Mély Canin

Mély-Canin pour les nouvelles tendances

Soucieuse d’offrir les nouvelles tendances, la styliste toiletteuse Melany Bouffard de l’Animalerie et salon de toilettage Mély-Canin, à Cookshire-Eaton, offre le toilettage asiatique pour chien. Forte d’une récente formation avec la maître toiletteuse Patricia Parsons, Mme Bouffard est en mesure de transformer le look de votre animal. Elle a également suivi une formation spécialisée pour le toilettage félin. En affaires depuis 2 ½ ans, Mme Bouffard compte sur une équipe de deux personnes qui lui donne un coup de main soit Jessica Bédard et Billie Byrns.

ACTU-Bilan

Corporation de développement Cookshire-Eaton Innovation

Bien que son lancement officiel ne soit prévu que dans quelques semaines, la Corporation de développement Cookshire-Eaton Innovation compte déjà des réalisations à son actif.

L’organisme qui entame, sans trop faire de bruit, sa troisième année d’existence a joué un rôle avec la municipalité et le Centre de développement (CLD) du Haut-Saint-François dans l’arrivée de nouvelles entreprises. L’annonce en janvier dernier de la construction d’une microbrasserie, La brasserie rurale 11 comtés, un investissement global de 3 M$, et l’arrivée des Armoires de cuisine NAC, un projet de 2 M$, contribuent à stimuler l’économie locale et régionale.

Président de la corporation et maire de Cookshire-Eaton, Noël Landry est particulièrement fier du travail accompli. L’organisme est en voie de se structurer et se doter d’un plan d’action, précise-t-il. Pour y arriver, les membres du conseil d’administration ont procédé à l’embauche, il y a un mois, d’un consultant senior pour une période de six mois renouvelable. M. Vincent Cloutier, diplômé en marketing et détenteur d’un MBA, compte plus de 25 années d’expérience dans le domaine. Son mandat sera de jeter les bases de la corporation, entreprendre les démarches qui mèneront à un plan d’action et marketing tout en faisant le suivi des dossiers en cours. M. Cloutier, qui est également chargé de cours à l’Université de Sherbrooke et de Lennoxville, consacrera l’équivalent de trois jours semaine à sa nouvelle tâche.

Le maire Landry mentionne que l’embauche d’une ressource externe était devenue nécessaire. « L’administration interne de la municipalité n’arriverait plus à supporter l’organisme. Il y a de plus en plus d’activités économiques avec le même nombre d’employés à la ville », d’exprimer le maire. Ce dernier souhaite que l’organisme devienne autonome dans un avenir rapproché. « C’est un bras économique qu’on s’est donné pour accroitre la rapidité dans l’approche, le démarchage pour aller chercher de nouveaux clients. On n’est pas la première ville qui fait ça, Magog, Windsor, Sherbrooke, Weedon et Scotstown le font. »

  1. Landry croit que la corporation de développement devrait poursuivre sur la lancée du PDZA (Plan de développement de la zone agricole), dans l’agriculture et la foresterie. Pour lui, la microbrasserie s’inscrit dans le cadre du PDZA et les Armoires NAC dans la foresterie. Satisfait de l’élan de l’organisme, son président mentionne que d’autres projets sont sur la table. « On a des terrains prêts à bâtir à Cookshire et Sawyerville. On est prêt à faire des locations avec option d’achat », de lancer avec conviction le président de la Corporation de développement Cookshire-Eaton Innovation.
Bénévolat

Le bénévolat, un terreau fertile et prospère pour notre société

Saviez-vous qu’au Québec, plus de deux millions de citoyens s’impliquent dans leur communauté de façon bénévole ? Du 23 au 29 avril 2017, cette contribution considérable et indispensable à la collectivité est soulignée dans le cadre de la Semaine de l’action bénévole 2017, une initiative de la Fédération des centres d’action bénévole du Québec (FCABQ). Le thème évocateur retenu pour cette 43e édition est: Bénévoles: Créateurs de richesses.

Au premier abord, cette façon de qualifier l’action bénévole peut susciter l’étonnement. En effet, comment est-ce possible de créer de la richesse lorsqu’on travaille sans obtenir de rémunération ? En réalité, il faut considérer que le bénévolat se situe au cœur de multiples secteurs d’activité, que l’on songe aux projets parascolaires, aux sports amateurs, aux évènements culturels, aux initiatives pour la protection de l’environnement ou au mentorat professionnel, pour n’en nommer que quelques-uns.

Ainsi, la participation massive d’individus dévoués crée une richesse collective indéniable dont, il faut l’admettre, nous ne pourrions nous passer. Songez-y un instant: sans le bénévolat, des milliers de citoyens du Québec (personnes handicapées, aînés, enfants, adolescents, malades, parents, etc.) se trouveraient privés de ce qui leur apporte bien-être, tranquillité d’esprit, divertissement ou soutien moral au quotidien. Imaginer les conséquences désastreuses d’une société sans bénévoles ne peut que donner la chair de poule…

Cette semaine, des évènements en tous genres sont organisés dans l’ensemble du Québec pour rendre hommage aux bénévoles et sensibiliser la population à leur contribution dans l’optique bien assumée d’inciter cette dernière à s’impliquer à son tour ! Pour plus de détails, visitez le www.fcabq.org.

Afeas East Angus

L’Afeas East Angus pourrait cesser ses activités faute de relève

Faute de relève, l’Association féminine d’éducation et d’action sociale (Afeas) East Angus pourrait cesser ses activités, et ce, après un peu plus de 50 ans d’activité.

