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La saison des marchés publics lancée !

C’est la belle saison qui s’annonce et qui voit poindre, aux quatre coins du Haut-Saint-François (HSF), les abondants marchés publics en légumes, en fruits et plusieurs autres denrées, pains, fromages, gâteries, fleurs, etc. Tout ça pendant une période appréciée par les adeptes d’une alimentation santé remplie de délices, de beauté et de fraîcheur !
À Dudswell, la saison s’est amorcée de façon précoce, où l’impatience des bénévoles, qui sait, s’est exprimée dès le 11 mai avec des nouveautés et attraits. Ce marché public se poursuit donc jusqu’au 14 septembre inclus, de 9 h à 11 h 30, tous les samedis au jardin patrimonial.
À Bury, toujours les samedis aux deux semaines, soit le 15 juin, 13 et 27 juillet, 10 et 24 août, et le 7 septembre, au 569 rue Main, de 10 h à 13 h, le marché s’ouvre avec toutes ses merveilles. Les produits fins de l’érable de Virgin Mady, des As du fumoir/Fame Bio, Amyco (champignons séchés), de la Ferme Renaissance, du miel Julie Paillé et les produits odorants Scenty sont à l’honneur, de même que la ferme Boucherie Le Sabot d’or et la Ferme Flora Libella, en rotation. Chaque marché présente une thématique, dont glissade d’eau le 15 juin; salade de pâtes grecques et les desserts des Cuisines collectives le 13 juillet; nachos, salsas et boisson alcoolisée le 27 juillet (avec permis d’alcool); la thématique bleuets le 10 août et la thématique pommes – produits transformés aux pommes et pains le 24 août, et le 7 septembre épluchette de blé d’Inde avec le cocktail Le Robinson (permis d’alcool). Toute la population est invitée et les personnes qui ont du temps pour devenir bénévoles, svp contactez le bureau municipal pour donner votre coup de main !
À La Patrie, où chaque participant-exposant est unanime en exprimant qu’il s’agit du marché public qui a la plus belle vue sur la montagne, à l’Abri-bois du 44, rue Chapleau, le marché public s’ouvrira le jeudi 27 juin prochain, de 16 h à 18 h. Une rotation de six à huit exposants chaque semaine offrira plusieurs produits qui varieront au fil des marchés. De la musique assurera une belle ambiance, une cantine sera disponible sur place. Le 5 septembre, maraîchers et artisanat. Tous les samedis jusqu’au 29 août, les gens peuvent venir pique-niquer. Épluchette de blé d’Inde, Fête des récoltes le jeudi 12 septembre.
Au secteur Sawyerville, de Cookshire-Eaton, au Jardin communautaire, 70 chemin de Randboro, différents ateliers seront offerts, avec des sujets comme l’horticulture, fines herbes, jardinage, etc. Plus d’infos à venir. Pour ce qui est du Marché villageois de Sawyerville, situé au cœur du Jardin Communautaire, s’ouvrira le 29 juin, de 10 h 30 à 13 h, et se terminera le 28 septembre inclus. Différentes animations viendront égayer chaque marché du samedi matin. Des organismes locaux feront des présentations et le four à pain cuira les fameuses pizzas et du pain, évidemment ! Un réfrigérateur «free-go», offert par le Centre d’action bénévole du HSF et installé dans une petite remise, offrira différents aliments.
Attention : un certain nombre de marchés publics municipaux ne reviennent pas en été 2024, temporairement ou pour une durée indéterminée, une décision qui leur appartient pour toutes sortes de raisons, que ce soit un manque tout simplement de rentabilité, du nombre de bénévoles pour s’en occuper ou encore du nombre d’exposants pour en animer la tenue semaine après semaine… Plusieurs exposants n’ont peut-être pas le personnel suffisant pour répondre à cette demande où il faut de l’assiduité, du zèle, de la volonté et des efforts d’organisation considérables. En souhaitant que le contexte économique s’améliore et leur permette dans le futur un retour dans la liste des marchés publics actifs et rentables, pour le bien de leur communauté !

jacob

Élève finissant de la polyvalente Louis-Saint-Laurent : Jackob Ménard a reçu la médaille de la lieutenante-gouverneure

Jackob Ménard, étudiant finissant de 17 ans à la polyvalente Louis-Saint-Laurent à East Angus, a reçu la médaille de la lieutenante-gouverneure, des mains de Mme Manon Jeannotte elle-même. Un honneur bien mérité, selon les gens de son entourage.

Un jeune élève de la polyvalente Louis-Saint-Laurent, à East Angus, Jackob Ménard, finissant de 17 ans, a l’honneur d’avoir reçu la Médaille de la lieutenante-gouverneure du Québec, Mme Manon Jeannotte, pour sa très grande implication bénévole dans son quotidien d’étudiant. Cette médaille se nomme également Médaille de bronze pour la jeunesse.
C’est Marie-Claude Leroux, organisatrice communautaire à l’équipe-école de la polyvalente, qui a soumis la candidature de Jackob pour cette reconnaissance de prestige.
« Jackob est un élève beaucoup engagé, qui démontre beaucoup de leadership et de belles valeurs entrepreneuriales. Il a animé la Soirée Country qui servait d’activité de financement pour la Fondation Louis-Saint-Laurent, et il s’implique au sein de plusieurs comités internes de la poly pour les finissants, entre autres, comme le comité du Bal, etc. Il a aidé à produire des capsules promotionnelles au sujet d’East Angus et pour différents organismes, il a créé une petite entreprise avec d’autres jeunes. Il a de la «drive», il aime rendre service, c’est un bon animateur, on peut compter sur lui. J’ai consulté d’autres personnes de son entourage, et sa candidature faisait l’unanimité. C’était très mérité, dans son cas ! », a indiqué Mme Leroux.
Le jeune étudiant s’est montré modeste lorsque joint pour commenter l’hommage qu’on lui rend présentement.
« J’ai été surpris et heureux quand j’ai reçu l’appel. Je ne connaissais même pas l’existence de la médaille, je ne m’y attendais pas du tout ! », a-t-il fait remarquer.
« J’ai une vie bien remplie. Même si je n’ai pas beaucoup de temps pour moi, tout le temps que je donne, c’est comme du temps pour moi. J’ai souvent l’impression que je n’en fais pas assez, car c’est ce que j’aime faire. J’aime avoir plusieurs projets, être impliqué dans plein de comités. C’est ce que je veux faire durer à long terme. »
Questionné si à son avis le bénévolat est assez reconnu dans la communauté, il a été formel : « Je crois que non. Cela mériterait de l’être davantage. C’est quand même rare que je dise non à une implication, j’apprends toujours quelque chose en me rendant utile. Il y a toujours quelque chose de possible à faire dans l’entourage. Mes amis, mes professeurs et mes parents me gardent motivé, cela permet de continuer et de vouloir toujours en faire plus ! », de conclure Jackob Ménard.

Escadron670HSF

38e parade annuelle de l’Escadron 670 HSF : Les jeunes cadets et cadettes à l’honneur !

La revue des troupes des cadets s’amorce avec le Colonel honoraire des Sherbrooke Hussars, David Walter Rothschild, accompagné par le commandant de la parade, l’adjudant 1re classe Zavier Desruisseaux, le représentant de la Ligue des cadets de l’air du Québec, Roch Leblanc, la présidente du comité répondant de l’Escadron 670 HSF, Mélanie Laroche, et du capitaine Pascal Yergeau, commandant de cet escadron.

