etang cloutier cookshire-Eaton

Projet de l’étang Cloutier : Inauguration en mai

Un chalet avec les services d’usages sera accessible pour les usagers.

Malgré la pandémie, les travaux marquant le projet bigénérationnel quatre saisons du parc de l’étang Cloutier sont pratiquement complétés et si la situation le permet, les intervenants aimeraient procéder à l’inauguration au cours du mois de mai.

Annoncé en 2019, le projet aura pris deux ans à se réaliser. Un investissement de près de 200 000 $ dont une subvention de 115 000 $ provenant du Fonds de développement du territoire (FDT) de la MRC du Haut-Saint-François a permis plusieurs améliorations au site. La municipalité a procédé à l’installation d’un chalet quatre saisons, l’achat de deux pédalos et de quatre kayaks (deux pour enfants et deux pour adultes). On procédera à l’installation de tables à pique-nique. On rafraîchira également le jeu de galet. Le terrain de volley-ball est pratiquement complété.

Sylvie Lapointe, mairesse de Cookshire-Eaton, rappelle qu’il s’agit d’un projet bigénérationnel. La municipalité fournit les infrastructures et équipements tandis que la FADOQ assumera la gestion du parc et la location des embarcations.

Comme mentionné, le parc aura une vocation quatre saisons. On prévoit, en hiver, dégager une partie de l’étang pour y pratiquer le patinage. Des vérifications ont été effectuées, en période hivernale, pour s’assurer de l’épaisseur de la glace afin de pratiquer ce loisir en toute sécurité. On désire également y aménager des sentiers pédestres. Rappelons que le parc dispose d’une superficie de 80 acres, propriété de la municipalité de Cookshire-Eaton.

L’accessibilité au parc, situé au bout de la rue Macdonald dans le secteur Cookshire, sera gratuite sauf pour la location d’embarcation. Les intervenants sont à préparer la plage horaire pour les usagers.

gestion des gros rebuts cookshire-eaton

La révision de la gestion des matières résiduelles : Cause certains grincements de dents

Le remplacement de la collecte des gros rebuts par les écocentres cause des grincements de dents chez certains contribuables.

La municipalité de Cookshire-Eaton a avisé ses citoyens et entreprises qu’elle procédait à une révision complète de sa gestion des matières résiduelles. Parmi les mesures envisagées, celle de remplacer la collecte des gros rebuts en mai par un écocentre mobile fait réagir les contribuables.
La municipalité prévoit offrir des écocentres mobiles deux fois par année dans chaque secteur Cookshire, Sawyerville et Johnville. Ce service remplacera les collectes de gros rebuts habituelles. On soutient que cette façon de faire permet de revaloriser les matières à son maximum plutôt que d’être enfouies lors de la collecte de gros rebuts.
Cette nouvelle façon de faire force les citoyens à se déplacer dans un des trois écocentres mobiles qui sera situé à la salle Guy-Veilleux pour le secteur Cookshire le 15 mai, à l’église Sawyerville le 22 mai pour les résidents de ce secteur ainsi qu’au centre communautaire de Johnville le 29 mai prochain.

Les citoyens ont envahi les médias sociaux pour faire part de leur mécontentement. Parmi les remarques, on pouvait lire que l’horaire des écocentres ne convenait pas pour certains travailleurs, d’autres prétendaient devoir louer une remorque pour y acheminer le matériel tandis que certains mentionnaient payer suffisamment de taxes pour maintenir le service de cueillette.

La mairesse de Cookshire-Eaton, Sylvie Lapointe, admet avoir été surprise de la réaction des gens. L’objectif, explique-t-elle, est de sensibiliser les citoyens à la récupération, à la revalorisation. Plusieurs conteneurs pour différents objets se retrouveront dans l’écocentre mobile, d’expliquer la mairesse. Une deuxième collecte est également prévue de la même façon par écocentre les 9, 16 et 23 octobre aux mêmes endroits dans les secteurs Cookshire, Sawyerville et Johnville.

Toutefois, il y aura tout de même une collecte de gros rebuts la semaine du 12 juillet. Cependant, elle se fera sur rendez-vous. Les résidents devront s’inscrire à partir du lien qui sera partagé sur le site internet et sur la page Facebook de la municipalité ou en composant le 819 560-8587, poste 2321. La date limite pour s’inscrire est le 8 juillet. La collecte se fera essentiellement pour les personnes inscrites. Mme Lapointe ajoute que la municipalité travaille également sur l’implantation d’une collecte de plastiques agricoles pour 2021.

Dans la foulée de revoir les méthodes de gestion de ses matières résiduelles, la municipalité adhère au Mouvement J’y participe! Cette initiative vise à inciter les citoyens, les associations et les industries, commerces et institutions à améliorer leur tri à la source afin de diminuer l’enfouissement des matières résiduelles. Au mouvement s’ajoutera une patrouille verte composée d’étudiants dont le mandat sera de sensibiliser la population à l’importance du tri des matières résiduelles et encore plus.
La municipalité souligne que la récupération des matières recyclables et valorisables permet non seulement de réduire la quantité de déchets enfouis, mais elle réduit le coût de l’enlèvement des déchets domestiques. Mme Lapointe précise que l’implantation des bacs bruns a permis de réaliser des économies de 24 000 $. « C’est 60 $ la tonne plutôt que 246 $ pour l’enfouissement. Ça paraît, puis on a juste commencé en avril de l’an passé. »

centre funeraire CASS Cookshire

Vente du Centre funéraire Cass : Une continuité dans l’offre aux familles

De gauche à droite, Gilles Denis, nouveau propriétaire de la bâtisse, François Fouquet, directeur général de la Coopérative funéraire de l’Estrie, Sabrina Denault-Lapointe, directrice de La Relève, et Jacky Mathieu, intervenante à La Relève.

