthétiques.
Cette formation lui permet d’accéder à une clientèle, dont 40 % proviennent du marché de l’est des États-Unis, de New York au New Hampshire en passant par Boston. Une autre partie émane, en importance équivalente, de la région de Montréal. L’autre 20 % tire son origine de l’Estrie, de Bromont à notre MRC.

Avantages

3 avantages de privilégier le recrutement local

Pour certains types d’emplois, la technologie facilite le travail à distance et permet ainsi aux entreprises d’engager des employés partout dans le monde. Or, bien que plusieurs se tournent vers l’étranger pour augmenter leurs effectifs, d’autres concentrent plutôt leurs efforts sur les talents locaux. Voici trois bonnes raisons de miser sur cette dernière approche.

  1. Dynamiser l’économie locale
    L’un des principaux avantages de l’embau­che locale, c’est qu’elle crée des emplois et offre des possibilités de formation qui ne seraient pas disponibles autrement. Cela per­met de garder l’argent dans la communauté et renforce du coup l’économie locale.
  2. Développer votre entreprise
    En choisissant des travailleurs de la région, vous vous assurez que votre personnel connaît bien le marché local, ce qui facilite l’obtention de nouveaux contrats. En outre, un em­ployé qui demeure à proximité sera pro­ba­blement plus investi dans la réussite de l’en­treprise, puisque celle-ci profite à toute sa collectivité.
  3. Simplifier le processus d’embauche
    Lorsque vous cherchez localement des employés potentiels, il y a de fortes chances que vous connaissiez déjà quelqu’un qui correspond au profil ciblé ou qui connaît lui-même le candidat idéal. Le processus de recrutement s’en trouve donc simplifié, et vous pouvez compter sur les bonnes personnes pour les postes à pourvoir.
    En résumé, l’embauche de talents locaux est une solution gagnante pour votre entreprise !
Virgin Mady

Virgin Mady : Portes ouvertes des installations

Avec ses nouvelles installations, Virgin Mady est en mesure de poursuivre son développement.

L’entreprise de Bury, Virgin Mady, inaugurait ses nouvelles installations en proposant une journée portes ouvertes. Plusieurs citoyens ont visité la boutique physique ainsi que les lieux de préparation des produits acéricoles.
Ayant connu une croissance impressionnante depuis ses débuts, l’entreprise familiale se devait d’agrandir ses lieux de production. « On s’est donné un gros défi en 2021, de partir d’une bâtisse laitière qui avait 150 vaches et de la transformer en des salles de travail acéricole et de transformation de qualité au point qu’on va aller chercher l’accréditation ACIA (Agence canadienne d’inspection des aliments) », explique Marielle Quirion, copropriétaire de l’entreprise. La visite guidée permettait aux entrepreneurs de montrer aux gens ce qui se cache derrière Virgin Mady et comment c’est fait. Les visiteurs ont également pu profiter d’une petite dégustation en fin de visite.
La boutique physique, située au 750 route 108 Est à Bury, sera ouverte à l’année selon un horaire variable, mais également sur rendez-vous. L’entreprise distribue ses produits dans 160 points de vente à travers le Québec, dont une vingtaine en Estrie, en plus d’une quinzaine hors province.