Un événement important s’est déroulé le samedi 25 mai dernier, soit la 38e revue annuelle des cadets et cadettes de l’Escadron 670 Haut-Saint-François (HSF), activité militaire qui porte également le nom de cérémonial et de parade de fin d’année. Cela se déroulait à l’aréna Robert-Fournier, d’East Angus, fourni gracieusement par la Ville comme partenaire important.
Cet escadron regroupe une vingtaine de jeunes engagés dans un genre de service d’ordre militaire, astreints à une certaine discipline, avec rigueur et sérieux, sous le commandement du capitaine Pascal Yergeau, à East Angus. C’est pour eux le moment de l’année qu’ils espèrent longtemps et appréhendent souvent, car c’est le moment qui couronne leurs efforts par des récompenses, trophées et médailles qui signifieront beaucoup pour chacun d’eux.
« Nous sommes six officiers pour nous occuper de cette vingtaine de cadets et cadettes, qui doivent démontrer rigueur et uniformité, des qualités qui vont leur servir tous les jours à leur âge adulte, et pour le reste de leur vie ! », insiste le capitaine Yergeau.
« Ils créent un esprit de corps. Souvent, ils arrivent seuls dans notre organisation et ils repartent avec des amitiés durables pour toute la vie. Les jeunes sont parfois gênés et ça leur permet de se développer d’une bonne manière. J’ai en tête l’exemple d’un jeune anglophone, qui ne parlait à peu près pas français. Et à la fin de l’année, ses notes ont explosé en français ! », raconte Pascal Yergeau, très jovial.
« Les jeunes cadets ont participé à des activités durant toute l’année, en suivant l’horaire scolaire, bien sûr. Et nous tenons notre revue annuelle aujourd’hui, avant la période des examens de la fin d’année scolaire. Mais il leur reste des activités encore à venir, une vente de hot-dogs, une soirée country, un camp de cadets à la base militaire de Bagotville, comme récompense, un beau voyage », énumère le commandant de l’Escadron 670. « Le Canada compte 56 000 cadets, dans les trois groupes, armée de terre, de l’air et la marine. En tant qu’officiers, nous devons nous adapter à la jeunesse d’aujourd’hui, plus techno que celle du passé. »
La cérémonie de fin d’année était présentée sous le commandement du cadet-commandant, l’adjudant 1re classe Zavier Desruisseaux, et sous la présidence d’honneur du colonel honoraire des Sherbrooke Hussars, David W. Rothschild.
Plusieurs remises de trophées, de médailles et de barrettes de reconnaissance pour années de services ont été remises aux plus méritants et pour l’assiduité de certains.
Faute d’espace, notons au passage ceux et celles qui se sont démarqués davantage :
– À toute seigneure tout honneur, l’adjudant 2e classe Caera Boisvert, qui a raflé le Trophée Intérêt et participation, la prestigieuse Médaille Strathcona et la barrette 4 ans de service. Elle a volé la vedette de toute l’après-midi !
– En plus d’assurer le commandement de la parade qui lui permettait de se mettre en évidence, le cadet-commandant adjudant 1re classe Zavier Desruisseaux a reçu, pour sa part, le Trophée du meilleur sous-officier et la barrette 5 ans de service.
– Par ailleurs, la sergente Ophélia Harel s’est vue gratifiée de deux Trophées, le premier pour la plus grande amélioration et celui du Niveau 3. Finalement, le sergent Caleb Taylor s’est mérité la Médaille de la Légion canadienne.
Félicitations à ces faits d’armes remarquables, et à plusieurs autres récipiendaires également très méritoires.

Maison5eSaison

Grâce à une aide financière de 170 000 $ : La Maison La Cinquième Saison s’agrandit

L’édifice de la Maison La 5e Saison, rue Des Pins, à Lac-Mégantic.

Une aide financière de 170 000 $ a été accordée par le gouvernement du Québec, en provenance du Fonds au bénéfice de la communauté de Lac-Mégantic, pour l’agrandissement de la Maison La Cinquième Saison, qui peut accueillir les adultes dont l’espérance de vie est de trois mois et moins, habitant les territoires des MRC du Granit et du Haut-Saint-François (HSF).
Le projet vise l’amélioration de la qualité de vie des usagers et des employés, par la modernisation du poste de soins, afin de rendre plus ergonomique son fonctionnement, de même que l’installation d’un solarium et son aménagement pour les usagers.
L’institution gérée par l’organisme à but non lucratif (OBNL) sera fermée pendant la durée des travaux, du 25 juin au 19 juillet. La réouverture s’effectuera le 24 juillet prochain.
« Les soins palliatifs et les services d’accompagnement offerts par la Maison La Cinquième Saison aux personnes se trouvant au crépuscule de leur vie sont très importants pour les communautés des MRC du Granit et du HSF. Au fil du temps, de nombreuses familles et membres du personnel vont profiter des nouveaux aménagements. Je souhaite que l’espace solarium permette aux usagères et usagers, ainsi qu’à leurs proches, d’adoucir ce passage », a transmis le député de Mégantic et président du caucus du gouvernement, François Jacques.

St venant

Pour les poètes en herbe et en verve… : La Grande nuit de la poésie de Saint-Venant-de-Paquette

De nombreux artistes se produiront à la Grande nuit de la poésie de Saint-Venant-de-Paquette, du 17 au 18 août 2024, pour le plaisir et l’euphorie poétique des mordus de poésie.

Un événement culturel d’envergure, soit la Grande nuit de la poésie de Saint-Venant-de-Paquette, se prépare tranquillement pour s’insérer dans l’actualité culturelle du samedi 17 au dimanche 18 août 2024, de 15 h à 3 h du matin, sur trois sites au cœur du village de Saint-Venant. Soit à l’église, sous le chapiteau et à la Maison de l’arbre. À inscrire à votre agenda.
Pour les intéressés, il s’agit de 12 heures de poésie ininterrompue ! Presque voisine du Haut-Saint-François, la Municipalité de Saint-Venant-de-Paquette, située en Estrie dans la MRC de Coaticook, accueille les mordus de poésie, et même ceux qui le sont moins, pour la quatrième édition de l’événement, en 2024. Le poète-slameur bien connu David Goudreault agit comme directeur artistique, avec des dizaines de bénévoles pour l’épauler.
Plus d’une quarantaine d’artistes se relaieront pour faire vivre aux participants plusieurs expériences enrichissantes, par le biais de lectures, d’ateliers de création, des micros ouverts pour s’y exprimer, des visites du sentier poétique, des conférences, un karaoké de poèmes, des spectacles de musique incluant celui de Richard Séguin et ses acolytes, dont les preuves ne sont plus à faire.
Est prévue comme nouveauté 2024 une compétition amicale de slam mettant en scène plusieurs dizaines d’enfants de différentes écoles de la région. De plus, à ne pas manquer le Slam des pros.
L’activité est présentée par les Amis du patrimoine de Saint-Venant-de-Paquette, en collaboration avec Hydro-Québec, le Conseil des arts et des lettres du Québec et le Mouvement Desjardins. L’accès au site est gratuit et il est possible de camper sur place, en échange d’une contribution volontaire. Plus d’infos au www.nuitstvenant.org

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Un premier Concert Apéro le 30 juin

Le dimanche 30 juin, dès 17 h, toute la population du HSF et les visiteurs sont invités au premier Concert Apéro de la saison 2024, annoncé par la Galerie d’Art Cookshire-Eaton.
Ce sera l’occasion de découvrir le talent exceptionnel du Duo Vivo, qui mettra en vedette les deux violonistes Roxanne Sicard et Richard Zheng.
Les deux virtuoses artistes de ce superbe instrument à cordes introduiront les participants aux morceaux incontournables du répertoire pour deux violons, datant des 17 et 19es siècles.
Leur prestation retentira dans le parc des Braves de Cookshire-Eaton. En cas de pluie, le tout se transportera à l’église Trinity United Church, à un jet de pierre du parc.

