Inspection-de-vos-freins

4 signes qu’il est temps de faire inspecter vos freins

En matière de sécurité automobile, vos freins jouent sans l’ombre d’un doute un rôle crucial ! Voici quatre signes qui indiquent que vous devriez sans tarder les faire inspecter par un professionnel :

  1. Bruits inhabituels
    Les plaquettes de freins possèdent des in­dicateurs d’usure intégrés qui émettent un grincement aigu quand elles arrivent en fin de vie. Dès que vous entendez ce son n’ayez crainte, vous saurez l’identifier !, prenez rendez-vous pour faire remplacer vos plaquettes.
  2. Vibrations
    Il n’est pas étonnant que votre système de freinage et d’autres composantes de vo­tre véhicule vibrent quand vous freinez abruptement. Cependant, si cela se produit lorsque vous appuyez sur la pédale normalement, vous de­vriez vous en inquiéter. En gé­néral, ces tressautements sont dus à une usure inégale des disques de freins.
  3. Problèmes de direction
    Si votre voiture « tire » vers la droite ou la gauche, trois causes sont possibles : une pression des pneus irrégulière, un mau­vais parallélisme des roues ou un problème de freins. Dans ce dernier cas, un étrier coincé, un tuyau affaissé ou des plaquettes inégales peuvent expliquer vos ennuis.
  4. Pédale molle
    Vous devez appuyer plus fermement sur les freins, ou encore la pédale vous sem­ble soudainement « molle » ? Il y a fort à parier que le liquide de frein ne circule pas adéquatement. Le remplacer devrait permettre de corriger la situation.
Mise au point auto standard

Que comprend une mise au point automobile standard?

Vous vous demandez ce que fait le mécanicien lors­qu’il révise votre véhicule? Voici quelques-unes des principales tâches qu’il effectue durant une mise au point.
Changer les filtres
Votre voiture est équipée de filtres à huile, à essence, à air et à air d’habitacle. Leur principale fonction est d’empêcher les divers contaminants d’endommager les composantes du moteur ou d’autres systèmes essentiels de votre véhicule. Lors d’une mise au point, votre mécanicien contrôle l’état de ceux-ci et les remplace au besoin.
Vidanger les fluides
Les différents liquides (huile à moteur ainsi que liquides de refroidissement, de frein, de transmission et de direction assistée) jouent un rôle primordial dans votre voiture. En effet, ils assurent son bon fonctionnement! Il est donc important de les remplacer à intervalles réguliers pour prévenir les pannes et les dommages au moteur.
Inspecter les pièces
Le système d’allumage comprend une variété de composantes électriques qui peu­vent s’user avec le temps. Des problèmes avec les pièces du système d’allumage peu­vent provoquer des ratées lors du démarrage, voire empêcher celui-ci. Voilà pourquoi la mise au point inclut la vérification et le remplacement, si nécessaire des bougies et de leurs câbles ainsi que des bobines d’induction.
Vérifier les diagnostics
Quand un problème survient avec le moteur, le diagnostic embarqué (on-board diagnostic) de votre voiture stocke un code de réparation. Lors de votre visite, votre mécanicien analyse ce système afin de résoudre les problèmes du mo­teur, le cas échéant.

Bref, l’entretien planifié de votre véhicule permet d’as­su­rer le fonctionnement optimal de celui-ci, de préve­nir les pannes et d’éviter des réparations coûteuses.

Droits des femmes HSF

Un recueil de témoignages virtuel : Permettre aux femmes de s’exprimer

À l’occasion de la Journée internationale de la femme, le Centre des Femmes du HSF, La Passerelle, lance un recueil de témoignages virtuel.

Une dizaine de femmes duHaut-Saint-François publieront le 8 mars prochain divers témoignages personnels sur un blogue créé par le Centre des Femmes du HSF, La Passerelle. Dans le cadre de la Journée internationale de la femme, ces publications permettront à ces citoyennes de s’exprimer sur des sujets qui les préoccupent. Ce recueil de témoignages virtuel restera en place et sera amené à être modifié par les membres de La Passerelle.

« Il va y avoir un blogue qui va être officiellement prêt le 8 mars où tous les témoignages vont être en version numérique », explique Louise Bélisle, participante au projet. Ces publications prendront différentes formes, soit des textes, des poèmes, photos avec descriptions, dessins ou bandes dessinées. Les sujets seront également variés et à la discrétion des participantes. Certaines aborderont la charge mentale, d’autres la violence conjugale, le racisme, l’isolement ou la pression sociale. « C’est des témoignages en lien avec le vécu de chaque participante, c’est pour ça que ça prend différentes formes », exprime Mme Bélisle. Une version papier sera distribuée à travers la MRC afin de toucher un maximum de citoyens.
D’abord mis en place afin de présenter une exposition virtuelle pour la Journée internationale de la femme, le blogue demeurera en ligne par la suite. « L’objectif est d’offrir une opportunité aux femmes de s’exprimer et aussi de sensibiliser la société aux enjeux que vivent les femmes. Dans le but qu’éventuellement, ça puisse changer », mentionne la participante. Dès le 8 mars, les citoyens pourront visiter le www.ecoutonslesfeministes.com pour visionner les différents témoignages.

Rosalie Bilodeau HSF

Démystifier la transidentité : Deux femmes trans du Haut s’expriment

Rosalie Bilodeau a eu un parcours difficile pour sa transition, mais assume maintenant bien sa transidentité.

Le thème de la Journée internationale des droits des femmes pour l’année 2021 est Écoutons les femmes. Toutefois, qu’en est-il des femmes transgenres ? Se sentent-elles incluses dans les événements dédiés à la gent féminine, sont-elles écoutées ? L’avis est partagé et le sujet encore tabou, mais de plus en plus abordé. Les personnes trans s’affirment de plus en plus, et ce, non seulement dans les grandes métropoles. Des citoyennes trans de la MRC du Haut-Saint-François tiennent à se faire entendre au même titre que les femmes cisgenres.

