Dolbec

Les Entreprises Dolbec, de Cookshire-Eaton : En bonne posture, avec une relève assurée !

Prise dans le magasin impressionnant des Entreprises Dolbec, la photo réunit Marc Dolbec, président et propriétaire de la compagnie, au centre, avec ses deux fils, Kevin et Nicolas, sous l’œil amusé de Susie Bissonnette, derrière le comptoir. Employée à tout faire, la directrice administrative s’occupe des achats, des ventes et de toute la comptabilité.

Beaucoup d’eau a coulé sous les ponts depuis la création officielle des Entreprises Dolbec Ltée, à Cookshire-Eaton, par le regretté Roger Dolbec et son père Irené, en 1980.
Aujourd’hui, en 2024, s’officialisera la passation de propriété entre Marc Dolbec, président et propriétaire, qui a acquis et fondé Les Entreprises Dolbec Cookshire 2000 Ltée, l’entité qu’il transfère à ses fils Nicolas et Kevin, par un processus graduel qui a débuté il y a cinq ans.
Le Groupe Dolbec a déjà compté cinq entreprises, dont Boulons de l’Estrie, à une certaine époque, entreprise qui a été vendue depuis, de même qu’Équipements et manutention Dolbec, pour des produits usagés, et Aciers LS, de Bromptonville. Les activités sont maintenant regroupées sur le site principal, chemin Dolbec, accessible via la route 108, près du secteur de Birchton.
S’y trouvent l’usine, l’entrepôt et le magasin du groupe, structures qui ont gagné en envergure, et où se trouvait en 1958 la ferme que les parents, Françoise et Irené, ont achetée, à l’origine. Roger y avait construit un premier garage en 1976 pour y installer les Entreprises Dolbec Ltée. Son père y triait déjà tout le métal qu’il pouvait trouver, tout en opérant sa ferme laitière et tout ce que cela comportait de travail en parallèle, avec ses fils.
En 1980, Entreprises Dolbec offrait des services de soudure, de fabrication de remorques de ferme, de voitures à foin, etc. L’entreprise a fait son petit bonhomme de chemin, au fil des agrandissements de 1990, 1997 et 2000. C’est aussi l’année qui a vu l’arrivée de Susie Bissonnette, qui s’est démarquée comme directrice administrative de la compagnie, et qui s’occupe notamment des ventes, des achats et de la comptabilité. Elle comptera bientôt 24 ans de service. « Comme le temps a passé vite ! », s’est-elle exclamée.
Des produits et secteurs d’activités se sont ajoutés : une section charriots élévateurs, de fabrication d’étagères industrielles, de pièces en métal sur mesure, de vente d’acier, pièces de remorques, systèmes hydrauliques et pneumatiques, moteurs, essieux, pneus, réparation de boyaux hydrauliques, toute une panoplie de produits, en somme. Le magasin se révèle impressionnant, par la grande variété de ces produits qui y sont étalés et offerts à une clientèle toujours grandissante.
« Cette diversification des activités a permis, avec les étapes successives, de pouvoir garder les quelques employés durant toute l’année, car auparavant les entreprises Dolbec travaillaient dans des domaines saisonniers », fait remarquer Susie Bissonnette, visiblement bien au fait des rouages du Groupe Dolbec.
Pour ce qui est de Kevin et Nicolas, ils ont l’air naturel de bien se trouver dans l’entreprise que les fondateurs et leur père Marc ont mené à bien durant toutes ces années.
« La relève de notre père, on prend ça au jour le jour, car à chaque jour suffit sa peine. Nous travaillons ici depuis un certain nombre d’années. Nous demeurons à proximité du site de l’entreprise, moi dans l’ancienne maison de Roger, et Nicolas dans la maison paternelle, là dans le temps de la ferme des grands-parents. Cela est très facilitant, et pratique. Il n’y a pas eu toujours des périodes simples, dans l’entreprise. Encore aujourd’hui, on ne vit pas des temps faciles, mais nous allons passer à travers… », témoigne Kevin, avec beaucoup d’enthousiasme, sous le regard de son frère Nicolas, qui arbore en l’écoutant, un petit sourire complice !
Outre Mme Bissonnette, l’entreprise compte des employés fidèles, qui font son orgueil et son efficacité, en général, depuis plusieurs années : Gilles Bilodeau, depuis 1990, Steve Leclerc, depuis 1996, et Clayton McCourt, depuis 2019. Ah oui, on ne peut pas l’oublier, il faut ajouter la maman de Susie, Rozane Girouard, qui lui aide depuis 15 ans dans l’entreprise, à effectuer du classement et au ménage. Il n’y a aucun sot métier, c’est certain, tout le monde se fait valoir en tant qu’aide précieuse !

Valoris

À l’étape de l’étude de faisabilité et relié au centre de tri VALORIS, à Bury : Le projet de parc éco-industriel en voie de se réaliser en 2024

En 2024, sur le plan industriel dans la MRC du Haut-Saint-François (HSF), le projet d’aménagement d’un parc éco-industriel suscite beaucoup d’espoir, pour son potentiel économique, en lien avec le lieu d’enfouissement technique et le centre de tri Valoris, bien implanté dans la municipalité de Bury.
Ce projet s’inscrit dans le désir de la MRC du HSF de participer aux efforts de diminution des gaz à effet de serre (GES), de valorisation des matières récupérées et de réduction de l‘enfouissement des matières résiduelles.
Dès la fondation de Valoris, une portion du site de Bury avait été identifiée pour la réalisation éventuelle de ce projet. La direction de Valoris a d’ailleurs confirmé avoir reçu déjà des demandes et des déclarations d’intérêt de la part d’un certain nombre de promoteurs industriels intéressés à s’installer dans ce parc éco-industriel, advenant sa création dans un avenir rapproché. Cela correspond, semble-t-il, à un certain engouement. Mais plusieurs questions restent encore à être répondues. Elles le seront par le biais d’une étude de faisabilité.
En octobre 2023 a été annoncée la concrétisation d’une entente assortie d’une aide de 203 313 $ avec la MRC du Haut-Saint-François pour préparer l’aménagement du parc éco-industriel, autour du lieu d’enfouissement technique et du centre de tri de Valoris.
Le ministère des Affaires municipales et de l’Habitation (MAMH) assume 169 427 $ provenant du volet 3 – Projets « Signature innovation » des MRC, du Fonds régions et ruralité (FRR), qui encourage la mise en œuvre de projets majeurs pour la MRC, à partir d’un créneau d’intervention qu’elle a elle-même déterminé. Pour sa part, la contribution de la MRC du HSF se chiffre à 33 886 $.
« Ce projet est une étape vers la consolidation de l’identité territoriale de la MRC du HSF en tant que leader de grands projets d’ensemble dans le domaine de l’intervention en environnement, du développement industriel et de la gestion des matières résiduelles. L’entente conclue avec le MAMH financera l’étude de caractérisation du terrain. Cette étude propulsera le développement du parc éco-industriel de Bury et contribuera à la mission de Valoris : valoriser la matière résiduelle, encourager l’économie circulaire et réduire l’enfouissement », avait déclaré le préfet de la MRC, Robert G. Roy.
Actuellement, le projet piloté par le personnel de la MRC et par le consultant Daniel Bérubé, en est à l’étape de l’analyse des soumissions reçues pour la réalisation de l’étude de faisabilité. Le comité de gestion effectue cette analyse et a peut-être déjà soumis à Valoris une firme possible à cet effet. L’étude de faisabilité est prévue pour débuter au printemps 2024.
Le parc éco-industriel sur le site de Valoris, à Bury, devrait accueillir éventuellement des entreprises cohérentes avec la mission de base de l’entreprise, qui constitue une régie parrainée par la MRC du HSF.
Le parc éco-industriel rattaché à Valoris serait un centre de vitrines technologiques et de laboratoires de recherche sur l’utilisation des matières retirées. Il viserait également à attirer des usines de transformation autour de lui, encourageant ainsi l’entrepreneuriat et la recherche globale.