Lucille Hall

À l’occasion d’un souper communautaire des Chevaliers de Colomb : Salle rebaptisée du nom de Lucille Hall

Lucille Hall est ici entourée par le Grand Chevalier Gérard Leclerc, la mairesse de East Angus Lyne
Boulanger et Marc Rousseau, secrétaire financier des Chevaliers de Colomb East Angus.

Les Chevaliers de Colomb East Angus ont rebaptisé la salle du rez-de-chaussée de leur édifice de la rue St-Pierre, du nom de Lucille Hall, à l’occasion d’un souper communautaire donné en son honneur, qui a réuni plus de 130 personnes.
Ce fut là l’occasion pour Mme Hall de vivre un grand moment d’émotion, elle qui ne s’en attendait pas du tout, n’ayant pas été prévenue à l’avance du geste de reconnaissance que le Conseil 2649 des Chevaliers de Colomb East Angus allait poser à son endroit.
La nonagénaire qui aura 97 ans le 18 juillet prochain, a fait preuve de vivacité d’esprit et d’un charme juvénile, témoignant de sa facilité avec le public, durant la courte cérémonie de confirmation du nouveau nom qu’arbore désormais la salle. C’est la mairesse de East Angus, Lyne Boulanger, qui a dévoilé la petite plaque confirmant le tout, portant l’inscription Salle Lucille Hall – Femme d’exception, impliquée pour sa communauté et précieuse bénévole pour les Chevaliers de Colomb. Inaugurée le 24 mai 2024.
« Nous avons voulu souligner sa très grande implication pendant de nombreuses années pour notre organisme. C’était important pour nous de lui rendre hommage pendant qu’elle est encore vivante. Elle est encore active, à son âge. Elle aime encore vendre des billets, vendre aussi des cartes de bingo les vendredis soirs, bénévolement, et accueillir les gens lors de nos activités », a déclaré Marc Rousseau, secrétaire financier des Chevaliers de Colomb, au sujet de Mme Hall.
Lucille Hall était entourée de sa famille Blanchette, qui a compté 12 enfants. Elle a travaillé dans une clinique médicale, durant sa vie, entre autres pour le docteur Lucien Levesque, a-t-elle rappelé grâce à sa bonne mémoire. Elle a aussi travaillé pour un certain nombre d’associations, mais toujours à 100 pour cent pour les Chevaliers de Colomb !
La mairesse de East Angus, Lyne Boulanger, a profité de l’occasion pour remercier les Chevaliers de Colomb, « pour la belle attention envers leur bénévole, Mme Lucille Hall ». Les Chevaliers de Colomb ont, pour leur part, tenu à remercier l’entreprise Lettrage LW, de East Angus, qui ont fait don d’une copie de la plaque commémorative du nouveau nom de la salle, qui a été remise à Mme Hall.
En conclusion, quelqu’un dans la salle qui porte maintenant ce nouveau nom, a dit de Lucille Hall qu’elle est aimée de tout le monde, ce qui semblait émaner de toute l’assistance et de l’ambiance sympathique de la soirée !

LeHautTaccueille

Le milieu s’investit : Le Haut’accueille pour les nouveaux arrivants

La coordonnatrice de la campagne Ose le Haut, Jacqueline Kavunzu, à droite, a présenté quelques membres de la Brigade d’accueil mise sur pied pour faciliter l’intégration des nouveaux arrivants : de g à d, Frédéric Landry, conseiller municipal à Chartierville, Hélène Côté et
Johanne Delage, respectivement conseillère municipale et mairesse de La Patrie, Christophe Duret, agent aux communications à Ascot Corner, et Hélène Dumais, DG au Canton de Newport.

Des organismes locaux se sont investis pour peaufiner l’accueil des nouveaux arrivants dans la région, en tenant sous forme d’un 5 à 7 l’activité Le Haut’accueille.
Le jeudi 21 mars dernier, ce 5 à 7 visait à mettre l’accent sur les ressources vives du milieu, aptes à informer et guider les nouveaux employés, leurs familles et autres personnes fraîchement installés dans le HSF.
Les cinq organismes sont la Chambre de commerce (CCHSF), Place aux Jeunes, le Carrefour jeunesse-emploi (CJE), la Société d’aide au développement de la collectivité (SADC) et la Corporation de développement communautaire (CDC), en collaboration avec la campagne Ose le Haut.
Mais Dame Nature leur a joué un vilain tour, cette journée-là, alors que tôt le matin, après une nuit de neige abondante, elle lançait sur la région une des rares tempêtes hivernales de l’hiver, où les grands vents ont ajouté froidure et poudrerie à la température. Ce soubresaut de l’hiver, plutôt doux jusque-là, a fait en sorte que l’affluence à l’activité Le Haut’accueille n’a pas été aussi considérable que souhaité.
Cela n’a cependant pas empêché la quinzaine de participants au 5 à 7 d’observer la bonne préparation et les efforts concertés par les organisateurs, pour leur présenter une activité de qualité.
« Nous avions au total une quarantaine d’inscriptions, au point de départ, ce qui était satisfaisant pour nous. Au départ, c’était une initiative de Place aux jeunes, et de Ose le Haut, un mouvement créé par la MRC du HSF », a commenté Alexandra Jacquet, directrice générale de la CCHSF.
Pour commencer, la coordonnatrice de la campagne Ose le Haut, Jacqueline Kavunzu, a présenté certains membres de la grande Brigade d’accueil, mise en place pour faciliter l’intégration des gens dans les 14 municipalités de la MRC du HSF. Étaient présents à ce titre la mairesse de La Patrie, Johanne Delage, également présidente d’Ose Le Haut, Hélène Dumais, DG au Canton de Newport, Hélène Côté, conseillère municipale à La Patrie, Frédéric Landry, conseiller municipal à Chartierville et Christophe Duret, agent aux communications à Ascot Corner.
Par la suite, l’organisatrice communautaire pour le HSF au CIUSSS de l’Estrie – CHUS, Frédéryk Johnson, a développé, dans son intervention remarquée, l’inventaire des ressources utiles du HSF pour rendre plus facile l’intégration des personnes nouvellement arrivées dans la région.
Ensuite, l’interaction souhaitée entre les participants a été amorcée par un jeu de style quizz, baptisé Le HSF à la carte. Quatre équipes de trois ou quatre personnes chacune devaient trouver le plus rapidement possible, parmi un choix de réponses à des questions d’ordre général à propos d’entreprises, de lieux, de produits locaux et de connaissances touristiques, entre autres, afin de faciliter l’adhésion à un réseau local permettant d’apprécier la qualité de vie régionale.
Cette activité a su animer la soirée par des rires et du plaisir pour les participants, grâce à la bonhommie de Martin Mailhot, de la CDC du HSF et le sourire d’Isabelle Couture, de la SADC du HSF.

briere

À la suite de son AGA : La Chambre de commerce du HSF se redéfinit

Ghislain Brière, président de la Chambre de commerce du Haut-Saint-François.