C’est du moins ce que laisse entendre la présidente du mouvement, Carole Blais. « On n’a pas de relève. Les femmes ont le vouloir, mais pas le pouvoir. Elles sont vieillissantes. » Mme Blais rappelle que le mouvement a considérablement contribué à améliorer la condition des femmes que ce soit pour le congé parental, le congé de compassion, la femme collaboratrice, le patrimoine familial et autres. « Les jeunes ne se rendent pas compte du travail de fait. Ils se sentent plus concernés. »

Mme Blais mentionne que l’organisme a mené un sondage auprès des jeunes, effectué des publicités avec les diverses réalisations, sans succès. « On a approché les jeunes, mais ils n’ont pas d’intérêt. Ils travaillent à l’extérieur, ils ont des activités avec leurs enfants les fins de semaine. Avant, c’était plus facile pour les femmes; les activités, c’était une sortie », d’exprimer la présidente.

L’Afeas East Angus compte 16 membres dont neuf sont actives selon Mme Blais. À l’exception de deux femmes, la moyenne d’âge se situe approximativement à 75 ans. L’organisme tiendra son assemblée générale annuelle en mai prochain et l’avenir du mouvement sera à l’ordre du jour.

UNE-Jeunesse fr

Énergie jeunesse Haut-Saint-François voit le jour

Plusieurs organismes et partenaires du milieu désireux d’améliorer le sort des enfants et des jeunes adultes viennent de créer Énergie jeunesse Haut-Saint-François. L’idée est née à partir de la réflexion portant sur plusieurs problématiques relevées sur le territoire et de l’engagement solidaire de différents participants lors d’une grande rencontre tenue au Centre culturel d’East Angus.

Des suites de la conclusion de la Table jeunesse, un comité de vigies s’est créé afin de réfléchir sur une nouvelle formule de concertation visant la résolution de diverses problématiques vécues sur le territoire. « L’exercice était de ressortir les enjeux de la jeunesse », explique Sylvain Lessard, du Carrefour jeunesse-emploi (CJE). Depuis les deux dernières années, le comité composé de huit membres s’est penché sur différents thèmes se retrouvant défavorablement, en tête de liste des dernières statistiques. De leur résultat, ils ont convié les différents partenaires et organisations dans le but de prendre décisions sur les prochaines actions à entreprendre. Outre plusieurs organismes du milieu, notons la présence du CIUSSS de l’Estrie – CHUS, de la communauté anglophone d’Eastern Townships ainsi que Robert Roy, préfet à la MRC du HSF, et Dominic Provost, directeur général de la MRC et du CLD.

L’étude a permis de faire ressortir quatre problématiques importantes sur le territoire. Les agressions à caractères sexuels, la maltraitance et la négligence, la santé mentale et le suicide ainsi que la consommation de drogue et d’alcool. « Aujourd’hui ce qu’on demande, c’est de délibérer », mentionne M. Lessard. Entretemps, les membres du comité dont Renée-Claude Leroux de la Commission scolaire des Hauts-Cantons, Sylvain Lessard du CJE, Myrthô Ouellette de Haut-Saint-François fou de ses enfants, Marilyne Martel du CIUSSS de l’Estrie – CHUS, Jinny Mailhot de la CDC, Éric Martineau de Projet PRÉE, Jean-Guy Tessier du Collectif territorial ainsi que Sébastien Tison du Comité loisir de la MRC, ont pris parole à tour de rôle et livré des faits et statistiques surprenants sur chacun des enjeux retenus. « Ce sont des sujets assez alarmants, ce n’est pas des petits cas, ce sont des trucs assez lourds. Il faut travailler ensemble de manière très serrée », mentionne Mme Mailhot de la CDC. L’objectif étant de mettre en ordre de priorité les grandes problématiques et les placer dans un calendrier dont la première rencontre sera en octobre 2017 et la suivante en janvier 2018. Une tâche dont l’ensemble des gens réunis a eu du mal à délibérer puisque tous les sujets amenés sont importants et lourds de conséquences. Deux sont finalement sortis du lot et seront les premiers thèmes de la prochaine rencontre, soit la santé mentale et le suicide ainsi que les agressions à caractères sexuels.

Ensemble, le comité souhaite que les acteurs du milieu travaillent en collaboration sur de petites actions afin d’en faire naître des grosses, à la hauteur de leurs moyens. Robert Roy, préfet, sensible au sujet se rapportant à la jeunesse et inquiet de l’ampleur de la tâche lance « je trouve ça tellement gros, je suis avec les jeunes tous les jours et j’essaie de tout voir. Comment allez-vous faire pour faire un suivi qui va donner quelque chose de concret ? » Renée-Claude Leroux a rapidement répondu « c’est la raison d’être du fait qu’on est là. Il faut se réunir et regarder ce qui se passe. On ne pourra pas tous les sauver, mais le premier pas est important », conclut-elle.

Entretemps, le comité de vigie va ramasser l’information sur la thématique choisie pour arriver préparé à la rencontre d’octobre et pouvoir bâtir quelque chose de concret.

UNE-Chèque

15 334,60 $ pour les jeunes

L’équipe de Léo Désilets maître herboriste, Façotek, à Scotstown, a tenu parole et amassé plus que l’objectif de 10 000 $ pour le parc-école Saint-Paul. En fait, c’est un chèque de 15 334,60 $ que les représentants ont remis au directeur d’école Matthew Maclure, à la grande joie des enfants présents lors de la remise officielle du montant.