actualite

Entreprises : De l’aide financière encore disponible

Affectées par la COVID-19, les entreprises du Haut-Saint-François peuvent encore obtenir une aide financière en se tournant vers le volet Aide aux entreprises en régions en alerte maximale (AERAM) du programme d’Aide d’urgence aux petites et moyennes entreprises (PAUPME).
Les programmes sont toujours accessibles aux entreprises. Le PAUPME s’adresse à toutes les petites et moyennes entreprises tandis que le AERAM vise particulièrement les entreprises fermées par ordre de Santé publique, d’exprimer Daniel Bérubé, conseiller aux entreprises du CLD du Haut-Saint-François.
Les conseillers de l’organisme de développement économique sont disponibles pour appuyer les entreprises désireuses de se prévaloir des programmes, précise M. Bérubé. Depuis la création du programme d’aide à l’automne 2020, le CLD a participé à l’acceptation de 29 dossiers pour une aide globale de 747 000 $, indique-t-il.
Le PAUPME vise à favoriser l’accès à des capitaux pour maintenir, consolider ou relancer les activités des entreprises affectées par la pandémie de la COVID-19. Le financement permet de soutenir, pour une période limitée n’excédant pas six mois, le fonds de roulement d’une entreprise dont la situation financière est précaire afin qu’elle soit en mesure de maintenir, consolider ou relancer ses activités. Le financement porte sur le besoin en fonds de roulement nécessaire au maintien des opérations de l’entreprise, déterminé sur la base de dépenses justifiées et raisonnables et sur la base d’un plan de relance démontrant de bonnes perspectives de rentabilité à moyen terme.
Aide
L’aide accordée pourra prendre la forme d’un prêt ou d’une garantie de prêt. L’aide financière pourra atteindre un montant maximal de 50 000 $. Dans le contexte de la relance des entreprises, une aide financière additionnelle maximale de 50 000 $ pourra s’ajouter à celle déjà octroyée dans le cadre du programme. La valeur totale de l’aide financière octroyée ne peut toutefois pas excéder 150 000 $ à tout moment à l’intérieur d’une période de 12 mois. Le taux d’intérêt sera de 3 %. Un moratoire de remboursement du capital et des intérêts de 3 mois s’appliquera automatiquement sur les contrats de prêt. Ce moratoire pourra être prolongé jusqu’au 31 mars 2022. Un moratoire additionnel allant jusqu’à 12 mois sur le capital pourra être accordé. Un amortissement de 36 mois excluant le moratoire de remboursement devra être prévu. Exceptionnellement, l’amortissement pourrait aller jusqu’à 60 mois, excluant le moratoire de remboursement. L’aide accordée ne pourra être jumelée à une aide obtenue dans le cadre du Programme d’action concertée temporaire pour les entreprises (PACTE).
Pour le volet AERAM, l’entreprise admissible pourra voir convertir en pardon de prêt (contribution non remboursable) l’équivalent de 80 % de son prêt octroyé dans le cadre du PAUPME, et ce, en fonction de diverses conditions.
Les personnes désireuses d’en savoir davantage peuvent communiquer avec un des conseillers du CLD du Haut-Saint-François.

Dessert de Noel

Faites un cadeau à votre communauté grâce à l’achat local !

Le temps des Fêtes est l’une des périodes de l’année où les dépenses des consommateurs sont plus élevées en raison de l’achat de présents, de vêtements chics ou de denrées alimentaires pour recevoir les invités. Mais saviez-vous qu’en optant pour l’achat local ce Noël, vous feriez aussi un précieux cadeau à votre communauté ? Voici pourquoi !
Un petit geste au grand impact
En plus d’encourager les commerçants de votre secteur, l’achat local se répercute positivement de plusieurs autres façons. Il peut contribuer à l’ensemble de l’économie d’ici en aidant à préserver une importante quantité d’emplois, de la première étape de la chaîne de production de vos produits à la vente de ceux-ci. Acheter localement pourrait d’ailleurs être comparé à une forme d’investissement auprès des entreprises de la région, puisque cela permet à ces dernières de rendre accessible une grande variété de produits et de services.
De plus, une entreprise qui bénéficie d’un meilleur revenu grâce aux transactions effectuées par les citoyens de la région contribue à augmenter les revenus d’impôts des gouvernements. Cet argent peut ensuite être réinvesti dans des services qui profitent à toute la communauté !
Vous avez l’environnement à cœur ? L’achat local entraîne une production réduite de gaz à effet de serre en raison du transport nécessaire pour acheminer les marchandises aux commerces situés près de chez vous.
Une foule de possibilités
L’achat local ne se limite pas aux produits que vous pouvez déposer dans un panier, mais également à de nombreux services. Pensez à toutes les entreprises de l’industrie événementielle ou culturelle, comme les musées, les salles de spectacles, les galeries d’art, les attractions touristiques, et plus encore. Optez, par exemple, pour un forfait qui gâtera toute la famille ou offrez une expérience en cadeau. Celle-ci permettra peut-être à un proche de découvrir un nouvel endroit et pourrait lui donner envie d’y retourner par la suite.
Des occasions avantageuses
Pendant la période des Fêtes, il n’est pas rare de voir certaines villes ou certains commerces mettre en place des initiatives pour encourager l’achat local. Il peut s’agir de répertoires en ligne qui listent toutes les entreprises des environs et vous aident à trouver le ou les produits et services qui vous font envie. Parfois, des boutiques vous proposent d’acheter une carte-cadeau à offrir et vous donneront par la même occasion un rabais, un crédit ou une autre carte à utiliser vous-même lors d’une prochaine visite.
L’achat local, voilà assurément le plus beau cadeau de Noël à (s’) offrir cette année !

