Le nouveau logo de l’Expo

Dans le cadre de son changement d’image, qui a englobé son site internet et ses communications externes, l’Expo Cookshire s’est dotée d’un nouveau logo. Le précédent était une œuvre de l’artiste de Newport, Denis Palmer. Le logo actuel adopte un look moderne et épuré. Le O de «expo» rappelle à la fois la roue d’un tracteur et le contour d’un ruban servant à déterminer les positions lors d’un concours de jugement animal ou végétal. D’ailleurs, le chiffre 1 à l’intérieur ramène à l’esprit la première position que convoitent entre eux les différents exposants.

 

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Even more sound and image

“We tripled the sound for the truck pull,” enthused Nicolas Lachance of the Cookshire Fair’s organizing committee. Yes, the pulls are already noisy, but this year the action will be re-transmitted live on a giant 10-by-6-foot screen and a more powerful sound system. The effect will be to give spectators a sensation of proximity with the mechanical engines, in case the stands with 1,500 places do not meet the demand. The rest of the time, the system will also serve to re-transmit the performances and the ambiance of the dance and music shows. The audiovisual equipment will be operated by the Événements illimités de Sherbrooke company, which has extensive experience with festivals, beginning with the Ayer’s Cliff rodeo.

Le Marécage-des-Scots obtient son statut officiel de parc régional

Le ministère de l’Énergie et des Ressources naturelles confirmait la semaine dernière l’obtention du statut officiel du parc régional du Marécage-des-Scots qui traverse Hampden et Scotstown. Il s’agit de la fin d’un long processus entamé en 1994 par l’ancienne mairesse Chantal Ouellet. Les randonneurs à pied ou en vélo peuvent y admirer la nature et la faune le long d’une piste multifonctionnelle de 8 km ponctuée de haltes et de panneaux d’interprétation.

Un travail d’équipe
Le parc régional du Marécage-des-Scots s’inscrit dans le cadre d’un projet plus large, soit le Pôle touristique de la rivière au Saumon, qui comprend deux autres volets  : la ville de Scotstown et le parc national du Mont-Mégantic. Près de 800 000 $ ont été investis dans le parc régional, dont l’entretien sera assuré par Hampden et Scotstown. Deux entrepreneurs de Cookshire-Eaton et Scotstown en ont assuré le développement.
Dominic Provost, directeur général de la MRC et du CLD du HSF, parle d’une journée importante. « C’est un rêve qui devient réalité grâce à la synergie du monde. Quand on a décidé de démarrer ce projet-là, c’est un peu comme si on créait une saine compétition entre trois dossiers : le parc Walter-MacKenzie, nous (le lien) et le parc national qui a ouvert sa voie d’accès. Je pense que la compétition a porté fruit parce que tout le monde a bougé. Ça donne un très beau produit qu’on commence à mettre en marché. »

La liste des partenaires qui ont rendu le tout possible comprend l’Association forestière du sud du Québec, Canards Illimités Canada et différents ministères (Énergie et Ressources naturelles ; Forêts, Faune et Parcs ; Affaires municipales et Environnement).

« Quand on a monté le projet, on était un peu avant notre temps », relate Bertrand Prévost, maire de Hampden. « On a amené les municipalités à travailler ensemble pour réaliser un projet. Il y a douze ans, c’était pas évident pour les municipalités de travailler ensemble, mais maintenant, ça devient la norme pour plusieurs activités. »

L’aboutissement d’une vision
Le député provincial de Mégantic, Ghislain Bolduc, était fier de cet « atout indéniable » que représente le nouveau parc. « Je veux souligner la persévérance exceptionnelle de la MRC. J’aimerais également insister sur la solide concertation régionale qui s’est mise en place pour créer le parc. » Le préfet Robert Roy s’est adressé directement à Chantal Ouellet au moment de sa prise de parole : « Mme Chantal, enfin, votre rêve est réalité. »
Celle qui est aujourd’hui présidente de la Société de développement de Scotstown était émue par la cérémonie d’inauguration. C’est son souhait de relier le parc Walter-MacKenzie au parc national du Mont-Mégantic qui a été à l’origine de la création du parc régional. Nous sommes en 1994 et Mme Ouellet est alors mairesse de Scotstown.

« On fait partie d’une région éloignée, mais pas malheureuse de l’être. On est éloignés des grands centres, on est éloignés des lumières de la ville. Mais on est proches de la nature, on est proches de la lumière du ciel. »
Le projet initial de Mme Ouellet portait le nom Du Parc au Parc. L’idée a vite fait boule de neige. « C’est devenu le projet de toute la MRC  : un lien qui allait nous amener vers le secteur Franceville. D’un projet local, c’est devenu un projet régional majeur grâce à la collaboration et la solidarité des acteurs régionaux. C’est enfin fait, nous avons un parc régional. »

La piste cyclable a été inaugurée en 2016, tandis que le bistro gaélique Le Petit Écossais l’a été en 2017. Un projet de camping serait également dans les plans « pour prendre le débordement du Mont-Mégantic ». À plus long terme, Dominic Provost parle d’un seuil au Marécage-des-Scots qui viendrait rehausser le niveau de l’eau afin d’assurer la navigation d’embarcations sans moteur. La MRC et le CLD en assureront la responsabilité. Lors de la cérémonie, l’actuel maire de Scotstown, Dominique Boisvert, était représenté par la conseillère Sylvie Dubé.