Une personne transgenre est une personne dont l’expression de genre et/ou d’identité de genre s’écarte des attentes traditionnelles reposant sur le sexe assigné à la naissance. « Tu ne deviens pas trans. Tu nais trans. C’est juste que ça peut prendre bien des années, comme il y a que ça peut sortir bien jeune », explique Rosalie Bilodeau, femme trans résidant dans le HSF. Son parcours vers la transition n’a pas été simple. Ayant grandi dans une famille aux valeurs traditionnelles, celle qui se prénommait Kevin ne s’est jamais sentie bien dans le corps qu’elle a reçu à la naissance. « Je suis trans depuis 2007, cachée, parce que ce n’est pas accepté dans ma famille », exprime-t-elle. C’est vers l’âge de 15 ans qu’elle a réalisé les raisons de son mal-être, mais ne l’a assumé qu’à l’âge adulte. Certaines femmes transgenres gardent des traits physiques plus masculins, comme c’est le cas de Mme Bilodeau. Selon elle, cette caractéristique rend l’acceptation dans la société plus difficile. Cependant, au cours des dernières années, des scientifiques ont découvert qu’il n’existait pas seulement deux sexes différents, mais 48. Autrement dit entre une personne dite 100 % homme et une autre 100 % femme, il existe environ 46 intersexuations. Ainsi, chaque personne serait constituée entre 10 et 40 % des marqueurs biologiques de l’autre sexe. « Personnellement, je n’ai jamais eu des traits très masculins », affirme Alexia, femme trans résidant dans le HSF. Son histoire diffère beaucoup de celle de Mme Bilodeau, puisqu’elle s’estime chanceuse d’avoir été bien entourée par une famille compréhensive. Selon elle, ses proches s’en doutaient depuis longtemps puisque même bébé, elle exprimait un malaise avec son sexe masculin. Son coming out s’est toutefois fait à l’âge adulte également où elle a commencé à prendre les hormones pour entamer sa transition. Celle-ci s’est terminée il y a deux ans avec sa vaginoplastie.
Les relations sociales peuvent s’avérer difficiles pour les personnes trans puisque beaucoup vivent de la discrimination et de l’intimidation. Mme Bilodeau en vit régulièrement en se faisant refuser l’accès à certains établissements en raison de son genre. « Je me suis fait un gros mur. Tout ce qui est haine s’arrête là. Je me vire de bord et je m’en vais », explique celle qui refuse de se laisser abattre par ce genre de comportement. Si pour Alexia, trouver un emploi et avoir des collègues compréhensifs n’a pas été difficile, ce n’est pas le cas de toutes. Pour Mme Bilodeau, dont le domaine d’expertise est l’agriculture, les préjugés demeurent présents. « C’est difficile parce que le fait que tu dis que tu es trans, ça fonctionne pas. Le monde ne veut pas en engager », exprime celle qui croit que c’est la peur d’être jugé qui pousse les gens à agir de la sorte. Toutefois, comme les spécialistes l’expliquent, le transgénisme n’est pas une maladie, cela n’est pas contagieux et ne se transmet pas aux enfants, tout comme il ne s’agit pas d’un effet de mode.

Vivre en région rurale peut paraître plus difficile pour ces femmes, mais Alexia affirme n’avoir jamais eu de difficulté à vivre sa transition dans le HSF. Il en est de même pour Mme Bilodeau, mais elle croit néanmoins que si les gens font des commentaires négatifs, ce ne sera pas devant elle. L’endroit n’est donc vraiment pas ce qu’elles ont trouvé le plus difficile au cours des dernières années. Pour Alexia, c’est le temps d’attente pour les opérations et le changement de nom sur ses documents. Étant physiquement devenue une femme et se faire appeler par un prénom masculin restait difficile pour elle. Pour Mme Bilodeau, c’est de perdre ses proches, de voir ceux qu’elle aimait la renier, qu’elle a eu du mal à supporter.

Françoise Susset, présidente de l’Association canadienne des professionnels de la santé transsexuelle, expliquait lors d’une entrevue dans un média que les recherches penchent vraiment dans le sens d’explications biologiques plutôt que vers des facteurs extérieurs comme l’influence parentale. Comme Alexia le mentionnait, dans le ventre de la mère, le sexe du bébé se développe avant le cerveau, alors y a-t-il un lien à y faire ? Elle croit donc que la transsexualité pourrait se développer avant même la naissance. Mme Susset rappelle également qu’il s’agit d’un problème médical et non mental puisque le traitement n’est pas une psychothérapie, mais une modification du corps par les hormones et des opérations. Bien sûr, des problèmes tels que l’anxiété et la dépression peuvent apparaître.
Pour les deux femmes, la population se doit d’être davantage sensibilisée, tout comme elle a dû l’être pour l’homosexualité. « Je suis la même personne à l’intérieur, que je sois un homme ou une femme. C’est juste que j’ai appris à m’aimer et j’ai réalisé que je n’étais pas dans le bon corps », exprime Mme Bilodeau. Selon Alexia, les émissions télévisées sur la transidentité aident beaucoup à ouvrir l’esprit des gens. « Je n’ai jamais été aussi bien que depuis mon opération. Au final, on reste des humains comme tout le monde. On a décidé de faire les pas pour être bien avec nous-mêmes », mentionne-t-elle.

Selon des études, plus de 40 % des personnes transgenres font une tentative de suicide et malheureusement, plus de la moitié perdent la vie. Au Canada, 0,24 %, soit environ 75 000 personnes, sont déclarées transgenres. Rappelons également que depuis 2020, le Centre des Femmes du HSF, La Passerelle, est inclusif aux femmes trans, cisgenres, non-binaires, LGBT et les personnes en questionnement de genre.

Préjugés sexistes

3 façons de combattre les préjugés sexistes en milieu scolaire

La Journée internationale des femmes, qui se tient le 8 mars, est l’occasion de rappeler que les changements opèrent lorsque les préjugés et les stéréotypes sont dénoncés. Voici comment les parents et les enseignants peuvent contribuer à un environnement de classe qui prévient les opinions préconçues sur les genres.

  1. Proposez des modèles variés
    Offrir aux enfants des exemples de personnes exerçant des professions non traditionnelles (mécaniciennes, infirmiers, etc.) contribue à façonner la vision de leur avenir. Des livres promouvant des personnages féminins aventureux, des garçons sensibles et des héros non binaires, par exemple, sont autant d’autres manières de leur apprendre qu’il est normal d’être soi-même.
  2. Évitez de diviser par sexe
    Placer les élèves dans des files selon leur genre renforce l’idée qu’il existe deux types de personnes et que ceux-ci devraient agir et être traités différemment. Privilégiez d’autres façons de former des groupes (date d’anniversaire, ordre alphabétique, etc.) et encouragez les travaux en binôme ainsi qu’en équipes mixtes. Assurez-vous également que les tâches, comme la transmission d’un message ou le déplacement des chaises, ne sont pas attribuées uniquement aux garçons ou aux filles.
  3. Employez un langage inclusif
    Adressez-vous aux élèves en utilisant le terme « enfants » plutôt que « garçons » et « filles » (« parents » vaut également mieux que « mères et pères ») pour faire ressortir les points communs et non les différences. Discutez des protagonistes de romans en parlant de leurs actions et de leur personnalité au lieu de leur apparence et de leur force physique.
    Enfin, veillez à féliciter les enfants de la même manière, quel que soit leur sexe, pour leur confiance, leur empathie, leurs opinions et leur attention.
Femmes en politique HSF