Benoit Fortin, directeur de l’entreprise, mentionne que le surplus est attribuable à la générosité des commanditaires qui ont donné plus d’argent que prévu et le nombre de participants 370 alors que l’on attendait 300 personnes. Avec le surplus, le directeur de l’école a bon espoir d’être en mesure d’ajouter un second module au projet de quelque 65 000 $. « On regarde pour en mettre un deuxième, mais ça va dépendre de la subvention. Si on a le maximum, on regardera pour un autre module et agrandir la surface. » Rappelons que le projet de parc-école prévoit un module auquel s’ajoutent quatre balançoires, un jeu du genre planche à roulettes dans un tube, une bascule et un carré de sable. On souhaite également installer des bancs et deux grandes tables.

Le directeur ignore pour l’instant quand se fera le début des travaux. « On attend la réponse de subvention du ministère. Une fois qu’on l’a, les travaux pourraient aller rapidement, un mois. » Quoi qu’il en soit, on croit que le tout sera prêt pour la prochaine rentrée scolaire.

Mentionnons que les municipalités de Scotstown, Hampden, les marchands, la commission scolaire et d’autres activités de financement effectuées par les élèves de l’école complèteront le financement du projet parc-école Saint-Paul à Scotstown.

ACTU-Marc-André Skelling

Marc-André Skelling remet ses gants de boxe

Un peu plus de deux semaines après avoir appris la fâcheuse nouvelle que des traces de cancer étaient apparues dans deux ganglions, Marc-André Skelling, aux prises avec la maladie de Hodgkin, s’apprête à remettre ses gants de boxe pour se battre à nouveau. Le jeune homme de 26 ans d’East Angus ne cache pas que la dernière nouvelle a été dure à avaler. « J’étais pas triste. J’étais vraiment en tabar… C’est plus ça. C’est de la rage plus que de la tristesse. Se faire dire encore on recommence, le même pattern, la même affaire, c’est surtout ça qui est frustrant. »

Pourtant, tout semblait bien aller depuis un certain temps. Marc-André subit un traitement expérimental provenant des États-Unis, mais qui n’est pas encore reconnu par Santé Canada. L’effet de l’intervention ne vise pas à guérir le patient, mais bien à endormir la maladie. Ce qui semble avoir donné de bons résultats puisque depuis juillet dernier, tout semblait au beau fixe pour Marc-André.

Avant de connaître les résultats du dernier scan, dévoilés le 17 mars dernier, Marc-André avait une mauvaise intuition « j’avais dit à ma chum, ce scan-là, je le sens pas. J’avais pas de douleur, mais la manière que j’étais fatigué plus souvent. J’allais faire une sieste en après-midi comme avant. D’habitude, je n’en avais pas besoin. J’étais capable de faire ma journée. Je me suis dit oh fu.. je reviens dans le même pattern. » Il mentionne qu’en décembre dernier, son oncologue, Dr François Castilloux, lui avait mentionné avoir décelé quelque chose. « Il m’a dit qu’il y avait de quoi, mais ne savait pas si c’était une source d’inflammation, d’infection ou quelque chose qui était cancéreux. Il a dit on va le revoir dans trois mois, à l’autre scan, pour voir ce que c’est, si c’est encore là. Mais je m’en doutais, j’aimais mieux pas en parler pour avoir de belles fêtes. »

Sa mère, Muguette Skelling, qui accompagnait Marc-André au moment de la mauvaise nouvelle, était sous le choc d’apprendre que son fils n’avait pas fait part de ses craintes en décembre dernier. « On était sous le choc, mais quand tu apprends une nouvelle comme ça, ce n’est pas le temps de lui taper dessus », d’exprimer son père, André Skelling. « Mais on lui a demandé de jamais, jamais, jamais nous cacher quoique ce soit même si c’est pour nous ménager. De ne pas prendre ça seul. On a toujours été là pour les bons moments comme pour les plus durs et ça va continuer. »

Au moment de la rencontre, Marc-André attendait des nouvelles pour le début des nouveaux traitements. Celui expérimental se poursuit, précise-t-il, « le médecin m’a parlé d’une autre sorte de chimiothérapie plus la radiothérapie. J’attends de savoir quand ça va commencer. » Marc-André et ses parents admettent que la dernière nouvelle n’a pas été facile à prendre, mais il n’est pas question d’abandonner, au contraire. La situation n’est pas facile à vivre au quotidien, mais la famille de Marc-André avec ses frères et leur compagne profite au maximum des beaux moments qu’ils passent ensemble. « En fin de semaine, on est allé à la cabane. On savoure ces petits moments qu’on apprécie. » Mme Skelling ajoute que d’autres beaux moments se pointent dont la naissance de nouveau-nés. La conjointe du plus jeune frère de Marc-André devrait donner naissance au cours des prochains jours et celui-ci en sera le parrain. Son autre frère devrait vivre la même expérience en septembre. « Ces beaux moments, ça aide », d’exprimer Mme Skelling.

Tous ensemble avec Marc-André poursuivent le combat et leur implication dans le milieu. Le jeune homme sera le président d’honneur de la collecte de sang qui se déroulera le 5 avril prochain au Centre de formation professionnelle de Lennoxville et les membres de sa famille seront présents pour donner de leur sang. Fort de l’amour et des témoignages d’appui, Marc-André n’a pas l’intention d’abandonner même si parfois la route présente des embûches.

ACTU-Marc Rousseau

Marc Rousseau lauréat

Marc Rousseau d’East Angus a reçu les honneurs lors du Mérite estrien volet engagement bénévolat. Le trophée lui été remis lors du gala, tenu pour l’occasion, à l’Université de Sherbrooke dernièrement. Témoins de son implication, M. Rousseau était accompagné de Denis Brault, ancien propriétaire des Résidences du Haut-Saint-François et sa conjointe Lise, de la directrice adjointe de la résidence, Annie Breton, ainsi que Thérèse Domingue, responsable du Transport de personnes dans le Haut-Saint-François.

