On passe le flambeau à la jeune relève pour Emballages Façoteck à Scotstown

Emballages Façoteck, entreprise indépendante découlant de Léo Désilets Maître herboriste, à Scotstown, a le vent dans les voiles. Les trois propriétaires, Benoit Fortin, Gérald et Sylvain Désilets, préparent depuis quelques années le changement de garde à la direction de l’entreprise. Trois jeunots, diront certains, dont la moyenne d’âge est de 30 ans, forment la 3e génération de dirigeants. Cette fougueuse relève a fait ses classes au fil des années et poursuit le travail amorcé par ses prédécesseurs de développer en continu l’entreprise.
Sébastien Désilets, 29 ans, responsable de la réception et logistique, Marc-Olivier Désilets, 29 ans, responsable aux ventes, développement des affaires et production, ainsi que Maxime Désilets, 31 ans, responsable de l’expédition, approvisionnement et logistique, forment la 3e génération de dirigeants, depuis leur grand-père fondateur de l’entreprise Léo Désilets Maître herboriste, toujours en activité.

Sébastien et Marc-Olivier sont au sein de l’entreprise depuis sept ans. « Les trois proprios actuels, qui sont en place, ce qu’ils ont fait, c’est qu’ils nous ont fait à peu près toucher à tout. On est parti à faire des capsules, faire de la mise en bouteille, on a appris la chaîne du début jusqu’à la fin », d’exprimer Marc-Olivier. Maxime est au sein de l’entreprise depuis près de deux ans à temps plein, mais a œuvré au sein de celle-ci pendant des étés. Ses forces, d’exprimer ses collègues, sont d’être bien méthodique. « On l’a mis à la place où faut que tout soit parfait et il fait une très bonne job là-dessus. On a réussi à prendre notre place. On est vraiment séparé pour pas que personne ne pile sur les pieds de personne, pour pouvoir vraiment aider l’entreprise à croître. Cela a été la force des trois propriétaires avant et c’est exactement notre force à nous », d’exprimer Marc-Olivier et Sébastien. « Chacun son coin d’entreprise pour couvrir le maximum », d’ajouter Sébastien. Tous trois précisent « c’est une business familiale. On mêle tout le temps toujours tout le monde sur tous les points. On n’est pas une entreprise où tout se gère par une personne et ça découle après ça. Tout le monde donne son point de vue, tout le monde prend ces décisions et c’est avec ça qu’on finit par avancer. Il y a le groupe de patrons, mais les employés sont impliqués dans la prise de décision. Est-ce qu’on avance dans ce projet-là, est-ce que c’est faisable ? C’est une culture d’entreprise. Nos employés, on les paye pas pour ce qu’ils font, mais pour leur intelligence, pour leur savoir-faire. C’était comme ça avant et on ne fait que continuer », d’exprimer Marc-Olivier et Sébastien. Conscients qu’ils ont encore des choses à apprendre, le jeune trio apprécie le transfert de connaissances transmis par les propriétaires dont deux sont en préretraite pour ainsi dire. « On a eu trois exemples formidables, Benoit Fortin, qui est un directeur général et un comptable formidable, m’a amené à apprendre sur le tas, je parle pour moi », d’exprimer Marc-Olivier. «  On a Sylvain, lui tout ce qui est mécanique, fonctionnement, réparation de machine, inventer une machine,voir à ce que les machines aillent bien, ça il nous l’a inculqué à tous les trois. On a Gérald qui s’est toujours occupé de la logistique, les deux (Sylvain et Gérald) sont manuels et on a appris depuis qu’on est jeune, à se débrouiller », d’exprimer les trois jeunes dirigeants. Loin d’être confinés à leur bureau, tous trois sont prêts à retourner sur le plancher. « Demain matin, s’il y a un gros boum de travail, on se retrousse les manches, comme on dit, et on va sur le plancher », expriment-ils.

Des gars de région
La jeune relève est attachée au milieu. « Nous, on croit en la région. Les gens disent qu’on est à la mauvaise place, totalement mal situé pour faire ce qu’on fait. Moi je dis: c’est le contraire, on est situé à la meilleure place qu’on peut. On a des employés qui sont fidèles, on a un emplacement quand même très proche des États-Unis, pis les frais de transport, ce n’est plus si vrai que ça qu’il y a des coûts énormes. On a des bons deal sur le transport », soutiennent Marc-Olivier et Sébastien.

Façoteck est en croissance constante. Elle a procédé à l’embauche de 14 employés au cours de la dernière année, passant à une soixantaine de travailleurs et permettant la mise sur pied d’un deuxième quart de travail. Les dirigeants n’ont pas de nombre établi quant au personnel. « L’objectif est avant tout de bien servir les clients tout en faisant de la croissance sur des produits de qualité, ça, c’est non négociable », d’insister Marc-Olivier avec l’approbation de ses collègues.

Loin de s’asseoir sur ses lauriers, l’entreprise s’engage dans un virage vers des produits pharmaceutiques. Déjà, des projets sont en marche. Présentement, 90 % de la production de l’entreprise touchent le secteur nutraceutique et 10 % le pharmaceutique. Les dirigeants aimeraient augmenter cette dernière portion à 25 % d’ici cinq ans. Emballages Façoteck distribue 60 % de sa production sur le marché canadien, 30 % aux États-Unis et le reste en Europe. Présente sur la scène mondiale, l’entreprise entend prendre une plus grande place au cours des prochaines années. Elle dispose de 70 000 pieds carrés soit 40 000 comprenant le siège social et le site de fabrication et 30 000 pieds carrés au site d’entreposage, situé à proximité.

