La rue St-Gérard accessible

Actuellement sans issue, la municipalité de East Angus étudie la possibilité de rendre la rue St-Gérard accessible par la Kennedy qui est perpendiculaire. Le mandat d’arpentage, d’analyse de sol et d’ingénierie a été donné en juillet dernier à la firme St-Georges Structures et Civil. Des aménagements pourraient avoir lieu en 2021, si tout va comme prévu. Mme Lyne Boulanger mentionne que des suggestions seront formulées pour améliorer la sécurité de la rue St-Gérard, que ce soit pour les piétons par l’aménagement de trottoir ou autres pour les vélos. L’étude au coût de 38 000 $ est défrayée à même le Fonds de développement territorial (FDT). Le secteur du CHSLD, de la polyvalente et de l’aréna est fort achalandé, d’expliquer la mairesse, et plusieurs visiteurs empruntant la rue Saint-Gérard, croyant accéder à la rue Kennedy, sont forcés de faire demi-tour.

La cyberintimidation chez les jeunes : un fléau lourd de conséquences

La cyberintimidation, cette manière d’intimider une personne en se servant d’outils technologiques, touche de nombreux jeunes chaque jour. À cause des téléphones intelligents et des réseaux sociaux, cette forme d’intimidation pernicieuse suit constamment l’enfant ou l’adolescent, et ce, où qu’il soit. Or, le cyberintimidateur est rarement conscient de l’impact de ses actes et des risques auxquels il s’expose.


Un effet-écran néfaste
L’effet-écran est ce qui donne l’illusion à l’intimidateur d’être anonyme et invincible, alors que les autorités peuvent pourtant remonter facilement jusqu’à lui. Son écran l’empêche également de voir les réactions de son interlocuteur, ce qui l’amène à être plus insultant et plus menaçant dans ses propos qu’il ne le serait en personne.


L’effet-écran est aussi ce qui procure un faux sentiment de sécurité et d’intimité à la victime. Convaincue que sa conversation sur sa messagerie privée restera privée, elle peut aisément voir ses propos copiés, déformés, mal interprétés et partagés publiquement.


Des conséquences graves
Le harcèlement, l’atteinte à la réputation d’une personne, les menaces de blessures ou de mort, la diffusion d’images intimes et l’incitation au suicide sont des infractions lourdes de conséquences. Le cyberintimidateur accusé de l’une de ces infractions peut recevoir une peine adaptée (réprimande, absolution, réparation de dommages, probation ou autre). Il peut en outre devoir une somme d’argent à la victime, ou encore se retrouver devant les tribunaux en raison du tort qu’il a causé.


Des ressources à contacter
Plusieurs ressources peuvent venir en aide aux victimes ou aux témoins de cyberintimidation. Vous avez besoin d’aide pour vous-même ou pour un proche ? Contactez les intervenants scolaires, l’organisme Tel-Jeunes (www.teljeunes.com) ou la police. Important : prenez soin de conserver toutes les preuves incriminant l’intimidateur (textos, courriels, publications sur les réseaux sociaux, etc.).

André Lachapelle et notre mémoire collective

André Lachapelle

L’ex-directeur de la Cité-école, André Lachapelle, est originaire de Charlemagne, petit pays de la célèbre famille Dion, fratrie avec laquelle il a partagé ses premières années de vie. Plus tard, suite à une spécialité en fiscalité et un travail à Revenu Canada, il optera pour une formation dans l’enseignement du français au secondaire. Il fera carrière dans la région montréalaise à titre d’enseignant et de directeur de diverses écoles polyvalentes.


Devenu «post-urbain», il choisira de compléter une carrière en enseignement dans les verts prés et sommets des Cantons-de-l’Est, comme directeur au primaire, dans la région de Coaticook et ici, à la Cité-école, dans le secteur des Hauts-Cantons. Nous t’avons donc accueilli, ici, à notre Cité-école en août 2016. Tu étais notre huitième directeur principal depuis 2004. Nous nous souvenons de tes paroles d’accueil axées principalement sur deux concepts pédagogiques fondamentaux : la qualité des relations humaines et le travail d’équipe avec ton personnel. Outre certaines contraintes avec lesquelles tu as dû naviguer, nous voulons te remercier pour ta fidélité à ces deux objectifs.