Préserver un bâtiment patrimonial tout en proposant une continuité dans l’offre aux familles. C’est ce qui ressort de la vente de la bâtisse du Centre funéraire Cass, de Cookshire-Eaton, aux mains de Gilles Denis. Présentement louée par l’organisme La Relève du Haut-Saint-François, la bâtisse passe donc d’un lieu de mémoire familial à un lieu d’accompagnement des familles.

La configuration de la maison ancestrale ne permettant pas aux grandes familles de circuler librement lors d’une exposition funéraire, les propriétaires du Centre Cass ont dû trouver une alternative. « On venait ici deux ou trois fois maximum et on allait à la salle Guy-Veilleux », explique François Fouquet, directeur général de la Coopérative funéraire de l’Estrie. Les services demeureront à Cookshire-Eaton et l’entreprise louera le Victoria Hall pour les cérémonies. Selon M. Fouquet, la configuration a été faite pour que s’il y a un besoin, la maison funéraire pourra louer les locaux de façon ponctuelle. De plus, il estime que c’est une valeur ajoutée d’exposer les défunts dans un endroit historique et porté par l’art. « On reproduit ce qui existe dans les milieux urbains où il y a des grandes maisons funéraires québécoises, dont la troisième génération, c’est des artistes qui ont décidé de faire une partie du salon en galerie d’art », explique Gilles Denis, propriétaire du Victoria Hall. Le fait de mêler art et funérailles apportera une certaine légèreté positive selon M. Fouquet. « On ne quitte pas Cookshire, on est encore aussi présent qu’avant », affirme-t-il.
Apprenant les intentions de la Coopérative funéraire de vendre la bâtisse, M. Denis n’a pas hésité, craignant que les futurs propriétaires la démolissent. « J’achète pas pour acheter. J’achète parce que je veux voir le développement de mon village, je veux le bonifier », exprime-t-il. Pour lui, il était inconcevable de voir un tel monument se faire détruire. De plus, depuis deux ans, l’équipe de La Relève était en discussion pour trouver un local plus grand pour offrir ses services, alors M. Denis y a vu une opportunité. En très peu de temps, toutes les parties s’entendaient. « On a fait un projet au moindre coût pour dire que ça se paie, point final. On va travailler le bâtiment », ajoute le propriétaire. En louant cette maison, l’organisme pourra mieux accueillir les familles et être mieux adapté. « C’est ce qu’on rêve depuis longtemps d’avoir notre chez nous pour recevoir nos familles », exprime Jacky Mathieu, intervenante à La Relève. L’image de la maison de la famille se concrétise en s’installant dans une maison. « On va garder notre ancien local qui va s’appeler L’atelier. On va donner pleins d’ateliers là-bas. On vient en fait de tripler nos points de services ici à Cookshire », explique Sabrina Denault-Lapointe, directrice de La Relève. L’organisme a pour mission de participer à l’amélioration du milieu de vie des familles du Haut-Saint-François, en favorisant l’épanouissement des individus qui la composent, leur implication et leur enracinement dans la communauté.

Par cette transaction, M. Fouquet ressent moins une rupture. « Ce qui est intéressant, c’est que ça a été un lieu de mémoire pour les familles pendant plusieurs années. Pour nous, c’était inconcevable de le vendre à quelqu’un qui avait pour idée de le jeter à terre », exprime-t-il. Il devait y avoir un sens logique à la vente. Ainsi, le lieu de mémoire des familles devient un lieu d’accompagnement des familles. En libérant ses anciens locaux, La Relève permet à l’organisme Animation Jeunesse d’avoir son siège social officiel, ce qui augmente les services aux familles de la communauté. « C’est primordial dans la vitalité d’un village », exprime M. Denis.

piste cyclable cookshire-eaton

Projet de piste cyclable Sawyerville-St-Isidore-de-Clifton : Complété l’automne prochain

La piste cyclable reliant le secteur Sawyerville à Saint-Isidore-de-Clifton devrait être complétée pour l’automne prochain.

Le projet de piste cyclable reliant le secteur Sawyerville à la municipalité de Saint-Isidore-de-Clifton devrait se compléter au cours des prochains mois et les adeptes pourraient utiliser le tronçon de 13 kilomètres dès l’automne prochain, si tout va bien.

Pour l’instant, 2,3 km sont complétés de la piste qui prévoit 13 km. La mairesse de Cookshire-Eaton, Sylvie Lapointe, mentionne qu’il reste encore quelques ententes à compléter avec des propriétaires concernant les droits de passage sur l’ancienne voie ferrée du Canadien Pacifique. La piste cyclable s’étendra du bout du chemin de la Station à Sawyerville jusqu’à proximité de la Scierie Labranche à Saint-Isidore-de-Clifton.
Le projet nécessitera un investissement approximatif de 30 000 $. La municipalité de Cookshire-Eaton a obtenu une aide financière de 10 000 $ du Fonds de développement territorial (FDT) de la MRC du Haut-Saint-François.

