Foyer-St-Paul-de-Bury

St. Paul’s Rest Home: End of an Era

St. Paul’s Home resident Violet Thorneloe dances with Santa Claus, aka Robert Asselin, at a 2019 Christmas Party.

In 1964, St. Paul’s Rest Home in Bury began its career as a seniors’ residence, and in 1967 a corporation was formed to govern it. Over the years, the home has been a cultural icon in the Bury community, and has enjoyed a high level of volunteer support. That era will end March 31st.
The closure comes five months after it was announced in October. At the time, Marilyn Salter explained the closure was planned well in advance to give residents and their families time to find new homes. Salter is president of the St. Paul’s Corporation board of directors.

This process has now been successfully carried out, said Hervé du Verle, member of the board. “Assessments were made as needed, and all the residents have a placement now. As of March 31st, we will have no more residents.” Destinations for the seven residents include the Wales Home near Richmond, Grace Village in Lennoxville, Manoir de l’EAU VIVE in Cookshire, and the CHSLD in East Angus.

Frances Goodwin has moved to the Manoir de l’EAU VIVE in Cookshire. “I’m still in transition,” she said. “I’m not settled in yet.”
Mayotta Taylor has moved to Grace Village. “I know quite a few people here,” she said. “And my great niece is here. It’s good. Things are going on here, and the meals are very good.”
In November, a petition to save the home was signed by more than 100 persons in the Bury community. Walter Dougherty, Mayor of Bury, said the Municipality submitted it to the board of directors, along with a proposal for actions they thought might help the situation, such as improving staff salaries or benefits.

“It seemed to fall on deaf ears,” he said. “I guess it’s a done deal.” A hoped-for meeting between the municipality and the board never took place.
Concerning the petition, Salter said she welcomed the community’s support, “but we don’t have the option of finding more staff. That’s the basic situation. It’s not changing.”

Du Verle said the bottom line was that “unfortunately, nobody came looking for a job.” But more than that, he pointed out that new Quebec regulations require all residence employees to have full certification, rather than just one staff person. This is a huge problem for all homes. It is just killing the rural areas, because all the small homes will have to close; they can’t find people.”

In a December press release, du Verle wrote about the wider context of the closure. He noted that about 560 other small seniors’ residences in rural Quebec have closed since 2014. New provincial health regulations have forced these closures, but the diminishing rural population has also played a role.

He noted that provincial policies prevent them from recruiting foreign workers, and that no help for St. Paul’s was received from any level of government.

“It has been a lot of work for a lot of people who have given a lot of time,” he said. “It is absolutely distressing to close, but we had no choice.”
The corporation governing the St. Paul’s Rest Home is looking at future possibilities, du Verle said. “We believe the building will be on the market at some point. The corporation is in good shape financially, but after March 31st, we will have no more income.” He suggested one possibility would be become a trust and continue working to assist local seniors. Another would be to dissolve the corporation. “We are currently discussing the possibilities,” he said.

Resto Bar Rive Sud de East Angus

Réouverture des salles à manger: Des restaurateurs enthousiastes

Les usagers sont heureux de l’ouverture des restaurants.

Les restaurateurs de la région sont emballés de pouvoir accueillir à nouveau leurs clients dans les salles à manger. Depuis la semaine passée et ce, dans le respect des nouvelles mesures sanitaires, les restaurants de la MRC du Haut-Saint-François reprennent vie.

« Tout le monde est de bonne humeur, c’est agréable. On est vraiment content de jaser avec nos clients », exprime Serge Roy, copropriétaire du Restaurant des Cantons à Weedon. Il affirme avoir une belle réponse de la clientèle, malgré les nouvelles mesures un peu plus complexes, soit le fait de devoir tenir un registre des clients, exiger des réservations et le nombre d’adultes limité par table. « Ça roule ! Ça va vraiment bien. La seule affaire qui est plate, c’est que c’est juste deux adultes à une table, c’est un peu plus complexe », explique Chantale Duhaime, copropriétaire du Resto bar Rive Sud à East Angus.

Jusqu’à maintenant, il semble que les citoyens du Haut-Saint-François s’ennuyaient des déjeuners et diners au restaurant puisque ce sont ces deux plages horaires qui sont les plus populaires depuis la réouverture. « Le gros engouement, c’est quand M. Legault va dire par exemple, maintenant on peut aller deux couples au restaurant ou trois couples. Je pense que ça va être vraiment l’enfer », lance M. Roy en riant, ajoutant qu’ils sont prêts à ce moment.

Outre la tenue des registres et la limite par table, les restaurateurs doivent également prendre les réservations des clients. Cette mesure gouvernementale a pour but de limiter le nombre de personnes qui attendent à l’entrée et ainsi réduire les risques de contacts, selon Mme Duhaime. Toutefois, la copropriétaire du Resto bar Rive Sud n’exige pas les réservations étant donné la disponibilité de sa salle à manger. « J’ai 91 places pareil, parce que j’ai deux côtés de resto, donc il n’y a personne qui attend dans la porte », estime-t-elle.

Le Restaurant 108, à Cookshire-Eaton, à l’instar d’autres dans la MRC, a plutôt attendu la fin de la semaine dernière pour ouvrir sa salle. Le propriétaire, Éric Leclerc, explique que les réservations seront nécessaires, mais que si quelqu’un arrive à l’improviste et qu’il y a de la disponibilité, il ne le refusera pas. Au moment d’écrire ces lignes, le restaurant n’avait pas encore ouvert sa salle, mais comptait déjà quelques réservations à l’agenda.
Rappelons quelques règles que les citoyens doivent savoir avant de se diriger vers un restaurant. Un maximum de deux adultes par table, accompagnés d’enfants d’âge mineur ou résidant à la même adresse sont permis. Un registre doit être tenu alors une preuve de résidence peut être demandée. À l’exception de la restauration rapide, la réservation est obligatoire.

Église St-Clément de Bishopton, Dudswell

Église Saint-Clément de Bishopton : Une pétition pour qu’elle soit donnée à la municipalité

L’AFEAS de Dudswell demande au conseil de Fabrique de céder l’église Saint-Clément de Bishopton à la municipalité pour la somme symbolique de 1 $.

Dans un geste désespéré pour sauver l’église Saint-Clément de Bishopton, fermée depuis l’automne dernier, l’AFEAS de Dudswell a récemment remis entre les mains de Michel Rodrigue, président du conseil de la Fabrique de la paroisse Saint-François-de-Laval une pétition de 230 signatures réclamant que cette dernière remette le bâtiment à la municipalité pour la somme symbolique de 1 $. La présidente de l’AFEAS, Domenica Guzzo, a également déposé la pétition à la municipalité ainsi qu’à l’archevêché à Sherbrooke pour que tous soient au fait de la démarche.

Rejoint au téléphone, Mariane Paré, mairesse de Dudswell, laisse entendre que le conseil municipal pourrait être favorable à prendre le bâtiment pour la somme de 1 $. Toutefois, ça ne semble pas aussi évident pour M. Rodrigue qui ne voit pas ça du même œil.