Légumerie Dionne

Entreprise familiale à Cookshire-Eaton, depuis 1953 : La Légumerie a déjà 40 ans !

Les quatre nouveaux actionnaires qui assurent la relève au sein de La Légumerie Groupe Dionne inc., depuis un processus qui a vu son aboutissement en 2023, de gauche à droite, Marc-Olivier, Jean-Philippe, Catherine et Charles, tous enfants de René Dionne. Ils posent juste à côté de grands bassins remplis de frites et de légumes.

L’entreprise familiale spécialisée en culture de la pomme de terre, à Cookshire-Eaton, a commencé en 1953 avec Jean-Paul Dionne et sa Ferme J.P. Dionne & Fils, il y a donc 70 ans. Une entreprise de chez nous, bien implantée, où la patate a acquis ses lettres de noblesse, étant à l’honneur en tout temps, cultivée dans les champs du territoire de Cookshire, à l’époque. La famille Dionne y a développé une expertise unique.
Ses fils Jean et René, en grandissant, lui ont aidé comme les bons fils qu’ils étaient ! Ils en sont venus à prendre sa relève, petit à petit, en créant avec lui La Légumerie Groupe Dionne inc., en 1983, ajoutant alors le volet transformation à leurs opérations, de même que la distribution de pommes de terre et de toute une variété d’autres légumes. Cette nouvelle entreprise célèbre aujourd’hui ses 40 ans.
« En 2008, nous avons arrêté la culture de la pomme de terre dans nos champs, qui n’étaient vraiment pas assez grands pour assurer notre expansion. Nous étions rendus là, il aurait fallu acheter plusieurs hectares de plus dans les alentours. Nous avons maintenant six producteurs qui cultivent pour nous, dans des champs à eux, et qui nous livrent leurs pommes de terre en vrac », raconte Jean-Philippe Dionne, fils de René, qui, avec sa sœur Catherine et ses frères Marc-Olivier et Charles, voient à la bonne marche de l’entreprise, à la suite de leur père et de leur oncle Jean. Ce dernier a pris sa retraite en 2013.
« Nous visitons ces champs régulièrement. Grâce à l’expertise que nous avons développée, nous sélectionnons les pommes de terre directement aux champs, en plus d’effectuer la gestion d’inventaires, le traitement du produit et un contrôle très serré de la qualité », ajoute Jean-Philippe, qui a une formation d’ingénieur industriel qui lui permet de s’occuper des procédés de transformation, de leur efficacité, de l’entreposage et de la distribution.
Conscient de la force que représentent les membres de sa famille, il parle ensuite des formations que les trois autres ont acquises. « Catherine est ingénieure alimentaire. Elle s’occupe des contrôles, de l’électronique, de l’assainissement, de salubrité, de la propreté, vraiment nécessaires dans le domaine alimentaire. Marc-Olivier, l’aîné des quatre, a étudié en électro-mécanique. Il touche dont à la maintenance, globalement, mais à l’automatisation des équipements, à la mécanique, à l’efficacité des camions de livraison, etc. Finalement, Charles, le plus jeune, a une formation en mécanique industrielle, qui est à la base de tout. Il peut ainsi travailler en électricité, à l’usinage, en production », décrit-il.
La gamme de légumes frais transformés la veille et livrés le jour suivant, selon la philosophie industrielle du juste à temps, dans les restaurants principalement, inclut une grande variété de produits : des frites, bien sûr, mais aussi des pommes de terre de fantaisie, patates douces, brocoli, chou-fleur, courgettes, carottes, chou, navet, céleri, oignon, piment vert et piment rouge, et même différents légumes pré-mélangés.
« Notre ferme est en synergie avec l’entreprise. On y cultive 300 acres de blé et de soya, qu’on fournit entre autres à la meunerie de Cookshire, pour l’alimentation animale, et le blé pour la fabrication de pains. Nos déchets de transformation des patates et légumes servent à la fertilisation des champs de notre ferme et, aussi de la Ferme d’Orée, à Bury, dans une véritable économie circulaire », se réjouissent à l’unisson les Dionne.
« Depuis le début, les échanges avec nos voisins sont des valeurs gardées de génération en génération, depuis notre grand-père Jean-Paul, pour le bon voisinage. On fournit à nos voisins de la paille, du fumier et d’autres matières résiduelles qu’on génère… Il n’y aura pas de grands événements pour célébrer notre 40e anniversaire, mais des investissements sont pressentis dans la ferme, pour un hangar agricole, un garage de mécanique et de nouveaux équipements, pour maintenir notre autonomie à 100 pour cent. Nous prévoyons investir environ 600 000 $ au total, pour les matériaux et les équipements », affirme Jean-Philippe.
« Nous voulons également rajeunir La Légumerie. Ce sera ce que nous appelons les projets des jeunes, pour l’entreposage, la transformation et la distribution ! », affirme à son tour Charles.
« On livre dans les HRI, soit l’hôtellerie, la restauration et les institutions. Les marchés que nous avons développés : l’Estrie au complet, Chaudière-Appalaches, le Centre-du-Québec, et nous avons quatre distributeurs qui nous aident pour Montréal, Trois-Rivières, Granby et ailleurs en Montérégie », énumère Marc-Olivier.
Les quatre jeunes sont fiers d’avoir procédé à une étape importante, en 2023, soit le rachat des actions que possédaient des investisseurs séniors dans l’entreprise. Mais leur père René demeure le seul autre actionnaire, constituant un mentor important pour eux tous !

Cuisines collective HSF

Une cuisine collective qui réchauffe les cœurs depuis 1996

Les employés des Cuisines Collectives du Haut-Saint-François.