Sawyerville/Cookshire
Mme Lapointe ajoute qu’une deuxième phase est prévue. Les autorités municipales souhaiteraient entamer en 2022 un deuxième tronçon qui relierait le secteur Sawyerville à celui de Cookshire, toujours en utilisant la voie ferrée désaffectée. Pour la mairesse, le projet constitue un élément attractif notamment pour les jeunes familles. « Quand les gens qui viennent s’établir ici demandent c’est quoi vous avez à Cookshire-Eaton en loisir ? On a bien des choses pour les familles, terrain de soccer, l’étang Cloutier, mais en temps de COVID, la bicyclette est bien populaire et on n’a pas le choix, faut s’en aller là », de compléter Mme Lapointe.

developpement johnville estrie québec

Développement domiciliaire à Johnville : On se prépare pour 2022

Ça ne sera vraisemblablement pas avant le printemps 2022 que l’eau potable sera amenée au secteur du chemin Gendron.

Maintenant que la nouvelle station de traitement des eaux est complétée à Johnville, la municipalité poursuit les efforts pour amener l’eau potable jusqu’au chemin Gendron en préparation du développement domiciliaire, prévu vraisemblablement pour 2022.

La démarche marque, pour ainsi dire, la première phase du projet de développement domiciliaire d’une quarantaine de résidences réparties dans deux secteurs, celui du chemin Gendron et éventuellement celui derrière le nouveau centre communautaire.

La source d’alimentation provient du parc écoforestier de Johnville. Il s’agit de l’endroit même où la municipalité de Lennoxville s’approvisionnait autrefois. Présentement, d’expliquer la mairesse de Cookshire-Eaton, Sylvie Lapointe, on est à forer le puits de captage qui permettra de déterminer la caractérisation de l’eau et identifier ce qui devra être traité. Les résultats obtenus permettront de déterminer le coût final du projet, précise-t-elle. Parmi les travaux à effectuer, on prévoit affecter un montant pour le barrage et l’aménagement de l’ancienne station ainsi que la conduite qui s’étalerait sur la distance de 1 km. En tenant compte des diverses autorisations, dont le ministère de l’Environnement, le processus d’appel d’offres, il semble réaliste d’entrevoir la fin des travaux vers le printemps 2022, de laisser entendre le directeur général de la municipalité, Martin Tremblay.

La municipalité prévoit mettre en vente une vingtaine de lots dans le secteur du chemin Gendron et autant dans celui du centre communautaire. Toutefois, les autorités municipales n’avaient pas encore déterminé la façon de faire, soit attribuer le contrat à un agent d’immeuble ou procéder à l’interne.

Vignobles Cookshire-Eaton

Culture viticole à Cookshire-Eaton : Une première sur le territoire

Comme projet de retraite, Mario Langevin et Brigitte Robert se lancent dans la culture viticole sur leur terre à Cookshire-Eaton.

Démarrer une culture viticole comme projet de retraite, c’est l’idée qu’ont eue Mario Langevin et Brigitte Robert en installant des vignes sur leur terrain à Cookshire-Eaton, il y a quelques années. Bien qu’étant une culture peu propice au climat du Haut-Saint-François, le couple s’est lancé le défi, malgré les doutes de plusieurs agronomes. Les résultats semblent prometteurs.

M. Langevin tient à préciser qu’il s’agit d’une culture viticole et non d’un vignoble puisque la fabrication de vin n’y est pas créée sur place. Le couple cultive les vignes et achemine les raisins au vignoble le Cep d’Argent à Magog. Présentement, ils cultivent des variétés non-rustiques, soit le Vidal blanc et le Seyval blanc qui sont des variétés plus complexes à faire pousser. « Nous, c’est des semi à non-rustique, c’est-à-dire que ce n’est pas partout que ça pousse. C’est plus capricieux, ça prend une terre plus spéciale, plus chaude, un microclimat », explique M. Langevin. Entrepreneur en aménagement paysager, la qualité des sols, il s’y connaît. Sa terre à Cookshire-Eaton a un sol sablonneux qui, selon lui, se prête parfaitement à la culture de la vigne puisqu’elle est bien drainée.
Bien que cette variété de raisins se retrouve généralement dans les régions plus chaudes telles que la Montérégie, M. Langevin et Mme Robert ont décidé de tenter leur chance puisqu’ils croyaient à la qualité de leur sol et à leur projet. « Étant donné que le Haut-Saint-François c’est un petit peu plus frais, ils (les agronomes) s’attendaient à ce qu’on soit en retard par rapport au reste du Québec. L’année passée, on était au même stade, sinon à l’avance, que la Montérégie. Les agronomes étaient très surpris », lance fièrement Mme Robert. Débutant il y a deux ans, le couple a présentement 5000 plants de vigne sur un hectare. « On a déjà eu une petite production l’année passée. Cette année, on s’attend normalement, selon les règles la troisième année, ça devrait produire 50 % de sa capacité », poursuit la propriétaire.

Avoir une culture viticole demande beaucoup de travail puisque ça ne pousse pas tout seul, affirme Mme Robert. Au printemps, chaque vigne doit être taillée une à une manuellement. Le processus ne se fait pas mécaniquement. Un désherbage fréquent est également nécessaire pour permettre aux plantes de recueillir le maximum de minéraux possibles. De plus, le couple doit assurer un suivi strict pour éviter les maladies et les insectes nuisibles. « On n’a pas besoin de mettre d’insecticide vu que c’est un vignoble isolé. Vu qu’on est plus loin des autres, je crois que c’est vraiment un avantage », explique M. Langevin. Visant une culture biologique éventuellement, les viticulteurs pratiquent présentement une culture dite raisonnée. « On y va vraiment avec le biologique autant qu’on peut. Si un moment donné, ça ne marche vraiment plus, la santé de la vigne est en péril et bien on va y aller avec de quoi d’un peu plus fort », explique Mme Robert.