La candidature de M. Rousseau a été proposée par la Ville de East Angus, qui est contraire à leurs habitudes, exprime le lauréat. « Je ne suis pas habitué de recevoir, je suis capable d’en donner, mais en recevoir, j’ai un peu de difficulté, mais ça fait plaisir », exprime humblement le récipiendaire. M. Rousseau est actif dans la communauté de façon bénévole depuis bien des années, déjà il en cumule une dizaine aux Résidences du HSF, en plus d’être impliqué depuis 14 ans auprès des Chevaliers de Colomb. Pour Caritas, il participe à la campagne du pain partagé et il est au Transport de personnes HSF depuis 34 ans, anciennement le Transport du bonheur.

Aux grands maux les grands remèdes, M. Rousseau souffre de fibromyalgie et ce n’est pas la douleur qui le fera manquer une journée malgré la souffrance. « Je ne veux pas rester à la maison pour me plaindre sur mon sort. Ça donne quoi de rester à maison, ça ne m’améliorerait pas de toute façon. J’y vais pareil, mais j’en fais un peu moins. Je n’avance pas comme d’habitude, il ne faut pas s’arrêter à ça, il faut se donner un bon coup de pied dans le derrière », témoigne Marc Rousseau, en guise d’exemple pour les gens qui souffrent de cette maladie.

ACTU-Maire

Lyne Boulanger sur les rangs

Trois mois après être installée dans le fauteuil de maire, Lyne Boulanger annonce qu’elle sollicitera un mandat au poste de maire d’East Angus lors de l’élection du 5 novembre prochain. « Ce nouveau défi amène une nouvelle énergie qui sommeillait en moi », déclare-t-elle.

Rappelons que Mme Boulanger a succédé au maire Robert Roy, qui a quitté ses fonctions pour cumuler celles de préfet de la MRC du Haut-Saint-François.

Conseillère municipale depuis 2001, Mme Boulanger estime qu’elle en est rendue à cette étape « et je suis très fière d’avoir accepté ce nouveau défi. Dans les dernières années, nous avons accompli beaucoup de changements, notre image a changé, énormément de travail a été fait et il y a encore beaucoup d’autres projets que je veux mener à terme. »

Mme Boulanger mise sur ses 16 années d’expérience, sa connaissance des dossiers ainsi que sur sa détermination et sa ténacité, dit-elle, pour relever les défis à titre de maire.

ACTU-Ken

Photo de Ken McGinn

Nous tenons à préciser que la photo accompagnant le texte traitant du jeune coureur sur motoneige, Steven Marquis, publié dans notre dernier numéro, est l’œuvre du photographe Ken McGinn de l’entreprise XtremeCanada.

actualite HSF

Énergie jeunesse Haut-Saint-François kicks off

A group of organisations and community partners aiming to improve the circumstances of children and young adults has just created a collaborative table, Énergie jeunesse Haut-Saint-François (in English, probably to be christened Energy and You). The idea grew out of discussions on the many problems identified in the region, and the shared commitment of the different participants during a large meeting at the East Angus cultural centre.

Resulting from the work of the Youth Table, a watchdog committee was created to reflect on a new form of collaboration that would aim to resolve various difficulties experienced in our region. “The exercise was to highlight the issues that young people have,” explained Sylvain Lessard of the Carrefour jeunesse-emploi (CJE). Over the two past years, the committee of eight members looked at different difficulties. At the top of the list were the most recent statistics. With the results of their research in hand, they invited various partners and organisations to help decide on the next steps to take. Besides numerous community organisations, also present were representatives of the CIUSSS de l’Estrie – CHUS, Townshippers’ Association and the Eastern Townships School Board, as well as Robert Roy, Prefect of the HSF RCM, and Dominic Provost, director general of the RCM and the CLD.

The exploration resulted in highlighting four important issues in our region: sexual assault, mistreatment and neglect, mental health and suicide, and drug and alcohol use. “Today, what we are asking is to deliberate,” said Lessard. Committee members then took turns speaking: Renée-Claude Leroux of the Hauts-Cantons school board, Sylvain Lessard of the Carrefour Jeunesse-Emploi, Myrthô Ouellette of the Haut-Saint-François fou de ses enfants, Marilyne Martel of the CIUSSS de l’Estrie – CHUS, Jinny Mailhot of the CDC, Éric Martineau of the Partners for Educational Success (Projet PRÉE), Jean-Guy Tessier of the Territorial Collective, and Sébastien Tison of the Comité loisir de la MRC. They shared some surprising facts and statistics about each of the four selected issues.

“These are topics that are really alarming. They’re not small cases, they’re quite heavy problems. We have to work really closely together,” said Mailhot. The objective of the group was to prioritize the broad issues and schedule them for discussion at gatherings, with the first in October 2017 and the next in January 2018. This task was difficult for the assembled participants, because all the topics discussed were important and had serious consequences. Two were finally selected to be the first themes dealt with at the next two gatherings: mental health and suicide, and sexual assaults.

Together, the committee hopes that the community partners collaborate on small actions, insofar as they are able, in order to bring about big changes. Robert Roy, prefect, sensitive to issues relating to youth and concerned about the size of the task, commented, “I find this so big, I am with youth everyday, and I try to see everything. How are you going to follow up in a way that has concrete results?” Renée-Claude Leroux quickly responded, “This is why we are here. We have to come together and look at what is happening. We cannot rescue everyone, but the first step is important.”

Between now and the next meeting in October, the watchdog committee plans to gather information about the theme for that meeting, to enable participants to take concrete measures.