Femmes en politique : conseils futés pour partir du bon pied

De nombreux avantages ont été associés à une plus importante présence des femmes au sein des gouvernements, tels que l’accroissement de la confiance envers les institutions démocratiques et l’augmentation des dépenses publiques concernant la santé et l’éducation. Voici quelques judicieux conseils pour les femmes qui souhaitent se lancer en politique.
Impliquez-vous dans des causes locales
Songez aux problèmes qui affectent votre communauté et à la manière dont vous pourriez les résoudre si vous étiez au gouvernement. Apporter votre contribution aux causes qui vous tiennent à cœur vous donne la motivation nécessaire pour poursuivre votre carrière dans la vie publique, en plus de vous aider à repérer où diriger vos efforts pour obtenir le maximum d’impact.
Apprenez à connaître le processus
Faire du bénévolat lors d’une campagne électorale ou travailler pour un élu vous permet d’apprendre le métier et d’acquérir des compétences pratiques. Vous profitez aussi de nombreuses occasions d’interagir avec une foule de gens, d’écouter leurs préoccupations et de vous familiariser avec les principaux enjeux de votre communauté.
Ayez confiance en vos capacités
N’attendez pas d’être la candidate parfaite pour vous présenter à une fonction publique. De bonnes aptitudes à parler en public et un désir d’amener des changements positifs dans votre collectivité peuvent avoir un réel impact. Enfin, les meilleurs politiciens sont ceux qui ne cessent d’apprendre de leurs collègues et électeurs.
N’oubliez pas que les femmes qui réussissent ne sont pas seules ! Trouvez un mentor, recherchez du soutien auprès de votre famille et de vos amis et obtenez l’aide d’organisations offrant de la formation et des conseils.

Femmes au travail HSF

Femmes au travail : Comment prendre votre place pour atteindre vos objectifs ?

De nombreux obstacles peuvent empêcher les femmes d’atteindre leurs objectifs de carrière, notamment des doutes sur leur potentiel de leadership ou un manque de soutien pour la conciliation travail-famille. Voici quelques conseils pour vous aider à vous épanouir dans un domaine majoritairement masculin et à y revendiquer votre place.
Redéfinissez les attentes
N’hésitez pas à vous affirmer, et ce, même si le préjugé des femmes « autoritaires » persiste, car vous renforcerez ainsi votre confiance et contribuerez à changer la manière dont ce trait est perçu par les employés.
Trouvez votre propre voix
N’essayez pas d’imiter le leadership masculin si celui-ci ne vous correspond pas. Tâchez de reconnaître la valeur des forces et des points de vue uniques que vous apportez à la table de discussion.
Oubliez la perfection
De nombreuses femmes ont tendance à ne postuler à un emploi que si elles remplissent tous les critères du poste. Au contraire, ne craignez pas de prendre des risques et de dénicher les occasions où vous pourrez acquérir des connaissances.
Construisez un réseau d’entraide
Les femmes peuvent tirer avantage de la recherche d’un mentor et du partage de ressources et d’informations avec d’autres femmes du même domaine. Un partenaire solidaire qui partage les responsabilités à la maison est également essentiel.

Adopter de telles attitudes sur votre lieu de travail peut vous aider à atteindre vos objectifs de carrière tout en encourageant d’autres femmes à faire de même !

3 questions à poser a un entrepreneur

3 questions à poser à un entrepreneur avant de l’engager

Pour engager le bon entrepreneur pour réaliser vos projets de rénovation domiciliaire, vous devez rencontrer plusieurs candidats. En plus de vérifier qu’ils sont agréés et qu’ils détiennent toutes les assurances nécessaires, prenez soin de poser les questions suivantes :

  1. Qui sera la personne-ressource lors des travaux ?
    Il arrive que l’individu avec qui vous signez le contrat soit différent de celui qui sera votre interlocuteur principal durant le projet. Évitez les malentendus et les er­reurs en vous assurant d’obtenir les coordonnées de la personne à qui transmettre vos informations et vos requêtes.
  2. Qu’est-ce qui pourrait entraîner une augmentation des coûts ?
    Demandez à votre entrepreneur dans quel­les circonstances les coûts de votre projet pourraient grimper afin d’être bien préparé. Méfiez-vous aussi des professionnels qui pourraient vous tenter avec un prix modique et vous surprendre avec d’éventuels frais supplémentaires.
  3. Quelles garanties offrez-vous ?
    Les garanties varient d’un entrepreneur à l’autre, et il vous faut donc vous informer afin de savoir ce que couvre exactement la garantie de chaque candidat. No­tez également qu’il existe une différence en­tre la garantie pour le travail effectué et celle pour les matériaux.
    Chose certaine, choisir une entreprise lo­cale ayant une excellente réputation est un moyen efficace de vous assurer du succès de votre projet !
Erreurs de décoration fréquentes

5 erreurs de décoration fréquentes (et leur solution !)

Vous voulez rafraîchir votre décor ? Voici cinq erreurs communes à éviter et quelques suggestions pour corriger le tir, le cas échéant.

  1. Absence de point focal
    Un point focal procure cohérence et équilibre à un espace. Il peut s’agir d’une cheminée, d’un miroir, d’un meuble antique ou d’une œuvre d’art, par exemple. Lorsque vous décorez une pièce, tenez compte de cet élément pour le mettre en valeur.
  2. Tapis trop petit
    Évitez de choisir un tapis trop étroit, car cela nuit à l’harmonie des proportions. Rappelez-vous que la taille d’une carpette doit être suffisante pour accueillir tous les meubles dans une zone donnée.
  3. Excès de coussins
    De nombreux coussins peuvent surcharger un espace, voire vous empêcher de vous asseoir confortablement sur vos divans. Choisissez-en quelques-uns et changez-les au fil des saisons ou selon votre humeur !
  4. Éclairage mal dosé
    Un éclairage agressif ou insuffisant est peu flatteur. Une combinaison de plafonniers et de lampes sur pied ou d’appoint vous permettra de créer l’ambiance souhaitée à toute heure de la journée !
  5. Sièges inconfortables
    Choisir des chaises ou des fauteuils uniquement parce qu’ils ont un style tendance est une erreur que vous pourriez regretter longtemps ! Conseil de pro : essayez-les avant de les acheter, et demandez-vous si vous seriez à l’aise d’y res­ter pendant deux heu­res d’affilée.
    Vous n’êtes pas très habile avec la déco ? Pour éviter les faux pas, fai­tes appel à un décorateur ou à un designer d’intérieur !
Cuisine tendances 2021