Lors de son assemblée générale annuelle (AGA), la Chambre de commerce du Haut-Saint-François a décidé de revoir sa vision, sa mission et ses valeurs, tout en renouvelant ses objectifs.
« La Chambre a avancé. On a retravaillé ces éléments importants, ce qui s’imposait. Avec la collaboration d’un consultant, les administrateurs se sont exprimés, pour les prochaines années, cela pour assurer la vitalité du monde des affaires et de la région, afin de soutenir nos entreprises. Nous avons à cœur d’aider ceux qui se lancent en affaires et ceux qui y sont déjà ! C’est bénéfique pour le développement du territoire », a exprimé Alexandra Jacquet, directrice générale de la Chambre.
« Le volet développement socioéconomique passe par les gens qui, avec les entrepreneurs, assurent une prospérité commune pour la région », a-t-elle ajouté.
Au sein du conseil d’administration, le président Ghislain Brière a vu son mandat renouvelé, comme la plupart des administrateurs. Seul changement, Guillaume Landry, de Landry Télécom, remplace Mme Marielle Quirion, de Virgin Mady, au poste de secrétaire-trésorier, laquelle n’avait pas souhaité renouveler son mandat.

Artisanex

Avec l’aide financière de DEC et de ses partenaires du HSF : Artisanex espère doubler sa production d’ici quelques années

Posant devant une pièce d’équipement majeure de l’usine Artisanex, d’East Angus, les quatre dirigeants de l’entreprise, les deux co-propriétaires au centre, André et Alex Vézina, père et fils, avec aux extrémités, à gauche Marie-Josée Vachon, à la comptabilité, et à droite Lisa Turcotte, aux opérations et ressources humaines, respectivement la mère et la conjointe d’Alex.

Artisanex, une entreprise familiale d’East Angus qui existe depuis 2016, a le vent dans les voiles ! Elle vient de recevoir un précieux coup de main financier de la part de Développement économique Canada (DEC) pour un projet d’envergure totalisant 1,9 million $.
Cette aide a été annoncée dernièrement par voie de communiqué de presse émanant du bureau de la ministre du Revenu national et députée de Compton-Stanstead, Marie-Claude Bibeau, au nom de la ministre du Tourisme et ministre responsable de DEC, Soraya Martinez Ferrada.
« Nous visons doubler notre production d’ici 6 à 7 ans, en continuant sur notre lancée », a déclaré en entrevue Alex Vézina, président et copropriétaire de l’entreprise avec son père André.
L’aide financière de DEC, d’un montant de 220 000 $ remboursable, dont une partie sans intérêts, permettra la modernisation de la chaîne de production, par l’automatisation, soit l’implantation d’un système progiciel de gestion intégrée et l’acquisition de divers équipements de production.
« Nous tenons à remercier DEC pour son aide financière dans notre projet d’automatisation. L’achat de notre nouvelle machinerie nous permettra d’ouvrir de nouveaux marchés et de continuer à satisfaire notre clientèle grandissante ! », a ajouté Alex Vézina. « Nous sommes également reconnaissants de la contribution du Centre local de développement (CLD) du Haut-Saint-François (HSF), d’Investissement Québec et de la Caisse Desjardins du HSF. Nous avons une excellente collaboration de leur part ! »
Artisanex se spécialise dans l’ébénisterie haut de gamme et sur mesure. « Nous nous démarquons par la qualité de notre production et notre service personnalisé. Nos principaux produits sont les armoires de cuisine, les éléments de mobiliers intégrés, sur mesure, comme des bibliothèques, par exemple, fabriqués en bois, laqués, peinturés », décrit le jeune homme, qui a la chance de travailler avec son père copropriétaire, sa mère Marie-Josée Vachon à la comptabilité, et sa conjointe Lisa Turcotte, aux opérations et ressources humaines.
Les principaux marchés où l’entreprise s’active comprennent les régions de l’Estrie, Montréal et les États-Unis, de la Côte Est jusqu’au New Jersey, dont New York et le Connecticut. « Dans l’immédiat, nous voulons maximiser nos marchés actuels, notre clientèle visée avec nos produits abordables, mais haut de gamme, les maisons de prestige et le domaine de la rénovation. C’est un marché de confiance, où il y a de gros projets, où c’est aussi une question de design qui doit être respecté », précise Alex Vézina.
L’entreprise compte actuellement 25 employés, mais croit doubler ce nombre dans le futur. Des travaux de rénovation de l’usine, d’ajout d’espaces de bureau plus pratiques et d’une nouvelle salle des employés avec une cuisine, sont prévus et déjà en chantier. « Le bien-être de nos employés est important pour nous. Et notre nom, Artisanex, a toujours voulu refléter un mélange entre artisanat et contrôles numériques, avec les avantages des deux réalités. Nous sommes ouverts à la création suggérée par nos clientèles, avec du «vrai sur mesure», dans un marché très compétitif, le petit plus qui nous particularise », conclut l’homme d’affaires, avec détermination.

Étoile Duo

Une nouveauté à venir dans le HSF : Création imminente d’un département d’ergothérapie

Marie Michaud, ergothérapeute superviseure, Maya Marcotte et Pascale Tremblay-Perreault, toutes deux stagiaires en ergothérapie.

C’est l’organisme Étoile Duo qui a émis l’idée et l’intention de créer un département d’ergothérapie, à Cookshire-Eaton, avec la collaboration de stagiaires ergothérapeutes de l’Université de Sherbrooke. Une superviseure du projet serait également impliquée.
« Une entente de service est déjà effective avec des stagiaires ergothérapeutes. On innove avec ce projet d’importance dans le Haut-Saint-François (HSF). Un professeur en ergothérapie supervise les stagiaires, tout en conservant actifs les services », a fait valoir la directrice de l’Étoile Duo, Rachel Miron, infirmière clinicienne elle-même au centre de périnatalité établi rue Craig Nord, à Cookshire-Eaton.
« Le nom Étoile Duo, cela se veut un jeu de mots, qui signifie Étoile du Haut, pour HSF », indique Mme Miron. « Je suis la troisième directrice depuis 2021. Nous sommes sur le terrain depuis 2023 », fait-elle remarquer.
Pour fin de compréhension, l’ergothérapie, c’est la discipline de la rééducation, via des activités thérapeutiques pour augmenter les capacités de la personne, et de réadaptation, pour compenser les incapacités par des aides techniques, technologiques et humaines. L’objectif principal de l’ergothérapie, c’est de permettre la plus grande autonomie et la plus grande indépendance possible pour les patients en situation de handicap, quel que soit le degré ou la nature de la situation de handicap (moteur, sensoriel, mental, cognitif, psychique).
Pour ce qui est de l’Étoile Duo, il regroupe des infirmières cliniciennes, quelques médecins du Groupe de médecine familiale (GMF), des intervenantes psychosociales, et a été formé par 10 organismes de toutes les 14 municipalités du HSF.
« Il s’agit d’une table multidisciplinaire. Fait à noter, il y a une moyenne de 225 à 250 naissances par année dans la région. C’est un besoin d’obtenir un support communautaire. Le critère, c’est simplement de desservir une parente enceinte et un enfant de 0 à 5 ans. Organisme psychosocial de coaching parental, nous avons recours aux médecins du GMF et des infirmières cliniciennes, en collaboration avec le CIUSSS-CLSC du HSF, qui dessert une clientèle hors réseau, qui vont à domicile pour créer un lien de confiance, essayant de démystifier le rôle du CLSC », garantit la directrice.
« Il y a aussi 500 signalements à la Direction de la protection de la jeunesse (DPJ) par année, dans le HSF, dont 400 ne sont pas retenus. Cela éloigne la famille du système… Tous nos services figurent sur notre site Internet : www.etoileduo.ca », conclut Mme Miron.
Pour plus d’informations 873 825-7227.