Jambon de Pâques

Jambon traditionnel à l’érable et aux ananas

Dégageant un arôme enivrant lors de sa cuisson, cette recette traditionnelle est délicieuse et facile à réaliser. Gageons qu’elle sera la vedette de votre repas de Pâques !

Ingrédients

(Pour 10 à 12 personnes)

  • 1 boîte de conserve de tranches d’ananas dans leur jus (pas dans le sirop)
  • 1 jambon entièrement cuit de 2,5 à 3,5 kg 
(avec ou sans os)
  • 1 douzaine de clous de girofle
  • ½ tasse de sucre brun
  • ½ tasse de sirop d’érable
  • 1 c. à table de moutarde de Dijon
  • ½ c. à thé de mélange «5 épices chinoises»
  • 1 orange tranchée (pour garnir)

Préparation

  1. Préchauffer le four à 350 °F.
  2. Égoutter les ananas en prenant soin de conserver le jus. Avec un couteau, entailler le dessus du jambon en diagonale dans les 2 sens (voir photo). Avec des cure-dents au besoin, placer les tranches d’ananas sur le jambon et le piquer ici et là avec les clous de girofle.
  3. Dans un petit chaudron, porter à ébullition le jus d’ananas, le sucre brun, le sirop d’érable, la moutarde de Dijon, les épices et ½ tasse d’eau. Laisser mijoter cette sauce à feu doux pendant 8 à 10 minutes.
  4. Placer le jambon sur une grille, puis dans une rôtissoire peu profonde. Verser 2 tasses d’eau dans la rôtissoire.
  5. Avec un pinceau de cuisine, badigeonner généreusement le jambon avec la sauce.
  6. Placer au four pendant 40 minutes. Sortir la rôtissoire du four, badigeonner le jambon une deuxième fois, tourner la rôtissoire de 180 degrés et la remettre au four pour encore 40 minutes. Insérer un thermomètre dans la partie la plus épaisse de la viande; le thermomètre doit indiquer 140 °F. Remettre au four si nécessaire et badigeonner le jambon de nouveau, tant qu’il restera de la sauce. Laisser reposer au moins 15 minutes avant de servir. Garnir avec l’orange tranchée.
ACTU-Haiti

Aide humanitaire en Haïti

Même si elle estime que ses visites annuelles à l’orphelinat de la Congrégation des Petites Sœurs de Sainte Thérèse en Haïti équivalent à une goutte dans l’océan. Force d’admettre que depuis neuf ans, Carmen Simard et les personnes qui l’ont accompagnée au fil de ces années ont déversé plusieurs gouttes qui sont devenues un ruisseau, puis une rivière de changements, amenant sur son passage de nombreuses améliorations pour les orphelines âgées de 5 à 18 ans.

Comme chaque année, Mme Simard accompagnée cette fois de Céline Saint-Pierre, de son conjoint Rhéal Rouleau, et d’une jeune mère de famille Anne Pharisa Jaquet, se sont présentés sur place les mains pleines d’accessoires et un projet, celui de réparer les bâtiments pour recevoir trois toilettes et des douches. « On avait huit valises avec nous et on avait envoyé par bateau un baril comprenant divers objets scolaires, des livres, des draps et autres », d’exprimer Mme Simard.

La délégation du secteur Johnville à Cookshire-Eaton et de Martinville a débarqué avec 4 000 $ US en poche pour réaliser le projet de rénovation de toilettes et de douches. Cet argent, comme l’explique Mme Simard, est investi sur place et sert à payer les matériaux et la main-d’œuvre. « Ça donne du travail aux gens du pays », explique-t-elle. Les travaux étaient supervisés par M. Rouleau. « C’était un gros projet de refaire les toilettes. Il fallait creuser à la main la fosse septique. Les ingénieurs là-bas avaient fait les devis », d’expliquer M. Rouleau. Outre l’argent pour réaliser les travaux, le groupe disposait d’une enveloppe de 850 $ US pour l’achat de nourriture. « C’est grâce à Caritas Estrie », de préciser Mme Simard.

Notre délégation a passé cinq jours sur place à Petite Rivière de l’Artibonite où est situé l’orphelinat. Outre les travaux liés au projet, le quatuor québécois avec de l’aide a épierré à la pioche une partie du terrain et enlevé les roches pour permettre aux jeunes de jouer. « On a essayé de ramasser les déchets. C’est pas dans leur culture de ramasser les déchets. Il y en a partout », d’exprimer Mme Simard.

Pour sa part, Mme Pharisa Jaquet a mis ses talents artistiques à l’œuvre en effectuant, avec l’aide de Mme Saint-Pierre et des orphelines, des dessins sur les murs et un gigantesque cœur où les filles apposaient leurs mains. « Elles étaient émerveillées et épanouies », d’exprimer l’artiste. Habituée à faire ce genre de mission, Mme Simard mentionne que le groupe est toujours attendu. « Les religieuses parlent de nous à l’évêque que nous avons rencontré. » Quant aux orphelines, « elles se regroupent autour de nous, nous touchent. On fait des bingos avec elles et autres jeux. Elles nous présentent un spectacle à notre arrivée et à notre départ », mentionne Mme Simard. « Là-bas ajoute-t-elle, les orphelines participent à toutes les tâches que ce soit la cuisine, le lavage. Les plus grandes vont au marché. »

Lors de leur passage, la délégation remet plusieurs présents aux orphelines soit vêtements, bijoux, montre, batteries de rechange, livres scolaires, brosse à dents et des serviettes hygiéniques lavables, ce qui est particulièrement apprécié des jeunes filles, précise Mme Pharisa Jaquet. Les orphelines ont également reçu des articles provenant d’une cinquantaine d’élèves de l’école de Waterville ainsi qu’une lettre personnalisée.