Cuisine : les tendances à surveiller en 2021

Vous comptez rénover votre cuisine ? Voici quelques tendances à explorer en 2021 !
Garde-manger surdimensionné
Qu’il soit indépendant ou de type walk-in, un grand garde-manger doté d’étagères évoquant des vitrines et comportant beaucoup d’espace de rangement fait bonne figure dans les cuisines de tous les styles. Si la vôtre est suffisamment spacieuse, cette tendance est pour vous !
Murs de rangement
Votre cuisine est plutôt étroite ? L’entreposage du sol au plafond au lieu de la pose de plusieurs armoires maximisera l’espace pour accueillir tous vos accessoires de cuisine. Conseil de pro : faites installer des prises électriques à l’intérieur des armoires afin que vous puissiez y brancher vos petits appareils.
Hottes de cuisine cachées
Les hottes intégrées dans des armoires ou des murs sont de plus en plus populaires. Vous pouvez également les dissimuler derrière des tuiles décoratives ou des pierres naturelles. Assurez-vous cependant que vo­tre hotte est positionnée de façon à optimiser son efficacité et qu’elle est accessible pour faciliter son entretien.
Tons neutres chaleureux
Les bruns, les beiges et les gris occupent le devant de la scène en 2021. Les éléments décoratifs et les accessoires doivent également être de teintes chaudes : choisissez l’or, le cuivre ou le champagne, par exemple, pour vos poignées de tiroirs et d’armoires ainsi que pour vos robinets et autres appareils (ex. : luminaires).
Matériaux naturels
Le bois, la pierre et d’autres matières qui évo­quent la nature sont indissociables des cuisi­nes minimalistes, contemporaines, rustiques ou champêtres. Optez pour des finis mats discrets et des tons chauds plutôt que froids.

Enfin, s’il existe une tendance qu’on ne peut ignorer en 2021, c’est celle qui consiste à privilégier les articles fabriqués localement et les matières premières québécoises. Lors de la rénovation de votre cuisine, assurez-vous d’acheter des objets décoratifs, des armoires, des matériaux, etc., auprès des détaillants et des artisans de votre région !

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5 projets de peinture à faire soi-même pour rafraîchir votre maison

Votre demeure a besoin de changement ? Voici cinq projets faciles à réaliser qui auront un impact significatif sur l’apparence et l’ambiance de votre maison.

La porte d’entrée : la première impression est d’une grande importance. Choisissez une couleur pimpante ou élégante, en harmonie avec le style de votre propriété.

La porte du garage : rehaussez instantanément l’attrait de votre domicile en rajeunissant votre porte de garage. Sélectionnez une couleur qui s’agence aux caractéristiques extérieures de vo­tre mai­­­son ou à votre aménagement paysager.

Les commodes : vous pouvez raviver une pièce ennuyeuse en rénovant vos commodes en bois. Préférez une couleur percutante pour capter le re­gard ou un ton neutre pour des meubles qui se marient parfaitement au décor.
Les armoires : peindre les armoires de la cuisine peut métamorphoser leur apparence. En cherchant votre nouvelle couleur, pensez à tenir compte de celles de votre dosseret, de vos comptoirs, du plancher et des murs.
Les étagères : si elles sont intégrées, songez à les peindre dans des couleurs vives qui attireront l’attention sur vos objets de collection, vos photographies et vos livres, par exemple.

Dénichez vos pinceaux et votre peinture en visitant les quincailleries et les bouti­ques spécialisées près de chez vous. Pour des projets d’envergure, n’hésitez pas à re­courir aux services d’un professionnel !

10 conseils pour économiser

10 conseils pour économiser lors de vos rénovations

L’un des aspects les plus rebutants des rénovations est le prix qu’il faut généralement y mettre pour obtenir des résultats à la hauteur de nos attentes. Vous aimeriez que votre prochain projet ne fasse pas exploser votre budget ? Voici 10 conseils qui vous aideront à y arriver !

  1. Ayez une vue d’ensemble
    Si vous prévoyez de moderniser toute votre maison, commencez par vérifier si des problèmes structuraux requièrent votre attention. En effet, négliger un toit vieillissant, des fondations fissurées ou des fenêtres qui fuient, par exemple, peut s’avérer particulièrement coûteux si vous devez plus tard reconstruire votre nouvelle cuisine en raison d’infiltrations d’eau !
  2. Faites un plan détaillé
    Listez tous les travaux que vous aimeriez mener à bien. En plus de vous aider à déterminer un budget réaliste, cela vous permettra d’évaluer s’il est plus avantageux de tout faire en une seule fois ou de séparer les projets en diverses phases. Par exemple, est-il plus rentable de recourir plusieurs fois à un plombier ou de vous reloger temporairement parce que toutes vos salles de bains sont en chantier en même temps ?
  3. Établissez et respectez votre budget
    Avant d’entreprendre des rénovations, il est important de calculer le coût approximatif du projet en tenant compte de tous les frais engendrés : permis, matériaux, mobilier, accessoires, etc. De cette façon, vous serez certain de ne pas vous lancer dans des travaux que vous ne seriez pas en mesure de payer. Rappelez-vous en outre de réserver environ 20 % de votre budget aux imprévus.
  4. Engagez un entrepreneur fiable
    Même si vous souhaitez économiser, ne retenez jamais les services d’un entrepreneur uniquement parce qu’il est le plus bas soumissionnaire. Pour éviter les mauvaises surprises, renseignez-vous auprès de votre entourage, consultez en ligne les commentaires d’anciens clients, demandez une estimation à au moins trois entrepreneurs différents et exigez un contrat détaillé. Si possible, faites réaliser les travaux hors saison pour profiter de tarifs avantageux.
  5. Dépensez stratégiquement
    Gardez en tête que certaines dépenses plus élevées pourraient s’avérer économiques à long terme. Par exemple, des comptoirs et une isolation de qualité sont des investissements intelligents, car ceux-ci dureront plus longtemps et offriront un meilleur rendement. Pensez aussi à privilégier les projets augmentant la valeur de votre propriété (moderniser la cuisine ou la salle de bain, par exemple).
  6. Conservez la structure actuelle
    À moins que la disposition des lieux ne soit vraiment pas fonctionnelle, il est préférable de la conserver. En effet, déplacer des murs, des fenêtres, des éléments de plomberie ou des appareils volumineux peut sérieusement gruger votre budget. Songez plutôt à repein­dre les murs, à réorganiser le mobilier et à utiliser des solutions de rangement efficaces pour maximiser l’espace et aérer les pièces.
  7. Prévoyez du temps pour magasiner
    Lorsque vous amorcez un projet de rénovation, donnez-vous du temps pour comparer les produits (matériaux, meubles, électroménagers, etc.) et dénicher des rabais intéressants, notamment durant les ventes de fin de saison ou les promotions du type « nous payons les taxes ». Vous pouvez aussi envisager d’acheter les modèles en démonstration ou des pièces légèrement abîmées pour économiser sans faire de compromis sur le style.
  8. Choisissez des valeurs sûres
    Des couleurs neutres et un style intemporel sont idéaux pour les éléments plus permanents, comme les carreaux, les planchers, les comptoirs et les gros meubles. Réservez les motifs audacieux pour les rideaux, les coussins, les murs d’accent et les accessoires décoratifs qui pourront au fil du temps être remplacés à moindre coût selon vos préférences du moment.
  9. Réutilisez ou vendez
    Qu’il s’agisse de peinturer les armoires de cuisine ou de poncer les vieux planchers de bois franc, une foule de méthodes vous permettront de donner un second souffle aux éléments existants de votre maison; il est cependant parfois plus dispendieux de réparer que de remplacer. Par ailleurs, si vous souhaitez vous débarrasser de certains meubles ou appareils en bon état, essayez de les ven­dre plutôt que de les donner.
  10. Misez sur des options écoénergétiques
    Profitez des rabais et des crédits d’impôt offerts par le gouvernement lors de travaux visant à améliorer l’efficacité énergétique de vo­tre mai­son (thermostats intelligents, fenêtres ENERGY STAR, etc.). En plus de réduire le coût de vos rénovations, vous réaliserez à long terme des économies d’énergie substantielles !
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Des technologies sans contact pour une maison plus saine