De belles découvertes à faire au Marché public de Sawyerville

Le marché public de Sawyerville (Cookshire-Eaton) procédera à son ouverture officielle pour la saison estivale, le 7 juillet. Les marchands, avec une douzaine de kiosques, attendront les visiteurs. Ces derniers pourront se procurer entre autres des légumes, petits fruits, champignons, fromage, miel, produits d’érable et viande de chevreuil. Le tout se déroulera dans une atmosphère de fête avec de la musique. Les responsables profiteront de l’occasion pour inaugurer l’abri qui servira à protéger les exposants des intempéries. On utilisera cette nouvelle installation pour y tenir des ateliers et rencontres. Une surprise, une dame bientôt centenaire, sera sur place pour offrir les fleurs qu’elle a cultivées. Le marché public sera ouvert tous les samedis de 10 h 30 à 13 h, et ce, jusqu’au 22 septembre. Le four à pain sera en fonction au grand plaisir des visiteurs.

Marché public à Scotstown, plus qu’un marché

Le marché public du boisé de Scotstown, situé au parc Walter MacKenzie, le long de la rivière au Saumon, au pied du mont Mégantic et à deux pas du parc régional du Marécage-des-Scots, est beaucoup plus qu’un marché. D’abord, la dizaine d’exposants y présente tous les vendredis de 16 h à 18 h 30, et ce jusqu’au 7 septembre, le fruit de leur labeur. On y retrouvera entre autres, du sirop et produits de l’érable, légumes, viande de cerf rouge et autres variétés, petits fruits, œufs, herbes et produits de boulangerie artisanale, légumes, herbes aromatiques et médicinales, savons artisanaux et olives diverses. Plusieurs artisans présenteront des produits comme tricots, poterie et autres. L’endroit est rêvé pour les familles avec jeux d’eau pour les plus jeunes, possibilité de faire du pédalo, du kayak. Il y a également des rafraîchissements comme du jus, de la bière, de la crème glacée et des repas légers.

Public Market in Sawyerville

The public market in Sawyerville (Cookshire-Eaton) will officially open for the summer on Saturday, July 7. Merchants in about a dozen kiosks await visitors. Vegetables, berries, mushrooms, cheese, honey, maple products and venison are among the local produce available. The market offers a festive atmosphere, with music and the inauguration of a new permanent structure to shelter merchants during bad weather, or to house workshops and meetings. A surprise! Bernadette Breault, a 100-year-old woman, will be offering flowers that she cultivated. The public market will be open every Saturday from 10:30 a.m. to 1 p.m. until September 22.

Une halte savoureuse au Marché public de Westbury

La saison estivale s’amorce et avec elle s’activent les marchés publics. Celui de Westbury a ouvert officiellement ses portes le 21 juin dernier. Sur place, on retrouve une douzaine de marchands offrant notamment des produits variés que ce soit des légumes biologiques, des produits de l’érable, des œufs frais, des viandes veau, porc, cheval, chèvre, sanglier et des olives farcies. Les amateurs de vin trouveront un produit pour les satisfaire. Des sels fumés et des bijoux artisanaux s’ajoutent à l’offre. L’édition 2018 présente également des nouveautés comme la participation d’une boulangère, Sarah Fecteau, qui fera cuire sur place des spécialités. Parmi ces produits, une vaste gamme d’olives, marinées, fourrées et autres. Une table du marché permettra d’offrir entre autres du formage frais du jour, des pâtes artisanales biologiques, du fromage de chèvre, du miel, du thé. Le marché public est ouvert tous les jeudis de 16 h â 18 h 30 jusqu’au 28 septembre.

Scotstown mène une opération charme

C’est dans le but de favoriser la rétention de ses citoyens et d’attirer de nouvelles familles que la municipalité de Scotstown met en vente cinq terrains sur la rue Osborne, avec un programme de revitalisation comprenant un congé de taxes réparties sur trois ans.

« Je crois que c’est la première fois que la municipalité fait ça. Ça vient d’être lancé en mai », d’exprimer le nouveau maire, Dominique Boisvert. « Ce sont des terrains que la municipalité a acquis au cours des dernières années. Principalement, nous aimerions attirer cinq nouvelles familles, mais c’est aussi pour les résidents de Scotstown. Nous offrons cinq terrains avec des conditions avantageuses », ajoute-t-il. La municipalité mettra, si ce n’est déjà fait, l’offre de vente sur le site internet de la municipalité et Facebook. On y inscrit qu’il s’agit de cinq terrains boisés au cœur de Scotstown, non loin de la rivière au Saumon. La vente est pour la construction de résidence uni ou bifamiliale. On y parle également d’un généreux programme de subvention consistant pour les cinq constructions neuves d’un congé de taxe de 100 % la première année et de 50 % pour les deux suivantes. Les terrains sont d’une superficie identique soit de (114,8 pi x 78,74 pi) ou de 35,05 mètres de profondeur par 24,38 mètres de frontage. On précise que l’usage des terrains devra être à caractère résidentiel. Le prix de vente est fixé à 6 000 $ plus les taxes applicables. L’acquéreur devra acheter qu’un seul terrain. Il devra construire une résidence d’une valeur minimale de 95 000 $ incluant le terrain. La ville s’engage à raccorder la nouvelle maison aux réseaux publics d’aqueduc et d’égout à l’exception des conduites devant être installées sur le terrain privé qui seront aux frais du propriétaire.