Rappelons que la paroisse Saint-François-de-Laval sur la recommandation du conseil de gestion de l’église Saint-Clément et sur l’approbation du conseil de Fabrique a demandé l’automne dernier à l’archidiocèse de Sherbrooke d’appuyer la vente de l’église, ce qui a été fait. Les raisons évoquées étaient d’ordre financier et le manque de ressources humaines. Des approches ont été faites auprès de la municipalité pour qu’elle se porte acquéreur du bâtiment, mais le coût d’achat, de mise à niveau et d’entretien semblait trop élevé. La municipalité loue actuellement l’espace pour une période d’un an et y tient ses assemblées du conseil municipal.
Mme Guzzo explique le geste de l’AFEAS par crainte que l’église soit vendue à un promoteur privé « pour qu’il construise des condos ou toute autre chose qui ferait en sorte que cet espace qui desservait le communautaire, ne le ferait plus. » La présidente de l’organisme croit qu’il est possible de financer une partie des coûts de l’église par diverses activités. Un document intitulé J’ai le goût de mon village a été déposé auprès des autorités municipales dans lequel, explique-t-elle, on retrouve plusieurs suggestions comme un café-théâtre, des cours d’artisanat, de yoga, des expositions annuelles, des soirées thématiques, de vins et fromages, des soirées découvertes, dégustations du terroir, des tombolas, un kiosque d’information touristique et autres. Mme Guzzo est convaincue que la pétition reflète la volonté des gens du secteur Bishopton. Les signatures, recueillies en 10 jours, sont toutes de Bishopton et tout le monde rencontré a accepté de signer sauf une, précise-t-elle. « Si on n’a pas cette salle, on n’a plus rien, on ne peut plus faire nos activités. Il n’y a pas d’autres salles ni d’autres endroits », insiste-t-elle. Pour Mme Guzzo et son organisme, « la demande n’est pas extraordinaire puisqu’un peu partout au Québec et dans le Haut-Saint-François, des ventes pour des sommes symboliques à des municipalités, à des organismes communautaires, il y en a eu et il y en a toujours. »

Municipalité
La mairesse de Dudswell admet que l’ensemble du conseil municipal serait favorable à faire l’acquisition de l’église pour la somme symbolique de 1 $. Selon Mme Paré, le fait de payer pour le bâtiment ne serait pas envisageable vu que des investissements seront nécessaires pour respecter les normes, comme édifice public. « On n’a pas les moyens comme municipalité de payer un prix de fou. Déjà qu’il y aura beaucoup d’investissements à faire. Ce bâtiment-là, l’église avec son sous-sol, la salle a été payée par les citoyens de la place, construite par les citoyens de la place, entretenue par les citoyens de la place. Pourquoi on prendrait l’argent des citoyens pour payer ça ? On pense que c’est justifié qu’il nous la remette pour qu’on la laisse aux citoyens, que ça devienne communautaire. » Mme Paré mentionne avoir déposé l’offre de la municipalité au représentant du conseil de Fabrique dans le cadre d’une rencontre tenue le 8 mars dernier. « Je pense, que pour eux (conseil de Fabrique), ils ont une réflexion à faire. » Pour Mme Paré, la pétition de 230 signatures est significative. Elle ajoute qu’une rencontre de citoyens manifestant leur volonté de ne pas perdre cette salle a eu lieu. « C’est pour ça qu’on a poursuivi notre réflexion pis on s’est dit, si on peut l’avoir pour 1 $. Il y a beaucoup d’investissements à faire dedans. Ça, ça va être une autre réflexion. Tous ceux qui achètent des bâtiments comme ça, il y a toujours des surprises », de compléter, la mairesse. « Si la municipalité prend possession de l’église, explique Mme Paré, elle aimerait y maintenir les activités communautaires. » La mairesse ajoute que la municipalité a demandé une réponse du conseil de Fabrique pour le 19 mars « pour qu’on ait le temps de travailler, vérifier des choses avant, pour passer ça au conseil municipal. »

Fabrique
M. Rodrigue confirme que la Fabrique est présentement en négociation avec la municipalité concernant la vente de l’église. Interrogé à savoir si la Fabrique pouvait laisser l’église pour la somme de 1 $, M. Rodrigue s’est montré évasif. « Ça dépend tout le temps du contexte. Je sais qu’ailleurs dans d’autres paroisses ça s’est fait, surtout dans le diocèse de Sherbrooke, les églises ont cédé leur bâtiment à leur municipalité, mais on est pas tout à fait dans le même contexte. L’église n’est pas dans le modèle des autres églises non plus. On négocie avec la municipalité, pis ça va bien. Nous autres, c’est une négociation qu’on fait, je ne suis pas intéressé à dévoiler ce qui se passe présentement non plus, mais je vois ça d’un bon œil, on est capable de se parler. » Le président du conseil de Fabrique mentionne que le bâtiment serait évalué à 434 000 $, le terrain à plus de 43 000 $. « Pourquoi il y a une si grosse évaluation et pourquoi on serait obligé de donner ça ? Pour nous autres, on trouve que ça a une certaine valeur. Comme j’ai dit, on négocie et on va sûrement s’entendre sur quelque chose un moment donné. » M. Rodrigue se montre confiant quant au dénouement. « C’est sûr qu’on va en arriver à une entente. » Quant à l’échéancier fixé par la municipalité de donner une réponse au plus tard le 19 mars, celui-ci ne croyait pas être en mesure de respecter cette demande, soutenant qu’il devait organiser des réunions et rédiger une contre-proposition. « On va sûrement en arriver à quelque chose de vive voix avant de taper quelque chose sur papier », complète-t-il.

salle communautaire East Angus

Clinique de vaccination contre la COVID : Des plages horaires disponibles pour les plus de 70 ans

Les citoyens de plus de 70 ans peuvent désormais prendre rendez-vous pour se faire vacciner contre la COVID-19. Ouverte depuis lundi, la clinique située à la salle des Chevaliers de Colomb East Angus élargit ses disponibilités selon le nombre de doses reçues.

« Nous sommes à planifier en continu et en direct le calendrier des rendez-vous et on ajoute des plages horaires pour permettre la vaccination », expliquait Jean Delisle, directeur de la campagne de vaccination en Estrie lors d’un point de presse. Dès que de nouvelles doses sont accessibles, d’autres disponibilités de rendez-vous s’ajoutent. Si les citoyens ne sont pas satisfaits du moment de leur rendez-vous, ils peuvent aller dans les systèmes pour annuler et en reprendre un selon les nouvelles plages horaires.

En une semaine, le groupe de personnes prioritaires pour le vaccin est passé de 85 ans et plus à 70 ans et plus. « C’est une bonne nouvelle, c’est qu’il y a de plus en plus de doses et donc ça nous permet d’ajouter de façon accélérée des rendez-vous additionnels pour des groupes qu’on pensait qu’ils arriveraient plus tard », s’enthousiasme M. Delisle.
Pour prendre rendez-vous, rendez-vous au quebec.ca ou téléphonez au 1 877 644-4545.

Transport Haut-Saint-François - Plusieurs réservations pour aller se faire vacciner

Transport Haut-Saint-François : Plusieurs réservations pour aller se faire vacciner

L’appel de service de Transport de personnes HSF de mettre des véhicules adaptés à la disposition des personnes admissibles à la vaccination fait mouche. Plusieurs citoyens font appel au service pour se rendre au lieu de vaccination contre la COVID-19 à la salle communautaire des Chevaliers de Colomb à East Angus.