La première cuisine collective de notre organisme fait ses débuts en 1996. Avec un effort collectif de gens impliqués, des lettres patentes sont officiellement déposées au registre des entreprises du Québec en 1997. Depuis, les cuisines connaissent un essor soutenu par la communauté engagée du Haut-Saint-François.
La mission de l’organisme est de promouvoir l’autonomie alimentaire et les saines habitudes afin d’améliorer la santé et la qualité de vie de la population de la MRC du Haut-Saint-François. Elle permet aussi de briser l’isolement et développer un sentiment d’appartenance communautaire. Tout le monde peut être membre des Cuisines Collectives, sans égard au revenu familial. De plus, être membre nous permet de développer notre réseau, nous faire de nouveaux amis, et ce, en repartant chez nous avec des repas complets et sains pour moins de 3 $ ! C’est d’ailleurs grâce à la collectivité qu’année après année, il nous est possible de faire vivre cette mission. Derrière chaque repas, chaque atelier, chaque animation se cache une histoire de solidarité et de soutien. Un repas, aussi frugal soit-il, est un instant de rencontre. Il peut être une occasion de joie et de communion, unissant profondément les gens.
L’organisme offre plusieurs activités, l’une d’entre elles se nomme Cuisine ton Haut, qui se passe tous les samedis et est en lien avec différentes thématiques comme Noël, Pâques, etc. Les Cuisines Collectives offrent aussi de l’animation de groupe de cuisine et sont présentes lors des marchés publics. De plus, ils donnent des ateliers dans les écoles primaires et secondaires, les CPE et les camps de jour. Lors des activités scolaires, il démontre aux élèves que ce qu›ils apprennent en classe soit lire, écrire et compter, va leur servir dans la vie de tous les jours dans de simples activités comme suivre une recette ! Tous ces apprentissages se font dans le plaisir et le partage.
L’organisme a d’autant plus besoin de votre aide puisqu’il débute dès janvier une activité midi à la polyvalente Louis-Saint-Laurent. Ils iront préparer un dîner avec les élèves inscrits à l’activité et tous partageront ce repas ensemble.
Mme Julie Jeanson, la directrice, souligne : « J’en profite pour remercier chaleureusement nos nombreux collaborateurs. Les temps sont difficiles pour tous et nous avons toujours besoin de denrées non périssables pour fournir notre fond de base qui est donné gratuitement aux membres et lors de nos ateliers. » De plus, l’organisme cherche du financement afin de pourvoir à un salaire pour un nouvel employé à temps plein, afin de répondre à une demande grandissante et criante. La cuisine a aussi besoin d’un bon samaritain réparateur de frigidaire ou d’un don. N’hésitez pas à communiquer avec eux au 819 832-1176 ou par courriel à info@cchsf.ca. Vous pouvez tout simplement déposer vos dons et commandites ou vous inscrire directement à leur bureau afin de pouvoir aussi profiter de bons repas dans le partage et la joie. L’organisme a des besoins tout au long de l’année; soyez généreux et bienveillant avec nos organismes communautaires. Ils soutiennent souvent à bout de bras et avec très peu de moyens nos communautés. Sans eux celles-ci souffriraient grandement. « Les banquets entre amis ont une heureuse chose, on y rajeunit et on s’y retrempe ; on y fait et on y reçoit du bien, on y cimente la cordialité et l’affection et on y ranime les souvenirs, tout en égayant et embellissant le présent. On en revient plus aimé et plus aimant ; avec plus de foi et d’espérance ; qu’y a-t-il de plus souhaitable dans la vie ? » Henri Amiel

Vous pouvez d’ailleurs lire leur belle histoire ou faire un don via leur page Internet : cchsf.ca

Marie-Claude-Bibeau

Bilan de l’année 2023 d’une députée-ministre : Marie-Claude Bibeau fière de son année bien remplie

C’est sous le signe de la fierté que la députée de Compton-Stanstead et ministre du Revenu national, Marie-Claude Bibeau, a livré son bilan de l’année 2023 lors d’une conversation téléphonique, au milieu du mois de décembre.
Il faut admettre d’emblée qu’elle a vécu un très gros changement lors du remaniement ministériel de juillet 2023, qui l’a amenée à passer du ministère de l’Agriculture à celui du Revenu national, ce qui n’était pas banal, ce dernier s’avérant plus corsé et représentant pour elle l’équivalent d’un changement de vie et de carrière. Rien de moins.
« L’Agence du Revenu du Canada, c’est là qu’on retrouve tous les filets de sécurité sociale pour tous les Canadiens. Cela représente 45 milliards de dollars en prestations aux gens les plus vulnérables. Ce sont 60 000 employés qui reçoivent 16 millions d’appels bon an mal an », a imagé Mme Bibeau avec une fierté bien légitime dans la voix.
« C’est le ministère qui redistribue de la richesse pour aider les Canadiens. Nous avons également le rôle de la lutte à l’évasion fiscale. Cette année, nous avons récupéré 14,3 milliards de dollars par la vérification de l’impôt », a-t-elle évoqué.
Puis elle a admis vouloir volontairement commencer par la fin. « Nous venons tout juste d’annoncer la mise en place du nouveau régime d’assurance dentaire qui était très attendu par la population et qui sera traité de manière évolutive. Nous allons commencer par les personnes de 87 ans et plus qui vont recevoir sous peu leur lettre du gouvernement, pour qu’ils puissent s’inscrire. Par la suite, ce sera au tour des groupes de 77 à 86 ans en janvier 2024, puis des 72 à 76 ans en février 2024 et des 70 à 71 ans en mars 2024, et des 65 à 69 ans, en mai 2024, ainsi de suite. L’été prochain, les jeunes de 18 ans et les personnes avec un handicap pourront s’inscrire aussi », décrit-elle.
Elle a ensuite parlé de la nouvelle mesure pour faciliter l’épargne aux jeunes, via le Céliapp : « C’est pour leur permettre d’économiser pour l’achat de leur première maison. Ils peuvent ainsi mettre de côté 8000 $ par année sans payer d’impôts sur ce montant, jusqu’à 40 000 $, cela vaut la peine d’en faire la promotion. Contrairement à un REER, où on paie de l’impôt en le retirant, les jeunes ne paieront pas d’impôts non plus quand ils s’en serviront en le retirant pour l’achat de leur maison ! », déclare-t-elle avec enthousiasme.
Elle a aussi abordé les sujets qui touchent davantage les régions comme le Haut-Saint-François et son comté de Compton-Stanstead.
« Nous avons mis en place des mesures pour aider les Canadiens à faire face à l’inflation. Par exemple, la bonification de l’allocation canadienne pour enfants et certaines mesures pour faciliter et bonifier le financement des régions. Au chapitre du logement où il y a une véritable crise, nous avons entre autres aboli la TPS pour les constructions de logements locatifs et pour ceux construits par des coopératives, parmi plusieurs mesures favorisant la location à long terme », a-t-elle insisté.
Elle s’est également dite contente d’avoir participé à des sommets internationaux comme les G7, G20 et COP sur les changements climatiques, mais aussi aux Nations-Unies. « Le Canada ne peut pas s’isoler. Nos décisions en ce sens font également varier les taux de réfugiés qui nous arrivent et que nous pouvons accueillir », explique-t-elle.
Somme toute une année où la ministre peut conclure à un sentiment de satisfaction face à ses nombreuses actions.

La Passerelle

Vers une commémoration différente de la tuerie de Polytechnique : 12 jours contre la violence basée sur le genre

Marilyn Ouellet, la co-coordonnatrice, responsable des communications du Centre des femmes du HSF, La Passerelle, a parlé de la volonté de commémorer différemment la tuerie de l’école Polytechnique de Montréal cette année.