Par ailleurs, le propriétaire disposera d’un délai maximum d’un an pour déposer une demande de permis de construction pour une résidence permanente. Elle devra être érigée en conformité avec la réglementation d’urbanisme de la ville, dans les deux ans et l’aménagement du terrain devra être complété dans un délai maximum de deux et demi à compter de la date de signature de l’acte de vente entre l’acquéreur et la ville.

Le maire Boisvert insiste pour dire que ça bouge à Scotstown. « On constate qu’il y a eu énormément de ventes de maisons à Scotstown depuis un certain temps. Depuis le début de 2018, quatre maisons se sont vendues sur la rue Albert. Des gens de Scotstown ont acheté, mais aussi six occupants. D’autres familles reviennent. Une dizaine de maisons ont été achetées ou vendues. Il y a beaucoup de mouvement », de compléter le maire tout enthousiasme.

Ça promet à La Patrie au Festival Rock’n’Blues

Pour une cinquième année consécutive, les amateurs de rock et de blues se donneront rendez-vous à La Patrie les 3 et 4 août prochains, pour participer au Festival Rock’n’Blues.
En fait, le festival se mettra en branle le samedi à l’Abri-Bois, mais la veille, les amateurs auront un avant-goût de ce qui s’annonce. L’ensemble des musiciens du Rock’n’Blues se donneront rendez-vous, le vendredi soir à 21 h, à l’Hôtel Prévost, pour participer à un jam session.

Le festival, pour ainsi dire, se mettra en branle dès 14 h par un concours de band, d’expliquer l’organisateur Charles Gaudreau. « Le gagnant aura une participation automatique sur la carte du Rock’n’Blues 2019 », précise-t-il. À 17 h, s’amorcera les spectacles avec le groupe Greenwoods & The Grass suivi de Passe moé la puck qui fera un hommage aux Colocs. Le moment fort du festival sera sans aucun doute le band formé de Breen Leboeuf, Rej E Lachance, Bob Saint-Laurent et Jeff Smallwood. Ces musiciens réunis comptent plus de 160 années d’expérience musicale et en feront profiter les amateurs. Le groupe Triple Threat Blues Band complétera la soirée en présentant un hommage à Janis Joplin.

Les spectacles seront présentés sous l’Abri-Bois, beau temps, mauvais temps. Un service de bar et de cantine sera disponible sur place. On procédera au cours de la soirée au tirage de quatre guitares Godin. Un camping, gratuit, sera mis à la disposition des festivaliers. Le coût pour la journée est de 20 $ par personne et gratuit pour les jeunes de 14 ans et moins.

Retombées
L’organisateur du festival mentionne que les profits serviront à mettre sur pied une école de musique et faire l’acquisition d’instruments. L’activité a attiré plus de 500 personnes l’année dernière et M. Gaudreau souhaite en accueillir davantage pour l’édition 2018. « Ça monte chaque année », compte-t-il.

Une 3e édition sur trois roues pour Citrouille en fête

Le projet Citrouille en fête lançait récemment sa troisième édition en compagnie des élèves de l’école primaire Notre-Dame-de-Lorette, à La Patrie. On a alors procédé au tirage et au dévoilement du dessin qui allait figurer sur les macarons du projet pour l’année 2018, dont la thématique sera celle du vélo.

Au cours du mois d’avril, la soixantaine d’élèves du primaire de La Patrie étaient invités à participer à un concours de dessins servant à illustrer les macarons de Citrouille en fête. Lors du lancement de la troisième édition, l’œuvre de Zoé Pellerin a été tirée au hasard. « Le dessin qui est pigé aujourd’hui, ça devient le logo pour l’année », explique l’organisatrice Hélène Bourgeois. « On fait étamper 600 macarons avec ce dessin, puis on vend le macaron tout l’été dans les événements. » Produire 600 macarons pour une municipalité d’environ 750 personnes étonne toujours Mme Bourgeois. « Le monde donne beaucoup dans la communauté. C’est impressionnant. » Zoé Pellerin a aussi gagné des parties gratuites de mini-golf au Laser Plus de Sherbrooke.

Le lancement de Citrouille en fête était également l’occasion de quelques autres tirages. Mathys Dubreuil a remporté un laissez-passer familial au Centre sportif Mégantic, qu’il compte utiliser pour aller à la piscine de l’établissement en compagnie des siens. Les médailles des jeunes récipiendaires avaient été confectionnées et offertes par l’Ébénisterie La Giroux-ette.

Une semaine après le lancement, Citrouille en fête procédait à une distribution de semences de citrouilles. Les citoyens pourront ainsi en faire pousser à la maison tout en contribuant au financement du projet. La vente des courges et citrouilles représente la seconde forme de financement du projet avec la vente de macarons. La journée de la fête et de la vente comme telle se tiendra le 29 septembre prochain. À cette occasion, des randonnées en vélo se tiendront pour les élèves, en lien avec la thématique.