Quelques jours après l’annonce, plusieurs réservations étaient faites auprès de l’organisme pour la première semaine, explique Thérèse Domingue, directrice générale de Transport de personnes HSF. Les citoyens, souvent seuls, mais parfois en bulle familiale, réservent une place dans les véhicules adaptés. « Les gens, tout ce qu’ils ont à faire, c’est de communiquer avec nous, donner la journée et l’heure de leur rendez-vous », exprime Mme Domingue. L’organisme s’assurera d’aller chercher les demandeurs directement à leur domicile. Elle explique que les requêtes proviennent d’un peu partout à travers les 14 municipalités de la MRC. « C’est une approche qu’on va faire tout le temps de la vaccination et non uniquement pour les personnes de certains groupes d’âge », ajoute-t-elle. La directrice est bien heureuse de cet engouement et s’attend à recevoir d’autres réservations pour les prochaines semaines.

Pour réserver un transport, les citoyens sont invités à téléphoner au 819 832-2711 poste 1717.

Mentionnons que les frais inhérents au service de Transport de personnes HSF sont supportés par le député de Mégantic, François Jacques, et ce pour l’ensemble des groupes d’âge qui auront réservé leur transport.

Opinion du lecteur

L’intersection 253 et 108 très problématique

Le ministère des Transports et la municipalité de Cookshire-Eaton ne font rien pour corriger la situation.

Il y a des accidents et accrochages continuellement. Les automobilistes ne comprennent pas le fonctionnement de la signalisation et les lois de cette artère.

Au Dépanneur Voisin, les autos sortent de partout et se sentent prioritaires, un banc de neige cache la vision de celui qui arrive de Sawyerville.
À la pharmacie, les camions de livraison stationnent dans la voie de circulation, ce qui cache la vision de ceux qui arrivent de Sawyerville.
Ceux qui descendent la côte virent à pleine allure direction East Angus, ne respectent aucune loi (piéton et autres) souvent sans clignoter.
Combien ça prend de temps pour un piéton qui sort de la pharmacie, traverse la 108, ensuite traverser la 253 quand personne ne respecte les lois ? Trop long et dangereux. Combien ça prend de temps pour traverser la 108 à 10 h le matin, à midi, à 4 h, à 5 h ?

Solutions minimum : 1. Meilleure signalisation pour piétons et véhicules. Ce n’est pas vrai qu’un camion qui monte cette légère pente ne peut se conformer à la loi. Ceux qui descendent ne savent pas qu’il y a intersection (circulent trop vite). 2. Interdire le stationnement face à la pharmacie, mettre terre-plein. 3. Au Dépanneur Voisin, mettre terre-plein près du coin 108 et 253, interdire de circuler en 45º.

P.S. Regardez le bureau de poste; il n’y a pas d’entrée ni de sortie au bord de l’intersection.

Ça prend des flashs de circulation pour piétons à cette intersection. Ça prend 2 minutes pour traverser le 253 et 20 minutes pour traverser la 108.
Jean-Guy Prévost
Cookshire-Eaton

Église paroisse St-Camille de Cookshire

Hommage aux victimes de la COVID-19 : Les églises se font entendre

Plusieurs églises des différentes paroisses du Haut-Saint-François ont participé à la Journée nationale de commémoration pour les victimes de la COVID-19, du 11 mars dernier, en faisant retentir une volée de cloches. Certaines, munies d’éclairage extérieur, ont utilisé les lumières blanches en signe de solidarité. En Estrie, ce sont plus de 300 personnes qui sont décédées de la COVID-19. En l’honneur de ces disparus, et pour apporter un peu de réconfort aux personnes en deuil, un endroit de recueillement était aménagé à la Basilique-Cathédrale Saint-Michel de Sherbrooke. Plus de 300 lampions, un pour chaque victime, ont été allumés. En matinée, l’archevêque de Sherbrooke, Mgr Luc Cyr, a présidé une célébration en l’honneur des victimes. Les églises du Haut-Saint-François ayant participé à l’activité et dont le journal a obtenu confirmation sont celles de la paroisse Saint-François-de-Laval, Saint-Camille de Cookshire, Saint-Isidore-de-Clifton, Notre-Dame-du-Rosaire Sawyerville et Saint-Janvier de Weedon.

Pierre Hébert directeur du Journal HSF

Une chance qu’on s’a

Voilà maintenant un an que nous sommes embourbés dans la crise sanitaire causée par la COVID-19. Au cours de cette période, nous avons vécu de multiples rebondissements, des situations stressantes, angoissantes et ce à multiples égards que ce soit d’ordre économique, personnel, professionnel, psychologique, familial et bien d’autres. Certains ont vécu la perte d’un être cher. Bref, 12 mois pour le moins éprouvants. Toutefois, il y a de l’espoir, une lumière apparaît au bout du tunnel. L’assouplissement des règles sanitaires en passant de zone rouge à orange en Estrie dont le Haut-Saint-François permet d’envisager des jours meilleurs.

Ayant passé presque quatre mois en zone rouge, déclarée le 12 novembre 2020, l’ouverture des restaurants avec des restrictions, de même que les gyms, les sports à deux et les salles de spectacle apporteront certainement un peu d’oxygène. Le prolongement du couvre-feu à 21 h 30 est également bienvenu. Bien que rien ne soit encore gagné, que le risque des variants soit toujours présent, l’entrée en vigueur d’une vaccination massive s’annonce encourageante.

Malgré tout ça, on peut dire qu’on ne la pas eu facile. Il y a une expression qui dit « ce qui ne nous tue pas nous rend plus forts. » Or, le Haut-Saint-François par les ressources humaines qu’il dispose à travers ses organismes de développement économique, communautaire et autres ont joué un rôle déterminant dans cette crise. Tous les intervenants ont saisi la balle au bond, s’empressant d’appliquer les divers programmes qui pleuvaient des paliers de gouvernement fédéral et provincial à l’ensemble de la communauté. Avec des ressources limitées, ils ont été et sont toujours en mesure d’offrir les services adéquats.

L’apport des organismes de développement comme le CLD et la SADC à rendre les programmes d’ordre économique disponibles notamment pour les gens d’affaires s’est avéré approprié. À travers cette crise, on remarque sans contredit la résurgence du monde communautaire et de ses organismes. Plus que jamais, ils ont démontré qu’ils constituaient des maillons importants du filet social. C’est à travers les épreuves que l’on reconnaît les vrais. Or, la crise a permis à ces organismes de se faire découvrir et reconnaître de la population et du milieu politique régional qui pour certains ignoraient même leur existence ou leur mission. Que ce soit Moisson HSF, le Centre d’action bénévole (CAB), La Passerelle, La Relève, Transport de personnes HSF, la Corporation de développement communautaire (CDC), bien d’autres sans oublier les nombreux bénévoles disposés à donner un coup de main nous ont permis de passer au travers et de pouvoir espérer des jours meilleurs.

Cette épreuve, bien qu’elle ne soit pas terminée, nous sort grandis en tant que collectivité et c’est à nous de nous rappeler l’importance de nos organismes et de les soutenir. Comme le mentionne l’auteur-compositeur-interprète Jean-Pierre Ferland dans l’une de ses chansons Une chance qu’on s’a.

Richard Tanguay, maire de Weedon

Weedon : Le maire Tanguay se retire fin avril

Le maire de Weedon, Richard Tanguay, quittera son poste le 30 avril prochain.