Il n’y aura pas cette année le même genre de vigile visant à commémorer la tuerie de l’école Polytechnique de Montréal, comme les années passées. Tous se rappellent bien cette tuerie en milieu scolaire la plus meurtrière de l’histoire du Canada, survenue le 6 décembre 1989, où 14 femmes ont été tuées par Marc Lépine, et 13 autres personnes blessées, avant que ce tueur s’enlève la vie.
Le Centre des femmes du Haut-Saint-François (HSF), La Passerelle, propose plutôt une activité spéciale qui s’intitule 12 jours contre la violence basée sur le genre , qui doit se dérouler du 25 novembre au 6 décembre 2023.
« Cela vise la violence faite aux femmes, aux personnes non binaires, les violences particulières comme les féminicides, etc. Nous voulons faire les choses différemment cette année », indique Marilyn Ouellet, co-coordonnatrice, responsable des communications de l’organisme.
« Nous proposons aussi la création d’une bannière spéciale sur les violences particulières comme les féminicides, en collaboration avec la Municipalité de East Angus. Cette bannière sera accrochée à un endroit bien visible à East Angus, le 6 décembre, très tôt le matin, jusqu’en soirée. L’endroit sera une surprise. Ce sera un geste important, car les personnes auront travaillé très fort pour produire cette bannière », révèle Mme Ouellet.
« Ce sera un affichage symbolique, avec un jeu de lumière et une boule pour chaque victime, soit les 14 femmes tuées lors de cette tuerie de Polytechnique. Dans un espace commémoratif », témoigne-t-elle.
Le geste veut se draper de significations politiques. Car la co-coordonnatrice, responsable des communications du Centre des femmes du HSF, La Passerelle, ajoute : « On sait très bien que ça n’avance pas très vite », en évoquant la cause qu’elle défend en même temps que son organisme, depuis plusieurs années.
« Nous nous battons pour obtenir des services psychologiques pour celles qui sont victimes d’actes criminels, qui seraient admissibles à une aide du programme de l’IVAC. Il y a longtemps qu’on dénonce les longues listes d’attente qui prennent des mois et des années. Il faudrait un investissement massif en santé mentale. Il n’y a même pas de psychologue qui offre des services dans le HSF », s’objecte-t-elle.
Elle continue sur le même ton. « Il faut arrêter que soient banalisés les actes de violence. Il faut plus que des campagnes de sensibilisation de la population. Par exemple, en ce moment, on vit beaucoup de violence relative à la transphobie. Il y a trop de propos qui remettent en question et se moquent de l’identité des personnes. Il y a une ridiculisation au quotidien des personnes trans, par exemple, qu’on peut voir au restaurant, dans la vie de tous les jours. Il faut que les gens arrêtent de les remettre en question tout le temps. Il y en a plus qu’on pense dans la région du HSF », décrit-elle.
Et ça peut être sournois, la violence. « Il y en a certaines violences dont on n’entend pas souvent parler. Comme les programmes inefficaces d’aide au logement, qui font que des femmes victimes de violence sont obligées de rester avec leur homme tortionnaire parce qu’elles n’ont pas d’autre logement où aller se loger. Comme aussi les coûts d’épicerie qui ne cessent d’augmenter, pour les femmes qui ont peu de ressources, aussi l’augmentation des coûts scolaires », donne-t-elle comme exemples qui briment des femmes.
« Nous venons de sortir d’une série d’ateliers d’autodéfense, qui s’adressait aux femmes et aux personnes de la pluralité de genres. Il n’aurait pas fallu que ce soit la première fois qu’on entende : “Non, on a le droit de prendre notre place”. Il faut se réapproprier le droit de dénoncer des violences, c’est difficile de plus en plus de faire ça. Il y a des choses qu’on n’est pas obligées d’accepter, par exemple, durant la saison des Fêtes qui s’en vient, simplement pour ne pas briser l’ambiance des réjouissances de cette saison positive, comme une petite tape sur les fesses de la part d’un cousin ou d’un proche qui n’est pas si proche… C’est un portrait réel, pour certaines catégories de personnes vulnérables comme celles-là, pas seulement des femmes », insiste-t-elle.

Bas

Cancer de la prostate : joignez-vous au combat !

Envie de soutenir l’importante cause de la santé masculine en contribuant à la lutte contre le cancer de la prostate ? Du 1er au 30 novembre, participez à la campagne Nœudvembre de l’organisme PROCURE ! Comment ? En arborant fièrement le nœud papillon 2023 ou en l’offrant à un ou plusieurs hommes de votre entourage !
La campagne, en bref
En 2023, Nœudvembre célèbre son 10e anniversaire. Cette initiative, qui se tient sur le thème Luttons avec style contre le cancer de la prostate, vise à amasser des fonds afin d’offrir du soutien aux hommes atteints de ce cancer et à leurs familles et à financer la recherche. Ainsi, pour chaque dollar récolté, 0,90 $ sert directement la cause.
PROCURE, seul organisme de bienfaisance québécois entièrement dévoué à la cause du cancer de la prostate, souhaite également sensibiliser la population à cette maladie qui demeure malheureusement taboue. Pourtant, à travers la province seulement, ce sont chaque jour 19 hommes qui en reçoivent le diagnostic.
Le nœud papillon 2023
Encore cette année, le renommé designer Philippe Dubuc a travaillé en collaboration avec PROCURE pour créer un nœud papillon à la fois sobre et élégant aux couleurs de la campagne. Chic et intemporel, celui-ci peut être porté pour une foule d’occasions variées.
L’organisme vous invite d’ailleurs à l’arborer le 19 novembre, Journée québécoise de sensibilisation au cancer de la prostate, en signe de soutien envers tous ceux qui sont touchés par cette maladie.
À vous de jouer !

Commandez votre nœud papillon !
Pour commander votre nœud papillon et son mouchoir de poche assorti, rendez-vous au boutique.procure.ca. Une collection Nœudvembre, qui comprend 7 paires de bas exclusives en plus du nœud papillon et du mouchoir 2023, est également offerte.

actualite

4 traditions émouvantes du 11 novembre

Le jour du Souvenir, qui a lieu chaque année le 11 novembre, est l’occasion de rendre hommage aux hommes et aux femmes ayant combattu au nom du Canada pour défendre ses nobles valeurs de paix et de liberté. En cette journée solennelle, plusieurs évènements à saveur commémorative se déroulent d’un océan à l’autre. Voici quelques-unes des traditions émouvantes associées à ces rassemblements.

  1. Lecture de l’Acte du Souvenir : il s’agit d’un extrait du poème intitulé Pour ceux morts au champ d’honneur de Laurence Binyon. Empreint de tristesse et de reconnaissance, ce texte bouleversant a été composé en 1914 à la suite de la mort de milliers de jeunes soldats.
  2. Minutes de silence : à 11 h, la population est appelée à se recueillir dans le silence durant deux minutes et à unir ses pensées afin de rendre hommage au courage de ceux et celles qui ont servi ou qui servent encore.
  3. Couronnes de fleurs : dans plusieurs municipalités, il est d’usage de déposer des couronnes de fleurs au pied des monuments commémoratifs aux anciens combattants. Les espèces choisies (tulipes, myosotis, marguerites, etc.) possèdent différentes significations telles que la gratitude, l’espoir et la résistance.
  4. Coquelicots : depuis 1921, le coquelicot est un symbole national du jour du Souvenir. Il est également le symbole reconnu de la Campagne du coquelicot de la Légion royale canadienne. Celle-ci vise à recueillir des fonds pour soutenir les vétérans et leurs proches. Porter le coquelicot le 11 novembre est un geste de solidarité et de respect.
    Chants, cornemuses, coups de canon, défilés… le 11 novembre, découvrez d’autres traditions du jour du Souvenir en vous joignant aux activités de commémoration de votre région !
inspection

3 raisons de prendre un rendez-vous pour une inspection de sa voiture avant l’hiver

Vous êtes propriétaire d’une voiture ? Comme l’hiver approche et que cette saison est remplie de défis, vous avez tout à gagner à faire inspecter votre véhicule par un professionnel. Voici trois arguments qui sauront vous convaincre de prendre un rendez-vous dès aujourd’hui !