Main-d’œuvre
À l’heure où la main-d’œuvre se fait de plus en plus rare, Emballages Façoteck réussit à conserver et même accroître son personnel. Les dirigeants admettent que le recrutement n’est pas facile, mais les efforts sont déployés pour répondre aux besoins du personnel. L’aspect rémunération n’est pas le seul, précisent-ils. L’ambiance de travail, l’horaire, la participation à la prise de décision sont autant d’aspects qu’il faut considérer. « On est flexibles dans la façon de faire pour garder nos gens le plus longtemps possible, les orienter. On essaie de prendre chaque personne, chaque individu et les mettre dans les bons souliers au bon moment, au bon temps de la vie. C’est une culture d’entreprise qui a toujours existé; on ne fait que continuer. » Les employés proviennent d’un peu partout en région, évidemment de Scotstown, La Patrie, Lac-Mégantic, Cookshire, East Angus, Dudswell sans compter l’équipe de recherche basée à Montréal. La jeune relève n’a pas l’intention de « surfer » sur le succès de leurs prédécesseurs. Ils ont l’intention de créer leur propre vague qui les amènera encore plus loin.

MSM Soudure Mécanique

Cela fera bientôt cinq mois que MSM Soudure Mécanique offre ses services mobiles sur le territoire estrien. L’entreprise établie à Ascot Corner compte poursuivre sa lancée pour la nouvelle année en élargissant sa clientèle.

Derrière MSM Soudure Mécanique se trouve Glenn Méthot et sa conjointe Élise Vanasse. Le couple a connu beaucoup de nouveautés ces derniers mois et acquérant une première maison dans le Haut-Saint-François en plus d’avoir un premier enfant. La mise sur pied d’une entreprise constituait un défi supplémentaire pour les deux amateurs de motocross et de mécanique.

Un début prometteur
Depuis les débuts de MSM le 1er septembre 2018, Mme Vanasse avoue ne pas avoir eu le temps de trop chômer. Elle a profité de l’accalmie suivant le temps des fêtes pour faire un petit bilan. « Ça roule super bien. Il y a de la demande. Les compagnies de mécanique diesel mobiles, il y en a pas énormément. »
L’entreprise effectue déjà l’entretien de la machinerie de quelques clients réguliers dans les domaines forestiers et de l’excavation. L’un d’eux est Excavation Steve Leblanc, situé aussi à Ascot Corner. « Ils nous ont donné un gros coup de main », concède celle qui s’occupe de la gestion et de la comptabilité.
Avec cette première référence et le récent lettrage du camion et de la remorque, MSM Soudure Mécanique a déjà pu constater un certain effet de bouche-à-oreille. Lorsque la saison reviendra à la normale au début février, le couple Méthot-Vanasse peut s’attendre à trois jours d’ouvrage par semaine.

Pourquoi se lancer ?
Glenn Méthot a grandi à Fermont en travaillant pour la compagnie de béton de son père. Dès son jeune âge, il a hérité de postes de gestion et de direction au sein de l’organisation. De son côté, Élise Vanasse est originaire de St-Élie-d’Orford. Après quelques années à travailler dans la région, elle part se ressourcer chez un ami rendu à Fermont. C’est là qu’elle rencontre son conjoint.

À son tour, M. Méthot éprouve un besoin de changement. C’est à ce moment qu’il suggère à sa douce de s’acheter une maison en Estrie. Le couple en trouve une à Ascot Corner à l’automne 2017. Après avoir été employé quelques mois, le nouveau père de famille éprouve le besoin de partir à son propre compte.
« On a tâté le terrain pour voir les besoins qu’il y avait, puis on a trouvé que c’était une bonne idée. Ça fait qu’on a fait go ! », se remémore Mme Vanasse. Les entrepreneurs s’inscrivent au cours Lancement d’entreprise du Centre de formation professionnelle du Haut-Saint-François.

Sans vouloir bruler les étapes, les deux partenaires d’affaires aimeraient éventuellement acquérir une maison dotée d’un garage pouvant accueillir des poids lourds nécessitant réparation. Et si les choses vont bien, l’ajout d’un second camion qui rendrait disponible une seconde équipe MSM sur la route serait la cerise sur le sundae.

Briser le silence pour sauver des vies

Sachant qu’il y a en moyenne trois suicides par jour au Québec, il est plus que jamais essentiel d’ouvrir le dialogue. « Parler du suicide sauve des vies » est le message clé qui rallie des milliers d’organismes et de citoyens engagés durant la Semaine de prévention du suicide, qui a lieu du 3 au 9 février 2019. Organisée par l’Association québécoise de prévention du suicide (AQPS), cette campagne nationale vise à encourager la demande d’aide et la prise de parole chez ceux qui souffrent en silence. Ainsi, diverses activités ont lieu pour sensibiliser les Québécois au phénomène du suicide et faire connaître les ressources qui sont offertes partout dans la province.

Que vous soyez un travailleur, un employeur, un intervenant ou un simple citoyen souhaitant s’engager, l’AQPS met à votre disposition plusieurs outils dont vous pourriez avoir besoin pour favoriser le dialogue :
Le site commentparlerdusuicide.com : découvrez, entre autres choses, les actions positives que vous pouvez poser pour sauver une vie et les façons de parler à une personne ayant des idées suicidaires ou à ses proches;
La formation Agir en sentinelle pour la prévention du suicide : quel que soit votre milieu d’action ou d’intervention, cette formation d’une journée vous apprendra à reconnaître les signes de détresse chez une personne vulnérable;

La Ligne québécoise de prévention du suicide : si vous avez besoin d’aide ou de réconfort pour vous-même ou un proche, composez le 1 866 APPELLE (277-3553); on vous écoutera en tout temps, 7 jours sur 7.
Pour plus d’information sur les activités et les ressources offertes dans votre région, visitez le www.aqps.info.