Nous aimons souligner ta présence récurrente dans chacune de nos treize communautés scolaires des Hauts-Cantons lors des Soirées des Bourses Reconnaissance, et ce, durant les trois dernières années. Ces soirées étant un des piliers fondateurs du projet de Cité-école ! Cela pouvait s’avérer contraignant, pour toi, compte tenu de ton lieu de résidence à Magog et de l’heure avancée dans la soirée pour la fin de ces Fêtes rassembleuses et communautaires. Là où l’histoire de la Cité-école retiendra ta marque dans notre histoire collective, c’est ton choix de la mise sur pied, ici, avec la précieuse collaboration de plusieurs enseignants, une vocation particulière pour notre école : le projet Santé globale avec le défi espéré d’inscrire une valeur ajoutée au projet Cité-école. Merci également pour cette petite chronique hebdomadaire sur la qualité de la langue française, en page d’ouverture, dans l’hebdo «La Cité décolle». Rigueur et fierté, en arrière-plan, pour les utilisateurs que nous sommes, au quotidien ! On se souviendra, aussi, des jalons que tu as posés dans l’agenda des autorités scolaires et municipales afin qu’advienne, enfin, cette piscine tant espérée depuis près de quarante ans ! Quant à la modernisation de l’auditorium, tu l’as aussi placée en tête de tes priorités avec discussions et échéanciers.
On ne peut passer sous silence le plaisir évident que tu éprouvais à jaser, discuter, rire avec les élèves, parfois dans les classes ou, très souvent, dans le hall d’entrée lors de la sortie en fin de journée… sans exclure une fermeté de bon ton à l’occasion ! Là, tu fidélisais ce concept de toujours inscrire en priorité la qualité des relations humaines. Nous t’en sommes redevables. On sentait, lors de discussions individuelles ou collectives, l’importance que tu accordais à l’élève, davantage qu’à tout l’arsenal bureaucratique, nécessaire et parfois contraignant. Nous garderons aussi en mémoire une maxime de ton père phare éclairant dans bien des contextes : « Regarde où tu vas… sinon tu vas aller où tu regardes ! » Fort de tous les magnifiques projets que tu nourris pour ta retraite, nous sommes assurés qu’elle sera libre et heureuse. Et n’oublie pas le livre que tu planifiais écrire, à ta retraite, sur ta maman.

Charles Labrie, enseignant, en collaboration avec Renée-Claude Leroux, organisatrice communautaire

Le marché public de retour l’an prochain

Prévu pour une période de cinq ans, le marché public à Westbury sera de retour en 2020 et pour les prochaines années si la tendance se maintient. Le maire, Gray Forster, rappelle que le conseil municipal, de l’époque, avait voté un montant de 10 000 $ annuellement pour la mise en opération du marché public pour une période de cinq ans. Ce délai arrive à terme en 2019 et tout indique qu’il sera de retour l’an prochain. « Le marché public va très bien. Il y a plus d’achalandage et nous en sommes très fiers. On va continuer de l’améliorer », d’exprimer le maire Forster. Évidemment, les élus se pencheront pour en faire le bilan, mais tout indique que l’avenir semble prometteur. Rappelons que le marché public, situé aux abords de la route 112 dans la cour de l’Hôtel de Ville, est ouvert tous les jeudis de 16 h à 18 h 30 jusqu’au 5 septembre.

Les chemins retiennent l’attention

La municipalité améliorera plusieurs tronçons de chemin au cours des prochaines semaines, dont celui du chemin Townline Est.

La municipalité de Westbury profitera de divers programmes de subventions, dont celle reliée à la taxe d’accise sur l’essence, pour s’attaquer à la mise à niveau de divers tronçons de chemins sur son territoire.