  1. Parce que le moment est idéal : une inspection mécanique peut être réalisée n’importe quand durant l’année. Cela dit, l’effectuer en automne est avantageux. D’abord, vous pouvez combiner celle-ci avec la pose des pneus d’hiver. De plus, vous obtenez un véhicule en parfaite condition pour vos déplacements de fin d’année (les fameux partys de Noël et du jour de l’An chez la parenté !). Enfin, sauf exception, vous avez plus d’argent dans votre portefeuille avant les fêtes qu’après celles-ci !
  2. Parce qu’un expert peut détecter des problèmes invisibles : même si vous connaissez votre voiture «comme le fond de votre poche», celle-ci peut développer des problèmes en cachette. Autrement dit, si elle roule à merveille en ce moment, cela ne signifie pas qu’elle traversera l’hiver aussi facilement !
    Pour éviter de vivre un ennui mécanique nécessitant des réparations coûteuses ou de subir une panne sur la route alors qu’il fait très froid, mieux vaut vous assurer que tout est en bon état. Seul un mécanicien expérimenté possède les compétences et les outils pour repérer et corriger les moindres anomalies. Pensez-y !
  3. Parce qu’omettre une inspection peut vous faire perdre beaucoup d’argent : il est recommandé de procéder à des inspections deux fois par année, soit au printemps et à l’automne. Lorsque les problèmes sont détectés à temps, les réparations sont moins coûteuses et, élément non négligeable, les garanties sont honorées.
    Finalement, si vous prévoyez vendre votre voiture, avoir en main des preuves que celle-ci a été inspectée et entretenue régulièrement vous permettra d’en obtenir un meilleur prix !
pollissage

Entretien automobile : Le polissage des phares, est-ce que ça change vraiment quelque chose ?

L’hiver approche à grands pas. Votre voiture est-elle prête à l’affronter ? Si la sécurité vous tient à cœur, vous avez probablement déjà planifié une inspection et un entretien dans un atelier de mécanique. Or, si vous surveillez étroitement votre budget, il se peut que vous vous questionniez sur la pertinence d’effectuer certaines tâches, comme le polissage des phares. Est-ce une solution purement esthétique ? Est-ce réellement utile ? Voici quelques éléments à considérer pour prendre une décision éclairée !
Une question de sécurité
D’entrée de jeu, il faut se rappeler que les phares d’une automobile jouent deux rôles complémentaires essentiels :

  1. Ils vous permettent de bien voir lorsque vous conduisez pendant la nuit ou au crépuscule;
  2. Ils vous rendent visible aux yeux des autres automobilistes.
    Si vos phares sont ternis ou jaunis à cause des rayons ultraviolets, ils perdent de leur efficacité. Résultat ? Pendant l’hiver, vos phares rendus plus opaques pourraient vous empêcher d’apercevoir un obstacle à temps, ou un automobiliste pourrait remarquer votre présence une seconde trop tard… Comme vous pouvez le constater, il s’avère risqué de circuler avec des phares dont la transparence est altérée !
    Une solution peu coûteuse
    Si vos phares sont fissurés ou égratignés profondément, ceux-ci doivent obligatoirement être remplacés dans les plus brefs délais. Sinon, un simple polissage est une solution économique qui leur permettra de retrouver leur pleine efficacité — tout en rajeunissant instantanément l’apparence générale de votre véhicule ! Si vous le désirez, vous pouvez faire polir vos phares par des professionnels pour moins de 100 $ ou effectuer cette tâche vous-même, préférablement à l’aide d’une pâte non toxique.
    En somme, la transparence de vos phares augmente votre visibilité (et donc, votre sécurité !) au volant. En prévision des journées hivernales où la noirceur tombe de plus en plus tôt, voyez-y !
accessoires

Quels accessoires pour la voiture faut-il se procurer avant la saison froide ?

Pour sillonner les routes en toute sécurité cet hiver, il importe de s’équiper de quelques accessoires. En voici quelques-uns parmi les plus utiles !
Balai à neige : choisissez un balai à neige robuste, idéalement télescopique et muni d’un grattoir. De plus en plus de fabricants proposent des modèles dotés d’une raclette anti-égratignures (ex. : en mousse EVA ou en silicone) plutôt que d’une brosse. En effet, de petits cailloux ou d’autres débris peuvent rester coincés dans celle-ci et abîmer les vitres et la peinture.
Essuie-glaces : lors d’une tempête de neige ou quand les routes sont couvertes de gadoue, par exemple, il est très important que votre pare-brise soit bien dégagé. Pour une visibilité optimale, dotez votre véhicule d’essuie-glaces de qualité. Recherchez les modèles solides pourvus d’un revêtement supplémentaire en caoutchouc et dont l’armature est interne.
Tapis de caoutchouc : protégez votre habitacle (et le bas de vos pantalons !) contre les accumulations de neige fondue en vous procurant des tapis d’hiver résistants dont les rainures sont profondes. Retenez que ces accessoires sont également conçus pour protéger certaines composantes électroniques situées sous les sièges avant.
Pelle à neige : si votre véhicule ou celui d’un autre automobiliste près de vous s’embourbe dans la neige cet hiver, vous vous féliciterez d’avoir prévu le coup ! En effet, «pelleter» avec ses mains ou ses pieds est loin d’être efficace et peut engendrer des blessures. Procurez-vous une pelle légère avec un manche extensible.
Enfin, pour parer aux imprévus, n’oubliez pas de préparer une trousse d’urgence ! Celle-ci devrait entre autres contenir des vêtements chauds, de l’eau embouteillée, une lampe de poche et des plaques d’adhérence (traction aids).

creer coop

Comment créer une coop ?

Vous aimeriez démarrer une coopérative pour répondre collectivement à un besoin ? Voici un résumé des étapes à franchir pour mener à bien votre projet !
Formez un comité provisoire
Ce comité a entre autres pour tâches de veiller à la réalisation d’études de faisabilité et de viabilité et d’organiser le recrutement. Il est également responsable de concevoir le plan d’affaires qui guidera les actions de la coopérative et qui permettra d’obtenir du financement. Il va sans dire qu’être membre du comité demande un investissement de temps et d’énergie à ne pas négliger !
Préparez les projets de règlements
Les règlements de la coopérative visent notamment à répartir le pouvoir entre le conseil d’administration, la direction, les membres, etc. Le comité provisoire doit donc préparer des projets de règlements, lesquels devront être adoptés plus tard. Ces règlements concernent par exemple la régie interne et la procédure d’élection des administrateurs. Ils doivent en outre respecter la Loi sur les coopératives.
Constituez la coopérative
Pour que votre coop soit légalement constituée, vous devez faire une demande de statuts auprès du gouvernement. Pour ce faire, le comité provisoire doit tenir une réunion au cours de laquelle seront entre autres désignés deux membres fondateurs qui signeront la requête de constitution.
Tenez une AGO
L’assemblée générale d’organisation (AGO) doit avoir lieu le plus rapidement possible après l’émission des statuts de la coop (mais au plus tard six mois après celle-ci), puisque le comité provisoire ne peut alors plus agir en son nom. Elle a pour but d’accepter les règlements préalablement préparés et d’élire un premier conseil d’administration.
Démarrez les opérations
Enfin, le conseil d’administration peut lancer l’entreprise en fonction du plan d’affaires. Il doit établir des politiques, procéder à l’embauche du personnel, réunir des fonds pour le démarrage, etc.