Les technologies sans contact sont depuis longtemps utilisées dans les endroits publics pour limiter la propagation des germes. À présent, ces innovations dotées de détecteurs de mouvement font leur chemin jusque dans nos maisons. Voici quelques produits qui pourraient vous intéresser :
Interrupteurs : éclairez automatiquement les pièces où vous pénétrez en passant devant des capteurs judicieusement placés;
Robinets et chasses d’eau : les éléments de plomberie sans contact contribueront à garder vos salles de bains hygiéni­ques;
Distributeurs de savon : lavez-vous les mains aussi souvent que vous le désirez sans salir la pompe;
Appareils électroménagers : on trouve de plus en plus de lave-vaisselle, de réfrigérateurs et de fours équipés de technologies permettant de les ouvrir et de les fermer sans manipuler de poignée;
Poubelles : avec la technologie activée par le mouvement, vous ouvrez et fermez votre poubelle sans y toucher.
Visitez les com­mer­­ces de votre ré­gion pour dénicher des pro­­duits « sans contact » !

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Salle de bain : coup d’œil sur les tendances 2021

Les salles de bain où le marbre prédomine sont indémodables et, en 2021, les designers d’intérieur utilisent de plus en plus ce type de pierre. Voici quelques autres tendances dont vous pouvez vous inspirer.

Les appareils d’éclairage, les robinets et les miroirs dorés prennent les devants. Optez pour un fini mat ou brossé.
Les éléments naturels comme les pier­res décoratives, les armoires en bois et les plantes donnent aux salles de bains une allure organique.

Les meubles-lavabos doubles dont les lavabos sont placés dos à dos plutôt que côte à côte représentent le summum du chic dans une pièce spacieuse.
Les douches sans porte sont très à la mode, surtout lorsqu’elles sont dotées d’accessoires luxueux (ex. : un banc intégré, un système de brumisation, des lumières d’ambiance, un miroir antibuée) et d’un drain de type linéaire.
Pour une salle de bain « techno », dotez-la de chargeurs USB, de haut-parleurs gé­rés par une application ou d’un pommeau de douche intelligent !

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Rénos : 5 options pour aménager un bureau à domicile

Vous avez commencé à travailler de la maison ? Si vous avez besoin d’un bureau de bonne dimension, mais ne disposez d’aucune pièce libre, voici quelques options à explorer :

Sous-sol : si le plafond est assez haut et qu’il n’y a pas de problèmes d’humidité, finir votre sous-sol peut constituer une solution de choix pour vous aménager un bu­reau fonctionnel.

Grenier : certains greniers peuvent être convertis en espace habitable, mais il s’agit d’un important projet de rénovations pour lequel vous pourriez avoir à installer des prises électriques et à solidifier le plancher, notamment.

Garage : si vous n’utilisez que rarement votre garage pour stationner votre voiture, celui-ci, après quelques améliorations, pourrait devenir un bureau des plus confortables.

Agrandissement : cette option plus coûteuse, vous pouvez miser sur une rallonge à l’arrière ou sur le côté de la mai­son, ou encore sur l’ajout d’un étage, pourrait augmenter la valeur de votre propriété.

Dépendance : un bureau complètement sé­paré de la maison est idéal pour travailler à l’abri de toute distraction, mais cela s’avère généralement dispendieux, si bien qu’il pourrait être plus avantageux d’investir dans la rénovation du bâtiment prin­cipal.

Quand vous aurez déterminé la meilleure fa­çon de vous aménager un bureau, assurez-vous de bien évaluer vos besoins pour éviter d’avoir à refaire des travaux dans un avenir rapproché. Vérifiez en outre si votre projet aura un impact sur la valeur de revente de votre maison.

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Les Journées de la persévérance scolaire en Estrie sont lancées : Prenons un moment pour célébrer la persévérance des jeunes !

La Table estrienne de concertation interordres en éducation (TECIÉ) et le Projet Partenaires pour la réussite éducative en Estrie (Projet PRÉE) sont heureux de lancer cette toute nouvelle édition des Journées de la persévérance scolaire (JPS) en Estrie. Du 15 au 19 février, l’ensemble de la collectivité estrienne est invité à prendre part à cette grande campagne nationale et régionale de mobilisation pour la réussite éducative et la persévérance scolaire au Québec.

Cette année, les JPS s’inscrivent dans un contexte particulier, où la motivation et la persévérance des jeunes sont mises à rude épreuve. Les jeunes n’ont pas été épargnés par la situation complexe à laquelle ils ont été confrontés et qui a posé de multiples défis, notamment dans leur persévérance scolaire. Que l’on soit parent, grands-parents, enseignant, travailleur communautaire, personnel de soutien ou encore employeur, les JPS sont l’occasion de se réunir sous un même objectif, soit se donner un élan collectif, doux et bienveillant, avec des messages lumineux et positifs qui se projettent dans toutes les familles de l’Estrie.