Sébas Croteau

À deux artistes et deux organismes du Haut-Saint-François : Un soutien annoncé bienvenu dans le domaine culturel

Sébastien Croteau, L’inconnu dans le noir.

Un important soutien financier vient d’être annoncé, dans le domaine culturel, à deux artistes et à deux organismes du Haut-Saint-François (HSF), totalisant 66 900 $ pour les quatre.
Dans le HSF, les deux artistes qui reçoivent ce soutien sont les suivants : Sébastien Croteau, qui se voit accorder 18 000 $ pour son projet Dormeuse effarée parmi les arbres dressés, une œuvre numérique immersive qui s’articule autour de plusieurs techniques inspirées de l’art numérique; et Marie-Soleil Provençal-Aubé, qui reçoit 1 900 $ pour la réalisation d’une série d’œuvres intitulée Le requiem des oiseaux, laquelle sensibilisera le public à l’enjeu de la perte des espèces.
Quant aux deux organismes, il s’agit de RURART, qui reçoit l’octroi de 20 000 $ pour la tenue de quatre résidences in situ, en partenariat avec la Galerie d’art Foreman, le Centre des arts de la scène Jean-Besré (CASJB) et l’Espace culturel Cookshire-Eaton; et justement ce dernier, qui est soutenu à hauteur de 27 000 $ pour ses Découvertes culturelles et médiation au cœur de notre communauté, une programmation alliant musique et arts visuels.
Ces quatre projets dans le HSF faisaient partie d’une annonce plus globale de 36 projets ainsi favorisés, à 23 artistes et 13 organismes estriens, dans le cadre du deuxième appel de projets du Programme de partenariat territorial en lien avec la collectivité de l’Estrie, pour un montant total de 695 900 $.
Ce programme fait partie d’une entente signée en 2023, pour trois ans, entre le Conseil des arts et des lettres du Québec (CALQ), le ministère des Affaires municipales et de l’Habitation (MAMH), les municipalités régionales de comté (MRC) de Coaticook, du Granit, de Memphrémagog, des Sources, du Val-Saint-François, du Haut-Saint-François et de la Haute-Yamaska, la Ville de Sherbrooke, le Centre local de développement (CLD) de Brome-Missisquoi, ainsi que la Table des MRC de l’Estrie, en collaboration avec le Conseil de la culture de l’Estrie (CCE).
Ces partenaires ont investi un montant de 1 825 000 $, réparti sur trois ans, pour soutenir des projets de création, de production ou de diffusion favorisant des liens entre les arts et la collectivité.
« Nous sommes ravis de dévoiler les talents soutenus lors de ce deuxième appel à projets, qui témoigne une fois de plus de la richesse créative de la région de l’Estrie. Ces artistes et organismes sélectionnés apporteront une contribution significative à la scène culturelle locale, renforçant ainsi la diversité et la vitalité artistique de nos territoires. Félicitations à tous les bénéficiaires pour leur engagement et leur créativité exceptionnelle », a commenté la préfet de la MRC du Granit et présidente de la Table des MRC de l’Estrie, Monique Phérivong Lenoir.

CarrefourGourmand

Au Carrefour gourmand: Savourez les Cantons : Mallain Lapin, de Weedon, y était !

Manon Poulin et Alain Provencher, les deux propriétaires de la ferme Mallain Lapin, de Weedon, présents au Carrefour gourmand, tenu au Carrefour de l’Estrie les 4 et 5 mai.

Une seule entreprise du Haut-Saint-François participait, les 4 et 5 mai derniers, au Carrefour gourmand : Savourez les Cantons, qui avait lieu au Carrefour de l’Estrie, dans sa deuxième édition. Il s’agit de Mallain Lapin, de Weedon, qui se spécialise dans la production et la transformation de viande de lapin.
Une quinzaine d’entreprises agroalimentaires de la région, en effet, qui s’identifiaient toutes à la marque de plus en plus connue et populaire des Créateurs de saveurs Cantons-de-l’Est, participaient à cette activité spéciale, promettant au public une expérience gustative unique : y étaient offertes des dégustations gratuites d’une grande variété de produits de chez nous, qui mettaient en vedette fromages, miel artisanal, viandes, tisanes, vins et cidres, liqueurs et gins et bien plus !
La première édition de l’événement avait drainé plus de 1000 visiteurs chaque jour, ce qui fut également le cas en 2024, preuve de l’engouement toujours d’actualité pour les produits régionaux ! Organisée par le Conseil de l’industrie bioalimentaire de l’Estrie (CIBLE), l’activité visait à promouvoir la richesse et la diversité des produits d’ici.
Née il y a deux ans, l’entreprise Mallain Lapin, dont la ferme est établie au 1415, 2e Rang Sud, à Weedon (819 452-3041), est la propriété de Manon Poulin et Alain Provencher, dont les prénoms ont formé le premier mot, Mallain, de l’entreprise, avec deux L au lieu d’un, pour le support des deux oreilles de lapin couramment, dans leur logo !
« Tout ce que nous produisons est artisanal, chez nous, tout sort de nos mains ! Jusqu’à l’élaboration des recettes pour nos produits, qui sont désossés et assaisonnés pour la plupart, et de cuisson facile pour la clientèle », révèle Manon Poulin. « Nous sommes conscients qu’il s’agit d’un produit de spécialité, un produit de niche, qui nécessite un peu de connaissance. Mais c’est un produit qui se vend très bien, qui ne nécessite qu’une heure et quart de cuisson. Nous fournissons des recettes sur notre site Internet », continue Mme Poulin.
Effectivement, le www.mallainlapin.com apporte à la clientèle intéressée des recettes de lapin à la moutarde, lapin braisé aux champignons, lapin façon chasseur, lapin braisé à la bière, et même via le Coup de pouce, 20 recettes de lapin pour les grandes occasions, accessibles sur le site de Mallain Lapin !
« Notre produit vedette, c’est le râble de lapin, une partie de cette petite bête qui se trouve dans le haut du dos, que nous vendons désossée, farcie avec des poivrons rouges grillés, des épinards et un haché de lapin. Il ne reste qu’à le cuire pendant 1 h 15 ! », décrit Manon.
Les passionnés propriétaires de Mallain Lapin, Manon et Alain, n’ont pas d’enfants. Ils sont fille et fils de cultivateurs, et beaucoup de temps pour se consacrer à leur entreprise. « Quand j’étais jeune, je m’occupais déjà de lapins que nous avions sur la ferme paternelle. Mon père est tombé malade quand j’avais 14 ans, alors j’ai eu à prendre la relève assez vite », raconte Alain Provencher.
« Nous commercialisons 22 produits de viande de lapin, désossés, assaisonnés et surgelés, de l’entrée jusqu’au plat principal. De plus, nous préparons des rillettes, terrines en six variétés et des gelées (de sapin, de cèdre, de cramaillotte ou fleur de pissenlit, cueillis à la main, sur nos terres), pour agrémenter la viande, des produits qui sortent de l’ordinaire », indique Manon Poulin. « Le lapin est un animal d’élevage calme, doux, qui devient vite nerveux quand la situation sort de l’ordinaire. Nous devons être attentifs et préventifs contre les maladies et le soigner avec des produits naturels. Nos productions sont sans hormones, sans antibiotiques, très naturelles et bonnes pour la santé. La viande de lapin est plus maigre que le poulet, car il contient moins de gras », termine-t-elle.