Obtenez du soutien !
Pour réaliser votre projet, faites-vous accompagner par la Coopérative de développement régional du Québec (www.cdrq.coop), dont les divers bureaux couvrent l’ensemble de la province, ou par la fédération sectorielle à laquelle appartient votre secteur d’activité, le cas échéant.

Coop

Évoluer au sein d’une coop, ça vous dit ?

La Semaine de la coopération se tient du 15 au 21 octobre 2023, sur le thème Travailler COOP. À cette occasion, le Conseil québécois de la coopération et de la mutualité (CQCM) et ses membres vous invitent non seulement à découvrir les avantages de travailler au sein d’une coopérative ou d’une mutuelle, mais également à constater le large éventail d’emplois qui s’offrent à vous dans ce secteur.
Des avantages multiples
En choisissant un emploi dans une coop ou une mutuelle, vous pourriez notamment donner un sens à votre travail. Pourquoi ? Parce que vous auriez ainsi un réel impact positif sur votre collectivité !
Qui plus est, la coopération est un modèle d’affaires démocratique. En effet, les membres prennent part aux décisions selon le principe suivant : un membre = un vote. Dans ce type d’entreprise, qui ne recherche pas les profits à n’importe quel prix, votre emploi compte !
Des possibilités infinies
On trouve au Québec des coopératives et des mutuelles dans de nombreux domaines d’activité : agroalimentaire, services financiers et assurances, habitation, commerce de détail, énergie, télécommunications, etc. Celles-ci créent quelque 125 000 emplois à travers la province. Avec autant de choix à votre portée, vous pouvez certainement en dénicher un à votre mesure !
Pour lire les témoignages d’hommes et de femmes qui aiment travailler dans ce secteur ou pour prendre connaissance des emplois disponibles dans les coopératives et les mutuelles québécoises, visitez le effet.coop/evenements/semaine.

Le saviez-vous ?
Au Québec, il y a plus de 3000 coopératives et mutuelles. Elles comptent plus de 8,6 millions de membres actifs… et génèrent annuellement 51 milliards de dollars de revenus !

actualite

Mettre en vente une maison qui requiert des rénovations : ce qu’il faut considérer

Vous voulez vendre votre propriété, mais celle-ci a grandement «besoin d’amour» ? Dans ce cas, il faudra fournir des efforts supplémentaires pour la mettre en valeur et en obtenir un bon prix. Voici donc quelques points à considérer pour optimiser vos démarches.
Vente sans garantie
Si vous ne pouvez pas effectuer les rénovations sur votre propriété pour différentes raisons (ex. : par manque d’argent ou de temps), il est possible de la mettre en vente sans garantie légale de qualité. Dans ce cas, l’acheteur est d’accord de ne pas pouvoir vous poursuivre en cas de vice caché, par exemple. Autrement dit, il est parfaitement conscient des risques et les accepte, notamment parce que le prix de vente d’une maison sans garantie légale est nettement inférieur.
Inspection professionnelle
L’idée de vendre une propriété potentiellement dangereuse ou nécessitant des travaux à coûts astronomiques vous rend mal à l’aise ? Dans ce cas, faites-la inspecter par un professionnel. Ce dernier vous donnera l’heure juste sur sa condition, ce qui vous aidera à fixer un prix adéquat. De plus, cela vous fournira un argument de poids pour négocier lors de la vente. Si un acheteur intéressé affirme que votre toiture doit être entièrement remplacée, mais que votre rapport d’inspection indique qu’une simple réparation suffit, vous n’aurez pas à vous «obstiner» longtemps !
Enfin, retenez qu’il existe plusieurs stratégies pour rendre votre maison attrayante malgré les nombreux travaux à effectuer (épurer, dépersonnaliser, nettoyer, inclure des biens, etc.). Dans tous les cas, pour vous simplifier la vie lors de la mise en vente de votre maison, faites affaire avec un courtier immobilier de votre région !

Intérieur

5 tâches à accomplir à l’intérieur de votre maison avant l’hiver

La saison hivernale approche à grands pas. Pour rester bien au chaud durant les prochains mois et assurer votre confort, voici cinq tâches qui gagnent à être accomplies dès maintenant !

  1. Vérifier l’étanchéité des portes et des fenêtres
    Les portes et les fenêtres sont responsables de plus d’un quart des pertes de chaleur d’une maison. Si vos fenêtres laissent passer des courants d’air, l’installation d’une pellicule coupe-froid suffira pour diminuer votre facture de chauffage avant que vous n’envisagiez leur remplacement.
  2. Retirer les moustiquaires
    Celles-ci ont pour effet de favoriser la condensation sur vos fenêtres. Profitez de cette tâche pour nettoyer ces dernières — cela contribuera en outre à faire entrer plus de lumière et de chaleur !
  3. Entretenir votre chauffage et votre ventilation
    Nettoyez vos plinthes électriques pour éviter les odeurs de brûlé lors des premières utilisations; lavez ou remplacez les filtres de votre échangeur d’air; éloignez les meubles et les rideaux des sources de chaleur et procédez à l’inspection de vos appareils. Passez également un linge humide sur la grille et les pièces du ventilateur de la salle de bain.
  4. Vérifier l’état de tous vos détecteurs
    Nettoyez vos avertisseurs de fumée et de monoxyde de carbone pour retirer les saletés et la poussière; remplacez les piles si vos modèles le requièrent; assurez-vous qu’ils n’ont pas encore dépassé leur durée de vie et faites un test pour confirmer leur bon fonctionnement.
  5. Nettoyer le foyer et la cheminée
    Lavez et inspectez votre poêle ou votre foyer avant la première utilisation. Contactez une entreprise professionnelle pour procéder au ramonage de votre cheminée afin de bien la dégager (évitez les bûches de ramonage, leur efficacité n’étant pas optimale).
    Votre système de chauffage est âgé ou rencontre un problème ? N’attendez pas que les températures soient très froides avant de prendre rendez-vous avec des spécialistes pour effectuer une inspection complète ou faire des réparations !
A faire

Quelles tâches effectuer dehors pour se préparer à la saison hivernale ?