MASCULINITE

Célébrons les nouvelles réalités de la masculinité !

En novembre, les individus de sexe masculin sont à l’honneur, notamment avec le fameux Movember, mais aussi lors de la Journée internationale des hommes, qui a lieu chaque année le 19 novembre. L’objectif de cet évènement est essentiellement de valoriser l’implication des hommes dans la société. En 2021, il est réjouissant de constater que le rôle traditionnel qui leur est attribué se transforme, et pour le mieux !
Briser les clichés
Certains stéréotypes masculins ont la vie dure, par exemple : les hommes sont agressifs et compétitifs, ils ne pleurent jamais, ils ne s’intéressent pas aux soins des enfants, ils ne pensent qu’au sexe, ils ne se soucient pas de leur apparence. D’une année à l’autre, ces clichés se déconstruisent, au point que nombre de ces messieurs s’extirpent de ce «moule» et affichent enfin leur vraie personnalité.
Affirmer son authenticité
Ainsi, saluons aujourd’hui tous les hommes qui défient les normes établies à leur façon, notamment ceux :
• Qui choisissent un métier non traditionnel (éducateur en service de garde, infirmier, etc.);
• Qui prennent soin de leurs enfants au quotidien ou sont «papa au foyer»;
• Qui font leur juste part en matière de tâches ménagères;
• Qui n’hésitent pas à afficher un style audacieux (vêtements, coiffure, maquillage, etc.);
• Qui n’ont pas honte d’exposer leur vulnérabilité et d’exprimer leurs émotions.
Frères, pères, conjoints, amis, collègues… les hommes de cœur sont partout autour de vous. Montrez votre appréciation et votre amour à tous ceux qui embellissent vos jours !

Caméra de recul

La caméra de recul, un dispositif de sécurité des plus utiles !

Obligatoire depuis 2018 sur tous les véhicules neufs vendus au Canada, la caméra de recul est un dispositif de sécurité fort pratique. Si votre voiture n’en est pas équipée, vous pourriez songer à en installer (ou à en faire installer) une pour pouvoir profiter de ses qualités appréciables. Tour d’horizon !
Avantages
La caméra de recul vous facilite la vie lors­que vous vous garez en marche arrière ou en parallèle, ou encore quand vous reculez dans un stationnement public, par exemple. En effet, elle vous fournit une image claire de l’arrière de votre véhicule et de ce qui se trouve derrière celui-ci — et que vous pour­riez avoir de la difficulté à voir même en regardant par-dessus votre épaule. Néanmoins, elle ne vous dispense pas de faire preuve de vigilance et de consulter vos rétroviseurs avant de reculer.
Fonctionnement
De façon générale, des lignes de différentes couleurs sont visibles sur votre écran pour vous indiquer la distance sécuritaire entre vo­tre auto et ce qui se trouve derrière celle-ci. Ces lignes de référence vous permettent en outre de mieux évaluer la largeur de votre véhicule. Assurez-vous de connaître leur signification pour utiliser adéquatement vo­tre caméra de recul, puisque les lignes et les couleurs varient selon le fabricant.
Pour faire un choix éclairé, renseignez-vous auprès des détaillants d’appareils électroniques de votre région !

Préparez votre véhicule pour l'hiver

Préparez votre véhicule pour la conduite hivernale!

Chaque année en octobre se tient le Mois de la sécurité automobile. En cette occasion, les membres de l’Association des industries de l’automobile du Canada (AIA) travaillent de concert afin d’inciter les propriétaires d’automobiles à se préparer à la conduite d’hiver. Vous possédez un véhicule? Voici ce que le programme « Mon auto, j’en prends soin » vous conseille.
S’y prendre à l’avance
Les experts de l’industrie recommandent d’exécuter certaines tâches avant que les températures baissent. Cette habitude peut permettre de régler les problèmes mineurs avant qu’ils ne dégénèrent et de réparer les bris provoqués par les longs déplacements durant la saison chaude.
En donnant de l’information pertinente aux automobilistes à propos de l’inspection préhivernale et des tâches d’entretien essentielles, le programme contribue notamment :
• À augmenter la sécurité sur les routes;
• À prévenir des collisions;
• À éviter des pannes lors de tempêtes.
Voilà des bienfaits non négligeables, vous en conviendrez! En hiver, sur nos routes capricieuse pour ne pas dire périlleuses, il est crucial d’avoir des freins efficaces, des pneus conformes et un système de chauffage parfaitement fonctionnel, entre autres.
Demander une inspection
Avec leurs systèmes technologiques avancés, les véhicules modernes sont de véritables « ordinateurs sur roues ». Par conséquent, même si vous êtes habile pour réaliser certaines tâches (ex. : vidanger l’huile à moteur), seul un mécanicien professionnel détient les outils, les connaissances et les compétences pour s’assurer de la condition des pièces sophistiquées.
Prenez rendez-vous dans un atelier de mécanique près de chez vous!