Natifs de Coaticook et présentement citoyens de Sherbrooke, le couple a décidé d’acheter un terrain dans le HSF, notamment pour la qualité de son sol. Aimant la nature et travailler la terre, pour eux, avoir une terre agricole était important. « On faisait de la grande culture avant, du maïs et du soya. Comme projet de retraite, on produit des grappes de raisins », exprime M. Langevin. Possédant la terre depuis une dizaine d’années, l’entrepreneur trouvait que la qualité du sol était trop importante pour n’y faire que de la grande culture. « J’ai suivi des cours à Saint-Paul-d’Abbotsford et je me suis dit que ce serait parfait pour un projet de retraite. J’ai rencontré le Cep et d’autres vignobles aussi », exprime-t-il.

Si pour l’instant le couple cultive des raisins pour d’autres, l’idée de produire eux-mêmes leur vin n’est pas écartée pour autant. D’ici deux ou trois ans, ils prévoient prendre leur retraite et pourront ainsi se consacrer à leur culture.

Ferme La Villandroise

Ferme La Villandroise : Bonification de son offre

Ayant à cœur le bien-être animal, la Ferme La Villandroise agrandit son offre de produits en ajoutant à leur production bovine, la viande porcine et le poulet.

Installée à Cookshire-Eaton depuis 26 ans, l’entreprise familiale compte maintenant parmi ses propriétaires les sœurs Emma et Anabelle Dugal-Villeneuve. « Tous nos animaux sont élevés en pâturage, donc à l’herbe, à l’extérieur. Ça influence la qualité de la viande, ça fait une viande un peu moins grasse et ça augmente le bien-être animal », explique Emma Dugal-Villeneuve. Cette méthode leur permet de réduire de 25 à 30 % de nourriture au grain. Spécialisée en production bovine, la ferme propose maintenant de la viande porcine et du poulet. Les personnes intéressées à se procurer des produits peuvent les commander sur le site https://www.fermelavillandroise.com/ et passer à la ferme pour les récupérer. Nous apercevons de gauche à droite Emma et Anabelle.

Fête des mères

Des fleurs en tous genres pour dire merci aux mères dans votre vie

Offrir des fleurs à la fête des Mères est une tradition qui n’est pas près de se démentir ! Vous vous demandez lesquelles sauront combler votre mère, votre grand-mère, la mère de vos enfants, etc.? Voici quelques suggestions !
Fleurs coupées
Classique s’il en est, le bouquet de fleurs coupées apporte une fraîcheur printanière éphémère qui a tout pour plaire ! Roses, campanules, gerberas, tulipes, camélias, œillets, iris, lys, oiseaux de paradis… les choix colorés ne manquent pas ! Misez sur ses teintes ou ses fleurs préférées, si vous les connaissez, ou laissez votre fleuriste vous proposer un bouquet en harmonie avec la personnalité de la femme merveilleuse que vous souhaitez gâter !
Fleurs pour le jardin
Si la mère que vous célébrez a le pouce vert, elle sera certainement ravie de pouvoir ajouter une plante à son jardin. Une jolie vivace (ex. : primevère), des bulbes printaniers (ex. : narcisses) ou un arbuste (ex. : rhododendron) constituent tous d’excellentes options. À vous de voir ce qui s’intégrera le mieux dans son aménagement paysager.
Plantes fleuries en pot
Plus durables, un rosier, une violette africaine ou une orchidée en pot, ou encore un panier suspendu ou un bac d’annuelles, entre autres, orneront joliment la maison, le balcon ou la terrasse. Assurez-vous toutefois que la personne qui recevra votre cadeau est en mesure de garder une plante en vie ! Dans le doute, recherchez les végétaux faciles d’entretien.
Enfin, si vous attachez de l’importance au langage des fleurs, renseignez-vous notamment sur la signification des diverses couleurs. Par exemple, la rose rouge convient à merveille pour votre mère, alors que la rose jaune est tout indiquée pour votre grand-mère.

3 conseils pour faire construire sa maison à distance

3 conseils pour faire construire sa maison à distance

Vous voulez faire construire votre future maison dans une autre région ? Vous souhaitez vous assurer que tout se déroule parfaitement, mais serez dans l’impossibilité de vous déplacer régulièrement ? Voici quelques conseils pour simplifier ce grand projet!

  1. Soyez bien informé
    Avant de planifier ou d’entreprendre les travaux de construction, assurez-vous de détenir les données qui vous éviteront de mauvaises surprises. Le terrain présente-t-il des risques d’inondation ou d’éboulement ? Quelle est son inclinaison ? Est-il situé près d’une pente ? Quelle est la hauteur de la nappe phréatique ?
    Informez-vous également sur la proximité des raccordements à effectuer (fils électriques, aqueducs, égouts) et des services (école, épicerie, hôpital, etc.). Enfin, concentrez-vous sur les plans seulement après avoir vérifié les réglementations municipales (ex. : marges de retrait, pourcentage d’occupation du terrain).
    L’essentiel de ces informations s’obtient par téléphone. Prenez toutefois soin de confirmer le choix du terrain sur place!
  2. Misez sur la technologie
    Entendez-vous avec votre constructeur sur vos méthodes de communication. Celui-ci pourrait vous fournir des comptes rendus réguliers par courriel ou par message texte, par exemple, combinés avec des photographies et des vidéos. Vous pouvez aussi convenir d’une fréquence d’appels télépho­niques ou en visioconférence.
  3. Maximisez vos déplacements
    Limitez vos visites aux étapes importantes de la construction, comme l’ouverture de chantier, l’installation des fenêtres ou la finition. Faites de même pour sélectionner les comptoirs, les couvre-planchers, les armoi­res, la robinetterie, etc. Tentez de faire vos choix en une seule rencontre. Vous hésitez ? Prenez des photos et confirmez vos décisions par courriel ou par téléphone.