Un comptoir entre amis

L’atmosphère chaleureuse, l’ambiance cordiale et familiale sont des valeurs essentielles qui font du Restaurant des Cantons ce qu’il est. Les propriétaires ont conservé et même renforcé ces valeurs dans le nouvel agrandissement. Un comptoir de 12 places est aménagé. « On voulait garder le côté familial, entre amis. C’est le côté pour tisser des liens, convivial », d’exprimer M. Roy. Outre le comptoir, des banquettes sont aménagées et disposées de façon à garder une intimité et créer une ambiance bistro. La partie comptoir est réputée pour être l’endroit, particulièrement où chaque matin, on y règle le sort du monde. Malheureusement ou heureusement, les gens doivent recommencer le lendemain.

Salle à manger spacieuse et confortable

Le Restaurant des Cantons, à Weedon, offre une magnifique salle à manger pouvant accueillir des groupes approximatifs de 25 personnes. Outre les tables, aménagées au centre, on retrouve de chaque côté de la salle à manger des banquettes doubles et quadruples ainsi que du côté bistro. Serge Roy, propriétaire avec sa conjointe Johanne Lisée, mentionne qu’une attention particulière a été apportée, côté salle à manger, pour que les clients soient confortables. « On aurait pu mettre plus de tables, mais on veut que ce soit aéré, dégagé, qu’on ne se pile pas sur les pieds. On veut que ce soit chaleureux, intime et convivial », d’exprimer M. Roy. La finition intérieure en boisure apporte une chaleur et crée une ambiance de détente. La salle à manger est également fenestrée de deux côtés, permettant d’inonder l’endroit de lumière en tout temps.

Plus grand, plus chaleureux, plus convivial et plus… plus…

Plus grand, plus spacieux, plus chaleureux et convivial, Le Restaurant des Cantons, situé sur la 2e Avenue à Weedon, a fait table rase pour ériger une nouvelle structure permettant de doubler sa capacité d’accueil, passant de 40 à 80 places. Tout ce qui a fait le succès du restaurant par le passé s’y retrouve dans le nouvel édifice, mais en version améliorée. Côté nourriture, on a préservé l’ensemble du menu fort apprécié de la clientèle. Que ce soit les déjeuners, les dîners, le volet casse-croûte, commande à apporter en passant par un repas plus relevé, les gens y retrouvent les saveurs auxquelles ils sont habitués. Par ailleurs, les amateurs de bière en fût sont servis à souhait puisque le restaurant est l’un des rares à offrir six variétés, dont la rousse, la blonde et l’IPA, sans oublier les bières populaires. D’autre part, en saison, la clientèle aura la chance de profiter de la terrasse extérieure. L’agrandissement procure l’avantage de protéger la clientèle du vent et des intempéries. Les passants et habitués auront plaisir à découvrir et redécouvrir Le Restaurant des Cantons ainsi que le charmant personnel.

Compte à rebours pour planifier le grand jour

Un mariage se planifie longtemps d’avance avec la complicité de ses proches. Pour vous aider à ne rien oublier, voici un aide-mémoire des principaux préparatifs avant le jour J.

12 mois
• Vérifiez les dates où vos proches seront disponibles et choisissez celle qui convient au plus grand nombre.
• Prenez rendez-vous avec un célébrant ou avec un ministre du culte autorisé à célébrer un mariage.
• Fixez-vous un budget selon le style de mariage et le nombre d’invités souhaités à la réception (le cas échéant, considérez la possibilité d’installer une corbeille nuptiale pour recevoir des contributions le jour du mariage).
• Visitez différents lieux de réception avant de réserver et vérifiez ce qui est inclus ou non (services de bar et de traiteur, DJ et système de son, éclairage, écran de projection, vestiaire, stationnement, service de valet, etc.). Prévoyez certaines clauses dans votre contrat, par exemple pour changer de salle si le nombre d’invités le justifie ou en cas d’annulation ou de report du mariage.

10 mois
• Choisissez vos témoins et les membres du cortège, dont la dame d’honneur qui vous aidera à organiser votre mariage.
• Prévoyez assez de temps avec les demoiselles d’honneur pour essayer différentes tenues et pour faire les ajustements requis.
• Informez-vous des prix et des forfaits offerts par différents fournisseurs (fleuriste, traiteur, pâtissier, photographe ou vidéographe, DJ, etc.) et faites vos réservations.

7 mois
• Commandez vos alliances chez un bijoutier de confiance.
• Achetez ou louez l’habit du marié et faites faire les ajustements nécessaires.
• Établissez et enregistrez votre liste de mariage.
• Rédigez vos faire-part et vos cartes-réponses, et passez la commande à un imprimeur.
• Magasinez et réservez un forfait pour votre voyage de noces.
• Planifiez le thème et les éléments décoratifs des lieux de cérémonie et de réception.

4 mois
• Envoyez vos faire-part par courrier postal.
• Prenez rendez-vous chez un notaire pour votre contrat de mariage ou d’union civile.
• Établissez le menu et choisissez les boissons pour la réception.
• Commandez votre gâteau de noces.
• Réservez les voitures de cérémonie.
• Rédigez vos vœux pour la cérémonie.

2 mois
• Prévoyez la répétition de la cérémonie avec le célébrant.
• Réservez votre coiffeur et votre maquilleur.
• Choisissez un proche pour prononcer un discours lors du vin d’honneur ou de la réception.
• Achetez un cadeau pour les membres du cortège.

1 mois
• Choisissez votre musique et envoyez une liste au DJ.
• Établissez le plan de la salle et assignez les tables.

2 semaines
• Confirmez le nombre d’invités au traiteur et relancez les retardataires.
• Faites une répétition de la cérémonie avec le célébrant et les membres du cortège.
• Célébrez l’enterrement de votre vie de célibataire avec vos filles ou garçons d’honneur.

1 semaine
• Validez les rendez-vous et la livraison du matériel pour le grand jour (fleuriste, coiffeur, maquilleur, musique, photographe, etc.).
La veille
• veillez à ce que les fleurs et les décorations soient placées aux endroits voulus.
• Préparez les chèques pour les fournisseurs.

Bonne planification !