Un montant important de plus de 400 000 $ sera consacré à refaire un tronçon d’un kilomètre sur le chemin Tétreault. Les travaux qui ont été confiés à Excavation Stéphane Nadeau se mettront en branle dès septembre. « On a déjà fait plus de deux kilomètres, là on en fera un autre et l’an prochain, on va compléter le chemin », d’exprimer le maire, Gray Forster. On planifie également entamer des travaux sur un tronçon du chemin Townline Est, qui est mitoyen avec Cookshire-Eaton, au cours des prochains jours. Une autre intervention est prévue à l’angle du chemin Gosford Ouest et le chemin Cyr. Le projet prévoit corriger certaines courbes. Les démarches sont entreprises, mais les travaux devraient s’exécuter en 2020.


La municipalité de Westbury a également entrepris une étude sur les chemins mitoyens avec sa voisine East Angus concernant le chemin Martineau et Lipsey Est. Le contrat est confié à la firme EXP qui déterminera l’état des chemins, les travaux à effectuer et les coûts s’y rattachant. Le montant de l’étude de 10 000 $ est réparti en parts égales pour chacune des municipalités.


D’autre part, Westbury poursuit son programme d’installation de lumières de rues. Une première sera installée à l’angle de la route 253 et du chemin Godbout et l’autre se fera conjointement avec Cookshire-Eaton à l’intersection de la 253 et le chemin de la Plage.


Parmi les améliorations, on prévoit aménager, en 2020, un parc dans le développement Godbout et améliorer celui dédié à Wells Coates en y ajoutant des jeux.

Serre 100 degrés – Desjardins à Saint-Isidore-de-Clifton

Nous retrouvons de gauche à droite Diane Pouliot, présidente des Jardins de Victoria, Jeanne Letourneux, Mathieu Lefebvre, producteurs le Jardin des Vanupieds, Marc-Sylvain Pouliot, membre de la coopérative, Joëlle Côté, Jean-Maurice Plafter, membre de la Caisse Desjardins des Verts-Sommets, David Aganier, concepteur de l’affiche, et Yves Bond, représentant de la Caisse Desjardins.

Les résidants de Saint-Isidore-de-Clifton et autres auront la chance de se nourrir de fruits et légumes frais à l’année grâce à la serre 100 degrés – Desjardins.


C’est avec une grande fierté que les membres de la coopérative de solidarité des Jardins de Victoria ont procédé, en juillet dernier, au lancement de la serre. Le projet concocté par les membres du conseil d’administration fait partie des 57 retenues sur un total de 431 projets déposés auprès de 100 degrés, une initiative de l’organisme Québec en forme.


L’objectif vise à offrir à un plus grand nombre de personnes, des légumes sains, cultivés selon les principes et exigences de l’agriculture écologique. Dans cet esprit, on propose de produire différentes variétés de légumes en serre de culture en continu. Mathieu Lefebvre du Jardin des Vanupieds utilise la serre en louant l’espace à la coopérative qui en est le propriétaire. Déjà, au moment de la rencontre de presse à laquelle participaient plusieurs membres, représentants de la municipalité et de la caisse, on pouvait apercevoir le fruit de son travail. Il compte produire du concombre, des tomates, du poivron et du piment. « On aura éventuellement plus de fines herbes. À la fin de l’été, vers l’automne, on va partir des semis de verdure qui résistent au froid comme le kale, la laitue, les épinards, la roquette et autres. Le but est de ne pas chauffer la serre en hiver. On fera la récolte au cours de l’hiver de ce qui a été planté à l’automne », d’expliquer le producteur. Les produits frais sont disponibles en kiosque, libre-service au centre du village.