MonumentCentenaire

Dernière activité du Comité du centenaire de l’église Saint-Louis-de-France : Dévoilement d’une plaque commémorative

Ont procédé au dévoilement de la plaque commémorative du centenaire de l’église Saint-Louis-de-France, à East Angus, l’architecte Rémi L. Petit et l’homme d’affaires Gilles Doyon, sous le regard bienveillant de l’abbé Donald Thompson, qui a béni le monument de ses prières.

Votre journal Le Haut-Saint-François (HSF) a suivi et couvert plusieurs des activités entourant le centenaire de l’église Saint-Louis-de-France, à East Angus, en 2023 et 2024.
Le Comité du centenaire de la vénérable église procédait, le 24 mai dernier, au dévoilement d’une plaque commémorative, équivalant très bien à un très beau monument, à proximité de l’église et de son ancien presbytère.
Il s’agissait de la dernière activité planifiée et organisée à l’occasion de son mandat historique, qui a duré un an et demi. Des célébrations à caractère culturel, comme des concerts, d’autres à caractère religieux, comme des messes mémorables, et d’autres festifs ont occupé une bonne place dans l’actualité d’East Angus et du HSF.
« Mais certains membres du comité ont exprimé qu’à leurs yeux, il manquait quelque chose, un petit plus d’ordre éducatif. Ils croyaient que nous devions en profiter pour faire connaître l’histoire, la richesse, l’architecture, les pierres, les vitraux, ses architectes et les acteurs de son histoire », a décliné Claude Turcotte, lui aussi membre du comité, durant la petite cérémonie de dévoilement de ce monument.
« C’est pourquoi nous avons produit une petite brochure s’intitulant 100 ans de patrimoine, ça se fête ! Il y a eu aussi des capsules historiques, qui ont été lues pendant les messes des samedis et dimanches, révélant plusieurs éléments historiques de l’église. Mais il fallait faire plus encore, soit ajouter une pierre à la construction et à l’histoire de l’église, par une plaque historique commémorative. C’est ce qui nous amène ici aujourd’hui, sous le volet éducatif », d’ajouter M. Turcotte. « On espère ainsi témoigner du respect envers nos ancêtres et faire preuve de responsabilité envers la prochaine génération, qui aura à s’occuper de l’église dans les nouveaux contextes du futur, pour le bien de ce lieu de rassemblement incroyable et de partage. »
Il a conclu son discours en remerciant l’architecte Rémi L. Petit, pour son implication dans la restauration de l’église, dans l’élaboration du projet de monument commémoratif du centenaire et pour son rôle de président d’honneur des célébrations. Il a également souligné l’apport de l’homme d’affaires Gilles Doyon, et des membres de sa famille, qui ont défrayé les coûts de matériaux et d’aménagement du monument et de la plaque commémorative, de très belle facture.
Finalement, c’est l’abbé Donald Thompson, figure bien connue à East Angus pour y avoir œuvré à plusieurs titres dans le passé, qui a effectué la bénédiction de cette plaque commémorative du centenaire.

PrixMeilleurBoss

Quatrième génération d’épiciers au Marché AMI de Scotstown : Le prix Mon Boss, c’est le meilleur ! remis à Charcuterie Scotstown

Au centre, Lisa Champeau, de l’organisme R3USSIR, remet le Certificat du Prix du concours Mon Boss, c’est le meilleur ! à Charles Désilets, copropriétaire de la Charcuterie Scotstown et du Marché Ami, avec son frère Pierre-Jean, absent de la photo. À gauche, le jeune stagiaire William Nadeau, étudiant de 17 ans, qui a soumis la candidature de ses patrons au concours, et à droite, Stéphanie Dubreuil, du CJE du HSF, partenaire de l’événement.

La remise du certificat Mon Boss, c’est le meilleur ! à l’entreprise Charcuterie Scotstown s’est effectuée le jeudi 11 avril dernier, dans le local du Marché Ami, au 40 chemin Victoria, qui est aussi la rue Principale à Scotstown.
C’est le copropriétaire Charles Désilets qui, avec son frère et associé Pierre-Jean, a accepté ce prix des mains de Lisa Champeau, représentante pour l’occasion de l’organisme R3USSIR, qui chapeaute ce concours. Le tout s’effectuait avec la collaboration du Carrefour jeunesse-emploi (CJE) du Haut-Saint-François (HSF), représenté par Stéphanie Dubreuil, agente à l’accueil et aux communications.
« Nous sommes la quatrième génération dans cette épicerie centenaire. Nous avons pris la relève de notre père, Jean Désilets, en 2014 par Pierre-Jean, et en 2018 pour ma part », a indiqué Charles Désilets, visiblement fier de la reconnaissance qu’apporte le prix Mon Boss, c’est le meilleur ! » à son entreprise. Charcuterie Scotstown niche d’ailleurs dans le Marché Ami, dont les deux frères Désilets sont également propriétaires.
« Mon père avait lui-même succédé à mon grand-père, au début des années 2000. Il était alors associé avec Donald Legendre, qui agit encore aujourd’hui comme gérant et boucher avec nous, et homme à tout faire ! », raconte le jeune Désilets, amusé.
« Notre charcuterie a aujourd’hui 25 ans. Elle compte une quinzaine d’employés de production qui, avec ceux du Marché Ami et de l’administration, totalisent une vingtaine d’employés », compte-t-il rapidement.
Parmi les produits de fabrication artisanale par l’entreprise et très appréciés par la clientèle, Charles en cite quelques-uns. « Entre autres, le smoked meat, mais aussi des viandes variées pour les sandwiches, des produits du terroir, toute une vaste gamme de saucissons secs pour les fins gourmets. Nous sommes devenus les spécialistes du 5 à 7, car nous avons les ingrédients pour avoir du plaisir à ce genre d’activités », décrit-il.
« Il y a aussi notre corned beef, c’est un smoked meat de bœuf non cuit, que nous pouvons cuire et trancher, mais que les clients peuvent cuire à la maison », précise Charles Désilets. « Nous distribuons nos produits dans 350 points de vente au Québec, particulièrement à Montréal, Québec et en Estrie », conclut-il, démontrant sa fierté pour ses réalisations.
C’est le jeune stagiaire William Nadeau, 17 ans, qui travaille avec eux, qui a soumis la candidature des frères Désilets comme Meilleurs Boss et aussi des personnes engagées pour la réussite éducative. Il s’est ainsi mérité une carte-cadeau de 100 $.
« Cette mention de la réussite éducative, ça provient d’un mouvement régional qui donne également lieu au concours Mon Boss, c’est le meilleur ! », a fait valoir Lisa Champeau, agente de liaison et de développement, responsable aussi du dossier de mobilisation des gens d’affaires à l’organisme R3USSIR.

St-Isidore-de-Clifton-RemiseCheque

Projet OSEntreprendre à Saint-Isidore : Les élèves de 5e et 6e année encouragés par leur municipalité

La classe de 5e et 6e année de l’enseignante Mélissa Cassidy, à l’école des Trois-Cantons, à l’extrême gauche, s’est réunie pour recevoir des mains du maire André Perron, de Saint-Isidore-de-Clifton, à l’extrême droite, un chèque pour encourager les élèves qui ont participé activement dans leur réussite scolaire, par l’entremise de leur projet dans le programme OSEntreprendre. Un don qui aidera les élèves dans l’organisation de leur voyage à Toronto, qui durera quatre jours, pour vivre une immersion anglophone leur permettant de mettre en pratique leurs connaissances en anglais, pour commander leur nourriture et comprendre les guides tout au long des visites guidées dans les attractions torontoises qui promettent d’être intéressantes ! Même si le projet des élèves ne s’est pas rendu en finale provinciale, ceux-ci souhaitent poursuivre d’offrir des activités parascolaires après l’école aux autres classes, avec le soutien toujours renouvelé de leur municipalité.