Pour une protection accrue des ainés dans le monde numérique

Chaque année en novembre, le Conseil canadien de la sécurité (CCS) entreprend une campagne nationale de sensibilisation au mieux-être des personnes âgées, soit la Semaine nationale de la sécurité des ainés. En partenariat avec Telus Averti, le CCS s’est donné pour objectif en 2018 de mieux protéger les ainés qui naviguent sur Internet, et ce, par la diffusion d’informations et de programmes centrés sur la prévention.

De plus en plus «branchés»
Cette campagne est d’autant plus pertinente que le nombre d’internautes âgés de 65 ans et plus ne cesse d’augmenter. En effet, selon l’Enquête sociale générale de 2016 réalisée par Statistique Canada, ce nombre est passé, depuis 2013, de 65 % à 81 % chez les personnes âgées de 65 à 74 ans, et de 35 % à 50  % chez celles ayant 75 ans et plus.

Des ressources pratiques
Afin d’améliorer la sécurité numérique des ainés, le CCS mise sur des ressources éducatives et préventives, comme le programme gratuit Telus Averti Or (wise.telus.com/avertior). Ce dernier est une véritable mine d’or en matière de conseils de sécurité pour Internet et les téléphones intelligents. On y trouve notamment le Guide Telus Averti Or, qui présente entre autres les précautions à prendre lorsqu’on fait des achats en ligne et des astuces pour créer des mots de passe sécuritaires. Il est également possible de participer à des ateliers gratuits offerts en ligne ou en boutique.

Pour plus de détails sur la Semaine nationale de la sécurité des ainés, visitez le site canadasafetycouncil.org.

Santé masculine : 5 habitudes à adopter

La Fondation Movember invite les hommes à prendre leur santé en main non seulement en novembre, mais tout au long de l’année. Voici cinq excellentes façons de prendre soin de vous !

1. Bouger
Faire de l’activité physique régulièrement contribue à améliorer votre santé et à prévenir bon nombre de maladies. Choisissez un sport qui vous convient, peu importe son intensité : le yoga, le hockey, la course à pied, la natation, etc.

2. Parler
Lorsqu’ils vivent des moments difficiles, beaucoup d’hommes souffrent en silence. Vous êtes anxieux ou triste ? Parlez-en à des gens de confiance ! Vous pouvez notamment vous tourner vers un organisme à but non lucratif, un centre d’écoute ou une ressource en santé mentale de votre région.

3. S’informer
Assurez-vous de connaître vos antécédents familiaux. Vous pourrez ainsi adopter des habitudes de vie adaptées à votre condition afin de prévenir l’apparition de certaines maladies. Vous serez également en mesure d’informer votre médecin et de mieux comprendre votre santé.

4. S’entourer
Demeurez en contact avec vos amis et les membres de votre famille : cela peut vous aider à lutter contre certains troubles de santé mentale comme la dépression.

5. Consulter
Ne remettez pas votre santé à plus tard ! Si vous présentez des symptômes qui vous inquiètent, consultez immédiatement votre médecin. Un diagnostic précoce accroît considérablement vos chances de guérison. Pensez-y !

Pour en savoir plus sur la Fondation Movember et sur la santé au masculin, visitez le
ca.movember.com.

Faites vite vos réservations pour les Fêtes !

Le temps des Fêtes vous semble loin ? Détrompez-vous : c’est déjà l’heure d’effectuer vos réservations !
Que vous organisiez un simple cinq à sept, une réception grandiose, un souper entre amis ou une longue fin de semaine de festivités, vous devez impérativement vous y prendre à l’avance. Loin de vous l’envie de vous démener à la dernière minute pour trouver une salle de réception pour vos invités !
Contactez donc dès maintenant les professionnels avec qui vous souhaitez faire affaire : traiteurs, restaurateurs, hôteliers, pâtissiers, décorateurs, animateurs, musiciens, DJ, coiffeurs, maquilleurs, etc. Après tout, un party réussi est un party bien planifié !

5 critères à considérer avant d’acheter des pneus usagés

Quand vient le temps de changer leurs pneus, bon nombre d’automobilistes se tournent vers le marché des pièces usagées. Voici 5 critères à considérer pour choisir des pneus de seconde main sécuritaires.

1. La dimension
Vérifiez d’abord que le modèle et la dimension des pneus conviennent à votre voiture. Suivez les recommandations de votre constructeur automobile.

2. La date de fabrication
Repérez le code de 4 chiffres inscrit sur les pneus. Les 2 derniers chiffres indiquent l’année de leur conception et les 2 premiers, la semaine au cours de laquelle ils ont été fabriqués. Par exemple, 2616 signifie que les pneus ont été fabriqués au cours de la 26e semaine de l’année 2016. En moyenne, la durée de vie maximale d’un pneu est de 6 ans.

3. La bande de roulement
La profondeur de la bande de roulement des pneus doit être d’au moins 4,8 mm (6/32 po) au moment de leur installation, faute de quoi vous compromettriez votre sécurité.

4. L’usure du flanc
Inspectez les flancs des pneus. S’ils sont égratignés, ceux-ci risquent de s’affaisser et d’éclater. La présence de poudre noire peut aussi trahir une usure excessive.

5. Le pictogramme
Seuls les pneus d’hiver portant le pictogramme officiel (un flocon à l’intérieur d’une montagne) sont reconnus par le Code de la sécurité routière. N’achetez pas de pneus qui en sont dépourvus : vous pourriez recevoir une amende !

 

Au Québec, tous les véhicules de promenade immatriculés doivent être munis de pneus d’hiver du 15 décembre au 15 mars inclusivement. Notez que la modification au Code de sécurité routière qui devance la période d’obligation au 1er décembre entrera en vigueur en 2019.

La batterie de votre véhicule est-elle en bon état ?