Serre
Afin de réaliser le projet, les membres de la coopérative de solidarité ont réaménagé une serre estivale existante en la convertissant quatre saisons de culture en continu. Pour y arriver, ils ont bénéficié d’une aide financière de 10 000 $ de 100 degrés et de 4 000 $ de la Caisse Desjardins des Verts-Sommets de l’Estrie. Diane Pouliot, présidente de la coopérative, était fière de souligner la participation des membres et de l’appui financier des souscripteurs. Les Jardins de Victoria comptent 24 membres dont quatre membres producteurs et 20 de soutien. Sa création remonte en 2011. L’objectif, entre autres, est de faciliter l’accès à la terre et mettre en commun des infrastructures et équipements dans le but de faciliter le démarrage de projets sur la ferme.

Encore plus de musique et de danse

L’exposition agricole de Cookshire revient cette année pour sa 174e édition qui se tiendra du 15 au 19 aout prochains. Si l’année 2018 avait amené une nouvelle image de marque pour l’événement avec un logo et un site web revampés, c’est l’expérience terrain qui sera la cible des organisateurs en 2019.


« Les gens qui se rendent, il faut qu’ils vivent quelque chose de spécial », exprime Audrey Perron-Breault, impliquée dans l’organisation. Cette tâche reviendra entre autres au maitre de cérémonie qui guidera les visiteurs à travers la multitude d’activités qui se tiennent aux quatre coins du terrain de l’Expo.


Parmi les nouveautés cette année, on retrouve la compétition de bras de fer (voir autre texte), un grand chapiteau dédié à la danse country et une piste de tires agrandie.


Programmation

Le jeudi, l’Expo s’ouvre avec la soirée de chant et de prestations karaoké. Le vendredi 16, le Club des petits tracteurs modifiés foulera le premier la nouvelle piste de terre battue faisant face aux gradins. En soirée, on inaugure le chapiteau country avec l’animation de Manon Lévesque du Club Danse Country Estrie et la musique de Rodeo Drive, dont le chanteur, Francis Demers, est originaire d’Ascot Corner.


Lors de la fin de semaine, la journée de samedi se voudra plus costaude avec les tires de tracteurs lourds et les compétitions de bras de fer. La soirée sera dansante avec des sessions animées par les Winslow Dancers. Le dimanche constituera le rendez-vous familial idéal avec la présence de plusieurs mascottes, une zone maquillage et les parades des gagnants des diverses compétitions.


Ces nombreuses épreuves amicales constituent l’essence même de l’Expo. Du côté des animaux, plusieurs résidents des environs se disputeront les marches du podium avec leurs bovins laitiers ou de boucherie, leurs chevaux (de trait et légers), leur troupeau de chèvres et moutons, de même que leur volaille et lapins.


L’ambiance sera un peu plus posée à l’édifice Mc Auley, où les compétitions requérant plus de dextérité et de patience se dérouleront. Artisanat, cuisine, décorations de Noël et fleurs coupées, dont des bouquets de mariée, n’en sont que quelques exemples. Les épreuves animales et de l’édifice Mc Auley sont réparties sur les quatre jours de l’événement.


Pour la première fois, l’Expo Cookshire met à la disposition des visiteurs une billetterie en ligne pour faciliter l’achat de billets : www.expocookshire.com.

Even More Music and Dancing

The Cookshire Agricultural Fair is back August 15 to 19 for its 174th edition. If the 2018 year brought a new brand image for the event, with a revamped logo and website, it is the experience on the ground that will be the target of the organisers in 2019.


“The people who attend have to experience something special,” said Audrey Perron-Breault, who is involved in the organisation. This task is in the hands of the master of ceremonies, among others, who will guide the visitors through the multitude of activities that will be taking place in all four corners of the Fairgrounds.


Among the new additions this year is the arm wrestling competition (see accompanying text), a large tent for country dancing, and an enlarged track for truck pulls.


Programming
On Thursday, the Fair opens with an evening of singing and karaoke performances. On Friday the 16th, the modified small tractor club will be the first to ride the new dirt track in front of the bleachers. In the evening, the country music tent will be inaugurated, led by Manon Lévesque of the Club Danse Country Estrie and with the music of Rodeo Drive, whose singer, Francis Demers, is from Ascot Corner.