SemaineSanteMentale

Semaine de la santé mentale : Un témoignage de Ginette Guay partagé avec émotion

Pauline Beaudry a invité Ginette Guay à venir témoigner comment c’était important pour elle de consulter et de demander de l’aide, quand elle a subi des épreuves qui la dépassaient et la déstabilisaient facilement dans sa relation avec sa fille.

La vie, ce n’est pas toujours facile. Pour tout le monde. Ginette Guay a parlé de certaines épreuves qu’elle a subies, durant son témoignage dans le cadre de la Semaine de la santé mentale, le mercredi 8 mai, au local de Virage Santé mentale, à East Angus.
Originaire d’Amos, en Abitibi, elle a raconté une partie de son enfance et de sa vie de jeune adulte, qu’elle a vécue dans ce coin nordique du Québec.
Elle a aussi conté comment, pour se rapprocher de sa fille, qui demeure à Rock Forest, elle a déménagé d’Amos jusqu’à Weedon, et comment cela l’a dépaysée complètement.
« Elle s’est sentie isolée, loin de chez elle. Elle est venue chercher des services à Virage Santé mentale, à notre bureau de Weedon, depuis quelques années. Elle a raconté comment cela l’avait aidée. Je me suis occupée d’elle, personnellement. Elle ressentait beaucoup de solitude à Weedon, n’étant pas connue, ayant une réputation à bâtir. Elle n’avait pas un bon lien avec son père qui habitait Notre-Dame-du-Bon-Conseil, dans la région de Drummondville », indique Pauline Beaudry, la directrice générale de Virage Santé mentale.
« Je la suivais en intervention. Je lui ai offert de visiter son père deux fois par année, en juin et en octobre, car je trouvais dommage, et même triste, qu’elle soit en froid avec lui. Comme elle ne connaissait pas beaucoup la région et qu’elle trouvait difficile de conduire son auto, je l’ai accompagnée. Il y a deux ans, nous sommes allés voir son père un peu plus tôt en juin, car j’étais un peu moins occupée. Son père était assez âgé, soit 99 ans et 11 mois. Je lui ai mentionné qu’il s’agissait peut-être de la dernière fois qu’elle le voyait et je lui ai proposé qu’elle devrait lui parler sérieusement et se réconcilier avec lui », relate Pauline.
« Je m’apportais de la lecture, même du travail, car je restais dans mon auto, voulant ne pas la déranger avec son père, pour qu’ils soient vraiment ensemble. Quand elle est revenue, Ginette avait les larmes aux yeux, m’avouant qu’ils s’étaient réconciliés. Nous sommes revenus à Weedon, et trois jours plus tard son père est décédé. Ginette nous a partagé tout cela avec émotion, dans son témoignage. Elle était calme et sereine. Nous avons eu une très belle soirée d’activité, dans la simplicité là aussi. Ce fut un beau succès. Ginette m’a rappelé le lendemain pour me remercier. Elle qui appréhendait de livrer son témoignage, elle m’a avoué que cela lui avait fait un bien énorme », a conclu la D.G. de Virage Santé mentale.

Claude Gosselin

Seul ministre originaire d’East Angus, dans la région du HSF : La Ville de East Angus honore la mémoire de Claude G. Gosselin

Les enfants de Claude G. Gosselin ont entouré avec fierté le monument inauguré le samedi 18 mai dernier, appréciant visiblement l’hommage rendu à leur père par la Ville de East Angus. Claude Gosselin a été député provincial de l’Union Nationale, de 1957 à 1970, et ministre des Terres et Forêts du Québec, de 1966 à 1970.

Le samedi 18 mai dernier, la Ville de East Angus a inauguré un monument afin d’honorer une personnalité notoire ayant marqué son histoire, soit le politicien Claude-Gilles Gosselin, natif d’East Angus en 1924 et le seul ministre qu’ait connu le Haut-Saint-François.
Ce monument se dresse au centre-ville, dans le petit parc urbain appelé le Square, qui sera renommé le Carré Claude Gosselin, devant l’emplacement même de l’ancienne boucherie opérée par son père Stanislas Gosselin. Aujourd’hui s’y trouve la Boulangerie Marie Gourmet.
« La Ville a ainsi profité de l’année centenaire de sa naissance pour procéder à cette cérémonie d’inauguration, que ses enfants ont vécue avec nous et qu’ils ont semblé apprécier. C’était important pour nous cette reconnaissance par la Ville envers leur père », s’est réjouie Lyne Boulanger, mairesse de East Angus, lors d’une conversation téléphonique.
Rappelons que Claude Gosselin a été ministre des Terres et Forêts du Québec, de 1966 à 1970, durant ses dernières années comme député provincial du comté de Compton, de 1957 à 1970. On le disait « dévoué et accessible pour l’ensemble de ses électeurs. Il a contribué au progrès économique et social de la nation québécoise », ce que l’on peut lire également sur le monument qui lui est dédié.
Citons ses principales réalisations : mise sur pied, en 1967, de la Station forestière à East Angus, vouée à la revalorisation du territoire forestier par le reboisement, le soutien aux agriculteurs, le développement économique de la région et l’éducation; l’obtention, en 1968, d’un octroi majeur pour le développement du Centre hospitalier universitaire de Sherbrooke (CHUS); en 1969, construction de trois résidences pour personnes âgées autonomes dans le comté de Compton, dont La Sapinière à East Angus, transformée plus tard en CHSLD, en même temps que la création de REXFOR, une société responsable de la récupération, de l’exploitation et de la revalorisation des forêts du Québec, et adoption de la loi créant la Société de cartographie, toujours en 1969.
Claude Gosselin est décédé le 18 août 2016 à Bishopton.

BaladosDecouvertes

Pour découvrir Scotstown et son Cœur villageois : Quatre BaladosDécouvertes ayant beaucoup à dire !

Lors de la conférence de presse de lancement de quatre BaladosDécouvertes sur l’histoire de Scotstown, en collaboration avec le comité Cœur villageois de Scotstown, les collaborateurs, partenaires, concepteurs et membres du comité se sont réunis avec beaucoup de fierté que leur inspiraient les quatre montages sonores avec photos historiques de 41 points d’intérêt fort intéressants.