Vérifier l’état de votre batterie est une étape incontournable de la préparation de votre voiture avant l’hiver. Cela peut vous éviter bien des désagréments ! Voici quel­ques informations qui vous aideront à déterminer si votre batterie doit être remplacée.
D’abord, il faut savoir que la durée de vie d’une batterie est généralement de trois à cinq ans. Certains signes peuvent vous indiquer que la vôtre rendra bientôt l’âme. Par exemple, si vous constatez que votre plafonnier ou vos phares sont moins lumineux, c’est peut-être signe qu’elle est faible.

Pour en avoir le cœur net, éteignez votre véhicule et connectez un voltmètre à votre batterie. Si elle est en bon état, le voltage se situera entre 12,4 et 12,7 V. En dessous de 12,4 V, votre batterie doit être rechargée.
Un pépin ?

Si votre voiture ne démarre pas et que vous n’avez laissé aucune lumière allumée, c’est sans doute parce que votre batterie est en fin de vie. Rechargez-la à l’aide de câbles de démarrage (et du véhicule d’un bon Samaritain !), puis laissez tourner votre moteur quelques minutes. Ensuite, déconnectez les câbles et tentez de démar­rer la voiture.

Si cela fonctionne et que le moteur continue de tourner, votre batterie n’a pas encore rendu l’âme, mais vous pouvez commencer à en magasiner une autre. Au contraire, si votre véhicule refuse de démarrer, vous devez officiellement lui dire adieu !
Sachez par ailleurs qu’un alternateur défectueux peut avoir des conséquences semblables à celles d’un problème de batterie. Ainsi, avant de changer une pièce, consultez un professionnel : celui-ci sera en mesure de poser le bon diagnostic.

La saison du quad hivernal approche; on prépare les sentiers

L’hiver approche à grands pas et les clubs Quads notamment celui du Haut-Saint-François, du Mont-Mégantic pour le secteur La Patrie et autres qui chevauchent le territoire comme Sherbrooke-Ascot Corner, pour Ascot Corner, et Estrie-Sud du côté de Johnville, préparent la nouvelle saison qui débutera, selon la température et les secteurs, de la fin novembre à la mi-décembre.

Charles Lachance, président du Club Quad du Haut-Saint-François, mentionne que les équipes de bénévoles des divers secteurs desservis comme Weedon, Bishopton-Dudswell et East Angus sont à pied d’œuvre pour préparer les sentiers, afin qu’ils soient sécuritaires. On y installe également la signalisation. C’est pas moins de 60 km de sentiers que les bénévoles doivent entretenir au cours de la saison, explique-t-il. M. Lachance mentionne que la perte de sentiers du côté de Bishopton-Dudswell au cours de l’été dernier n’a aucun impact pour la saison hivernale puisque ce ne sont pas les mêmes. À l’aube de la nouvelle saison, il invite les personnes intéressées à joindre les 347 autres membres à le faire et profiter de la prévente en cours jusqu’au 4 novembre. Du côté du Club quad du Mont-Mégantic, ce sont quelque 150 membres qui parcourront les 54 km serpentants les territoires de Hampden, La Patrie, Chartierville, Saint-Mathias-de-Bonneterre et Saint-Isidore-de-Clifton. Mentionnons que du côté du Club Sherbrooke-Ascot Corner, il n’y aura pas de changement au cours de la prochaine saison et il sera possible de traverser le pont d’une rive à l’autre de la rivière Saint-François. Selon le président du Club Quad du Haut-Saint-François, on compte plus de 1 000 km de sentiers balisés en Estrie et quelque 2 800 membres. Enfin, M. Lachance tient à remercier les propriétaires qui permettent un droit de passage sur leur terre.

La Ferme Côté et Fils investit 3 millions $

La Ferme Côté et Fils à Cookshire-Eaton est résolument tournée vers l’avenir et pour l’affronter avec succès elle a investi quelque 3 millions $. Nouvelle étable, nouveaux équipements de pointe, acquisition de quotas, l’entreprise entreprend un important virage technologique qui lui permettra de bien se positionner pour la suite des choses.

Un peu plus de deux mois après que les bêtes soient installées dans leur nouvel habitat, les copropriétaires Gérald et Germain Côté ainsi que son fils Guillaume commencent déjà à voir et sentir les résultats. « Ça dégage trois heures par jour. Ça nous donne du temps pour faire autre chose », d’exprimer les frères Côté. Mais ce qu’ils semblent déjà apprécier est le temps que ça libère surtout pour le souper. Maintenant, ils peuvent prendre le temps de souper en famille à une heure décente, ce qui n’était pas possible avant. « On soupe et on va faire un tour après pour voir si tout est correct. Ça se fait automatiquement », de mentionner les copropriétaires, sourire aux lèvres.

Si les frères Côté et Guillaume profitent des avantages de l’investissement, faut dire qu’ils ne l’ont pas volé. Les journées ont été longues, les fins de semaine à peu près inexistantes le temps de compléter le projet. Ce rêve, réalisé, est le fruit d’une minutieuse réflexion. « Ça fait quatre ans qu’on y pensait. On en a été visité des fermes. On a commencé le projet le 22 juin 2017 et les bêtes sont entrées le 20 juin 2018 », d’exprimer Germain Côté.

Projet
La nouvelle étable a presque triplé de superficie comparativement à l’ancienne qui sera démolie au cours des prochaines semaines. Le nouveau bâtiment, hautement fonctionnel, est passé de 36 x 245 pieds à 116 x 282 pieds. Présentement, on compte 85 vaches, 70 taures (la relève) et une dizaine de veaux. Toutefois, on prévoit augmenter en raison d’acquisition de nouveaux quotas. On pourra accueillir 106 vaches pour la traite.