Au cours de leur périple, le trio s’est arrêté à l’école située à Papaye remettre divers articles aux élèves qui sont parrainés par des Québécois. Ces derniers défraient entre autres les études de leur étudiant parrainé. Le groupe prend des photos des élèves qu’ils remettront aux parrains-marraines.

Mme Simard assure que tout l’argent recueilli est remis « et est pleinement utilisé. L’argent se rend directement. » À peine de retour, cette dame au grand cœur a déjà une bonne idée du projet pour son 10e périple. « L’an prochain, on aimerait mettre de la céramique dans les toilettes et les douches, mais ça reste à définir avec les religieuses. Ce sont les religieuses qui dictent leur besoin. » Au fil des années, Mme Simard et ses acolytes ont contribué entre autres à faire une bibliothèque, la fenestration et la toiture de la salle à manger, refaire une partie du dortoir, rafraîchir la salle d’études et faire des tables de chevet. Mentionnons que la délégation défraie les coûts et l’hébergement de leur voyage. Les sommes distribuées proviennent entre autres de la Fondation Fraternité Haïti des Trois Lacs et diverses activités de financement.

De retour au Québec, le quatuor est toujours ému de leur expérience. « Je trouve ça bouleversant quand on dit que demain on repart et que les jeunes disent Rhéal amène-moi avec toi. » Pour Mme Pharisa Jaquet « c’est au retour que je fais une grosse remise en question. Je me dis, on est chanceux et on se plaint. On a plein de choses et il y a des gens malheureux. Là-bas, ils ont à manger et elles ont le sourire, elles sont heureuses et joyeuses. Elles ont la joie de vivre. » Mme Saint-Pierre en est à son 4e voyage et elle n’a pas l’intention de s’arrêter, au contraire.

Histoire forestière de Bury

L’histoire forestière de Bury

La Société d’histoire et du patrimoine de Bury, en collaboration avec l’Association forestière du sud du Québec, invite la population à une journée spécialement dédiée à l’histoire de la foresterie.

« À partir d’une réflexion de la société d’histoire et du patrimoine se questionnant sur les origines de la municipalité, il a vite été réalisé que la forêt a eu une énorme influence sur le développement de Bury », explique Alain Robert, membre de la société et fanatique d’histoire. La foresterie a non seulement participé au développement de Bury, mais également de tous les Cantons de l’Est et l’ensemble de la province. Le projet présenté à Ghislain Bolduc, député de Mégantic, l’a immédiatement intéressé et il sera d’ailleurs sur place lors de l’évènement. Selon M. Bolduc, ce genre de projet devrait être fait à la grandeur du Québec.

C’est en effectuant quelques recherches que la société d’histoire a constaté que le premier vecteur économique important fut la foresterie. Entre autres, ils ont localisé plusieurs lieux où étaient exploités des moulins à scie, aujourd’hui disparus. À l’époque, beaucoup de famille sont venus travailler dans le secteur et y sont restés dont les ancêtres de Roch Lapointe, qui donnera une conférence sur l’arrivée de ceux-ci. Durwood Dougherty viendra faire un témoignage sur le métier de draveur. Le président de l’Agence de mise en valeur de la forêt privée en Estrie (AMVFPE), Jean-Paul Gendron, un expert dans le domaine, y sera également pour sensibiliser les gens que la forêt c’est « économiquement tellement important », comme il le dit si bien, raconte M. Robert. Un souper d’époque «Comme au chantier» sera servi, donnant l’occasion de revivre en toute simplicité les soirées festives et de durs labeurs de ces hommes courageux qui ont bâti la région.

En soirée, le documentaire «L’Homme des bois», de Simon Rodrigue sera présenté et il est un projet de valorisation et de transmission du patrimoine forestier. C’est l’histoire de nos grands-pères et arrières-grands-pères. D’hommes travaillant et dévoués qui repoussaient les limites pour nourrir leur famille et qui ont malgré tout, aimé leur métier. Un film qui transmet toute la misère vécue, racontée avec le sourire de l’homme qui a bûché sa vie.

Un musée d’un jour permettra également de découvrir des outils utilisés par les travailleurs d’autrefois. Le tout sera présenté au Centre communautaire Manège Militaire le 22 avril prochain, entre 15 h et 21 h. Pour de plus amples informations, contactez Véronique Thibault veronique@afsq.org ou 819 562-3388.

actualite HSF

The History of Forestry in Bury

The Bury History and Forestry Society, in collaboration with the Association forestière du sud du Québec (Forestry association of southern Quebec), invites the public to a day that is especially dedicated to the history of forestry.

“Growing out of a reflection by the Historical and Heritage Society on the origins of the municipality, we quickly realized that the forest had an enormous influence on the development of Bury,” said Alain Robert, member of the society and a history buff. Forestry played a role in the development of not only Bury, but also of the entire Eastern Townships and the whole of the province. The project was presented to Ghislain Bolduc, provincial deputy for Mégantic, and he was immediately interested. He plans to attend the event. Bolduc opined that this kind of project should be carried out Quebec-wide.

In carrying out its research, the Historical Society realized that the primary important economic motor was forestry. Among other things, they located a number of places where sawmills were operated in the past. In the early days of settlement, many families came to work in the sector, and stayed. Among them were the ancestors of Roch Lapointe, who will give a talk about their arrival. Durwood Dougherty will offer a testimonial on the job of a log driver. The president of the Agence de mise en valeur de la forêt privée en Estrie (agency for private forest management in the Estrie, AMVFPE), Jean-Paul Gendron, an expert in the domain, will also be present to sensitize participants to how “economically important” the forest is, as he says so well, said Robert. A supper similar to those in oldtime work camps will be served, giving an opportunity to experience the simplicity of the festive evenings and the hard work of the courageous men who built the region.