During the weekend, the day of Saturday aims to be more brawny, with heavy tractor pulls and arm wrestling competitions. Saturday evening is for dancing, with sessions led by Winslow Dancers. Sunday will offer ideal family fun, with the presence of several mascots, a make-up zone, and parades of the winners of the various competitions.


These many friendly events are the essence of the Fair. As for the animals, many local residents will compete for the podium with their dairy or beef cattle, their horses (both draft and light horses), their flock of goats and sheep, as well as their poultry and rabbits.


The atmosphere will be somewhat more low-key at the Mc Auley Building, which hosts the competitions requiring more dexterity and patience. Crafts, cooking, Christmas decorations, and cut flowers, including bridal bouquets, are just a few examples. The animal events and the Mc Auley competitions are spread out over the four days of the Fair.


For the first time, the Cookshire Fair is offering visitors an online ticketing service to facilitate the purchase of entrance tickets: www.expocookshire.com.

L’Expo a maintenant sa bière

Mathieu Garceau-Tremblay est le chef brasseur des 11 comtés à Cookshire-Eaton. « On a discuté avec l’organisation de la possibilité de collaborer avec eux et la question de brasser une bière spécialement pour l’occasion est rapidement arrivée sur la table. Pour nous, ça avait beaucoup de sens et c’est une bière qui complètera bien notre portfolio estival. » La bière Expo, ou Fair Beer, est une lager de soif accessible, rafraîchissante et brassée avec des ingrédients locaux. Elle rend hommage aux bénévoles qui ont su faire de l’Expo Cookshire un incontournable depuis 1845

The Fair Now Has Its Own Beer

Mathieu Garceau-Tremblay is the head brewer of the 11 comtés in Cookshire-Eaton. “We discussed with the organisation the possibility of collaborating with them, and the idea of brewing a beer especially for the occasion quickly landed on the table. For us, it made a lot of sense, and it’s a beer that is a good complement to our summer portfolio.” The Fair Beer, or bière Expo, is an accessible thirst-quenching lagar, refreshing and brewed with local ingredients. It gives homage to the volunteers who have made the Cookshire Fair an essential element in our region since 1845.

An Iron Arm in a Velvet Glove

In collaboration with the Arm Wrestling Association of Quebec, the Cookshire Fair is presenting its first amateur arm-wrestling competition. Women and men of the region are invited to register for the double-elimination tournement, which will offer a dozen prizes in as many categories.


The confrontations between amateur wrestlers will be interspersed with four professional duels featuring Canadian champions in the field. Presiding over the contests will be none other than the actor Paul Dion (Les Pêcheurs, Providence), who is very involved in this kind of competition at the provincial level.


Official referees will also supervise the competition, one of them being Simon Perron from Cookshire-Eaton. Perron went to the provincial wrestling championship in May 2018 to win the title of Quebec champion 198 to 220 pounds for the left arm, and that of vice-champion of Quebec in the same category for the right arm.


The tournement on Saturday, August 17, is open to all, whether or not they have already taken part in such a competition. A number of weight classes are open: Under 165 lbs, 166 to 200 lbs, 201 to 225 lbs, and over 226 lbs. For women, the categories are 150 lbs or under, and 151 lbs or more.

Un bras de fer dans un gant de velour

L’athlète de Cookshire-Eaton Simon Perron arbitrera certains matchs de la compétition de bras de fer.

En collaboration avec l’association Bras de fer Québec, l’Expo Cookshire présente sa première compétition amateure de tirs au poignet. Femmes et hommes de la région sont invités à s’inscrire au tournoi à double élimination qui remettra une douzaine de bourses dans autant de catégories.


Les affrontements qui opposeront des tireurs amateurs seront entrecoupés de quatre duels professionnels mettant en vedette des champions canadiens dans le domaine. L’animateur des joutes sera nul autre que l’acteur Paul Dion (Les Pêcheurs, Providence), très impliqué dans ce genre de compétitions à l’échelle provinciale.