Les dernières journées où les températures sont clémentes constituent le moment idéal pour préparer votre terrain à affronter l’hiver. Voici quelques-unes des tâches que vous pouvez réaliser :
À ranger
Vidangez, nettoyez et rangez le bac à récupération d’eau et le tuyau d’arrosage. Entreposez (dans la remise, le garage ou encore le grenier) votre mobilier de jardin, les jeux extérieurs (jeux d’eau, planche à roulettes, ballons, etc.) et votre barbecue — à l’exception de la bonbonne de gaz, qui doit rester à l’extérieur.
À inspecter
Prenez le temps de faire le tour de votre propriété pour vous assurer que tout est en ordre. Le clapet des bouches d’évacuation d’air (sécheuse, hotte, etc.) et le robinet extérieur doivent notamment être fermés. Vérifiez l’état de votre toiture et de vos gouttières, puis retirez-en les débris (feuilles mortes, branches, etc.). Inspectez le crépi, le cadrage des fenêtres et les éventuelles fissures susceptibles de laisser passer les insectes ou de causer des infiltrations d’air et d’eau. Bouchez les trous au besoin.
À protéger
Amenez à l’intérieur toutes les plantes et les fleurs qui ne survivraient pas à l’hiver et que vous souhaitez conserver. Abritez adéquatement les petits végétaux (jeunes conifères, rosiers, etc.) qui pourraient être endommagés par les chutes de neige. Si nécessaire, coupez les branches qui pourraient tomber sur les fils électriques.
Le cas échéant, n’oubliez pas de procéder au nettoyage du serpentin de la thermopompe et à la fermeture de la piscine et du spa (sauf si vous prévoyez utiliser ce dernier l’hiver !).
Vos tâches révèlent un problème, comme un arbre dangereux, une fissure importante, des bardeaux manquants ou un bris quelconque ? Contactez des spécialistes de votre région pour corriger la situation !

chasse

Conseils pour une chasse au cerf de Virginie réussie

La chasse au cerf de Virginie est une expérience agréable et stimulante. Avec une planification et une préparation rigoureuses, vous pouvez multiplier vos chances de récolter du gibier. Voici donc quelques trucs pour réussir vos parties de chasse au chevreuil !
• Choisissez le bon endroit : avant toute chose, faites des recherches pour trouver les endroits où la chasse au cerf de Virginie est permise et où l’on en trouve en quantité. Repérez les emplacements où les animaux peuvent circuler en prenant en considération le terrain, la végétation et d’autres éléments.
• Tenez compte des différentes saisons : selon l’endroit où vous vivez, certaines périodes de l’année peuvent être plus productives que d’autres pour la chasse au chevreuil. Tenez compte de divers facteurs, comme les conditions météorologiques et les sources de nourriture disponibles, lorsque vous choisissez le moment où vous y allez.
• Préparez votre équipement : assurez-vous que tout votre équipement est prêt et en bon état. Au besoin, investissez dans des jumelles de qualité et des produits de contrôle des odeurs. Ceux-ci maximiseront votre capacité à repérer les cervidés de loin ou à passer inaperçu lors de leur approche.
• Faites preuve de patience : les habitudes de déplacement des chevreuils varient considérablement en fonction de la saison, mais la patience est toujours de mise lorsque vous essayez d’en localiser un dans la nature.
Si vous suivez ces conseils à la lettre, vous augmenterez vos chances de succès. À vous de jouer !

Le saviez-vous ?
Les chevreuils ont un odorat très développé. Dans des conditions optimales, ils peuvent sentir la présence d’un humain à un kilomètre de distance !

Erin Smith

Nouvelle propriétaire du Dépanneur East Angus : Erin Smith fait un métier exigeant, obligée d’être active

Erin Smith aime rencontrer ses clients et clientes, qu’elle traite avec beaucoup de respect, aux petits oignons… ! Elle a trouvé la recette gagnante en multipliant les services à leur rendre, de plusieurs manières, que ce soit pour les chasseurs, ou pour les gens qui doivent prévoir un repas sur le pouce. Pour ces derniers, il y aura dans le futur une section pour leur présenter des mets prêts-à-manger.

« Dans un dépanneur, ce que j’aime, c’est d’être sur le plancher, être avec mon monde. La paperasse à faire dans le bureau, ce n’est pas le meilleur pour moi. Voir les clients, leur parler, gérer l’inventaire, être active, ça, c’est pour moi ! Il y a toujours quelque chose à faire, il faut aimer le travail », dit Erin Smith, la nouvelle propriétaire du Dépanneur East Angus, en riant d’un rire contagieux.
Quand elle n’avait que 14 ou 15 ans, elle avait déjà beaucoup d’idées, à Waterville, dans la région de Coaticook, où elle demeurait.
« Je me disais, il devrait exister ceci… ou cela… J’étais jeune et j’avais déjà plein d’idées, j’avais même des inventions plein la tête. Mais ce n’est que plus tard, quand j’ai débuté en affaires, que j’ai pu vraiment en réaliser », admet Mme Smith.
« J’ai bien ri lors du congrès de l’entreprise Harnois, qui fêtait ses 65 ans les 14 et 15 septembre dernier à Québec. En passant, nous offrons le service de vente d’essence au dépanneur de Waterville, ce qui n’est pas possible à East Angus. Au congrès, il y avait des conférences sur les changements dans le domaine du commerce au détail. J’ai ri parce que certaines tendances nouvelles, qu’ils suggèrent d’implanter aujourd’hui dans les dépanneurs, je voulais déjà les faire en 2006. Il y a des années que je fais déjà certaines choses, comme ça. Par exemple, j’ai créé un point de chute pour la livraison des colis de l’entreprise de transport Purolator. Le livreur peut les laisser au dépanneur, et les clients qui n’étaient pas chez eux pour les recevoir ont la possibilité de venir les chercher ici », décrit-elle.
Elle a créé son premier dépanneur à Waterville, en 2005, quand elle avait 30 ans. « Je venais de tomber veuve quand mon mari est décédé dans un accident de travail. J’avais déjà mes trois enfants, à l’époque, ce fut un deuil difficile. Je ne sais pas si de me lancer en affaires m’a amené à prolonger mon deuil, ou si cela m’a aidé à le vivre et à le traverser… J’avais commencé mon dépanneur dans un petit local que j’avais loué. Puis j’ai pu acheter le garage et agrandir mon commerce. Beaucoup plus tard, la pandémie a changé beaucoup de choses pour bien du monde, en 2020 », raconte Erin Smith.
« J’avais décidé de vendre mon dépanneur de Waterville à mon fils, car j’avais déjà des idées de préretraite, à 45 ans. Mais ce fut plus long pour finaliser le projet, à cause de la pandémie, cela a retardé de passer chez le notaire, ce que nous avons pu faire seulement en 2021. J’ai continué à aider mon fils par la suite, mais j’ai finalement décidé de me sortir de l’endroit, pour lui laisser prendre sa place. Il est devenu plus autonome et a pris de la confiance en lui, c’était la chose à faire », indique-t-elle avec philosophie.
Elle a ensuite fait autre chose pendant toute une année, en acceptant le contrat de s’occuper de la cuisine chez Waterville TG. Mais cette expérience ne l’a nullement satisfaite. Elle est revenue à ses premières amours, en affaires, qui la rendaient plus heureuse ! C’est donc à la fin décembre 2022 qu’elle rencontrait les propriétaires du Dépanneur East Angus, qui était à vendre et qu’elle a décidé d’acheter. Ce qu’elle a fait avec ses trois enfants comme coactionnaires.
« Il y en a deux qui ont déjà un emploi, mais on ne connaît pas l’avenir. C’est un héritage à leur laisser. C’est leur transmettre un emploi, peut-être, mais aussi des valeurs », croit-elle.
Actuellement, en ce début d’automne, elle a neuf employés pour mener à bien son entreprise. C’est un chiffre qui évolue avec les saisons. « L’été, nous en avons jusqu’à 12. L’hiver, ça descend même jusqu’à cinq, ça varie. Mais comme je veux faire un aménagement pour la préparation de mets prêts-à-manger, ce sont des projets qui vont faire augmenter le nombre d’employés peut-être jusqu’à 15 ».
« À East Angus, j’aime beaucoup la chasse. C’était un challenge également de faire augmenter les affaires et les revenus. J’aime créer du nouveau dans mon dépanneur. J’ai donc une bonne section de tout ce qu’on peut offrir aux chasseurs pour leur passion », se réjouit-elle.
« Je vais d’ailleurs débuter à East Angus ce qui va devenir une belle tradition, que j’avais adoptée dès le début à Waterville : le Jour de la Femme, le 8 mars de chaque année, je remettais une fleur à chaque femme qui fréquentait mon dépanneur. Je trouve que c’est une belle tradition à recréer ici », conclut-elle.
Elle a, dans le passé, remporté un prix Jeune Entrepreneur, que lui a remis la SADC de la région de Coaticook, pour sa décision au début de créer sa première entreprise, à Waterville, malgré le contexte tragique de la mort de son conjoint et pour sa résilience, sa persévérance et sa réussite.