La dernière édition de Citrouille en fête a permis d’amasser une somme de 3309 $, dont une bonne partie provenait du souper spaghetti country d’avril, auquel 145 personnes ont participé. Les fonds avaient été redistribués auprès des jeunes. Un montant de 1250 $ a permis de financer une sortie de ski au Mont-Orford pour tous les élèves de l’école Notre-Dame-de-Lorette. Le CPE Le Ballon Rouge s’était vu attribuer 625 $ qui auront servi à l’achat d’équipement de jeu. Des sessions de soccer supervisées par un coach ont été offertes sur sept semaines grâce à un budget de 1475 $. Finalement, 100 courges avaient été remises à La Relève du Haut-Saint-François.

Le 5e Festi-Quad étend son réseau

Le Festi-Quad 2018 a réuni les amateurs de véhicules tout-terrain le temps d’une journée à l’Abri-Bois de La Patrie. L’événement, organisé par le Club Quad Mont-Mégantic, proposait pour sa cinquième édition une programmation variée mêlant épreuves motorisées, spectacles de musique et méchoui.

Les festivités s’ouvraient avec un déjeuner de groupe, suivi de l’ouverture officielle des activités par la mairesse de La Patrie, Johanne Delage. Une randonnée guidée de groupe a réuni les quadistes sur un trajet totalisant deux heures de route en fin d’avant-midi.

Sur l’heure du diner, la première épreuve de tirs s’est tenue le long du Centre communautaire de la municipalité, le terrain dénivelé adjacent faisant office de gradin naturel pour la vingtaine de spectateurs présents. Dans les éditions précédentes, l’épreuve de tirs avait l’habitude d’être plus tôt. « Cette année, on a tout décalé pour mettre plus tard pour que les gens puissent venir », mentionne Richard Blouin, vice-président du club local.
Le nouvel horaire n’a toutefois pas amené son lot de curieux. Donald Roussy, administrateur pour le même club, croit que l’occurrence de plusieurs événements simultanés ce jour-là a nui à l’affluence. En effet, avaient lieu au même moment les Fêtes de la pêche de Scotstown, Weedon et Dudswell, en plus du Show‘N’Shine sur le site d’Exposition Cookshire. « C’est dommage, les événements touristiques dans le Haut-Saint-François, ça se parle pas », déplore M. Roussy.

L’épreuve de tirs comptait trois catégories, dont une nouvelle pour les autoquads biplaces (côte à côte), qu’on retrouve de plus en plus sur les sentiers. Chaque classe d’engins remettait des certificats-cadeau d’une valeur 500 $ aux trois premières positions. Un premier intermède musical, mettant en vedette Serge Breton et le duo Dragscor, venait clore les tirs.

En deuxième partie d’après-midi, l’épreuve du trou de boue ou mud drive a passionné les foules. « Le monde aime ça, surtout les spectateurs », reconnait Richard Blouin. L’épreuve, qui en était à sa troisième année d’existence, consiste pour le quadiste à traverser une mare de boue le plus rapidement possible.

Parmi la foule, on retrouvait Mario Bouffard, membre du Club Quad Mont-Mégantic. Celui-ci laissait aux autres le soin de pousser leur véhicule tout-terrain à sa limite. Comme un quad peut valoir 20 000 $, il n’aimait pas l’idée de forcer ou salir son véhicule de loisir. Sa suggestion serait d’instaurer des jeux d’habiletés, comme il en a déjà vu dans d’autres rassemblements. « Là, j’embarquerais ! » Un exemple d’épreuve peut être le transport d’un œuf dans une cuillère ou d’un plateau de verres d’eau à travers un parcours d’obstacles. Cette année, le Festi-Quad proposait de tels défis, mais aux enfants de 4 à 12 ans.

Tout au long de la journée, des exposants présentaient leurs produits artisanaux. L’un d’eux était Le Petit Moulin du 4 milles qui avait transporté sur le site sa dernière innovation : le sauna-baril. Il s’agit d’un sauna de forme ronde, fait en cèdre et pouvant loger quatre adultes. On retrouvait également à l’intérieur du Centre communautaire l’exposition d’armes et d’uniformes militaires de Michel Morin. L’imposant inventaire était réparti sur une dizaine de tables au sous-sol du centre. Quelques curieux observaient de près les artefacts au moment de notre passage. Le tout se concluait avec un méchoui, suivi d’une soirée dansante avec les frères Leclerc. Un feu d’artifices venait couronner la rassemblement amical.

Agrandissement de la Source-Vive à Ascot Corner

Les parents de quelque 50 élèves fréquentant l’école primaire de la Source-Vive à Ascot Corner respirent mieux. Le député de Mégantic à l’Assemblée nationale, Ghislain Bolduc, a annoncé au nom de son collègue ministre de l’Éducation, du Loisir et du Sport et ministre responsable de la région de la Capitale-Nationale, Sébastien Proulx, l’investissement de plus de 3,4 M$ pour l’agrandissement de l’école, qui sera complété pour l’année scolaire 2019-2020.

Rappelons que cette décision fait suite à de nombreuses représentations de parents, et du conseil municipal d’Ascot Corner auprès de la Commission scolaire de la Région-de-Sherbrooke (CSRS), qui a déposé une demande d’agrandissement prioritaire auprès du ministère de l’Éducation. Les parents avaient obtenu un sursis de la CSRS quant au déplacement des élèves en attendant la réponse du ministère. Une décision négative aurait contraint une cinquantaine d’élèves à se déplacer vers l’école primaire Notre-Dame-des-Champs à Stoke.