Après avoir annoncé au Journal régional Le Haut-Saint-François qu’il ne solliciterait pas de renouvellement de mandat, le maire de Weedon, Richard Tanguay, se ravise et précise qu’il quittera son poste le 30 avril prochain.
« Changement d’horaire, j’ai décidé de prendre ma retraite politique avant le temps. J’ai fait le relevé des dossiers que je travaille, quel mode sont rendus, quand je peux faire du transfert, comment et d’après moi pour le 30 avril, ça va être une étape cruciale pour plusieurs, ça va être le bon moment pour faire les transferts. »

La nouvelle ne surprend peut-être guère dans les officines du conseil municipal notamment auprès de quelques élus qui n’étaient pas au diapason avec le maire Tanguay. Ce dernier a dû laisser son siège, en décembre, pendant près de trois mois, pour des raisons de maladie. Entre-temps, la municipalité en est venue à un accord mutuel pour mettre fin à l’entente liant la municipalité et le directeur général, Mokhtar Saada.
« Après mûre réflexion, je vais quitter la politique municipale. Ça ne répond peut-être plus à mes attentes, à mes orientations. » Le maire Tanguay ne cache pas que le climat au sein du conseil municipal n’est pas étranger à sa prise de décision. Il mentionne avoir éprouvé beaucoup de plaisir à faire de la politique municipale « quand on travaille tous ensemble. » Il dit déplorer « qu’au nom de certains beaux grands principes, il y a du monde qui se serve de ça pour tenter de dénigrer ou mettre en cause l’intégrité des autres. Ça, ça m’affecte beaucoup, j’aime pas ça. Souvent ces personnes-là omettent de dire qu’ils ont des intérêts personnels derrière ce qu’ils défendent. Au nom de beaux grands principes, ils se permettent d’attaquer du monde. » Interrogé à savoir s’il faisait référence à certains élus, le maire s’est refusé à avancer des noms, laissant tomber « je te laisse imaginer à quoi je fais référence. Le climat au conseil n’aide pas, ça, c’est bien clair pour moi-là. »

Malgré le contexte, M. Tanguay est fier des différentes réalisations. « Je pense avoir fait ce que j’avais à faire. J’ai fait de mon mieux. J’ai réalisé des projets intéressants. Il y a des choses intéressantes qui se sont fait de bonne foi. » Parmi les différents bons coups, le maire fait référence à la flotte municipale, la régie des incendies, le parc de l’aréna et le jardin communautaire. Il souligne son appui dans la lutte pour maintenir l’avenir du CHSLD et CLSC ainsi qu’auprès du projet de coopérative d’habitation. « J’aurais aimé que MYM ça aboutisse, on a mis du temps et de l’énergie, ça aurait changé le cours de l’histoire de la ville. Ça aurait aidé notre territoire, on a fait ce qu’on a pu. »

Impliqué sur la scène régionale à titre de préfet suppléant, M. Tanguay est particulièrement fier de la collaboration des élus pour la mise à niveau de la route 257. Par ailleurs, la campagne Ose le Haut avec Apollo est bien lancée, ajoute-t-il.

Sur le plan professionnel, M. Tanguay a entamé un nouveau travail depuis quelques semaines au sein du Groupe de ressources techniques (GRT) de l’Estrie. « J’ai commencé à travailler, les dossiers déboulent, puis après analyse, je me suis dit que ça serait peut-être le bon moment », complète-t-il.

Pourquoi des funérailles

Pourquoi des funérailles ?

  • Pour reconnaître qu’une vie a été vécue.
  • Pour confirmer la réalité du décès.
  • Pour servir de lieu de rencontre pour la famille et les amis.
  • Pour permettre aux personnes en deuil de vivre leur peine et d’échanger pensées et sentiments.
  • Pour permettre aux personnes en deuil de se réunir et de se rappeler des souvenirs du défunt.
  • Pour permettre aux parents et amis d’exprimer réconfort, émotions et soutien envers la famille éprouvée.
  • Pour mieux vivre les étapes du deuil.
  • Pour aider les survivants à accepter leur deuil et leur faciliter le retour à la vie quotidienne.
Rachel Garber

FOOL’S SPRING

“We are here,” said the calendar. The arrow pointed to Fool’s Spring. That’s the season that comes just after Winter, and just before Second Winter. Then comes the Spring of Deception, the Third Winter, and Mud Season, before finally arriving at Actual Spring, and Summer.
It sounds a bit like the parade of seasons leading to the end of the Covid-19 pandemic, doesn’t it? As the vaccines approach on the horizon, we go through all the shades of our winter of discontent, leading up to a summer made glorious by herd immunity. Oh wait, might that be a glorious autumn?
I have an appointment, now, for my first vaccination, on March 26. My friend, age 90 in Sherbrooke, got her first vaccination today, and an appointment for the second one on June 30, three-and-a-half months later. (In contrast, my sister, age 80 in Virginia, got her second vaccination yesterday, a month after her first one.) So my vaccine-radar tells me I could be waiting until mid-July for my second shot. And the others in my household, still later. So my goal is a glorious autumn.
And we still don’t know what the various coronavirus mutations will do. So, like I said, as the ice slides and crashes off our roof: We are in Fool’s Spring.
We need to just keep on focusing on our gardens.
Gardening calendars, like temperate zones, vary from hill to valley. That’s why I’ve turned to an ancient system of observation, phenology. Brought to us by the Old Farmer’s Almanac, it has to do with observing nature and following nature’s timing.
So, when my apple trees bloom, I’ll plant bush beans. When my apple blossoms fall, I’ll plant pole beans and cucumbers. When lilacs are in full bloom, I’ll plant annual flowers and squashes. I’ll find my lilies-of-the-valley, and when they flower, I’ll transfer tomato plants to the garden (or maybe I’ll just leave them in our greenhouse). When maple leaves are full-sized, I’ll plant morning glories. When bearded irises bloom, I’ll transplant peppers. And when peonies blossom, I’ll transplant cantaloupe.
And then! Our glorious autumn! No guarantees, but we can hope.
SWEET SEASON
Now we can visit a sugar shanty virtually. This new initiative lets one order a gourmet box of reheatable or ready-to-cook dishes from Quebec sugar shacks, of which many are in the Eastern Townships. Info: Visit www.macabanealamaison.com in either English or French.
DEMENTIA: TIPS
Insights and tips for people with loved ones who live with dementia, offered by Carole Arbery: She is a Licensed Practical Nurse who teaches in the Health Assistance and Nursing Care program at Lennoxville Vocation and Training Center. She has worked in seniors’ care for 27 years, including many in an Alzheimer’s Unit. Arbery is interviewed on Townshippers’ Association’s channel on YouTube, in English.
JOB SEARCH
Job Links is offering a series of online workshops for job seekers, especially young job seekers. “Get ready to apply for the best summer jobs” is the topic for the March 24-25 workshop. On April 27-28, the topic is “Self-knowledge, the key to your dream job,” and on May 26-27, a “Survival guide for anxiety.” For information, visit joblinks.etsb.qc.ca or Facebook.com/Job Links Eastern Townships, or contact 819-566-2422 or joblinks@etsb.qc.ca.
ST. PAT’S FESTIVAL
A virtual Irish Heritage Festival is available from the St. Patrick’s Society of Richmond & Vicinity. On March 17 at 7 p.m. is planned an “At Home” Kitchen Party with songs, music and dance. On March 20 at 2 p.m., Rebecca Taylor will tell stories for children. That evening, at 7 p.m., Louise Chapdelaine will show how to bake Irish Soda Bread; Julie Miller will tell the story of the harp in Ireland; and Nick Fonda will tell the story of Maggie Murphy and her life growing up in Richmond in the 1800s. All the events are free. Details and links are at www.richmondstpats.org.
BUSINESS OF ARTS
Business Skills for Creative Souls: A new online conference for artists on re-imagining the arts is on March 22 and 23. It is free and in English. A combination of networking and panel discussions is designed to open new possibilities for participants. For details, visit www.yesmontreal.ca.
BURY HISTORY
Looking forward to its 20th anniversary next year, the Bury Historical and Heritage Society is taking a look back at the years since its founding in March 2002. The Society has just published a little 12-page Souvenir Yearbook 2002-2020. The bilingual booklet is chock full of details and photos of the Society’s annual accomplishments, and its movers and shakers. For information or to buy it, contact Edward Pedersen, 819-872-3400, or Bury1803@gmail.com.
CHURCHES
United. Home worship services are available for pickup Fridays after 2 p.m. at Sawyerville United Church (box on top of freezer in porch), at Trinity United Church (in plastic bag at basement door). To receive services by mail or email, or for pastoral care, contact Rev Tami Spires at 819-452-3685 or spiresta@hotmail.com. Facebook info: United Eaton Valley Pastoral Charge.
Baptist. In-person Sunday services have begun again for 25 or fewer persons with Covid-19 protocols in place (wash hands at the entrance, maintain a 2-metre distance from others, use assigned seating, wear masks, do not sing, do not shake hands, and leave via the exit door). The service in French is at 9 a.m., and in English at 11 a.m.
A mask is provided for persons needing one, and a list of all the attendees is kept, in case of infection. Persons with flu symptoms are asked not to attend services. The pastor’s message is also available on YouTube: For the link, contact Pastor Michel Houle: 819-239-8818.
Anglican. Bishop Bruce Myers continues to offer Home Prayers at 10:30 a.m. Sundays on Facebook, and at quebec.anglican.ca (Worship Videos). Info: 819-887-6802, or quebec.anglican.ca.
Do you have news to share? Call 819-300-2374 or email rawrites@gmail.com by March 22 for publication March 31, and by April 5 for April 14.