Des arbitres officiels chapeauteront également la compétition, l’un d’eux étant Simon Perron de Cookshire-Eaton. Celui-ci s’est présenté au championnat provincial de bras de fer en mai 2018 pour décrocher le titre de champion québécois des 198 à 220 livres pour le bras gauche ainsi que celui de vice-champion québécois dans la même catégorie pour le bras droit.


Le tournoi du samedi 17 aout est ouvert à tous ceux ayant déjà pris part ou pas à une telle compétition. Plusieurs catégories de poids sont ouvertes, soit les moins de 165 lb, 166 à 200 lb, 201 à 225 lb et les plus de 226 lb. Pour les femmes, celles-ci seront séparées dans les 150 lb et moins ainsi que les 151 lb et plus.

Une mascotte meugnifique

La toute nouvelle mascotte de l’Expo Cookshire a été dessinée par Alyson Andrews, finissante à la polyvalente Louis-Saint-Laurent à East Angus. Un concours avait été organisé du 28 janvier au 15 mars derniers dans la Cité-école et l’école secondaire Alexander-Galt de Sherbrooke. Parmi tous les dessins reçus, c’est celui d’Alyson qui a été retenu dans le but de servir de modèle à l’actuelle mascotte qui représentera dorénavant l’Expo. Le nom de la vache anthropomorphe sera dévoilé sous peu.

A Moognificent Mascot

The new mascot of the Cookshire Fair was drawn by Alyson Andrews, a graduating student at the polyvalente Louis-Saint-Laurent in East Angus. A contest was organized from January 28 to March 15 in the Cité-école and the Alexander Galt Secondary School in Sherbrooke. Among all the drawings received, Alyson’s was chosen as the model for the new mascot that will represent the Cookshire Fair from now on. The name of the anthropomorphic cow will be announced shortly.

Le soleil brillait au Show ‘n’ Shine

Les activités de financement que sont le Show ‘n’ Shine et le méchoui du printemps auront en quelque sorte «réchauffé» les gens de la région en attendant la venue de l’Expo Cookshire. Le grand méchoui de porc et de bœuf du 25 mai a attiré 300 personnes, tandis que le Show ‘n’ Shine du mois de juin a passé le cap des 1000 visiteurs en une journée. On aperçoit sur la photo un concurrent de l’épreuve de tire de camion avec traine progressive. Par après, les poids lourds se sont amenés sur la piste pour déplacer la traine fixe. L’exposition de camions qui donne son nom à l’événement a réuni 35 concurrents qui avaient astiqué leur bolide. Deux juges, parmi lesquels figurait Jean-Eudes Bourque de Marbleton, ont déterminé les vainqueurs d’une douzaine de catégories allant du plus beau camion forestier, à la meilleure utilisation du chrome en passant par le plus bel habitacle intérieur.

Le Square Victoria maison hôtelière

Le Square Victoria est une maison hôtelière ancestrale entièrement rénovée offrant un concept d’hébergement autonome unique. L’établissement, de style Boho chic, comprend, huit unités avec des aires communes comme un salon de style lounge avec foyer et un coin-repas. L’endroit se veut chaleureux, accueillant, confortable et sécuritaire. Situé en plein centre-ville d’East Angus, la maison hôtelière se trouve à deux pas d’une foule de services comme dépanneur, caisse, restaurants sans compter sa proximité avec le club de golf et le parc des Deux Rivières. Le Square Victoria peut répondre aux besoins des couples, jeunes familles, travailleurs, quadistes et motoneigistes. Il met à la disposition de ces derniers un vestiaire sécurisé aéré et chauffé permettant d’y déposer casques et vêtements. Situé à six kilomètres de l’aéroport de Sherbrooke, l’établissement est en mesure d’offrir un service de navette. Les propriétaires Josiane Rondeau et Pascal Lafond sont fiers du produit et souhaitent partager cette fierté avec la population pour qu’elle joue un rôle d’ambassadeur auprès de leurs amis et connaissances.