Un moment. Pour eux.
Cette semaine, la population est invitée à prendre un moment afin de célébrer la résilience et la capacité d’adaptation exceptionnelle des jeunes. Un moment pour applaudir tous les efforts et les sacrifices qu’ils ont eu à faire durant l’année, afin d’insuffler l’élan de motivation qui les mènera jusqu’à la fin de l’année. Pour porter ce message, les JPS comptent, pour une 3e année consécutive, sur son précieux porte-parole, Laurent Duvernay-Tardif.

« C’est une année de défis pour nos élèves. Nous avons toutes les raisons du monde d’être fiers d’eux », mentionne Christine Hudon, coprésidente de la TECIÉ et du Projet PRÉE. « Plus que jamais cette année, les JPS sont un moment pour les féliciter et leur partager notre fierté. Nos jeunes vivent une situation hors du commun, mais je suis persuadée qu’ils sauront tirer profit de cette expérience ! Prenons le temps de nous intéresser à leur parcours, de les encourager et de les assurer de notre soutien. » Tout un chacun est invité à féliciter un jeune (ou les jeunes en général) pour sa persévérance sur leurs réseaux sociaux avec le mot-clic #JPS2021.

Dévoilement des données du sondage Léger auprès des parents
À l’occasion des Journées de la persévérance scolaire, le Réseau québécois pour la réussite éducative (RQRÉ) a mandaté la firme de sondage Léger, auprès des parents d’enfants âgés de 6 à 18 ans, afin de connaître l’impact de la pandémie sur la motivation scolaire des jeunes. Principal constat : Les jeunes de 6 à 18 ans persévèrent grâce à leur entourage, mais leur niveau de motivation dépend de plusieurs facteurs.

Près d’un an après le début de la pandémie, 70 % des parents québécois sondés estiment que leurs enfants se sentent motivés face à leur cheminement scolaire. Ce coup de sonde montre toutefois que la motivation est plus basse chez les jeunes du secondaire (63 %), les jeunes de 17 et 18 ans (62 %) et ceux issus de familles dont le revenu est plus faible. Parmi les raisons qui gardent leurs jeunes motivés envers leurs études, les parents sondés identifient la relation avec leurs amis (28 %) comme la principale source de motivation, suivi du soutien et de l’encouragement de leur famille (22 %), ainsi que de l’atteinte d’un but spécifique (19 %).

Depuis le début de la rentrée scolaire, certains défis ont pu ébranler cette motivation. Plus de la moitié des parents (52 %) identifient l’absence de contact avec leurs amis comme le principal enjeu auquel sont confrontés leurs jeunes. Les autres défis identifiés sont l’arrêt des activités, des sports et des loisirs (35 %), par exemple, et le maintien de leur motivation quant à leurs études (33 %). Les facteurs de motivation et les obstacles rencontrés semblent différer selon l’âge.

Consultez le rapport complet du sondage pour plus de détails.

Le Projet PRÉE présente les Rendez-vous virtuels de la persévérance scolaire !
Afin de soutenir ses partenaires en réponse aux enjeux de la pandémie, le Projet PRÉE profite des JPS pour lancer les Rendez-vous virtuels de la persévérance scolaire. Du 15 au 19 février, cinq événements quotidiens sous forme de webinaires gratuits auront lieu pour outiller le personnel enseignant, les intervenants jeunesse et famille de tous les milieux, ainsi que les parents.

« Plus que jamais, dans ce contexte difficile, les jeunes ont besoin de motivation et d’encouragement pour persévérer dans leurs études. Mais qu’en est-il des adultes qui sont à la première ligne avec eux ? », se questionne Martial Gaudreau, coprésident de la TECIÉ et du Projet PRÉE. « Que l’on soit enseignant, intervenant auprès des jeunes, personnel de soutien ou parent, le stress et la fatigue qu’apportent tous ces chamboulements commencent à se faire sentir. Cette année, il était essentiel pour nous d’appuyer, d’outiller nos partenaires en ce sens, en leur offrant des outils supplémentaires pour accompagner leurs élèves. »
« Nous sommes très fiers de notre programmation », ajoute Josiane Bergeron, coordonnatrice du Projet PRÉE. « Non seulement la pandémie nous aura permis de faire le saut dans l’organisation d’événements virtuels, mais elle nous aura amenés à encore plus consolider la collaboration intersectorielle avec nos différents partenaires. Pour la réalisation de nos webinaires, nous sommes heureux de compter sur la participation de plusieurs experts en éducation (notamment le Centre RBC d’expertise universitaire en santé mentale, des professeurs et des chercheurs de l’Université de Sherbrooke, etc.) pour livrer des contenus inédits sur les grands enjeux actuels : l’anxiété chez les enfants et les adolescents, l’engagement scolaire des 15-18 ans, la valorisation de l’éducation et le sentiment de compétence des parents, la gestion familiale et la bienveillance.  » En plus de ces webinaires, trois événements s’adressant aux jeunes sont également à l’horaire, soit le grand rassemblement virtuel avec Laurent Duvernay-Tardif, et des rencontres avec l’auteure jeunesse Émilie Rivard et l’illustratrice Mika.

Consultez la programmation des Rendez-vous virtuels de la persévérance scolaire.

Deux concours adressés aux jeunes
La Fondation Christian Vachon, en collaboration avec le Projet PRÉE, profite des JPS pour lancer le concours Ma persévérance, ma fierté ! afin de mettre en lumière la persévérance des jeunes et tous les efforts qu’ils ont pu faire pour se garder motivés et continuer à aller de l’avant en temps de pandémie. Enseignantes et enseignants au primaire et au secondaire sont ainsi invités à inscrire leur classe pour courir la chance de gagner le montant nécessaire pour la réalisation de leurs activités de fin d’année. Pour tout savoir sur le concours, téléchargez la fiche d’information.
Organisé en collaboration avec Conciliation études-travail Estrie, le concours Mon boss c’est le meilleur ! est de retour cette année. Malgré le contexte actuel, plusieurs entreprises demeurent ouvertes. Les étudiants-employés qui conjuguent les études et le travail dans ces entreprises offrent à leur employeur un soutien important pendant cette période difficile. Certains étudiants pourraient également être tentés de travailler davantage, au détriment de leurs études. D’où l’importance pour les employeurs de soutenir leurs efforts en matière de conciliation études-travail. Les étudiants-employés sont invités à participer au concours en expliquant de quelles façons leur employeur les soutient dans leur réussite éducative. Les jeunes gagnants remporteront des cartes-cadeaux de 100 $. Tous les détails se trouvent sur le site www.monbossestrie.ca.