Clubs quads et motoneigistes du HSF

Plus de 200 000 $ pour les clubs quads et motoneigistes

Un total de six clubs quads et motoneigistes du Haut-Saint-François se partageront 93 975 $.

Une douzaine de clubs quads et de motoneigistes du comté de Mégantic se partageront une aide financière de 201 004 $ pour rendre plus sécuritaire la pratique des véhicules hors route (VHR). De ce nombre, six du Haut-Saint-François profiteront d’une aide totalisant 93 975 $.

C’est le député de Mégantic et adjoint parlementaire de la ministre des Affaires municipales et de l’Habitation (volet Affaires municipales), François Jacques, qui en fait récemment l’annonce au nom du ministre des Transports et ministre responsable de la région de l’Estrie, François Bonnardel.

Cette aide permettra notamment aux clubs d’entretenir les sentiers sous leur responsabilité, d’assurer leur pérennité et d’y mettre en place la signalisation adéquate, précise-t-on dans un communiqué de presse. Dans le cadre du Programme d’aide financière aux véhicules tout-terrain du Québec, on retrouve le Club Quad de Sherbrooke-Ascot Corner avec 9 010 $ et celui du Haut-Saint-François qui bénéficiera de 15 577 $.
Dans le cadre du Programme d’aide financière aux clubs de motoneigistes du Québec, nous retrouvons le Club d’Auto-Neige Cookshire inc. avec 20 837 $, celui de motoneigistes des Monts Appalaches de Scotstown avec 21 190 $, l’Association sportive Wee-ski de Weedon inc. avec 15 752 $ et le Club de Motoneige Aigle Noir d’East Angus inc. pour un montant de 11 609 $. En 2020, le gouvernement du Québec a accordé une aide financière de plus de 13 M$ à la Fédération des clubs de motoneigistes du Québec (FCMQ), à la Fédération québécoise des clubs quads (FQCQ) ainsi qu’aux clubs qui leur sont affiliés.

« Les retombées économiques liées aux activités récréotouristiques des VHR sont essentielles pour le dynamisme économique de notre circonscription de Mégantic. Été comme hiver, les sentiers de quad et de motoneige sont sillonnés par les adeptes locaux tout comme par les touristes québécois, et cela est encore plus vrai cette année. Je me réjouis donc de l’appui financier de notre gouvernement aux clubs de notre région », d’exprimer M. Jacques.
« En ces temps où nos activités sont plus limitées, chaque sortie en motoneige ou en quad est encore plus appréciée par les amateurs de VHR. Votre gouvernement souhaite mettre tout en œuvre pour permettre une pratique sécuritaire de ce loisir. C’est pourquoi nous sommes fiers de soutenir les clubs de la région de l’Estrie afin qu’ils puissent maintenir et développer leurs activités durant cette saison qui est, à n’en pas douter, unique », d’ajouter François Bonnardel, ministre des Transports et ministre responsable de la région de l’Estrie.

Le réseau de sentiers fédérés du Québec compte plus de 33 000 kilomètres pour la pratique de la motoneige et plus de 25 000 kilomètres pour la pratique du quad. Les sentiers sont entretenus et surveillés par 312 clubs affiliés à la FCMQ ou à la FQCQ. Les retombées économiques liées à la pratique de la motoneige et du quad sont estimées à plus de 3 G$ de dollars annuellement. Le Programme d’aide financière aux véhicules tout-terrain du Québec est en vigueur jusqu’au 31 mars 2022 et comporte trois volets: entretien des sentiers, sécurité et environnement ainsi que Fédération québécoise des motos hors route (FQMHR). Par ailleurs, le Programme d’aide financière aux clubs de motoneigistes du Québec est également en vigueur jusqu’au 31 mars 2022 et comporte deux volets: entretien des sentiers, sécurité et environnement.

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Mesures gouvernementales pour aider la situation féminine : Table ronde entre femmes

Les femmes font face à plusieurs enjeux sociaux tels que la faible présence féminine en entrepreneuriat, la réalité des agricultrices et les violences basées sur le sexe et la culture. C’est ce qui est ressorti lors d’une récente table ronde organisée par les députées fédérales, Marie-Claude Bibeau, Élisabeth Brière et Lyne Bessette. Une centaine de femmes participaient à la rencontre virtuelle tenue à l’occasion de la Journée internationale des droits des femmes dans le but de discuter des problématiques vécues par celles-ci et connaître les mesures mises en place par le gouvernement fédéral pour aider à améliorer la situation.

Différentes représentantes d’organismes des circonscriptions de Compton-Stanstead, Sherbrooke et Brome-Missisquoi prenaient part à la discussion. « On a fait des avancées, on a eu beaucoup de gains au cours des dernières années, mais il reste encore tellement à faire », exprime Mme Brière.

L’entrepreneuriat au féminin
La députée de Sherbrooke rappelle que seulement 16 % des petites et moyennes entreprises au Canada appartiennent à des femmes. Toutefois, des études démontrent qu’en favorisant la participation économique de celles-ci à l’économie, le Canada pourrait ajouter jusqu’à 150 milliards de dollars au PIB. « C’est pourquoi le gouvernement prend des engagements concrets pour que les femmes participent à part entière à l’économie canadienne », exprime Mme Brière. Marianne Auclair, de Femmessor Estrie, se questionnait à savoir de quelle façon le Canada pouvait faire une économie plus inclusive, diversifiée et axée sur le développement durable. « On a mis en place, notamment, le plan d’action pour les femmes dans l’économie qui favorise l’autonomisation des femmes », explique la députée Brière. La Stratégie pour les femmes en entrepreneuriat (SFE) est un investissement de près de 5 milliards de dollars qui vise à améliorer l’accès aux entreprises dirigées par des femmes.