Un salon de style lounge

Le salon de style lounge se veut accueillant et enveloppant. C’est le genre d’endroit chaleureux dans lequel on aime relaxer en regardant les flammes danser dans le foyer, lire un livre ou tout simplement échanger avec les autres. Le salon se veut convivial et propice à de belles rencontres tout en permettant également de préserver une intimité près du foyer.

Huit unités de grande qualité

Nous apercevons sur la photo une chambre urbaine pouvant accueillir deux personnes.

Le Square Victoria offre huit unités, dont quatre chambres urbaines, une avec balcon privé. On y retrouve également un appartement avec entrée indépendante, une suite au rez-de-chaussée avec un grand balcon, une chambre supérieure avec balcon privé et une suite supérieure avec terrasse aménagée. Les chambres peuvent accueillir d’une à quatre personnes soit en occupation simple, double, triple et quadruple. Il est possible pour certaines chambres d’ajouter un lit d’appoint pour accueillir une personne additionnelle. Les unités sont toutes insonorisées permettant une quiétude. Elles disposent d’Internet haute vitesse, du Wi-Fi, de prises USB, d’un téléviseur intelligent, d’un mini frigo, d’une salle de bain privée avec douche pommeau effet pluie et douche téléphone, de produits personnels (distributeur shampoing, gel de douche) biodégradables, sans oublier le séchoir, le fer à repasser et un peignoir. La climatisation et le chauffage sont ajustables dans chaque chambre. Toutes sont munies d’un lit queen et d’un bureau de travail.

On ne lésine pas avec la sécurité

Répandu en Europe, le concept d’hébergement autonome peut surprendre ici, mais il a démontré une efficacité et sécurité éprouvée. La réservation en ligne (reservation@squarevictoria.ca) ou par téléphone 819 451-5678 permet aux visiteurs d’obtenir un code unique à quatre chiffres donnant accès à l’établissement ainsi qu’à la chambre. Le code est valide à partir de l’heure d’arrivée jusqu’à celle du départ. Des caméras sont installées dans les aires communes et le vestiaire par souci de sécurité. Un téléphone fixe est accessible en cas d’urgence ainsi qu’une trousse de premiers soins. Le Square Victoria répond aux normes de sécurité hôtelière. Toutes les chambres sont munies d’un entrebâilleur et d’un judas de porte. Les propriétaires sont soucieux d’offrir aux visiteurs à la fois un sentiment de liberté, d’intimité et de sécurité.

Un coin-repas spacieux

Parmi les aires communes, nous retrouvons le coin-repas. L’endroit magnifiquement fenestré laisse inonder la pièce de la lumière du jour, permettant de bien amorcer la journée. L’endroit peut accueillir 14 personnes simultanément et même davantage au besoin. On y met à la disposition des usagers un four micro-ondes, cafetière avec le café Vittoria, du thé et un grille-pain. Outre les tables régulières, il est possible de s’asseoir à des tables bistro. Les jeunes familles ne sont pas en reste, car on y retrouve une chaise haute. Un téléviseur avec chaînes se trouve également dans la pièce. Une salle de bain commune est adjacente au coin-repas qui donne également accès au balcon.

Une suite pas piquée des vers

Nous apercevons la suite supérieure vaste et spacieuse.

La suite supérieure de 328 pieds carrés en plus d’une terrasse aménagée comprenant une causeuse, deux fauteuils et une table à café avec parasol offre une vue imprenable sur le parc Square Victoria, situé juste devant le bureau de poste. L’aspect apaisant qu’il s’y dégage est saisissant tout autant qu’à l’intérieur de la suite. L’unité peut accueillir quatre personnes et comprend un lit queen, un divan-lit mousse mémoire et miroir grossissant. Les autres commodités haut de gamme sont identiques dans toutes les chambres. La suite est spacieuse, chaleureuse comme toutes les autres chambres et propice à la détente.

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