Le président de la CSRS, Gilles Normand, lance « inquiétez-vous pas, les élèves n’iront pas à Stoke. Ça, c’est un dossier de réglé. Ascot Corner est une municipalité rurale, distincte et la présence d’une école primaire dans la municipalité est très importante pour la vie communautaire. »

Agrandissement
Selon M. Normand, le début des travaux est prévu pour « l’été 2019, le temps de faire les devis, préparer les projets, définir l’endroit et les besoins. Le tout devrait être prêt pour la rentrée scolaire 2019-2020, c’est l’objectif qu’on vise au départ ». L’agrandissement de 644 mètres carrés comprend quatre classes, un service de garde, l’ajout de 35 mètres carrés à la bibliothèque ainsi que des locaux polyvalents.

Rappelons que la CSRC a déposé la demande prioritaire d’agrandissement en septembre dernier et la réponse positive vient d’être annoncée, ce qui est assez rapide comme dénouement. Le député Bolduc attribue cela au fait « qu’il y ait une concertation entre les acteurs, ça a un effet multiplicateur. Je dois mettre l’emphase là-dessus, la municipalité, la commission scolaire, la députation, les gens du milieu, les parents, tous les gens se sont concertés. C’est facile pour un député quand tout le monde derrière nous dit : vas-y, c’est ça ta job. J’ai convaincu le gouvernement et j’insiste sur le mot ruralité a des besoins particuliers. L’école est très importante comme outil de cohésion communautaire; ça devenait un élément critique dans le développement de la communauté à Ascot Corner. » M. Bolduc admet également que le contexte économique favorise une prise de décision semblable.

Pour Éric Mageau, conseiller municipal à Ascot Corner, « c’est une victoire pour les élèves, les parents. Tout ce beau monde-là va rester chez nous et c’est ce qu’on voulait dans le fond. C’est une victoire autant pour les promoteurs de la municipalité. C’est une suite logique au développement de la municipalité. La municipalité trouvait inconcevable et inacceptable le déplacement d’élèves vers une autre école. D’un point de vue communautaire et économique, c’était carrément une catastrophe, on ne se le cachera pas. Ascot Corner est en pleine expansion au niveau de son développement. Devant l’ampleur de l’enjeu, la municipalité n’avait d’autres choix que de s’impliquer. Je remercie le député Bolduc et les commissaires, la commission scolaire d’avoir compris c’est quoi l’enjeu. »

Pour la directrice de l’école, Sandra Viens, l’arrivée de nouveaux élèves en attendant l’agrandissement demande une réorganisation à l’interne que ce soit pour l’utilisation de local ou des heures de dîner, mais elle est satisfaite de l’annonce. L’école accueillera une douzaine de nouveaux élèves pour la rentrée de septembre prochain. Ce nombre devrait grimper à 40 d’ici cinq ans.

Le Québec honore ses héros !

Entrepreneurs, auteurs, comédiens, réalisateurs, artistes, scientifiques, journalistes… l’histoire de notre belle province regorge de femmes et d’hommes des plus inspirants ! Cette année, le Mouvement national des Québécoises et Québécois (MNQ) a choisi de rendre hommage à nos héros lors de la fête nationale.

Thématique
«Histoire de héros» est la thématique officielle des grandes célébrations qui se déroulent sur plus de 700 sites partout dans la province. Les 23 et 24 juin 2018, rappelons-nous avec fierté les gens qui ont marqué (ou qui marquent encore) le Québec par leur créativité, leur travail acharné et leur implication sociale, notamment.

Affiches
Les quatre affiches de la campagne du MNQ présentent des enfants arborant la tenue typique d’un superhéros, c’est-à-dire un masque et une cape. Symbolisant les héros de demain, ils sont accompagnés de noms de personnages ayant laissé leur trace dans divers domaines : médecine, littérature, musique, etc.

Héros
Parmi les héros célébrés dans le cadre des festivités de la Fête nationale 2018, notons Gilles Vigneault, Madeleine Parent, Pierre Falardeau, Thérèse Casgrain, Alphonse Desjardins, Léa Pool et Dany Laferrière, pour n’en nommer que quelques-uns. Vivantes ou décédées, toutes ces personnalités plus grandes que nature ont su briller tant au Québec qu’à l’étranger. En cette fête nationale, rendons-leur hommage et soulignons leur contribution exceptionnelle à l’avancement de notre société !

Pour en savoir plus sur les activités organisées dans votre région, visitez le www.fetenationale.quebec et suivez le @LaFetenationaleduQuebec sur Facebook ou le @fetenationale sur Twitter.

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Connaissez-vous vos héros québécois ?

«Histoire de héros» est le thème officiel de la Fête nationale en 2018. Testez vos connaissances sur cinq personnalités inspirantes qui ont marqué le Québec !