Des agricultrices dévouées

Yolande Lemire, vice-présidente des Agricultrices de l’Estrie, mentionne que plus de 2000 femmes en Estrie travaillent au développement de l’agriculture d’une façon ou d’une autre. « Ce sont des femmes qui sont des entrepreneures, elles sont averties, instruites, engagées et elles désirent qu’on reconnaisse leurs compétences et leur détermination », exprime-t-elle. Une des problématiques soulevées par Mme Lemire est la difficulté d’acquérir ou de conserver les terres familiales en raison des prix et des actifs trop élevés. Elle craint ainsi un point de rupture à un moment donné. Le gouvernement fédéral a mis en place le programme Agri-diversité qui vise à aider les groupes sous-représentés du secteur agricole canadien, tels que les jeunes, les femmes, les Autochtones et les personnes handicapées à surmonter les problèmes et les obstacles auxquels ils sont souvent confrontés. La vice-présidente s’inquiète également du déroulement du projet de loi C-216, soit celle modifiant la Loi sur le ministère des Affaires étrangères, du Commerce et du Développement (gestion de l’offre). « Notre engagement était de protéger le système de la gestion de l’offre, ce qu’on a fait », rappelait Mme Bibeau, qui est également ministre de l’Agriculture et de l’Agroalimentaire. Elle ajoute que récemment, le gouvernement a pris l’engagement de ne plus céder de part de marché.

Trop de violences faites aux femmes
« On se bat parce que le viol est encore une arme de guerre, parce qu’il y a trop de violences faites aux femmes », lançait Mme Brière, racontant un moment où elle s’est sentie menacée en courant dans son quartier, alors qu’un homme la suivait en voiture. Au cours des derniers mois, plusieurs histoires de violences et drames familiaux ont fait les manchettes. Plusieurs femmes cherchent donc à savoir de quelle façon le gouvernement peut contrer à ces gestes posés en raison du sexe. Le projet de loi C-21 propose des restrictions sur les armes à feu. « Une des mesures dans cette loi, c’est un système d’alarme qui va permettre aux autorités d’enlever une arme chez quelqu’un qui est reporté pour violence familiale », explique la députée de Sherbrooke. Les statistiques démontrent qu’avec la pandémie, la violence faite aux femmes et aux filles s’est intensifiée. Les femmes victimes de violence se retrouvent isolées des personnes qui peuvent les aider, ainsi la demande auprès des organismes de soutien a augmenté. En octobre dernier, le gouvernement annonçait un financement supplémentaire de 50 M$ aux organismes qui offrent des services aux femmes et enfants victimes de violence fondée sur le sexe. Diverses autres aides financières ont été remises, notamment aux maisons d’hébergement pour femmes et aux centres d’aide aux victimes d’agressions sexuelles. Les communautés culturelles et les femmes autochtones sont également victimes de beaucoup d’agressions. Josiane Whittom, du Centre Femmes des Cantons, relatait trois enquêtes concernant des femmes autochtones soit celle de la relation entre les peuples autochtones et les services publics, celle sur les filles et les femmes disparues et assassinées et celle pour la réconciliation véritable. Elle cherchait à comprendre de quelle façon le gouvernement comptait appliquer les mesures recommandées. « Ces trois enquêtes ont révélé des injustices inacceptables qui persistent encore aujourd’hui et qui touchent les femmes autochtones. Récemment, le gouvernement a déposé le projet de loi C15 pour mettre en pratique un des appels de la commission sur la vérité et la réconciliation. Celle d’appliquer la déclaration des Nations Unies sur les droits des peuples autochtones au Canada », explique Mme Bessette.
Plusieurs autres enjeux sont ressortis tels que la faible présence des femmes en politique, le droit à l’avortement, l’aide d’accès aux logements et aux garderies et l’aide financière pour les femmes et mères vivant sous le seuil de la pauvreté. Bien que plusieurs enjeux sont en partie réglés ou en voie de l’être, force est de constater qu’il reste beaucoup à faire pour que les femmes soient davantage incluses. Plus d’informations sur les mesures en place par le gouvernement canadien sont disponibles au https://cfc-swc.gc.ca/.

Dribbleurs Haut-Saint-François

Dribbleurs du Haut-St-François : Une nouvelle identité visuelle

À l’occasion de leur quinzième anniversaire, le Club de soccer les Dribbleurs du Haut-St-François dévoile une nouvelle identité visuelle plus jeune et dynamique.

Ayant le même logo depuis plusieurs années, le nouveau conseil d’administration a estimé que le temps était venu de rajeunir leur logo. Puisque les membres des équipes arborent le bleu sur leurs uniformes, cette couleur prédominante était donc un choix naturel pour la création de l’image, exprime le conseil dans un communiqué. Certains éléments du logo ont été réinterprétés, soit la couleur verte, le ballon, les bandes ainsi que le sapin. Ceux-ci ont été greffés pour témoigner du respect de ses dernières années de service. De plus, afin de mieux affirmer son identité géographique, le club a ajouté les noms des 14 municipalités de la MRC du Haut-Saint-François.

Outre cette nouvelle image de marque, les Dribbleurs en ont profité pour mettre à jour le site Internet dans le but de le rendre plus simple et plus convivial. Une emphase sur les réseaux sociaux est également mise. Ainsi, les responsables espèrent dynamiser le monde sportif dans la région et continuer la croissance de leur club.

Les préinscriptions pour la saison estivale 2021 sont en cours. Les détails sont disponibles au www.dribbleursduhautstfrancois.com.

Gwendolyn Rivera de Artémysia Mystica

Cultiver les plantes médicinales : En communion avec la nature

Gwendolyn Rivera, herboriste, crée divers produits dérivés de plantes médicinales.

Reconnaissante de ce que la terre peut offrir, Gwendolyn Rivera démarrait son entreprise de produits dérivés de plantes médicinales, Artémysia Mystica, il y a quatre ans. Basée à Cookshire-Eaton, l’herboriste ressent une communion avec la nature et est fascinée de tout ce qui peut être créé à partir des éléments naturels.


L’herboristerie est une médecine complémentaire qui utilise les plantes médicinales sous différentes formes. Cette technique de guérison est utilisée par l’homme depuis des siècles. Depuis plus de 20 ans, Mme Rivera s’intéresse à ce type de culture. « Je faisais ça parce que ça faisait longtemps que j’avais le goût d’en fabriquer. J’ai toujours eu des jardins et ça me fascine les plantes médicinales », exprime-t-elle. Dans son jardin, elle cultive différentes plantes, mais elle aime aussi utiliser celles qui poussent naturellement tout autour de sa maison. Calendules, rosiers sauvages, pin, sapin, tuya et artémise, tout ce qui peut être bénéfique, elle le cultive. « Chaque année, je pars mes semis à l’intérieur. C’est toujours avec des semences biologiques. Quand le temps arrive, je les transplante dans mon jardin », explique-t-elle. Pour ses macérations et la fabrication de ses articles, elle prend soin de sélectionner des matières biologiques et locales le plus souvent possibles. Même si elle apprécie toutes les plantes, l’herboriste a tout de même un faible pour l’armoise. « En fait, je fais pousser plusieurs plantes de la famille des artémises. » Elle s’intéresse également à l’artemisia absinthium malgré sa mauvaise réputation. Selon elle, bien dosée, cette plante peut avoir de belles propriétés. « J’avais le goût de faire pousser quelque chose qu’on n’a pas et faire des associations avec les gens qu’il y a ici », mentionne l’entrepreneure.