Activités JPS 2021 : l’Estrie s’anime !
Même en temps de pandémie, les JPS 2021 bouillonnent d’activités partout en Estrie : campagne médiatique et médias sociaux, plus de 200 activités dans les écoles et les organismes du milieu, levée du drapeau vert et blanc dans différentes municipalités et MRC, remise de certificats de persévérance et de cartes d’encouragement aux jeunes pour souligner leurs efforts, lancement des concours Mon boss c’est le meilleur ! et Ma persévérance, ma fierté !, etc. Le site www.jpsestrie.ca présente toutes les informations sur les célébrations en Estrie, incluant le calendrier des activités JPS qui permet d’obtenir plus de détails sur les initiatives organisées dans la région.

Journée Natalie Champigny

Journée Natalie Champigny annulée : Les enfants ne sont pas oubliés

Malgré une relâche, les responsables de la Journée Natalie Champigny sont confiants de reprendre l’activité l’an prochain.

En raison du contexte pandémique, les responsables de la traditionnelle Journée Natalie Champigny sont contraints d’annuler l’activité, qui se déroulait habituellement au cours du mois de mars. Toutefois, les intervenants n’oublient pas l’essence même de la cause, soit d’amasser des fonds pour venir en aide aux élèves dans le besoin fréquentant les écoles du Haut-Saint-François. Michel Champigny, frère de la regrettée Natalie, et son équipe travaillent à mettre en place diverses initiatives qui permettront de répondre aux besoins de la jeune clientèle.

L’année dernière, l’organisation avec la contribution de la Fondation Christian Vachon a remis 50 400 $ pour venir en aide aux jeunes élèves dans une dizaine d’écoles réparties aux quatre coins de la MRC du Haut-Saint-François. Les sommes servent entre autres à défrayer des petits déjeuners, du matériel scolaire, des vêtements et des coûts d’inscription pour certaines activités. Les demandes faites pour l’année 2020-2021 s’élevaient à 50 400 $ et on les a rencontrées, d’exprimer M. Champigny. « On s’attend qu’elles seront plus élevées pour l’an prochain. » Ce dernier et l’armée de bénévoles derrière lui, sans compter les généreux contributeurs, ont la ferme intention de poursuivre la mission. « À cause de la situation actuelle, on ne baisse pas les bras, on veut être là pour les besoins des jeunes », insiste-t-il.

L’année dernière, la Journée Natalie Champigny a amassé quelque 38 000 $ à laquelle s’est ajoutée la contribution de la Fondation Christian Vachon pour le total de 50 400 $. L’activité plein air s’était déroulée, mais les autres sources de financement comme le Grand McDon et le tournoi de golf ont été annulées. Une loterie a néanmoins permis d’amasser 10 000 $. Avec la participation des contributeurs indéfectibles, l’organisation dispose déjà de 20 000 $. Bien que l’on souhaite la reprise des autres activités de financement, on prévoit mettre de l’avant diverses sources de financement qui permettront de rencontrer les besoins des jeunes élèves pour l’année 2021-2022.

actualite

Service d’incendie La Patrie : Beaucoup d’entraide entre municipalités

La municipalité de La Patrie peut se considérer comme étant bien entourée par ses voisines. Après la démission de plusieurs pompiers de son service incendie à l’automne, La Patrie se relève, notamment grâce à l’entraide et le support des municipalités qui l’entourent.

Cookshire-Eaton, Chartierville, Hampden, Notre-Dame-des-Bois et d’autres sont présentes pour soutenir les besoins de la municipalité en termes de sécurité incendie. « On a de l’entraide. Si jamais il y a une alerte importante, Notre-Dame-des-Bois est avec nous », exprime Johanne Delage, mairesse de La Patrie. Elle affirme toutefois qu’avec le confinement, les gens ne sortent presque pas, alors il y a eu très peu d’accidents et d’incendies depuis l’automne.

La municipalité compte présentement parmi ses rangs, quatre pompiers formés, dont deux lieutenants et cinq recrues pour un total de neuf membres. Une entente a été conclue avec Cookshire-Eaton pour les pinces de désincarcération et pour les services d’officiers en attendant d’en trouver un. « Les pinces de désincarcération, on les a. Ce qui arrive, c’est qu’on n’a qu’un pompier qui a la formation », explique Mme Delage.
Si en 2020, le budget prévu pour le service de sécurité incendie était de 5 000 $, pour 2021, il s’élève à 17 000 $. La mairesse affirme que ce montant était prévu bien avant la démission des pompiers à l’automne. Avec celui-ci, la municipalité prévoit former un total de quatre recrues dont l’une d’entre elles défraiera elle-même les coûts de sa formation. De plus, deux pompiers suivront la formation pour les pinces de désincarcération. « Il n’y a pas d’impacts majeurs sur le budget », affirme Mme Delage. L’objectif pour avoir un service de sécurité incendie efficace est d’avoir 10 pompiers formés. La mairesse estime que la municipalité se trouve dans la bonne voie.

Les forêts thérapeutiques du HSF

Aider à la santé mentale : Les forêts thérapeutiques

Steve Nadeau, vétéran souffrant du syndrome post-traumatique, considère le parc des Deux Rivières à East Angus comme un lieu l’aidant à trouver un bien-être mental.

La forêt peut avoir différentes fonctions selon la vision qu’une personne en a. Pour certains, c’est un lieu qui doit rester naturel et préservé, pour d’autres, il est important de l’aménager pour la rentabiliser. Toutefois, qu’elle soit privée ou publique, la forêt peut avoir des vertus spirituelles et thérapeutiques. À travers le monde, les gens l’utilisent en complément aux psychothérapies ou encore pour les vétérans souffrant du trouble du syndrome post-traumatique (TSPT).