1. Dans quelle ville est né le poète Gilles Vigneault ?
a) La Tuque
b) Natashquan
c) Rouyn-Noranda

2. En quelle année est décédée Jeanne Mance, cofondatrice de Montréal ?
a) En 1749
b) En 1815
c) En 1673

3. Qui était Marcelle Gauvreau ?
a) Une chirurgienne
b) Une scientifique
c) Une syndicaliste

4. Quelle distinction le conteur Fred Pellerin a-t-il reçue en 2012 ?
a) L’insigne de chevalier de l’Ordre national du Québec
b) La médaille de l’Ordre du Mérite
c) Le grade de compagnon de l’Ordre du Canada

5. De quel ouvrage célèbre Jehane Benoît est-elle l’auteure ?
a) Le petit guide d’éducation des enfants
b) L’encyclopédie de la cuisine canadienne
c) Le dictionnaire des proverbes de la Nouvelle-France

Réponses
1. b) Félix Leclerc est né à La Tuque et Richard Desjardins, à Rouyn-Noranda.
2. c) Née en 1606 à Langres, en France, elle est arrivée en Nouvelle-France en 1641.
3. b) Spécialisée dans les sciences naturelles, elle a fondé l’École de l’Éveil dans les années 1930, on la considère comme une pionnière de l’éducation préscolaire au Québec.
4. a) Après avoir refusé l’insigne des mains de Jean Charest pendant la crise étudiante, il l’a finalement accepté des mains de Pauline Marois quelques mois plus tard.
5. b) Publié pour la première fois en 1963 et réédité en 1991, ce best-seller s’est vendu à plus d’un million et demi d’exemplaires.

Un demi-million pour poursuivre l’évolution chez Créations Jade

C’est entourée de ses partenaires d’affaires et de ses employés que l’équipe de direction de Créations Jade a inauguré ses nouvelles installations qui comprennent de l’équipement de sérigraphie numérique. Les changements, qui incluent aussi une nouvelle identité visuelle, ont nécessité des investissements de l’ordre de 540 000 $.

Un procédé exclusif
La pièce maitresse de ce vent de renouveau demeure une machine haute technologie qui permet l’impression directe de l’ordinateur sur le vêtement, un procédé connu sous l’expression direct to garment. L’équipement demeurant rarissime, la direction de Créations Jade a francisé le concept sous le nom de sérigraphie numérique.

« Cette machine-là, il y en a un petit peu aux États-Unis et en Europe », relate Serge Maher, président de Créations Jade. « Au Canada? Très peu. Au Québec? On souhaite qu’on est les seuls encore. C’est quand même exceptionnel de voir ça chez nous. Puis on en est bien fiers. »

Pour démontrer les possibilités de la nouvelle machine et de sa technologie, tous les employés portaient un t-shirt arborant les nouvelles couleurs de l’entreprise. Les vêtements venaient d’être imprimés le matin même. Claudette Hallée, directrice des ventes, parle de possibilités qui sont quasi infinies. Auparavant, les clients devaient acheter un nombre minimal de pièces, alors que, maintenant, la sérigraphie numérique est assez flexible pour permettre jusqu’à l’impression à l’unité.
« La machine qu’on a ici, ça aide beaucoup l’équipe de ventes parce que ça nous positionne différemment des autres entreprises », poursuit Mme Hallée. « Il y a aucune entreprise qui offre ce service-là directement à ses clients. Ça nous démarque au niveau régional. » À ce sujet, le prix Rayonnement régional de la Chambre de commerce de Sherbrooke remis à Créations Jade en avril dernier vient témoigner de l’expansion de l’entreprise.

Tant qu’à y être
En début d’année 2017, Serge Maher se trouve à Atlantic City dans le cadre d’un salon d’exposition dans le domaine promotionnel. Il est sur place en compagnie de son frère Bruno, vice-président aux opérations, et d’un responsable de département. Le trio avait pour but initial de trouver une méthode pour améliorer leurs techniques de sérigraphie.
« On pensait aller dépenser 50, 75 000 $. Finalement, quand on est sorti de là, c’était à peu près 250 000 $. US! », se remémore le président de Créations Jade. L’entreprise a donc planché sur un plan d’investissement qui est monté jusqu’à 540 000 $. Comme ces investissements amèneraient plus d’ouvrage, la direction a cru bon de réaménager ses locaux, d’ajouter des bureaux et, tant qu’à y être, refaire son identité visuelle.

Tout y passa : du logo d’entreprise au site web, sans oublier la devanture du commerce de la route 112. Sébastien Lussier est directeur général chez Créations Jade. « On voulait quelque chose qui nous projetait vers l’avant. On voulait quelque chose d’épuré, de moderne. » Même la bâtisse voisine, qui abrite la boutique Bébé Maude, est passée sous le bistouri, question d’uniformité.

Créations Jade entame sa 38e année d’opérations. En 2017, ses ventes ont monté de 22 %, alors qu’on envisage une hausse de 10 % cette année. Depuis 2016, l’entreprise est passée de 20 à 30 employés.

Construction du garage municipal et d’une caserne d’incendie à Ascot Corner

La municipalité d’Ascot Corner investira près de 5 M$ dans un vaste projet comprenant l’achat d’une bande de terrain, l’aménagement du site, acquis il y a trois ans d’Excavation M. Toulouse, la construction d’une caserne d’incendie ainsi que du garage municipal.

« Tous nos échéanciers sont en prévision de faire la construction à l’automne, mais il se peut que ça aille au printemps prochain. On attend des réponses d’une bibitte qui s’appelle le ministère de l’Environnement », d’exprimer la mairesse Nathalie Bresse. Toutefois, la municipalité attend également des réponses du ministère des Transports, de la Mobilité durable et de l’Électrification des transports et du ministère des Finances pour les règlements d’emprunt.

Projet
D’abord, un montant approximatif de 2 M$ est prévu pour l’acquisition d’une bande de terrain, l’aménagement du chemin qui donnera accès au site, la préparation du terrain, l’accès au réseau d’aqueduc et égout, l’amenée probable du gaz naturel, le stationnement, l’éclairage et autres.