Parmi les produits qu’elle fabrique, on y retrouve, entre autres, de l’encens et des parfums solides. « J’ai toujours aimé l’aromathérapie. Faire des mélanges par moi-même, c’est très intuitif », exprime-t-elle. Le parfum solide est en quelque sorte un baume qui peut également hydrater et nourrir la peau ou les cheveux. Ses clients peuvent également se procurer des onguents. « Ça c’est quelque chose que j’aime vraiment beaucoup faire parce que ça implique que je fasse pousser des plantes spécifiques à ce que je veux ou que j’aille dans la forêt pour cueillir des aiguilles de sapin, de thuya, etc. », affirme-t-elle.

Au Québec, un regroupement de professionnels et amateurs de plantes médicinales a été fondé en 1995, soit la Guilde des herboristes. Cette association regroupe présentement plus de 300 membres et travaille à faire reconnaître le droit à l’utilisation des plantes médicinales. Celles-ci peuvent être préparées par infusion, décoction ou macération. Elles sont utilisées sous forme de tisanes, de poudre à intégrer aux aliments, par fumigation, avec lotions corporelles, cataplasmes et bien d’autres. Soucieuse de l’environnement et du bien-être humain, Mme Rivera a créé son entreprise dans l’espoir de redonner à la communauté. « Je veux que ce soit quelque chose qui a des belles valeurs, qui est bon pour l’humanité et qui a moins d’impacts nocifs pour l’environnement. Je me suis vraiment trouvé ma passion, ma façon de m’exprimer dans les produits naturels avec les plantes médicinales. »

Selon elle, les plantes et ce que la nature a à offrir possèdent des propriétés magiques, soit le pouvoir de prendre contact avec l’invisible et avec la nature. « C’est le côté magique, c’est mystique et on ne peut pas dire que c’est vrai, mais j’aime la beauté de cet univers-là et j’aime ça l’utiliser avec ces intentions. » Ainsi, cet aspect ésotérique est présent dans ses créations. Native du Chili, Mme Rivera a toujours été quelqu’un de très spirituel. Dans certaines de ses fabrications, comme ses encens, elle y insère des pierres semi-précieuses. Pour elle, c’est un concept odorant qui transporte dans un univers et un état d’âme. Le sentiment de faire du bien à ceux qui l’entourent en utilisant ce que la nature offre lui donne une immense fierté.
Ses produits sont vendus sur sa boutique en ligne au www.artemysiamystica.etsy.com.

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Sawyerville Community Garden : In Full Preparation for the Planting Season

The Sawyerville Community Garden team members are in the midst of preparing for the summer season. They are planning new structures and activities, in compliance with health regulations.

In the spring, a new construction will be added to those already present. “A new shelter will be built, 10 x 50 feet, to accommodate producers and processors at the market,” explained the president, Chantal Bolduc. All of these facilities will allow many community activities to take place over the summer.

Because a Seed Festival was not possible in person this spring, the organizers made it a virtual one. The event offered information about seed producers as well as digital conferences. Regarding the pandemic, Bolduc suggested that the Community Garden is one of the solutions to get through this ordeal.

“The best way to protect yourself is to have a strong immune system. Many studies have shown that clean air, physical exercise, and eating vegetables, fruits and good foods contribute to good health,” she said, inviting members of the public to participate in the project. Citizens can rent a plot in the garden at a cost of $20. “This offers the possibility of gardening using ecological methods. Compost, mulch, and gardening tools such as grelinettes, rakes, and garlic or leek plotters are available in the garden,” explained the president.

The annual general meeting will take place April 17. All the details are available on the Facebook page of the organization.

Jardin communautaire de Sawyerville

Jardin Communautaire de Sawyerville : En pleine préparation pour la saison estivale

Les responsables du Jardin Communautaire de Sawyerville se préparent à la saison estivale.

Les responsables du Jardin Communautaire de Sawyerville se préparent pour la saison estivale. De nouvelles structures et activités, en respect avec les consignes sanitaires, sont prévues.

Au printemps, une nouvelle construction s’ajoutera à celles déjà présentes. « Il y a un nouvel abri qui va être construit, 10 x 50 pieds, pour accueillir des producteurs et transformateurs au marché », explique Chantal Bolduc, présidente. Toutes ces installations permettront de mettre en place plusieurs activités communautaires au cours de l’été.

N’ayant pas été en mesure de faire une Fête des semences en présentiel, les organisateurs en ont fait une virtuelle. Des informations sur les semenciers ainsi que des conférences numériques étaient proposées. Concernant la pandémie, Mme Bolduc croit que le Jardin Communautaire fait partie des solutions pour passer au travers de cette épreuve. « La meilleure façon de se protéger, c’est d’avoir un système immunitaire fort. Plusieurs études démontrent que l’air pur, l’exercice physique, manger des légumes, des fruits et de bons aliments contribuent à la bonne santé », exprime-t-elle, invitant ainsi la population à participer au projet. Les citoyens peuvent procéder à la location d’une parcelle du jardin au coût de 20 $. « Ça offre la possibilité de cultiver des rangées en pratiquant des méthodes écologiques. Le compost, paillis, les outils de jardinage tels que grelinettes, râteaux, traceurs d’ail et de poireaux sont disponibles au jardin », explique la présidente.

L’assemblée générale annuelle se déroulera le 17 avril. Tous les détails seront inscrits sur la page Facebook de l’organisme.

Club de Golf de East Angus

Terrain de golf à East Angus : Pas de vente, la saison reprendra normalement

Dépendamment du contexte pandémique, la saison de golf 2021 devrait prendre son envol normalement avec son parcours de 18 trous à East Angus.

Les discussions concernant la vente du terrain de golf à East Angus, impliquant la municipalité, propriétaire de la surface de jeu avec un promoteur, ont pris fin abruptement. Les propriétaires du club, Richard Boisvert et sa conjointe Pauline Mercier, ont mis un terme aux discussions afin de préparer l’ouverture de la nouvelle saison qui approche à grands pas.

Rappelons que les propriétaires des installations, équipements et de la bâtisse du Club de golf East Angus ont mis le tout en vente l’année dernière. Pour sa part, la municipalité est propriétaire du terrain. Or, un promoteur s’était montré intéressé à acheter le tout, expliquant les discussions avec les autorités municipales.