In the evening, the documentary “L’Homme des bois” (man of the woods) by Simon Rodrigue will be presented. It is a project that appreciates and transmits the forestry heritage. It’s the story of our grandfathers and great-grandfathers, hardworking and devoted men who pushed back boundaries in order to feed their families, and who, in spite of everything, loved their work. It’s a film that imparts the misery experienced, told with the smile of men who toiled all their lives as lumberjacks.

A one-day museum will also let participants discover the tools used by the workers of yesteryears. All this will be presented at the Armoury Community Centre in Bury on April 22, from 3 to 9 p.m. For more information, contact Véronique Thibault at veronique@afsq.org or 819-562-3388.

ACTU-Élévateur Westbury

Westbury investit 170 000 $ dans une plateforme élévatrice et autres

Dans le souci de faciliter l’accessibilité à l’hôtel de ville, plus particulièrement à la salle du conseil, la municipalité de Westbury vient d’investir 170 000 $ pour installer entre autres une plateforme élévatrice verticale pour personnes à mobilité réduite. Les élus ont également profité de l’occasion pour rénover quelque peu le bâtiment.

Adèle Madore, directrice générale de la municipalité, mentionne que le projet est largement subventionné par divers programmes. Du montant global, 100 000 $ proviennent du programme de la taxe sur l’essence et contribution du Québec (TECQ) et 50 000 $ du Fonds pour l’accessibilité aux infrastructures pour les personnes à mobilité réduite. Une somme de 20 000 $ a été absorbée par la municipalité.

Les travaux consistent à l’installation de la plateforme élévatrice verticale, à la fenestration, au revêtement extérieur ainsi qu’à un agrandissement afin de rendre accessible la sortie d’urgence par l’intérieur.

Borne de recharge électrique

D’autre part, Mme Madore laisse entendre que le propriétaire du bâtiment abritant le McDonald’s et le dépanneur situé à cheval sur les territoires d’East Angus et de Westbury, M. Diljeet Sur, aurait mentionné l’installation d’une borne de recharge pour voiture électrique du côté restaurant, situé à Westbury. Pour l’instant, on ignore quand la borne sera fonctionnelle.

ACTU-Diversité sexuelle

Sensibilisation à la diversité sexuelle et de genre en ruralité

La Corporation de développement communautaire (CDC) du Haut-Saint-François amorce un projet afin de faire sortir de l’ombre les minorités sexuelles en ruralité et sur l’ensemble du territoire. Faire du Haut-Saint-François un environnement propice à l’insertion et l’acceptabilité de la diversité est également l’intention de l’organisme.

La CDC a reçu une aide financière de 9 000 $ du bureau de lutte contre l’homophobie, qui est désigné par le gouvernement du Québec. Il collabore avec de nombreux partenaires, afin que la société reconnaisse les personnes lesbiennes, gaies, bisexuelles, transgenres et transsexuelles (LGBT). L’objectif est d’en arriver sous peu, à ce que le Haut-Saint-François accueille la diversité sexuelle et en devienne Le Haut-Saint-François vous accueille et qu’il soit un milieu fier de sa diversité, explique Jinny Mailhot, directrice générale à la CDC. « Dans une logique de développement social économique dans une MRC, pour contrer l’exode, pourquoi ne pas parier là-dessus, en invitant ou en faisant en sorte que les gens reviennent », lance Martin Mailhot, agent de projet à la CDC. Le premier pas étant fait, lors du tout premier colloque sur la diversité sexuelle et de genre en ruralité tenu en automne dernier, une sensibilisation a été implantée par les divers intervenants. Un suivi auprès d’eux a permis d’avoir une répercussion positive sur les pratiques et manières de travailler. Ce qui a eu un impact social concret sur les interventions, mentionne la directrice de l’organisme.

Pour cette année, la CDC mise sur l’accessibilité sociale et politique. Rencontrer des personnes qui vivent dans le haut et qui sont issues de la diversité. Une douzaine de personnes de tous les groupes d’âge sont d’ailleurs invitées à prendre contact avec la CDC. L’objectif est de cumuler les témoignages qui serviront à créer un recueil et permettra de mettre la lumière sur comment ils vivent. Le tout peut être traité en toute confidentialité, mentionne Jinny. Des témoignages et anecdotes seront recueillis. Des capsules vidéo sur un ton humoristique sont également parmi le projet amorcé et serviront à sensibiliser et éduquer la population à l’homophobie. « On veut que les gens du HSF nous parlent comment ils vivent ici », témoigne Jinny. Tout comme le colloque, la CDC effectuera un suivi sur l’impact social afin de voir quel est le changement sur la vision et le regard des gens envers la population en général, ainsi que les acteurs du milieu, élus et différents partenaires, explique la directrice.

ACTU-Chocolat

Des activités «chocolatées» pour célébrer Pâques

Qui dit Pâques dit… chocolat ! Vous en raffolez ? Voici quelques idées d’activités qui le mettent à l’honneur et qui sont parfaites pour profiter pleinement du congé pascal !

Papilles comblées

Envie de vous régaler ? En plus de la traditionnelle chasse aux œufs de Pâques, vous pourriez organiser une dégustation de chocolat durant laquelle les participants, les yeux bandés, auraient pour mission d’identifier le type de chocolat ou le parfum dominant, par exemple. Si vous et vos enfants aimez mettre la main à la pâte, un atelier de confection de chocolat est également tout indiqué pour Pâques. Et pourquoi ne pas effectuer une tournée des chocolateries de votre région pour faire le plein de délices ? Enfin, une fondue au chocolat saura assurément plaire aux gourmands, petits et grands !