Scotstown et son comité Cœur villageois ont lancé, le 14 mai dernier, quatre BaladosDécouvertes s’adressant aux touristes visiteurs et aux citoyens intéressés à en connaître davantage sur l’histoire, le patrimoine et la culture scotstownois.
Sous la thématique  Scotstown Bourg écossais, sur la plateforme  BaladoDécouverte, (propriété de Cinax inc. de Marc Desfossés et une entreprise à numéro de Gérald Gilbert), les quatre circuits livrent de grands pans d’informations sur les Vestiges du passé du cœur industriel, le cœur économique du Scotstown d’autrefois, la côte-du-Rond, l’hôtel de ville et le cœur de l’élite d’antan, de même que sur le circuit historique du cœur bourgeois de Scotstown. Chacun de ces sujets compte de nombreux points d’intérêts, agrémentés de textes et de photographies historiques. La partie sonore sera assurément appréciée de tous, accessible par le biais des téléphones mobiles de chacun.
Le projet, qui a coûté globalement 42 000 $, a été financé par le ministère du Tourisme qui a fourni 50 pour cent, donc un montant de 18 000 $ administré par Tourisme Cantons-de-l’Est), et un montant de 14 400 $ par le ministère des Affaires municipales, administré par la MRC du Haut-Saint-François et les Municipalités de Scotstown et Hampden, réunies au sein de leur comité de développement Scotstown-Hampden. Un dernier montant de 3100 $ a été déboursé par le comité Cœur villageois Scotstown inc.
« Scotstown a beaucoup à dire ! », a lancé le vice-président de Cœur villageois Scotstown, Gérald Ostiguy, lors de la conférence. Il a invité tout un chacun à écouter les quatre circuits qu’il a décrits fort intéressants, en consultant chacun des points d’intérêt. Il était accompagné par la présidente de son organisme, Chantal Ouellet, ex-mairesse de Scotstown qui est aussi conseillère municipale, à nouveau, pour une troisième fois.
« Des personnages racontent l’histoire, avec des noms comme Scott, McKenzie, MacIver… L’application peut être téléchargée à l’avance, avant de faire la balade des circuits sur place à Scotstown. En tout, il y a 41 points d’intérêt dans les quatre circuits, avec un nombre impressionnant de photos historiques et d’anecdotes », a-t-il évoqué dans son petit discours.
« Par exemple, on y parle des barrages électriques anciens, et l’on peut voir encore aujourd’hui les pierres de ces constructions du passé qui restent sur le bord de la rivière. Vous savez, Scotstown ne compte plus que 500 habitants aujourd’hui, mais en 1950, c’était le chef-lieu important de toute la région, avec 3000 citoyens. La ville comptait alors un cinéma, une station-service pour l’auto, présentait des spectacles. Des industries s’y trouvaient, dont une fabriquant des bâtons de hockey. Des artistes résidaient aussi à Scotstown », a rappelé M. Ostiguy.
Un des associés de l’entreprise propriétaire de la plateforme BaladoDécouverte, Marc Desfossés, a également décrit le processus ayant mené à la production des quatre Balados.

DanseSursaut

Au parc des Deux Rivières à East Angus : Spectacle de la compagnie de danse Sursaut

Durant l’activité qui consistait à déambuler dans les sentiers du parc des Deux Rivières, à East Angus, dans le décor féérique de la forêt, le druide Méandre, au centre, et Dame Nature, à gauche, accompagnaient les participants pour ramasser ce que l’élément Air avait éparpillé dans son déséquilibre, la mousse pour la remettre dans le grand nid de la vie.

Les 25 et 26 mai dernier, la compagnie de danse Sursaut, de Sherbrooke, a fait vibrer le parc des Deux Rivières, à East Angus, d’échos magiques et énigmatiques, par son spectacle s’intitulant Écrin du Destin.
S’adressant aux petites familles avec enfants à partir de cinq ans, le spectacle d’une durée de 75 minutes mettait en scène Méandre, le gardien de la forêt – un lieu sublime du parc des Deux Rivières, rue Willard, avec ses sentiers bucoliques et enchanteurs – et Dame Nature, au point de départ.
Au son de la flûte de Méandre, les participants petits et grands déambulaient dans la forêt, s’arrêtant en certains endroits où l’animation prenait le dessus. Dame Nature, personnifiée par une danseuse de la compagnie de danse, s’exprimait par sa gestuelle, traduite en mots par Méandre pour se faire comprendre, à propos d’un déséquilibre de la Nature depuis l’éclipse du 8 avril dernier, où les quatre éléments, l’air, l’eau, la terre et le feu étant déplacés, nécessitaient un replacement, avec l’aide, justement, des participants. Ces derniers, devant un certain nombre d’indices semés sur le parcours, avaient à résoudre certaines énigmes et à remplir de petits défis.
Au bout du parcours, trois femmes-sorcières dansaient au milieu des menhirs, orchestrant un rituel, avec leurs longues tresses ornant leur présence mystique. En somme, une expérience physique et artistique intéressante, en pleine nature, remplie de surprises, défis et ravissement, par une superbe journée ensoleillée !
L’artiste et concepteur du parcours, Simon Durocher-Gosselin, personnifiait Méandre, gardien de la forêt et leader du déplacement avec les participants, et trois interprètes-danseuses, Vicky Gélineau, Stéphanie Brochard et Flora Spang, donnaient vie aux personnages. Chorégraphie et idéation par Morgane Le Tiec et la musique par Blaise Borbôen-Léonard.
Les deux spectacles familiaux de la fin de semaine avaient été précédés par neuf spectacles scolaires pour les élèves du primaire et du secondaire de la région du HSF.

EtincellesBonheur

Activité porte ouverte pour se faire connaître : Les Étincelles de Bonheur pour le bien des personnes avec un handicap

La directrice générale des Étincelles de Bonheur, Marie-Josée Pellerin, assise à l’avant, organisme voué au bien-être des personnes présentant un handicap physique, intellectuel ou ayant un trouble du spectre de l’autisme, peut compter sur le dévouement de ses complices, Roch Poulin, secrétaire, Édith Blais, intervenante-coordonnatrice, et Marc Rousseau, vice-président.

Le lundi 10 juin prochain, l’organisme voué au bien-être des personnes qui présentent un handicap intellectuel, physique ou qui ont un trouble du spectre de l’autisme, qui s’appelle Les Étincelles de Bonheur, tiendra son activité porte ouverte, dès 13 h.
Histoire de se faire connaître et de mettre le focus sur toute la gamme des services rendus par l’organisme aux clientèles de personnes avec un handicap et les membres aidants de leurs familles.
« Ce sera également pour nous l’occasion de rendre compte de notre planification stratégique, qui nous a amenés à prendre conscience que nous devions amorcer une démarche de communication afin de nous faire connaître. Les gens d’East Angus nous connaissent davantage, mais nous desservons les 14 municipalités du Haut-Saint-François », d’indiquer la directrice générale, Marie-Josée Pellerin.
« Nous avons des clientèles actives et régulières dans 10 des 14 municipalités du HSF. Il ne nous manque que Hampden, Chartierville, Lingwick et Newport, que nous ne touchons pas encore dans la MRC », fait remarquer Mme Pellerin.
L’organisme, qui existe depuis 47 ans, a pour objectif de partager au grand public ce qu’il fait, avec les services offerts à ses clientèles, les conclusions et orientations qui ont découlé de sa planification stratégique, etc.
« Lors de notre journée porte ouverte, nous présenterons également une exposition d’œuvres d’art de nos protégés, de même que la vente de leurs œuvres. Nous profitons de la Semaine québécoise des personnes handicapées, qui se déroule au Québec du 1er au 7 juin 2024. Nous allons également effectuer la présentation d’un très gros projet porteur, une surprise dont on ne parle pas tout de suite et qui sera dévoilée à cette occasion unique ! », se fait cachotière la DG.
Énumérons donc les nombreux services rendus par l’organisme à la population des personnes touchées par un membre de sa famille qui présente un handicap : centre de jour qui regorge d’activités, camp d’été spécialisé pour les différentes clientèles, service de répit, camp de la semaine de relâche, ateliers d’art, sorties et activités en fonction des fêtes variées durant l’année, soutien qui prend plusieurs formes, collabo-locataire pour les personnes handicapées autonomes (maintien à domicile sécuritaire), collaboration avec des organismes extérieurs comme les Cuisines collectives, le Transport adapté, le tout en concertation avec plusieurs organismes du milieu communautaire, le réseau de la santé, le monde scolaire, etc.
« Nos activités sont adaptées pour les clientèles d’âge scolaire jusqu’aux personnes aînées. Pour plus d’informations, les gens peuvent nous appeler au 819 832-3540, ou encore aller sur notre site Internet, etincelleshsf.ca », conclut Marie-Josée Pellerin.

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