Rejoint au téléphone, M. Boisvert admet avoir mis un terme aux discussions. Constatant que les négociations se prolongeaient et que la saison approchait, il n’avait d’autre choix, dit-il, qu’interrompe les négociations, et se concentrer, sur la nouvelle saison. Il mentionne que le responsable du restaurant Yves Beaudoin et son frère avaient manifesté le désir de quitter. « Yves m’avait dit qu’il était prêt à rester si c’était moi qui continuais. Je devais donner une réponse début mars. J’ai dit au promoteur, le gars n’y connaît rien de l’opération du club, met ça sur la glace pis je vais faire l’année au complet. Je ne voulais pas laisser aller le club de golf de même avec quelqu’un qui ne connaissait pas plus les affaires du golf. » M. Boisvert et sa conjointe entendent respecter les termes de l’entente avec la municipalité qui est d’assurer la bonne marche du club de golf pendant une période de cinq ans. Le pacte prend fin en 2022. « L’automne prochain, je vais envoyer une lettre à la municipalité pour leur dire que je n’ai pas l’intention de renouveler l’entente et que je vais terminer à l’automne 2022. Ça leur laissera le temps de trouver quelqu’un d’autre. » Dans l’hypothèse où il n’y aurait pas de relève au terme de l’entente, M. Boisvert est confiant d’être en mesure de vendre les équipements, karts et autres sans trop de difficulté. Le fait qu’il sera toujours propriétaire du bâtiment ne semble pas l’inquiéter outre mesure. M. Boisvert estime avoir investi plus d’un million $ au cours des trois dernières années.
Ouverture
Selon M. Boisvert, si tout va bien et que Dame nature se montre clémente, les golfeurs pourraient fouler le parcours de golf dès la mi-avril, dépendamment du contexte pandémique qui prévaudra à ce moment. « Comme c’est là, ça va bien, j’ai pas mal tout mon personnel. » Le surintendant, Michel Boutin, veillera encore à l’entretien du terrain. Le Club de golf East Angus comptait près de 130 membres. « On a eu beaucoup de visiteurs, c’est ce qui nous a sauvés », de compléter le copropriétaire. Quant au restaurant du club, les heures d’ouverture restent à être déterminées et se feront en fonction des règles sanitaires, d’expliquer M. Beaudoin.
Ville
Du côté de la municipalité, la mairesse Lyne Boulanger se réjouit du fait qu’il y aura du golf pour la prochaine saison, mais ajoute « on était sur le point d’avoir une entente. » Siégeant au conseil municipal depuis 2001, elle soutient que la vente du terrain du club de golf est l’un des dossiers les plus difficiles qu’elle ait eu à traiter. « Il y avait beaucoup de choses à évaluer. On ne décide pas ça comme ça. On voulait être certain de faire la bonne chose. On était près d’une entente. M. Boisvert a décidé que ça n’allait pas assez vite. » La mairesse ne cache pas déception. « Oui, je suis déçue parce qu’on a travaillé pour rien. Mais pour moi, l’important c’est qu’on ait du golf. J’ai confiance en M. Boisvert », complète-t-elle.

5-conseils-dentretien-pour-un-véhicule

5 conseils d’entretien pour un véhicule peu utilisé

Même si vous ne conduisez pas régulièrement votre véhicule, il est important de veiller à son entretien. Voici quelques conseils pour le maintenir en bon état lorsqu’il ne sert (presque) pas.

  1. Chargez la batterie
    Les systèmes électriques des voitures moder­nes sollicitent la batterie même lorsque le mo­teur est arrêté. Pour vous assurer qu’elle ne rendra pas subitement l’âme, faites tourner le moteur au moins cinq minutes toutes les deux ou trois semaines, idéalement en conduisant vo­tre véhicule (faites le tour du pâté de maisons, par exemple). Vous pouvez également vous do­ter d’un chargeur de batterie.
  2. Vidangez l’huile
    Effectuez les changements d’huile à la fréquence recommandée (ex. : tous les six mois), car l’huile se détériore avec le temps, et ce, que vous utilisiez ou non votre auto.
  3. Faites le plein
    Un réservoir d’essence plein permet de prévenir la condensation et d’empêcher que les joints se dessèchent. Vous pourriez par ailleurs ajouter un stabilisateur d’essence afin de déjouer l’oxydation et la corrosion.
  4. Surveillez les pneus
    Si votre voiture demeure garée au même endroit pour une longue période, les pneus pourraient finir par s’affaisser. Il est donc important de la déplacer à l’occasion, ne serait-ce que de quelques mètres. De plus, avant d’utiliser un véhicule longtemps immobilisé, vérifiez toujours la pression des pneus.
  5. Lavez l’extérieur
    Pour protéger la peinture et prévenir la rouille, nettoyez régulièrement la saleté et les débris qui s’accumulent inévitablement. L’achat d’une housse de qualité pourrait aussi s’avérer hautement judicieux.
    Enfin, continuez à faire entretenir votre véhicule par un professionnel conformément aux recommandations du fabricant. De cette façon, vous pourrez chaque fois prendre le volant en toute confiance !
Inspection-de-vos-freins

4 signes qu’il est temps de faire inspecter vos freins

En matière de sécurité automobile, vos freins jouent sans l’ombre d’un doute un rôle crucial ! Voici quatre signes qui indiquent que vous devriez sans tarder les faire inspecter par un professionnel :

  1. Bruits inhabituels
    Les plaquettes de freins possèdent des in­dicateurs d’usure intégrés qui émettent un grincement aigu quand elles arrivent en fin de vie. Dès que vous entendez ce son n’ayez crainte, vous saurez l’identifier !, prenez rendez-vous pour faire remplacer vos plaquettes.
  2. Vibrations
    Il n’est pas étonnant que votre système de freinage et d’autres composantes de vo­tre véhicule vibrent quand vous freinez abruptement. Cependant, si cela se produit lorsque vous appuyez sur la pédale normalement, vous de­vriez vous en inquiéter. En gé­néral, ces tressautements sont dus à une usure inégale des disques de freins.
  3. Problèmes de direction
    Si votre voiture « tire » vers la droite ou la gauche, trois causes sont possibles : une pression des pneus irrégulière, un mau­vais parallélisme des roues ou un problème de freins. Dans ce dernier cas, un étrier coincé, un tuyau affaissé ou des plaquettes inégales peuvent expliquer vos ennuis.
  4. Pédale molle
    Vous devez appuyer plus fermement sur les freins, ou encore la pédale vous sem­ble soudainement « molle » ? Il y a fort à parier que le liquide de frein ne circule pas adéquatement. Le remplacer devrait permettre de corriger la situation.
Mise au point auto standard

Que comprend une mise au point automobile standard?

Vous vous demandez ce que fait le mécanicien lors­qu’il révise votre véhicule? Voici quelques-unes des principales tâches qu’il effectue durant une mise au point.
Changer les filtres
Votre voiture est équipée de filtres à huile, à essence, à air et à air d’habitacle. Leur principale fonction est d’empêcher les divers contaminants d’endommager les composantes du moteur ou d’autres systèmes essentiels de votre véhicule. Lors d’une mise au point, votre mécanicien contrôle l’état de ceux-ci et les remplace au besoin.
Vidanger les fluides
Les différents liquides (huile à moteur ainsi que liquides de refroidissement, de frein, de transmission et de direction assistée) jouent un rôle primordial dans votre voiture. En effet, ils assurent son bon fonctionnement! Il est donc important de les remplacer à intervalles réguliers pour prévenir les pannes et les dommages au moteur.
Inspecter les pièces
Le système d’allumage comprend une variété de composantes électriques qui peu­vent s’user avec le temps. Des problèmes avec les pièces du système d’allumage peu­vent provoquer des ratées lors du démarrage, voire empêcher celui-ci. Voilà pourquoi la mise au point inclut la vérification et le remplacement, si nécessaire des bougies et de leurs câbles ainsi que des bobines d’induction.
Vérifier les diagnostics
Quand un problème survient avec le moteur, le diagnostic embarqué (on-board diagnostic) de votre voiture stocke un code de réparation. Lors de votre visite, votre mécanicien analyse ce système afin de résoudre les problèmes du mo­teur, le cas échéant.

Bref, l’entretien planifié de votre véhicule permet d’as­su­rer le fonctionnement optimal de celui-ci, de préve­nir les pannes et d’éviter des réparations coûteuses.

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