Le nouveau bâtiment respecte toutes les normes en la matière. Soucieux du confort des bêtes, les copropriétaires ont choisi d’installer une ventilation transversale sur la largeur. « C’est de ventiler sur le sens des vaches », d’expliquer M. Côté. D’un côté, l’étable est munie de toile qui monte et descend selon la température et de l’autre ce sont des ventilateurs qui aspirent l’air. On en compte 21 longeant le mur. « Avec l’été chaud qu’on a eu, on a vu une différence. Les vaches ont eu moins chaud », d’exprimer un des copropriétaires. Comparativement à l’ancienne étable, les bêtes ne sont pas attachées ou entravées, elles sont libres de mouvement ce qui les rend plus calmes. Ajoutant à leur confort, elles peuvent se reposer sur une litière composée de chaux et de paille. À cela, se sont ajouté deux robots de traite. Les vaches peuvent aller librement se faire traire, plusieurs fois par jour, sans aucune contrainte. Toujours pour le bien-être des animaux, un robot de type Juno circule toutes les heures dans les allées afin de pousser le mélange alimentaire à la portée des bêtes puisqu’elles se nourrissent en tout temps. Dans un souci d’augmenter l’efficacité et de bien adapter l’alimentation, les copropriétaires se sont dotés d’un mélangeur qui ajuste le dosage des ingrédients afin de procurer une alimentation selon le besoin des bêtes. Enfin, deux raclettes, une dans chaque allée, circulent régulièrement visant également le confort des vaches. Parmi les nouvelles constructions, mentionnons un silo de 20 pieds de diamètre et 100 pieds de hauteur.

Adaptation
Tout ça est bien beau, mais avant de bénéficier des avantages des nouvelles installations et de la technologie cela a nécessité une période d’adaptation autant pour les Côtés que pour les bêtes. « L’adaptation ça été long. Ça a pris un gros deux mois. Ça a été long pour habituer les bêtes à passer la tête dans les carcans pour manger. Il fallait les prendre par le cou, les attirer avec de l’ensilage pour qu’elles passent la tête. Ça a pris une à deux semaines. Pour les robots de traite, pour certaines, ça a été assez rapide, d’autres ça a pris deux à trois mois », d’exprimer les producteurs. Ils ajoutent que ça n’a pas été simple de les sortir des logettes à l’intérieur desquelles elles étaient dans l’ancienne étable. « Elles ne s’étaient pas habituées à reculer et être libres », précisent-ils. Pour Guillaume, le plus jeune, c’est lui qui a hérité d’apprivoiser tout l’appareillage automatique. « Que ce soit les panneaux de ventilation, l’ensilage ou autres, tout est sur écran tactile, il a fallu que j’apprenne tout ça », d’exprimer le jeune homme.
Malgré une période intense d’adaptation, les Côté sont heureux et satisfaits de leur investissement. Déjà, ils voient les retombées et avantages que cela leur procure. Les nouvelles installations devraient favoriser une production accrue des bêtes. Présentement, les vaches donnent en moyenne 28 kilos de lait par jour. Les copropriétaires sont confiants d’atteindre l’objectif de 35 kilos quotidiennement.

Entretien automobile 4 éléments à faire inspecter pour rouler en toute sécurité !

Octobre est le Mois de la sécurité automobile. Chaque année, l’Association des industries de l’automobile du Canada (AIA) profite de l’occasion pour rappeler aux conducteurs l’importance de faire inspecter leur véhicule avant l’arrivée de l’hiver afin d’assurer la sécurité de tous sur les routes.

En effet, l’entretien automnal de votre voiture par un professionnel est primordial pour minimiser les risques d’avoir un accident ou de rencontrer divers problèmes mécaniques pendant la saison froide. Pour cette raison, l’AIA recommande, par l’entremise de son programme « Mon auto, j’en prends soin », de faire notamment vérifier les quatre éléments suivants lors de votre inspection saisonnière.

1. Les freins : un système de freinage en bon état est évidemment essentiel à votre sécurité et à celle des autres usagers. Pour que vos freins puissent être des plus efficaces, veillez à ce qu’ils soient parfaitement entretenus.

2. Le système d’éclairage : puisque la visibilité est souvent réduite en hiver, assurez-vous que tous vos phares sont fonctionnels. Après tout, vous devez être en mesure de bien voir la route et d’être bien vu des autres automobilistes !

3. Les pneus : pour que votre véhicule demeure stable lorsque vous conduisez, il est important de déceler toute usure inégale de vos pneus. Un alignement adéquat des roues est également indispensable pour une tenue de route optimale.

4. La batterie : pour prévenir les pannes et pour faciliter le démarrage de votre voiture en plein hiver, faites inspecter la batterie et remplacez-la, si nécessaire.
Pour en apprendre davantage sur le Mois de la sécurité automobile et sur le programme « Mon auto, j’en prends soin », visitez le www.becarcareaware.ca/fr/.

Protégez votre voiture : offrez-lui un traitement antirouille !

La saison froide est particulièrement propice à la formation de rouille sur votre véhicule. Le sel de déglaçage utilisé sur les routes, l’humidité et les précipitations favorisent la corrosion, un phénomène d’oxydation qui entraîne la désagrégation des métaux. Pour prolonger la durée de vie de votre voiture, demandez à un spécialiste d’y appliquer un traitement antirouille !

Cela permettra de retarder l’apparition de la rouille sur votre auto ou, si celle-ci s’attaque déjà à votre carrosserie, de freiner sa propagation. L’application d’un tel traitement est conseillée à tous les propriétaires de véhicules, car aucune voiture, neuve ou usagée, n’échappe à la corrosion. Les automobilistes qui souhaitent garder la leur pendant encore au moins quatre ans ont tout particulièrement intérêt à la faire traiter !

Les avantages de l’antirouille
L’huile et la graisse antirouilles forment une barrière protectrice contre les abrasifs, préservant ainsi l’apparence et la valeur ! de votre auto. De plus, elles empêchent la rouille de se former non seulement sur votre carrosserie, mais également sous votre voiture. Elles sont donc très efficaces pour prévenir la désintégration et l’affaiblissement de la structure de votre véhicule. Ainsi, lorsque vous demandez à des spécialistes d’appliquer un traitement antirouille sur votre automobile, vous augmentez sa durée de vie tout en assurant votre sécurité !