Inspiré du Shinrin Yoku, au Japon, la sylvothérapie est une approche thérapeutique basée sur les séjours dans le bois. Cette pratique se caractérise souvent par une promenade en forêt ou en milieu urbain dit naturel. Selon Shinrin Yoku Québec, ces différentes invitations à relaxer et à retrouver un bien-être physique et psychologique sont proposées par le biais d’un guide certifié. Le silence est de mise afin d’initier les participants à une immersion dans la nature, leurs sens étant alors sollicités entièrement par le milieu sylvestre. « C’est des forêts aménagées pour un espèce de réconfort, de guérison mentale », exprime Jean-Paul Gendron, président de l’Agence de mise en valeur de la forêt privée de l’Estrie (AMFE). Cette technique japonnaise se pratique depuis 1980 et gagne maintenant en popularité en Amérique du Nord. Le site de Shinrin Yoku Québec explique que l’immersion en forêt permet entre autres au lobe cervical frontal de diminuer ses activités, au taux de cortisol prélevé dans la salive de baisser (hormone du stress), à la tension artérielle et au nombre de battements cardiaques de diminuer eux aussi, voire même se réguler.
Aux États-Unis, certains thérapeutes prescrivent cette méthode en parallèle à leur propre pratique, notamment auprès des personnes souffrant de TSPT. « Les gens qui souffrent de stress post-traumatique et toute sorte de problèmes reliés au mental, encadrés par des psychologues et travailleurs sociaux vont dans les forêts guérisseuses du Maine », explique M. Gendron pour qui, cette pratique a tout son sens. Pour Steve Nadeau, connu sous le surnom de Pee-Wee, membre de la Légion royale de East Angus, filiale 025 et vice-président national de UN NATO, les marches en forêt sont bénéfiques. « Moi et plusieurs de mes chums qui ont le TSPT, on est porté à s’isoler un peu dans le bois justement. Ça nous enlève le stress de tous les jours », explique-t-il. Luke, citoyen de Bury et vétéran souffrant de TSPT, estime que cette pratique peut être une arme à double tranchant. Certains soldats ont un TSPT en raison de leurs missions en forêts, il peut donc être difficile pour eux de se sentir bien en ces lieux, explique-t-il. Toutefois, bien accompagné, il croit qu’il est possible de retrouver une certaine sérénité en forêt. « Quand on est dans le bois, on écoute les oiseaux, on sent la chaleur du soleil sur notre peau, le vent quand c’est froid. Bien souvent, il y en a qui mettent des ipods, se mettent de la musique et s’en vont tranquillement dans le bois. Ils n’ont pas à penser à se faire frapper ou se faire déranger par quelqu’un », explique Steve Nadeau.

Dans le Haut-Saint-François, plusieurs vétérans profitent du parc des Deux Rivières à East Angus afin d’y retrouver ce bien-être. Selon le Dr Qing Li, auteur, président de la Japanese Society of Forest Medicine et professeur associé à la Nippon Medical School de Tokyo, il faut que la canopée d’une forêt thérapeutique ait une superficie d’au moins 10 000 mètres carrés de couvert forestier. En général, une plantation d’au moins 50 ans et ayant comme espèces les pins, les chênes, les érables et les bouleaux sont les critères les plus recherchés. Si un point d’eau s’y trouve, l’effet est encore mieux selon les spécialistes. « Le but de la chose, c’est de s’occuper à quelque chose pour ne pas penser à ce qui dérange », mentionne M. Nadeau.

Le Canada compte officiellement huit forêts thérapeutiques dont une se trouve à Fitch Bay au Québec. La MRC du Haut-Saint-François possède plusieurs forêts et parcs qui, sans avoir la nomenclature officielle, peut apporter les bienfaits recherchés. Outre le parc des Deux Rivières, il y a le parc écoforestier de Johnville, la forêt habitée de Dudswell et le parc national du Mont-Mégantic, secteur de Franceville, à Hampden. Si une forêt thérapeutique était aménagée dans le HSF, M. Nadeau est persuadé qu’elle serait bien utilisée par ses compères

Le bois, un matériau écologique aux multiples vertus

Le bois, un matériau écologique aux multiples vertus !

Même si, contrairement à nos ancêtres, nous ne fabriquons plus la majorité de nos objets en bois, celui-ci demeure un matériau fort utilisé. Et pour cause ! Il possède 1001 qualités, à commencer par son caractère des plus écologiques. Le bois est indéniablement un allié inestimable pour la planète : il provient d’une ressource renouvelable qui abonde dans la Belle Province, et il est moins coûteux, en termes d’énergie, de transformer celui-ci que n’importe quel autre matériau. Son empreinte environnementale est ainsi plus faible. En outre, durant sa vie, l’arbre emmagasine le carbone (un gaz à effet de serre), et celui-ci reste emprisonné dans le bois lors de sa transformation en produits divers, alors qu’il serait libéré dans l’air à la mort de l’arbre.

Qui plus est, l’approvisionnement en bois étant local, la pollution liée au transport est limitée par rapport à celle qu’engendre l’importation d’autres matériaux et c’est sans compter les milliers d’emplois que son exploitation génère chez nous !

Par ailleurs, le bois, à la fois biodégradable, recyclable et réutilisable, est un matériau indémodable au cachet unique. Extrêmement durable, pensez notamment aux granges antiques qui façonnent nos paysages ruraux et qui tiennent encore vaillamment debout, il est aussi flexible et résistant à la chaleur, et il a l’avantage de ne pas conduire l’électricité. Enfin, le bois est doté de propriétés acoustiques : pas étonnant qu’il serve à la fabrication d’instruments de musique et qu’on le retrouve dans de nombreuses salles de spectacle !

Et vous, craquez-vous pour le bois ?

Le bois et ses dérivés, au cœur de nos vies

Le bois et ses dérivés : au cœur de nos vies !

Enraciné dans notre quotidien ? Et comment ! Le bois est omniprésent et se trouve souvent là où on ne le soupçonne pas; on compterait d’ailleurs plus de 10 000 produits et dérivés du bois ! Outre les matériaux de construction, le mobilier, les instruments de musique, les crayons à mine, le papier et le carton, où on reconnaît aisément le bois, celui-ci entre dans la composition d’une multitude d’objets, d’aliments, de liquides, etc. En voici quel­ques exemples :

Le xylitol, presque aussi sucré que le sucre de table, mais contenant 40 % moins de calories que ce dernier, est extrait de l’hémicellulose du bois. On l’utilise notamment comme substitut dans les gommes sans sucre.
La cellulose nanocristalline (CNC) est une fibre de bois microscopique dotée de propriétés antibuée, si bien qu’on la trouve dans les vitres, les lunettes, les fenêtres, les portes de douche, les écrans, les miroirs et les pare-brise.
Le triacétate de cellulose, produit grâce à la réaction de la cellulose du bois avec l’acide acétique du vinaigre, permet, sous forme de mince film, de polariser la lumière dans les télévisions, les ordinateurs et les téléphones cellulaires.

La propolis, issue du peuplier et du bouleau, regorge de propriétés inestimables. À la fois anesthésiant local, antibactérien et antifongique, entre autres, elle sert à la fabrication d’onguents, de comprimés et de dentifrices.

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