    Dans tous les cas, assurez-vous de faire affaire avec des professionnels expérimentés détenant les licences ap­propriées (ex. : entrepreneur) et membres d’un ordre professionnel (ex. : inspecteur); vous serez ainsi mieux protégé en cas de problème!
7 idées pour aménager une petite cuisine

7 idées pour aménager une petite cuisine

Vous avez étudié la question sous tous les angles et devez vous rendre à l’évidence : impossible d’agrandir votre cuisine exiguë ! Or, des solutions sont à votre portée. À go, concevez votre espace de manière à en tirer le maximum grâce à ces sept idées futées !

Les objets suspendus : utilisez une barre-support et des crochets afin de suspendre le matériel de cuisine de façon accessible. Ustensiles, poêles, tasses, mitaines de four ou planches à découper peuvent y trouver leur place.

Les tablettes : fixées au-dessus de la cuisinière ou du plan de travail, par exemple, les tablettes offrent une solution de rangement esthétique pour les épices, les pots de pâtes, les contenants à bonbons et les herbes fraîches.
Les meubles encastrés ou intégrés : un électroménager encastré ou une poubelle intégrée au plan de travail augmentent la superficie de votre cuisine. Un tiroir-tablette, quant à lui, prolonge votre comptoir.

Les appareils « 2 en 1 » : le four combiné, qui fait office de four et de micro-ondes, vous permet d’avoir un seul appareil pour cuire, griller et réchauffer vos plats. Le micro-ondes à hotte intégrée constitue aussi une option avantageuse.

Les armoires hautes : profitez d’un rangement en hauteur pour le matériel moins employé et munissez-vous d’un marchepied pliant pour y accéder facilement.

L’éclairage ciblé : installez des spots ou tout autre système d’éclairage dans les endroits pertinents pour une cuisine lumineuse et fonctionnelle. Pensez au plan de travail, à l’évier, à la surface de cuisson, etc.

La plaque amovible : certaines plaques de cuisson escamotables sont aussi puissantes que les modèles encastrés, ce qui en fait une solution parfaite pour gagner en superficie de comptoir.

Réparer un trou dans un mur de gypse : 4 erreurs à éviter

Réparer un trou dans un mur de gypse : 4 erreurs à éviter

Vous devez réparer un trou de moins de 5 cm de diamètre dans un mur de gypse ? Pour un ré­sultat impeccable, assurez-vous de le reboucher en évitant les erreurs suivantes!

Omettre de poncer les contours du trou : l’étape du sablage est primordiale pour optimiser l’adhérence du produit (bouche-pores ou composé à joints) au mur. Utilisez un papier abrasif à grain fin ou moyen et procédez en douceur.

Négliger les étapes de nettoyage : si vous voulez que votre réparation soit de qualité professionnelle, vous devez retirer la poussière, puis laver la zone avec un linge humide et la laisser sécher avant d’appliquer le produit de remplissage et, à la fin, la peinture.

Remplir le trou avec une quantité insuffisante de produit : avec un outil approprié (ex. : truelle), remplissez la cavité généreusement jusqu’à ce que la substance déborde. Après le séchage, vous pourrez sabler la surface afin qu’elle devienne parfaitement lisse et se confonde avec le mur de gypse. Si vous n’aviez pas mis assez de produit, il faudrait en ajouter et attendre une fois de plus que le tout soit sec!

Ne repeindre que la zone fraîchement réparée : si, par paresse ou par souci d’économie, vous décidez de ne repeindre que la section sur laquelle vous venez de travailler, vous le regretterez. Ce qu’il faut faire ? Eh oui, vous l’aurez deviné : repeindre le mur en entier pour éviter les démarcations disgracieuses!
Visitez une quincaillerie ou un centre de rénovation de votre région pour dénicher le matériel qui redonnera fière allure à votre mur!

actualite

Transformez votre domicile avec la tendance cottagecore !

Le style cottagecore évoque l’ambiance et le mode de vie des maisons de campagne anglaises, dans leur romantisme et leur simplicité. En matière de décoration, cela signifie essentiellement de miser sur la nature, la douceur et la légèreté. Voici comment intégrer le cottagecore à votre demeure !

Les murs
Misez sur les tons pastel pour obtenir une atmosphère délicate et poétique ou optez pour du papier peint fleuri. Veillez toutefois à ce que ce dernier n’alourdisse pas l’espace.

La décoration
C’est le temps de laisser vos pots à épi­ces et vos ustensiles de cuisine en évidence, sans toutefois surcharger l’espace. Pour un résultat réussi, ajoutez des fleurs séchées ou fraîches dans les pièces ou faites pousser quelques herbes aromatiques.

Le mobilier
Le bois, l’osier, le rotin et les autres matières naturel­les contribuent à une esthétique campagnarde. Chai­ses, tables, comptoirs, étagères et lits sont autant d’éléments qui peuvent ajouter à l’ambiance de votre maison. Pour un look un peu plus travaillé et chaleureux, choisissez des meubles à l’apparence usée.

Le sol
Qu’il s’agisse de lattes ou de céramique, les couleurs claires et les finis en bois ont la cote. Si vous ajoutez un tapis, privilégiez un modèle tressé ou en macramé blanc ou beige, par exemple.
La tendance cottagecore rappelle, de façon moderne, la vie de nos ancêtres à la campagne. Pour créer une nouvelle ambiance inspirante dans votre maison, visitez les boutiques de décoration et les antiquaires de votre région !