Enfin, pour améliorer l’efficacité de votre traitement antirouille, lavez régulièrement votre voiture, surtout en hiver ! Ainsi, vous éliminerez une partie des résidus de sel et de calcium qui s’y sont accumulés. Soyez encore plus assidu si vous gardez votre véhicule dans un garage chauffé, car la chaleur augmente les effets de la corrosion !

2 volatiles à chasser et à déguster !

L’Amérique du Nord regorge de gibier à plumes : faisan, caille, pintade, colin de Virginie, dindon sauvage, perdrix grise, tétras du Canada, tétras à queue fine, lagopède alpin.…Voici deux volatiles qui feront votre bonheur, tant à la chasse qu’à votre table.

1. La gélinotte huppée
On reconnaît cet oiseau à la huppe sur sa tête, à sa queue en éventail ainsi qu’à ses petites ailes. Il mesure entre 40 et 50 cm. Souvent appelée «perdrix», la gélinotte huppée fréquente les forêts de feuillus. Traquez-la en bordure des chemins et près des clairières : vous aurez du succès !
Sa chair fine et faible en gras doit être dégustée cuite à point. Si vous optez pour une cuisson au four, arrosez-la souvent pour qu’elle soit bien juteuse. Vous pouvez également faire sauter la poitrine à la poêle, comme vous le feriez avec du poulet.

2. Le lagopède des saules
Surnommé «perdrix blanche», le lagopède des saules est un petit volatile (entre 35 et 45 cm) qu’on trouve dans les régions sub­arctiques ainsi que dans les milieux alpins. On le reconnaît à ses narines et à ses pattes entièrement emplumées.

Chassez-le pour vivre une expérience hors du commun ! Vous aurez ensuite le plaisir de savourer une chair tendre — braisée, grillée, en ragoût ou en pâté, le lagopède des saules est délicieux !

Bonne chasse !

Des soirées d’horreur dans cinq municipalités

Les amateurs de frissons seront servis à souhait les 20, 26 et 27 octobre puisque des activités sont prévues dans les municipalités de Cookshire-Eaton, East Angus, Scotstown, La Patrie et Weedon.
À East Angus, la populaire Forêt hantée de Freddy Angus est de retour pour une 11e édition. Le parc des Deux Rivières se transforme pour l’occasion en un endroit peu fréquentable à l’intérieur duquel on retrouvera des fantômes, monstres de toutes sortes, farfadets et clowns pas toujours drôles. La Forêt hantée sera accessible au public le 20 octobre entre 18 h 30 et 21 h, beau temps mauvais temps. Encore cette année, les visiteurs devront passer par l’affreuse remorque d’épouvante pour accéder au site. Pour ceux qui traverseront sans encombre cette première épreuve, ils pourront se faire «tirer le portrait» dans un décor de circonstance. Le sinistre périple se poursuit avec le cimetière de l’horreur où la sorcière attend impatiemment les visiteurs. Lors du parcours, les participants pourront se détendre, si cela est possible, au rythme de la musique de l’Ensemble à vents du Haut-Saint-François. Pour ceux qui auront le courage de poursuivre, ils devront traverser l’autobus de l’horreur, puis franchir le parcours de citrouilles qui mènera directement à une station d’épouvante. La dernière épreuve sera la maison de tes pires cauchemars, juste avant d’aller faire un beau dodo. La soirée sera également agrémentée par le groupe Aliceson Cooper qui interprétera des pièces de l’artiste Alice Cooper dans une mise en scène que l’on promet effrayante.

Weedon
Le populaire labyrinthe d’Halloween revient à Weedon pour une quatrième édition. L’activité qui se déroulera le samedi 27 octobre au gymnase de l’école Notre-Dame-du-Sacré-Coeur est organisée par la Maison des jeunes «Vagabond» de Weedon, et «Chez nous» à Dudswell avec la collaboration d’Animation Jeunesse du Haut-Saint-François, la municipalité de Weedon, les pompiers et le camp Beauséjour ainsi que plusieurs bénévoles. Les organisateurs innovent cette année en ouvrant les portes une première fois pour les jeunes familles à compter de 15 h jusqu’à 17 h. Le labyrinthe sera à nouveau accessible de 18 h à 19 h. Pour les plus téméraires 12 ans et plus, ils pourront faire le parcours de 19 h jusqu’à 21 h. Plusieurs surprises attendent les participants et enfants. Une distribution de bonbons sera offerte également. L’activité est gratuite, mais on acceptera les contributions volontaires. Plus de 300 personnes ont parcouru le labyrinthe l’année dernière.

La Patrie
À La Patrie, l’organisation du Rock’n Blues présentera un spectacle au Resto-Bar de l’endroit, le vendredi 26 octobre. Deux groupes se produiront sur les planches soit Les Greenwoods and the Grass à compter de 21 h 30. Mais un peu plus tôt, ce sera le groupe gagnant du concours de bands de l’été dernier Gem & Lion, qui présenteront leur répertoire à compter de 19 h 30. Il y aura des prix de présence et des prix pour les plus beaux costumes. Le coût d’entrée est de 10 $ et les profits seront versés pour l’école de musique qui devrait voir le jour incessamment.

Scotstown
Du côté de Scotstown et Hampden, les jeunes et adultes pourront s’amuser pour la fête de l’Halloween qui se déroulera à l’Hôtel de Ville de Scotstown, le samedi 27 octobre. Plusieurs activités sont prévues pour l’occasion. Dès 15 h, les jeunes pourront faire la cueillette de bonbons avec un service de navette. Un petit arrêt au local des coccinelles permettra aux petits monstres de savourer une petite collation avec un chocolat chaud. Une diseuse de bonne aventure, un tireur de cartes et Aventure mystique mettront les gens en appétit pour le souper qui se déroulera à 17 h. Les enfants auront la chance de se dégourdir dans le cadre d’une danse prévue pour eux, 12 ans et moins. À 20 h, on procédera au tirage des divers concours de dessin, de décoration de citrouille et de maison ainsi que déguisement. Suivra un karaoké avec spectacle de magie par les enfants. Le tout se terminera par une super soirée karaoké. Les activités sont gratuites sauf pour le souper. Un coût modique sera demandé.

