Opinions

La bienveillance pour préserver la santé de nos proches

Opinion du lecteur

Il est essentiel de préserver notre liberté et nos droits : nous manifestons pour plusieurs bonnes causes. Depuis déjà plus d’un an, par bienveillance, pour nous aider les uns les autres, nous respectons les consignes sanitaires et surtout nous nous sommes fait vacciner.
Nous sommes tous et toutes « ben tannés » du masque, de ne pas pouvoir nous visiter comme bon nous semble, etc. Le seul bon truc pour hâter le moment où nous pourrons vivre normalement… est de se faire vacciner. Même si le vaccin n’est pas 100 % efficace.
Hélas, il y a des gens qui ne croient pas l’immense majorité des scientifiques, qui nient les bienfaits du vaccin et qui revendiquent un retour à la normale dès maintenant. Ce que ces gens-là revendiquent, indirectement, c’est plus de gens malades, plus d’absences dans le réseau scolaire et les hôpitaux, plus de gens à l’hôpital et aux soins intensifs, plus de morts…
Il y a eu des consignes moins efficaces que d’autres, parfois des incohérences dans les messages de la santé publique et des gouvernements. Ce ne sont pas de bonnes raisons pour empirer les problèmes en paralysant les villes sans aucune précaution, en se mêlant à des gens qui véhiculent des idées et des propos aberrants, parfois haineux, qui intimident les journalistes, etc.
Le travail des camionneurs est essentiel : c’est pour ça que 90 % se sont fait vacciner, presque le même pourcentage que dans la population en général, à quelques points près. Il n’y a actuellement aucune bonne raison (autre que médical dans de rares cas) de ne pas se faire vacciner et c’est le seul moyen de retrouver un mode de vie agréable. La question est comment convaincre ces gens réticents au vaccin, victimes de désinformation ? La désinformation peut amener des gens à croire toutes sortes de bêtises, comme on voit chez nos voisins du Sud où une minorité importante croit toujours que l’ex-président a gagné l’élection.
Alain Robert, Bury

Article précédentArticle suivant
©2024 Journal Le Haut-Saint-François