Comment-utiliser-les-couleurs-Pantone-de-lannée-2021-dans-votre-maison

Comment utiliser les couleurs Pantone de l’année 2021 dans votre maison ?

Cette année, Pantone, une entreprise spécialisée dans les nuanciers de couleurs et les tendances chromatiques, a choisi non pas une cou­leur de l’année, mais deux ! Vous souhaitez apporter un peu de force et d’espoir dans votre domicile grâce au gris souris Ultimate Gray et au jaune soleil Illuminating ? Voici comment !

Dans la chambre
Optez pour une housse de couette ou des oreillers mariant les deux couleurs, avec ou sans motifs. Pour un changement plus important, peignez les murs en gris et accolez-y une table de chevet, une lampe ou un fauteuil de lecture jaune pimpant, par exemple.

Dans le salon
Insérez des touches de ces nuances tendance dans le décor en remplaçant les rideaux, les jetés, les coussins, le tapis, etc., ou encore en vous procurant un joli tableau. Pour créer de super­bes contrastes, pensez à un mur d’accent jaune ou gris contre lequel des éléments de l’autre couleur sont placés (pouf, étagère, table d’appoint). Psitt ! Du papier peint amovible peut aussi apporter un effet « wow » !

Dans la cuisine
Misez sur les accessoires ou les petits appareils : plats de service, mitaines de four, serviettes, grille-pain, etc. Vous pouvez en outre choisir de changer les coussins de vos chaises ou encore votre nappe ou votre chemin de table.
Le gris Ultimate Gray et le jaune Illuminating s’agencent à tous les styles de décors. En 2021, faites entrer ces couleurs dans votre intérieur !

Type-dessence

Ordinaire, plus ou super: avec quel type d’essence devriez-vous faire le plein ?

Il existe trois sortes d’essence : ordinaire, plus et super. Voici un aperçu de chacune d’elles et de la façon de déterminer laquelle convient le mieux à votre véhicule.
Comprendre les grades d’essence
La différence entre les trois types d’essence est leur indice d’octane, lequel mesure la stabilité du carburant (ou sa qualité antidétonante), soit la pression à laquelle celui-ci explose spontanément dans un mo­teur d’essai. Plus l’indice d’octane est élevé, plus le carburant est sta­ble, c’est-à-dire qu’il supporte des taux de compression plus grands. L’essence ordinaire possède un indice d’octane de 87; l’essence plus, entre 88 et 90; l’essence super, en­tre 91 et 94.
Choisir le bon type d’essence
Le manuel du propriétaire indique normalement avec quel type d’essence vous devriez faire le plein de votre véhicule. Ainsi, suivez toujours les recommandations du fabricant.
Si votre véhicule nécessite de l’essence super, cela signifie que son moteur a un haut taux de compression et requiert par conséquent un carburant doté d’un indice d’octane plus élevé. Dans ce cas, utiliser de l’essence ordinaire pourrait affecter les performances du moteur, voire l’endommager, et diminuer l’économie de carburant.
Toutefois, inutile de recourir à l’essence super dans un véhicule demandant uniquement de l’essence ordinaire : cela vous coûterait plus cher, et vous n’en tireriez aucun avantage. Si le manuel du propriétaire recommande l’essence super, mais précise qu’elle n’est pas exigée, c’est que le moteur performe mieux avec un indice d’octane plus élevé, mais qu’il peut fonctionner sans risques avec de l’essence d’un grade inférieur.
Vous n’êtes pas certain du type d’essence à privilégier ou vous ne trouvez pas cette information dans le manuel du propriétaire ? Demandez conseil à un mécanicien de confiance de votre région !

Check-Engine

Que signifie exactement le voyant check engine ?

Cela peut certes être inquiétant de voir s’allumer le témoin d’anomalie check en­gine sur son tableau de bord. Cependant, il est important de rester calme. Voici ce que vous devez savoir à ce sujet.
Qu’est-ce qu’il signifie ?
Le voyant check engine est connecté au système de diagnostic du véhicule, un ordinateur de bord qui surveille les performances du moteur et répare automatiquement les problèmes qui surviennent. C’est lorsqu’il ne peut en résoudre un que le témoin d’anomalie jaune ou orange en forme de moteur s’allume. Cela vous indique qu’un entretien professionnel est requis.
Que devez-vous faire ?
Si le check engine s’allume, il n’y a généralement pas lieu de paniquer ou d’appeler une dépanneuse sur-le-champ. En effet, ce témoin signale rarement une défectuosité aussi urgente qu’une panne de moteur : dans la plupart des cas, il vous prévient seulement qu’un problème est imminent.
Ainsi, quand il s’allume, vous devez prendre un rendez-vous sans tarder afin qu’un mécanicien qualifié repère la source du problème et effectue les réparations qui s’imposent pour vous permettre de reprendre la route en toute sécurité.

chasse aux œufs de Pâques

Comment rehausser d’un cran votre chasse aux œufs de Pâques ?