Détente assurée

Besoin de décompresser ? Offrez-vous un divin massage au chocolat qui permet notamment de réhydrater la peau pour vivre un moment de pur bonheur ! Si pour vous détente rime plutôt avec lecture, pas de problème: il existe une foule de livres sur le chocolat qui sont des plus inspirants… Que diriez-vous de plonger dans votre lecture avec une bonne tasse de chocolat chaud ?

Découvertes inusitées

Avide de connaissances ? Certains musées ou centres d’interprétation se feront un plaisir de vous en apprendre plus sur l’incomparable chocolat (ses nombreuses vertus, sa fabrication, ses diverses utilisations, etc.) et son histoire, de sa découverte à aujourd’hui. Vous pouvez aussi tester vos connaissances en famille grâce à un quiz sur le chocolat (on en trouve une foule sur le Web). Que le meilleur gagne… un énorme chocolat, bien sûr !

ACTU-Caritas Estrie

Mélissa Lessard reçoit les honneurs

Mélissa Lessard, une jeune femme d’East Angus impliquée dans la communauté, a reçu le prix Abbé Desève Cormier, remis par Caritas Estrie dans le cadre de la Fête des bénévoles. La distinction est spécifiquement dédiée à des gens qui se démarquent par leur participation volontaire comme les diverses campagnes de financement de Caritas Estrie.

Mère monoparentale, cela n’empêche pas Mme Lessard d’être présente dans plusieurs organismes et offre de son temps dans son milieu.

Dévouée à diverses causes, elle est active au sein de plusieurs conseils d’administration ou comme bénévole. Pour Caritas Estrie, elle est responsable des campagnes pour le secteur East Angus. Elle siège au CA du Centre des Femmes La Passerelle du HSF et au corps de cadets de la ligne navale succursale Sherbrooke. Elle est également impliquée à la Commission scolaire des Hauts-Cantons comme présidente au comité consultatif pour les élèves handicapés et en difficulté d’apprentissage et d’adaptation (EHDAA). Mme Lessard siège sur le conseil d’établissement de la Cité-école Louis-Saint-Laurent, elle est catéchète pour la paroisse d’East Angus et également bénévole pour Moisson Haut-Saint-François.

Aujourd’hui, si Mme Lessard est autant impliquée c’est parce qu’on a cru en elle. C’est Mme Andrée de La Passerelle, qui l’a initié. « Depuis, c’est devenu une éducation sociale qui me permet d’apprendre en touchant un peu à tout. J’apprends différentes choses sur divers sujets, ça me permet d’avoir une vision globale des réalités de la région », exprime la jeune femme dévouée. « Si Andrée n’était pas venue me chercher, je ne serais pas là, ça m’a permis de briser une certaine gêne, d’avoir confiance en moi et de me redécouvrir moi-même en tant que femme », souligne Mme Lessard.

Humble, Mélissa Lessard est surprise de recevoir ce prix, car elle considère que plusieurs sont là depuis plus longtemps qu’elle et s’impliquent davantage.

actualite HSF

Où comptez-vous bruncher à Pâques ?

Vous êtes chargé d’organiser le traditionnel brunch de Pâques de la famille ? Vous devez avant tout déterminer où se réunira tout ce beau monde pour célébrer et se régaler, évidemment ! Besoin d’inspiration ? Voici quelques suggestions !

Traquez les menus pascals

À l’occasion de Pâques, une foule de restaurants modifient leur menu, que ce soit pour un repas spécial ou encore pour l’ensemble du congé, afin d’offrir à leur clientèle un festin de circonstance. Ainsi, renseignez-vous auprès de vos établissements préférés: le brunch pascal de vos rêves avez-vous envie d’agneau ou de jambon ? vous y attend peut-être !

Réservez votre déjeuner

Les préférences de chacun sont diversifiées et difficilement compatibles avec un menu unique sans compter les diverses allergies et intolérances alimentaires… En optant pour un restaurant spécialisé dans les déjeuners, quoi de mieux pour qui veut bruncher ? vous êtes sûr de ne pas vous tromper ! Un conseil: réservez votre table, car vous ne serez sans doute pas les seuls à vouloir déjeuner au restaurant à Pâques.

Recevez à la maison

Votre salle à manger est grande et vous aimez cuisiner ? Pourquoi ne pas accueillir oncles et tantes, cousins et cousines, grands-parents et compagnie pour le repas, quitte à leur demander un peu d’aide pour tout préparer ? Quelques fleurs printanières pour égayer la maison, de jolies décorations bricolées par vos enfants, la recette de jambon de votre arrière-grand-mère, et le tour est joué !

Quel que soit l’endroit où vous mangerez, n’oubliez pas que l’important, après tout, c’est de se rassembler dans une ambiance festive… Joyeuses Pâques !

 

Et la cabane à sucre?

Jambon, fèves au lard, soupe aux pois, sirop d’érable, musique entraînante… la cabane à sucre n’a-t-elle pas tout ce qu’il faut pour fêter Pâques ? Réservez tôt !

ACTU-BMR

Une journée portes ouvertes qui fait des heureux

Plusieurs producteurs agricoles ont profité de la récente journée portes ouvertes au BMR Centre de rénovation G. Doyon à East Angus, pour profiter des nombreux rabais sur les produits Agrizone. Les visiteurs ont également eu la chance d’échanger avec des représentants pour discuter de fenaison, de luminosité dans les bâtiments et de drainage. Un léger goûter et le tirage de prix de présence ont complété cette journée appréciée des producteurs.

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