Cookshire-Eaton
Le Centre communautaire de Johnville s’animera le 27 octobre. Les enfants sont attendus de 13 h 30 à 16 h. Il y aura des jeux et prix de présence. Des collations, bonbons et breuvages seront servis. Le prix d’entrée est de 3 $ par enfant. Les adultes seront attendus en soirée à compter de 21 h 30. Un DJ fera les frais de la musique. Des prix en argent seront remis pour les plus beaux costumes.

Au secteur Cookshire, la salle Guy-Veilleux vibrera à nouveau au rythme de la musique. La formation Greenwoods and the Grass se produira sur les planches le 27 octobre à 20 h, présenté par Loisirs Cookshire Inc. Pour information 819 875-5681.

3 conseils pour démarrer votre entreprise… et la faire prospérer !

Réussir en affaires demande de la persévérance, de l’audace, de la passion et, bien sûr, énormément de travail ! Malgré les défis que cela représente, de plus en plus de femmes décident de lancer leur entreprise. Vous en faites partie ? Alors, voici trois gestes à poser pour assurer votre succès.

1. Trouver un mentor
Diriger une entreprise n’est pas chose facile ! Entre la tenue des livres, la gestion des inventaires, la formation des employés, les demandes de subvention et les campagnes publicitaires, vous serez bien heureuse de pouvoir compter sur un mentor ! Cet entrepreneur chevronné pourra vous conseiller et vous aider à atteindre vos objectifs.

2. Faire du réseautage
Établir des partenariats est essentiel si vous souhaitez prospérer dans le milieu des affaires ! Vous devez donc vous faire connaître en participant aux activités de réseautage qui s’adressent aux entrepreneurs de votre région. Prenez également part aux rassemblements de professionnels du milieu économique (galas, formations, évènements de votre chambre de commerce locale, etc.).

3. Prendre des risques
Qui ne risque rien n’a rien, dit-on, et les femmes d’affaires n’y échappent pas ! Pour assurer la croissance de votre entreprise, vous devez oser. Acceptez de prendre des risques et croyez en vous ! En cas de doute, demandez conseil à votre mentor.
Enfin, ne vous découragez pas ! La route qui mène à la réussite peut être parsemée d’embûches. Sur ce, bon succès !

5 bonnes raisons d’aimer les coopératives

Les coopératives québécoises sont présentes dans tous les secteurs de l’économie : l’agriculture, les technologies de l’information, la santé et les services sociaux, les arts et la culture, le transport, l’habitation, etc. En cette Semaine de la coopération, voici cinq bonnes raisons de les apprécier !

1. Elles sont «humaines»
Les entreprises coopératives sont dirigées par leurs membres : elles leur permettent donc de prendre en main leur avenir économique. Elles priorisent également les individus plutôt que le profit et poursuivent des objectifs de nature sociale.

2. Elles sont démocratiques
Les coopératives appartiennent à leurs membres et ceux-ci la dirigent selon le principe démocratique « un membre, un vote ».

3. Elles sont «vertes»
Le respect de l’environnement et la durabilité font partie des valeurs qui définissent les coopératives. Ces dernières mettent en place des initiatives visant à minimiser leur impact environnemental.

4. Elles sont engagées
Les coopératives s’engagent à travailler les unes avec les autres, tant à l’échelle locale qu’internationale. D’ailleurs, en 2012, les Nations Unies ont reconnu leur importance dans le développement social et économique du monde.

5. Elles sont stables
Les coopératives sont mieux outillées pour résister aux ralentissements économiques. De plus, elles sont plus susceptibles de demeurer actives que les autres types d’entreprises. Ainsi, les emplois et la richesse qu’elles créent dans la communauté sont stables et perdurent.

Pour découvrir une foule d’autres bonnes raisons d’aimer les coopératives, rendez-vous sur le site Web du Conseil québécois de la coopération et de la mutualité au www.cqcm.coop.

Bonne Semaine de la coopération !

La chasse a été bonne ? Partagez votre récolte !

Votre fin de semaine de chasse au chevreuil a été un succès ? Vous avez abattu un énorme orignal ou encore un imposant ours noir ? Votre congélateur déborde de viande de gibier ? Alors, partagez votre récolte abondante avec les plus démunis !

Partout au Québec, les initiatives en sécurité alimentaire sont nombreuses. Entre les banques de dépannage, les cuisines collectives, les popotes roulantes et les soupes populaires, vous trouverez certainement un organisme à but non lucratif prêt à recueillir vos dons.
Quand on y pense, un orignal ou un gros chevreuil peut représenter des centaines de livres de viande ! Ainsi, même si vous comptez savourer votre venaison, vous pouvez certainement en offrir quelques pièces à des gens dans le besoin. Informez-vous auprès des organismes de votre région ou offrez directement votre viande à des proches moins nantis : ils vous en seront reconnaissants !
Finalement, n’hésitez pas à partager vos meilleures recettes avec ceux qui bénéficieront de vos dons. Certains n’ont jamais eu l’occasion de cuisiner le grand gibier.

 

Chasseurs généreux
Au Québec, les chasseurs peuvent faire un don de venaison aux personnes défavorisées par le biais du programme Chasseurs généreux. Il leur suffit de faire débiter leur prise chez un boucher partenaire. Celui-ci s’occupera ensuite d’expédier le gibier à une banque alimentaire locale. La viande de chevreuil, d’orignal et d’ours noir est acceptée. Pour en savoir plus, consultez le site www.chasseursgenereux.com.

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