Vous aimeriez surprendre vos enfants à Pâques ? Voici quelques suggestions pour ajouter une touche de créativité à la traditionnelle « chasse aux cocos » !
Dessinez une carte de votre maison en marquant d’un « X » les endroits où se trouvent les friandises;
Cachez des œufs en plastique contenant des autocollants, des figurines d’animaux, des balles rebondissantes ou d’autres petits jouets;
Remplissez les œufs de défis amusants (sautez comme des lapins, pépiez comme des poussins, etc.) que vos enfants devront réaliser pour obtenir leurs surprises;
Placez des bâtonnets lumineux dans les œufs et organisez la chasse en soirée;
Demandez à vos enfants de trouver un œuf de chaque type (un œuf bleu, un œuf jaune, etc.);
Dissimulez dans la maison des indices écrits qui mèneront éventuellement vos petits enquêteurs jusqu’à la réserve de chocolats;
Répartissez dans les œufs les pièces d’un casse-tête ou d’une création en blocs de construction que vos enfants pourront assembler après l’activité pour faire durer le plaisir;
Remplissez les œufs de bouts de papier annonçant les récompenses (congé de tâches ménagères, soirée pizza, etc.) auxquelles auront droit ceux qui les récupéreront.
Enfin, si dame Nature le permet, pensez à organiser la chasse aux œufs de Pâques dans le jardin plutôt qu’à l’intérieur de la maison. Sourires garantis !

Pourquoi des funérailles

Pourquoi des funérailles ?

  • Pour reconnaître qu’une vie a été vécue.
  • Pour confirmer la réalité du décès.
  • Pour servir de lieu de rencontre pour la famille et les amis.
  • Pour permettre aux personnes en deuil de vivre leur peine et d’échanger pensées et sentiments.
  • Pour permettre aux personnes en deuil de se réunir et de se rappeler des souvenirs du défunt.
  • Pour permettre aux parents et amis d’exprimer réconfort, émotions et soutien envers la famille éprouvée.
  • Pour mieux vivre les étapes du deuil.
  • Pour aider les survivants à accepter leur deuil et leur faciliter le retour à la vie quotidienne.
Gwendolyn Rivera de Artémysia Mystica

Cultiver les plantes médicinales : En communion avec la nature

Gwendolyn Rivera, herboriste, crée divers produits dérivés de plantes médicinales.

Reconnaissante de ce que la terre peut offrir, Gwendolyn Rivera démarrait son entreprise de produits dérivés de plantes médicinales, Artémysia Mystica, il y a quatre ans. Basée à Cookshire-Eaton, l’herboriste ressent une communion avec la nature et est fascinée de tout ce qui peut être créé à partir des éléments naturels.


L’herboristerie est une médecine complémentaire qui utilise les plantes médicinales sous différentes formes. Cette technique de guérison est utilisée par l’homme depuis des siècles. Depuis plus de 20 ans, Mme Rivera s’intéresse à ce type de culture. « Je faisais ça parce que ça faisait longtemps que j’avais le goût d’en fabriquer. J’ai toujours eu des jardins et ça me fascine les plantes médicinales », exprime-t-elle. Dans son jardin, elle cultive différentes plantes, mais elle aime aussi utiliser celles qui poussent naturellement tout autour de sa maison. Calendules, rosiers sauvages, pin, sapin, tuya et artémise, tout ce qui peut être bénéfique, elle le cultive. « Chaque année, je pars mes semis à l’intérieur. C’est toujours avec des semences biologiques. Quand le temps arrive, je les transplante dans mon jardin », explique-t-elle. Pour ses macérations et la fabrication de ses articles, elle prend soin de sélectionner des matières biologiques et locales le plus souvent possibles. Même si elle apprécie toutes les plantes, l’herboriste a tout de même un faible pour l’armoise. « En fait, je fais pousser plusieurs plantes de la famille des artémises. » Elle s’intéresse également à l’artemisia absinthium malgré sa mauvaise réputation. Selon elle, bien dosée, cette plante peut avoir de belles propriétés. « J’avais le goût de faire pousser quelque chose qu’on n’a pas et faire des associations avec les gens qu’il y a ici », mentionne l’entrepreneure.

Parmi les produits qu’elle fabrique, on y retrouve, entre autres, de l’encens et des parfums solides. « J’ai toujours aimé l’aromathérapie. Faire des mélanges par moi-même, c’est très intuitif », exprime-t-elle. Le parfum solide est en quelque sorte un baume qui peut également hydrater et nourrir la peau ou les cheveux. Ses clients peuvent également se procurer des onguents. « Ça c’est quelque chose que j’aime vraiment beaucoup faire parce que ça implique que je fasse pousser des plantes spécifiques à ce que je veux ou que j’aille dans la forêt pour cueillir des aiguilles de sapin, de thuya, etc. », affirme-t-elle.

Au Québec, un regroupement de professionnels et amateurs de plantes médicinales a été fondé en 1995, soit la Guilde des herboristes. Cette association regroupe présentement plus de 300 membres et travaille à faire reconnaître le droit à l’utilisation des plantes médicinales. Celles-ci peuvent être préparées par infusion, décoction ou macération. Elles sont utilisées sous forme de tisanes, de poudre à intégrer aux aliments, par fumigation, avec lotions corporelles, cataplasmes et bien d’autres. Soucieuse de l’environnement et du bien-être humain, Mme Rivera a créé son entreprise dans l’espoir de redonner à la communauté. « Je veux que ce soit quelque chose qui a des belles valeurs, qui est bon pour l’humanité et qui a moins d’impacts nocifs pour l’environnement. Je me suis vraiment trouvé ma passion, ma façon de m’exprimer dans les produits naturels avec les plantes médicinales. »

Selon elle, les plantes et ce que la nature a à offrir possèdent des propriétés magiques, soit le pouvoir de prendre contact avec l’invisible et avec la nature. « C’est le côté magique, c’est mystique et on ne peut pas dire que c’est vrai, mais j’aime la beauté de cet univers-là et j’aime ça l’utiliser avec ces intentions. » Ainsi, cet aspect ésotérique est présent dans ses créations. Native du Chili, Mme Rivera a toujours été quelqu’un de très spirituel. Dans certaines de ses fabrications, comme ses encens, elle y insère des pierres semi-précieuses. Pour elle, c’est un concept odorant qui transporte dans un univers et un état d’âme. Le sentiment de faire du bien à ceux qui l’entourent en utilisant ce que la nature offre lui donne une immense fierté.
Ses produits sont vendus sur sa boutique en ligne au www.artemysiamystica.etsy.com.

actualite

Sawyerville Community Garden : In Full Preparation for the Planting Season

The Sawyerville Community Garden team members are in the midst of preparing for the summer season. They are planning new structures and activities, in compliance with health regulations.