reseau

Femmes d’affaires : les bienfaits de se joindre à un réseau

Votre région a la chance de compter plusieurs femmes d’affaires audacieuses et déterminées. En plus de contribuer à faire rouler l’économie d’ici, elles constituent des modèles pour les écolières et les étu­diantes qui réfléchissent à leur avenir professionnel. Pour enrichir leur parcours, ces femmes inspirantes ont tout à gagner à tirer profit des réseaux. Voici pourquoi !
Services en tous genres
Les femmes qui se lancent dans le monde des affaires font face à de nombreux obstacles et défis. Celles-ci doivent porter plusieurs chapeaux et, bien souvent, s’attaquer à des tâches qui ne leur sont pas familières (rédiger un plan d’affaires, re­chercher du financement, acquérir des certifications, etc.).
Heureusement, les réseaux de fem­mes d’affaires offrent des services, comme des conférences, des formations et du mentorat (ou du marrainage), qui permet­tent à celles qui souhaitent se lancer en affaires ou qui veulent propulser leur en­treprise de parfaire leurs connaissances et de gagner en assurance !
Rencontres enrichissantes
Par ailleurs, être membre d’un ou de plusieurs réseaux de femmes d’affaires donne la possibilité de rencontrer une grande quantité de personnes clés aux parcours variés. Les activités de réseautage, qu’elles soient virtuelles ou en présentiel, mettent en relation des femmes ayant des points en commun et qui ne se seraient peut-être jamais rencontrées autrement. De ces échanges peuvent éclore des collaborations des plus fructueuses, voire naître des partenariats à long terme qui profiteront à toutes les parties impliquées.
Enfin, les réseaux de femmes d’affaires per­mettent de briser l’isolement, de trans­­mettre ses connaissances, d’obtenir du soutien et de tisser des liens d’amitié. Vous êtes une femme d’affaires ou songez à le devenir ? Quels que soient vos projets de carrière, joindre un réseau vous aidera à atteindre vos objectifs !

Eau vive

Manoir de l’EAU VIVE : Déjà 10 ans !

Le doyen et 1er résident, Marcel Fortier, au centre, coupe le ruban accompagné de gauche à droite de Steven Hallé, copropriétaire, Mario Gendron, maire de Cookshire-Eaton, Jean-Marie Dubé, directeur général et de Mario Choquette, copropriétaire.

Les résidents du Manoir de l’EAU VIVE à Cookshire-Eaton, résidence pour les personnes retraitées autonomes et semi-autonomes, ont récemment vécu une journée intense en émotion positive. Ils ont participé dans la bonne humeur à l’inauguration de la terrasse extérieure tout en soulignant le 10e anniversaire de cette ressource appréciée des occupants.
Le directeur général, Jean-Marie Dubé, et son adjointe, Marilyn Gaulin, en compagnie de toute l’équipe, ont concocté une journée dont les résidents en parlent encore. Les copropriétaires, Mario Choquette et Steven Hallé, ainsi que le maire de Cookshire-Eaton, Mario Gendron, se sont fait un devoir et plaisir de participer aux activités et de procéder à la coupe de ruban officiel. L’honneur du geste symbolique a été confié au premier résident à occuper les lieux, Marcel Fortier. Ce dernier âgé de 99 ans est toujours satisfait des soins qui lui sont prodigués. « C’est une bonne place, on est bien reçu, les gens sont smat, mais il manque de femmes », lance-t-il à la blague. Les participants ont savouré l’événement en dégustant de petites bouchées accompagnées de champagne.
Sur la terrasse, qui se veut un lieu paisible, on retrouve des balançoires et un gazebo. « C’est une belle place de relaxation près du ruisseau et avec beaucoup de verdure » de commenter, M. Dubé.
Les festivités se sont poursuivies avec un dîner gastronomique spécialement concocté par la chef, Aurianne Macron et son équipe. Le groupe So-Cool a contribué par la musique d’ambiance et même de danse pour les personnes en forme. Le party s’est poursuivi avec la tenue d’un casino auquel s’ajoutait le tirage de plusieurs prix de participation. La direction a également remis aux résidents et membres du personnel un sac fourre-tout avec le logo de la résidence et l’inscription soulignant le 10e anniversaire.
Rappelons que le Manoir de l’Eau VIVE a accueilli ses premiers résidents le 1er juillet 2013. L’édifice de 87 appartements luxueux comprend une aile de 14 chambres pour aînés en perte d’autonomie. La résidence compte 95 personnes anglophones et francophones dont la moyenne d’âge est de 83 ans. Le manoir offre une gamme de services et diverses commodités comme de grands salons, une vaste salle à manger, des salles communautaires, un salon de coiffure, de billard, une salle de cinéma, une piscine intérieure avec spa ainsi qu’un gymnase. L’équipe se fait un devoir d’offrir un milieu sécuritaire, confortable dans une ambiance familiale.

Gadgets

Connaissez-vous les gadgets qui simplifient la vie des aînés ?

Saviez-vous que de nombreux gadgets permettent de simplifier la vie des aînés en favorisant, entre autres, leur santé et leur sécurité ? En voici quelques-uns !
Les montres connectées : pratiques et polyvalentes, elles peuvent notamment surveiller en temps réel la fréquence cardiaque et la pression artérielle. De plus, elles ont parfois l’option d’un bouton d’urgence. Offrez-vous la tranquillité d’esprit !
Les assistants virtuels : ils peuvent répondre à vos questions, fournir des rappels pour la prise de médicaments, régler des alarmes, gérer vos autres gadgets pour la maison (ex. : thermostats intelligents) et plus encore !
Les téléphones simplifiés : les téléphones intelligents peuvent être complexes pour les aînés. C’est pourquoi il existe des appareils simplifiés qui offrent des fonctionnalités de base et une interface plus conviviale. Ils permettent de faire des appels et d’envoyer des messages texte en un tournemain. De plus, ils disposent souvent de boutons d’urgence pour contacter rapidement vos proches en cas de besoin.
Les gadgets futés pour les aînés offrent de nombreuses solutions pour faciliter leur quotidien. Vous voulez améliorer votre qualité de vie ? Visitez les commerces de votre région pour sélectionner les appareils qui répondent le mieux à vos besoins !

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