Caserne
Un montant approximatif de 1,4 M$ est prévu pour la construction de la caserne qui sera d’une superficie totale de 5 000 pieds carrés incluant une mezzanine à l’intérieur. Certains aspects restent à finaliser, mais il est prévu que le bâtiment aura trois portes. « On prévoit pour l’avenir. La porte est prévue au cas où on devrait apprêter le camion à échelle en cas de besoin », de préciser Mme Bresse. Au chapitre des prévisions, on procédera à l’installation de tuyaux dans la perspective éventuelle d’amener des fils pour l’installation de bornes de recharge pour des véhicules électriques et pour brancher une génératrice. Le bâtiment sera également doté d’une salle de formation avec cuisinette, un dortoir et deux bureaux. Sur une partie de la toiture, on procédera à l’aménagement d’une sorte de terrasse extérieure pour de la formation pratique de cordages et d’échelles, d’ajouter la mairesse. La caserne sera classée bâtiment civil. « Cela demande un plus gros investissement, ça augmente les coûts de 10 % à 15 %. » Selon la mairesse, cela est attribuable entre autres à la structure d’acier qui sera renforcie de façon à résister aux tremblements de terre. Mme Bresse mentionne que la construction de la caserne était devenue nécessaire. La Régie intermunicipale d’incendie de la région d’East Angus, à laquelle fait partie Ascot Corner, loue présentement une porte pour deux camions dans un bâtiment (M. Miata) situé sur la route 112.

Garage
Quant au garage municipal, une somme de 1,4 M$ est prévue pour sa construction d’une superficie de 6 500 pieds carrés incluant également une mezzanine. Construit en 1976, le garage actuel est devenu « très désuet. Ça fait au moins 13 ans qu’on parle du garage municipal », d’exprimer Nathalie Bresse. Le futur bâtiment prévoit, entre autres, quatre portes, une salle de repos avec cuisinette, un bureau et une mezzanine d’entreposage. Un autre espace est prévu pour l’entreposage de pièces et pour de la réparation mécanique.

Enfin, si tout va bien, la mairesse aimerait que les travaux s’amorcent dès l’automne, mais la municipalité est tributaire des réponses gouvernementales. Selon Mme Bresse, il ne serait pas étonnant que les constructions s’enclenchent au printemps 2019.

Les transports : au cœur de notre quotidien !

Déguster une papaye au déjeuner, vous prélasser sur une plage des Antilles, trimballer un sac à main italien, faire le plein d’essence, commander en ligne le cadeau d’un ami… voilà autant de gestes que vous ne pourriez poser sans l’industrie des transports !

En effet, celle-ci est au cœur de notre quotidien. Sans elle, notre alimentation, notre style vestimentaire, nos loisirs et même notre culture ne seraient pas les mêmes ! En permettant les déplacements d’individus et de marchandises à travers le monde, les transports routier, ferroviaire, maritime et aérien ont façonné et façonnent toujours notre société.

Un moteur économique
L’industrie est indispensable au développement économique mondial. En assurant la mobilité des produits, des services et de la main-d’œuvre, les transports ouvrent d’intéressantes perspectives économiques et contribuent à notre prospérité. Ils permettent d’accéder à des marchés locaux, nationaux et internationaux.
Par ailleurs, les infrastructures routières et le transport de passagers par voies aérienne, terrestre, maritime et ferroviaire sont essentiels au secteur touristique. Sans eux, toute l’industrie du voyage serait pour ainsi dire une utopie !

Des millions d’emplois
Finalement, n’oublions pas que les transports en commun, le transport commercial de marchandises et le transport de passagers créent des millions d’emplois à travers le monde. Au Canada, en 2016, pas moins de 897 000 personnes, employés et travailleurs indépendants, œuvraient dans le secteur des transports et de l’entreposage. Une autre preuve de l’importance de cette industrie !

Le camionnage au Canada : un levier économique majeur !

Le transport de marchandises par camion est indispensable au maintien d’une bonne santé économique, et ce, partout sur la planète. Au cœur des relations internationales, l’industrie du camionnage est vitale, car elle permet les importations et les exportations. Ce sont aussi les transporteurs routiers qui assurent la liaison entre les régions, les provinces et les états d’un pays.

Seulement au Québec, 40 000 travailleurs œuvrent dans l’industrie du camionnage et plus de 500 entreprises sont membres de l’Association du camionnage du Québec (ACQ). Celles-ci ont un chiffre d’affaires annuel totalisant 2,5 G$ ! Par ailleurs, selon l’Alliance canadienne du camionnage, plus de 90 % des biens de consommation et des produits alimentaires au pays sont transportés par camion.

L’industrie du camionnage est donc un levier économique essentiel. Sans elle, votre vie ne serait pas la même. Pensez-y : qui permet aux résidents de grandes villes comme Montréal et Toronto de savourer le poisson pêché au beau milieu du Pacifique ? Qui approvisionne les stations d’essence de sorte qu’elles ne manquent jamais de carburant ? Les camionneurs, bien sûr !

Devenir camionneur
Vous aimez conduire pendant des heures ? Vous souhaitez contribuer à la santé économique de votre pays ? Alors, pourquoi ne pas devenir transporteur routier ? En plus d’exercer un métier qui vous procurerait liberté et autonomie, vous auriez l’occasion de découvrir de nouveaux coins de pays. Informez-vous quant aux exigences requises pour devenir camionneur !