In the spring, a new construction will be added to those already present. “A new shelter will be built, 10 x 50 feet, to accommodate producers and processors at the market,” explained the president, Chantal Bolduc. All of these facilities will allow many community activities to take place over the summer.

Because a Seed Festival was not possible in person this spring, the organizers made it a virtual one. The event offered information about seed producers as well as digital conferences. Regarding the pandemic, Bolduc suggested that the Community Garden is one of the solutions to get through this ordeal.

“The best way to protect yourself is to have a strong immune system. Many studies have shown that clean air, physical exercise, and eating vegetables, fruits and good foods contribute to good health,” she said, inviting members of the public to participate in the project. Citizens can rent a plot in the garden at a cost of $20. “This offers the possibility of gardening using ecological methods. Compost, mulch, and gardening tools such as grelinettes, rakes, and garlic or leek plotters are available in the garden,” explained the president.

The annual general meeting will take place April 17. All the details are available on the Facebook page of the organization.

Jardin communautaire de Sawyerville

Jardin Communautaire de Sawyerville : En pleine préparation pour la saison estivale

Les responsables du Jardin Communautaire de Sawyerville se préparent à la saison estivale.

Les responsables du Jardin Communautaire de Sawyerville se préparent pour la saison estivale. De nouvelles structures et activités, en respect avec les consignes sanitaires, sont prévues.

Au printemps, une nouvelle construction s’ajoutera à celles déjà présentes. « Il y a un nouvel abri qui va être construit, 10 x 50 pieds, pour accueillir des producteurs et transformateurs au marché », explique Chantal Bolduc, présidente. Toutes ces installations permettront de mettre en place plusieurs activités communautaires au cours de l’été.

N’ayant pas été en mesure de faire une Fête des semences en présentiel, les organisateurs en ont fait une virtuelle. Des informations sur les semenciers ainsi que des conférences numériques étaient proposées. Concernant la pandémie, Mme Bolduc croit que le Jardin Communautaire fait partie des solutions pour passer au travers de cette épreuve. « La meilleure façon de se protéger, c’est d’avoir un système immunitaire fort. Plusieurs études démontrent que l’air pur, l’exercice physique, manger des légumes, des fruits et de bons aliments contribuent à la bonne santé », exprime-t-elle, invitant ainsi la population à participer au projet. Les citoyens peuvent procéder à la location d’une parcelle du jardin au coût de 20 $. « Ça offre la possibilité de cultiver des rangées en pratiquant des méthodes écologiques. Le compost, paillis, les outils de jardinage tels que grelinettes, râteaux, traceurs d’ail et de poireaux sont disponibles au jardin », explique la présidente.

L’assemblée générale annuelle se déroulera le 17 avril. Tous les détails seront inscrits sur la page Facebook de l’organisme.

5-conseils-dentretien-pour-un-véhicule

5 conseils d’entretien pour un véhicule peu utilisé

Même si vous ne conduisez pas régulièrement votre véhicule, il est important de veiller à son entretien. Voici quelques conseils pour le maintenir en bon état lorsqu’il ne sert (presque) pas.

  1. Chargez la batterie
    Les systèmes électriques des voitures moder­nes sollicitent la batterie même lorsque le mo­teur est arrêté. Pour vous assurer qu’elle ne rendra pas subitement l’âme, faites tourner le moteur au moins cinq minutes toutes les deux ou trois semaines, idéalement en conduisant vo­tre véhicule (faites le tour du pâté de maisons, par exemple). Vous pouvez également vous do­ter d’un chargeur de batterie.
  2. Vidangez l’huile
    Effectuez les changements d’huile à la fréquence recommandée (ex. : tous les six mois), car l’huile se détériore avec le temps, et ce, que vous utilisiez ou non votre auto.
  3. Faites le plein
    Un réservoir d’essence plein permet de prévenir la condensation et d’empêcher que les joints se dessèchent. Vous pourriez par ailleurs ajouter un stabilisateur d’essence afin de déjouer l’oxydation et la corrosion.
  4. Surveillez les pneus
    Si votre voiture demeure garée au même endroit pour une longue période, les pneus pourraient finir par s’affaisser. Il est donc important de la déplacer à l’occasion, ne serait-ce que de quelques mètres. De plus, avant d’utiliser un véhicule longtemps immobilisé, vérifiez toujours la pression des pneus.
  5. Lavez l’extérieur
    Pour protéger la peinture et prévenir la rouille, nettoyez régulièrement la saleté et les débris qui s’accumulent inévitablement. L’achat d’une housse de qualité pourrait aussi s’avérer hautement judicieux.
    Enfin, continuez à faire entretenir votre véhicule par un professionnel conformément aux recommandations du fabricant. De cette façon, vous pourrez chaque fois prendre le volant en toute confiance !
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