Lavez votre véhicule

3 bonnes raisons de laver sa voiture en hiver

Avez-vous l’habitude de nettoyer votre véhicule durant la saison froide? Si tel n’est pas le cas, jetez un œil à ces excellentes raisons de procéder à cette tâche régulièrement, et ce, même si le résultat n’est visible que pour un court laps de temps ou de kilomètres!

  1. Pour accroître la visibilité
    Si vos phares et vos feux arrière sont encrassés par la gadoue, non seulement votre route sera peu effica­cement éclairée, mais les autres automobilistes vous verront également moins bien. Par ailleurs, même si les essuie-glaces peuvent nettoyer sommairement votre pare-brise, un « vrai » lavage s’impose à l’occasion. Qui plus est, la lunette arrière (si elle n’est pas dotée d’un essuie-glace) et les vitres latérales demeureront sales sans votre intervention, ce qui nuira assurément à votre visibilité.
  2. Pour prévenir la rouille
    On le sait, sels de déglaçage et véhicules ne font pas bon ménage, puisque le calcium favorise la formation de rouille. Un nettoyage en profondeur est donc de mise pour éviter que celui-ci ne s’accumule. Soyez particulièrement assidu si vous vous stationnez dans un garage chauffé (et veillez à ne pas abuser du chauffage!). En plus de la carrosserie, assurez-vous de rincer le dessous de la voiture à l’aide d’un jet d’eau à haute pression. Bon à savoir : certains lave-autos automatiques projettent des jets d’eau sous le véhicule.
  3. Pour dégager les roues
    On ne pense pas toujours à vérifier les roues avant de partir. Or, lorsque la neige s’y accumule, celles-ci peu­vent être déséquilibrées. Résultat? La voiture vibre inhabituellement. En lavant régulièrement cette dernière, vous éviterez un tel désagrément.
    En somme, nettoyer votre véhicule en hiver vous permettra de conserver celui-ci en bon état plus longtemps et de prendre la route de façon plus sécuritaire. Ainsi, essayez d’effectuer cette corvée au moins une fois par mois lorsqu’il neige ou que des abrasifs sont épandus sur la chaussée.
Caméra de chasse sur cellulaire

Les caméras de chasse cellulaire : des avantages à revendre !

Les caméras de surveillance sont aujourd’hui quasi incontournables pour les chasseurs qui désirent analyser les allées et venues des animaux sur leurs sites de chasse. Or, avec les caméras de chasse cellulaires, qui vous permettent de recevoir vos photos directement sur vos appareils électroniques, où que vous soyez, à condition d’avoir du réseau, bien sûr !, vous profitez d’avantages supplémentaires non négligeables !
En effet, comme vous n’avez pas à vous rendre sur place pour récupérer vos photos, vous gagnez un temps précieux et épargnez considérablement sur l’essence, en particulier si votre territoire de chasse est situé loin de chez vous. Ainsi, bien qu’elles soient plus chères à l’achat, quoique de plus en plus abordables, vous réaliserez des économies à long terme. Les caméras à transmission cellulaire s’avèrent également utiles pour les sites difficiles d’accès.

Qui plus est, en limitant vos allers-retours à vos sites d’appâtage, vous minimisez les risques de les contaminer et d’y laisser des indices qui alerteraient vos proies potentielles. Par ailleurs, les caméras cellulaires vous permettent d’avoir une idée plus précise des habitudes de celles-ci.
Le principal défaut de ces gadgets ? Recevoir des photos de ce qui se passe sur vos sites de chasse, pratiquement en temps réel, pourrait bien devenir « addictif », perturbant du coup vos activités quotidiennes !

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