Idées-cadeaux pour gâter Papa selon sa personnalité

Vous manquez d’inspiration pour trouver un cadeau de fête des Pères original ? Puisque votre papa est certainement unique en son genre, pourquoi ne pas lui offrir un présent qui lui ressemble vraiment ? Pour vous aider, voici quelques idées qui conviennent à différents types de personnalités !

Le papa épicurien : votre père raffole des plaisirs de la table ? Bières artisanales, bons vins, fromages fins, assortiments de délices sucrés (chocolats raffinés, jujubes fruités, etc.), produits du terroir et autres cadeaux gourmands sauront assurément combler ses papilles !

Le papa bricoleur : si votre père adore tout ce qui a trait aux projets manuels, offrez-lui un nouvel outil ou un gadget spécial qui trouvera une place de choix dans son atelier. Une carte-cadeau de sa quincaillerie préférée est également une excellente idée !

Le papa sportif : vêtements de sport, montre intelligente, bouteille d’eau, carte-cadeau d’un magasin spécialisé, guide des plus beaux circuits de vélo ou des plus belles randonnées de la région… ce ne sont pas les options qui manquent pour plaire à votre athlète préféré !

Le papa techno : votre père est un «mordu» de technologie ? Entre un haut-parleur Bluetooth, un support pour tablette électronique, un drone récréatif ou un appareil photo dernier cri, par exemple, vous avez l’embarras du choix en matière d’accessoires high-tech !

Le papa intello : rien de tel qu’un jeu de société ou qu’un livre d’énigmes pour stimuler les neurones de votre «paternel». Vous pouvez également lui offrir une série documentaire ou un abonnement à un magazine scientifique pour étancher sa soif de connaissances !

Organisez une activité spéciale avec Papa !

Vous aimeriez célébrer la fête des Pères en grand en organisant une sortie inoubliable avec Papa ? Quelle excellente idée ! Qui plus est, nul besoin de vous casser la tête pour lui faire plaisir : vous n’avez qu’à prévoir une activité qu’il adore partager avec vous, et le tour est joué !

Si votre père est un grand sportif qui raffole du plein air, une randonnée en forêt, une excursion en canot ou une partie de pêche, par exemple, feront certainement son bonheur. Et pourquoi ne pas profiter du beau temps pour faire une balade en vélo, pour vous adonner à son sport favori (golf, soccer, volleyball, etc.) ou pour tester vos capacités dans un parc d’hébertisme ? Plaisir garanti !

Papa est plutôt du genre à apprécier la bonne «bouffe» et le bon vin ? Partagez avec lui un repas au restaurant qu’il a toujours rêvé d’essayer et il sera comblé ! Si vous souhaitez sortir un peu des sentiers battus, vous pouvez également participer à un atelier de dégustation (de chocolats, de fromages, de bières, etc.) ou encore suivre un cours de cuisine avec lui pour rendre l’expérience encore plus spéciale et créer des souvenirs impérissables !
Par ailleurs, si votre père est curieux de nature et qu’il préfère les sorties culturelles, une visite au musée ou dans une galerie d’art est tout indiquée pour passer un moment à la fois inspirant et amusant ! Papa est un cinéphile ou un mélomane assumé ? Dans ce cas, planifiez un après-midi au cinéma ou assistez à un concert en sa compagnie; il sera assurément conquis !

Des idées-cadeaux pour plaire à tous les papas

Vous voulez gâter votre incomparable papa pour la fête des Pères, mais vous manquez d’inspiration ? Bricoleur, cuisinier, cinéphile, jardinier, techno, sportif, aventurier, intello, mélomane, artiste, écolo, gourmand… peu importe ce qui le qualifie, vous trouverez de quoi le combler grâce à ces catégories de cadeaux qui en offrent pour tous les goûts !

• Les livres : romans policiers, guides de voyage, livres de recettes, recueils de mots croisés ou de sudoku, dictionnaires en tous genres, biographies… dans l’univers des livres, chacun y trouve son compte !
• Les billets : spectacles de danse, concerts rock ou baroques, foires et salons, pièces de théâtre, évènements sportifs ou caritatifs, vernissages, soirées d’humour… les possibilités ne manquent pas !
• Les plaisirs de la table : des assortiments de confitures aux échantillons de bières, en passant par les délices au chocolat, les bons vins, les fromages fins et les bonbons colorés, les cadeaux gourmands ont de quoi plaire aux papilles de tous les papas !
• Les forfaits : divertissement, voyage, détente, gastronomie, hébergement… dénichez LE forfait qui colle aux intérêts de votre papa chéri !
• Les abonnements : revues et journaux, centres sportifs, boîtes livrées à domicile chaque mois (produits pour les soins de la moustache ou kits pour découvrir la cuisine du monde, par exemple), transports en commun, chaînes spécialisées… optez pour l’utile ou l’agréable !
• Les accessoires : que ce soit pour l’auto, la cuisine ou la pratique d’un sport qu’il affectionne, par exemple, il existe une foule d’accessoires utiles ou inusités qui feront certainement plaisir à votre papa !
Enfin, en cas de doute, la carte-cadeau demeure une option intéressante; après tout, qui sait mieux que votre père ce qui ferait vraiment son bonheur ?

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